L’association SOS Hommes Battus est spécialisée dans l’aide aux hommes victimes de violences conjugale. C’est un thème difficile car il ne s’inscrit pas dans le discours officiel. Il est soit dénié, soit minimisé. Les groupements d’aides aux femmes battues, relayées par des politiciens, admettent 2% d’hommes battus et 98% de femmes battues comme répartition des victimes de la violence conjugale.
Cette répartition est fausse. Depuis de décennies des études démontrent une proportion bien plus équilibrée. Les indicateurs récents, de la Suisse (le moins élaboré) au Canada (le plus précis et détaillé) mentionnent que 20 à 50% des victimes de violence physique sont des hommes.
C’est difficile à admettre car on croit les hommes plus forts. mais les hommes qui vivent avec des femmes violentes n’osent pas utiliser leur propre force afin de ne pas passer la ligne jaune et pour ne pas être eux-même accusés de violence. Et aussi pour protéger les enfants.
La vidéo en fin de billet ou à retrouver ici montre le biais installé en matière de violence masculine ou féminine. Elle est extraite d’une émission réalisée pour la télévision canadienne il y a quelques années par Rachel Verdon: «Pied de biche ou les perceptions faussées de la violence des hommes faites aux femmes.»
Ce passage du reportage est particulièrement important:
«Toutes les études sur la violence conjugale, tant américaines que canadiennes, révèlent qu’en matière de violence conjugale femmes et hommes sont violents à parts égales. On retrouve réciprocité et symétrie. Comment et pourquoi ce féminisme qui se voulait sensé et bien intentionné s’est égaré? En majeure partie à cause de la recrudescence de gens bienveillants, désireux de corriger les injustices. Par contre en cours de route la notion d’égalité chez les femmes a été malmenée et déformée en faveur des femmes au détriment des hommes. Le tout largement soutenu par l’hypothèse que le bien est féminin et le mal est masculin.»
Qui donc parle ainsi? Un vilain monsieur qui n’aime pas les femmes? Un menteur à la solde du patriarcat? Un pourfendeur du grand féminisme? Non. Il s’agit d’une femme.
Cette femme se nomme Anne Clare Cools. Elle est canadienne. Sénatrice de l’Ontario, élue femme de l’année en 1999, elle est spécialiste dans la question de la violence familiale. Elle travaille avec plusieurs organisations dans ce domaine et a créé l’une des premières maisons pour femmes battues au Canada. Au Sénat canadien elle est active dans la commission du droit constitutionnel. Anne Clare Cools a reçu de nombreuses récompenses tout au long de sa carrière, et a aussi été critiquée pour ses prises de positions sur la violence féminine, positions qualifiées d’anti-féministe.
Le premier colloque organisé par SOS Hommes battus: programme complet ici.
COUPLES : HOMMES VICTIMES / FEMMES VIOLENTES"
samedi 22 octobre 2011
Maison des Associations - 92120 Montrouge
(105 av. Aristide Briand - salle 3)
de 13h30 à 17h00
Commentaires
Il est grand temps de s’occuper de cette violence là sur les hommes, les enfants et les personnes âgées !!!
On ne parle pas de cette violence là ! Pourquoi ?
Si on n’en parle pas… c’est parce que ça n’existe pas. Et pourtant ça existe en nombre très important : il y a bien plus d’hommes (que de femmes) qui sont maltraités, battus, par leurs femmes ! C’est une réalité !
Et les enfants alors ? Il y a bien plus de femmes violentes envers les enfants !
Et les personnes âgées alors ? Il y a bien plus de femmes violentes envers les personnes âgées !
Un petit rappel qui fera du bien… je l’espère !
Erin Pizzey [1] écrivit (…) "que le mouvement, qui a proclamé que tous les hommes sont des violeurs et des agresseurs potentiels, était basé sur un mensonge que, si on les laisse prospérer, se traduirait par la destruction complète de la vie familiale".
"J'irais même jusqu'à dire," a-t-elle ajouté, "j'ai réalisé que ce féminisme est un mensonge. Les femmes et les hommes sont tous deux capables d'une cruauté extraordinaire. En effet, la seule chose que l'enfant a vraiment besoin - deux parents biologiques sous un même toit - a été mis à mal par l'idéologie même qui prétendaient parler en faveur des droits des femmes ».
(…)
Tiré du discours de Michael Coren, animateur de télévision et auteur. Son site web est www.michaelcoren.com.
Voir le commentaire n°59 , à la page
http://laviedeperes.over-blog.com/50-comments-27417688.html#c
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[1] Dans les années 1970, au Canada, Erin Pizzey fut le visage emblématique du féminisme où elle apparaissait tous les soirs à la télévision, pour dénoncer ce qu'elle considérait comme l'oppression des femmes. Elle a également fondé l'un des premiers refuges pour violence domestique dans le monde. Ces maisons d’accueils étaient surtout connues comme les maisons des femmes battues. Mais la nomenclature, ainsi que la politique, a changé au fil des ans. Ainsi que, semble-il, à Erin Pizzey elle-même.
N'oubliez pas non plus que les femmes ont accès à des sports combattifs et que certaines sont plus habilitées à mettre des gnons qu'une partie des hommes qui n'en pratiquent pas. On est plus en 1920, les femmes ont les mêmes droits que les hommes et les mêmes PUNITIONS normalement. DOnc certaines femmes peuvent faire mal à certains hommes la différence physique n'étant plus un critère de différenciation.Je ne comprends pas pourquoi les féministes se battent pour une parité sociale et qu'ils ne sont pas capables d'admettre que la justice ne punit pas les femmes criminelles qui existent. Le cliché de la femme douce, maternante perdure parce que les féministes le veulent bien. En revanche quand c'est pour dénoncer qu'il n'y a que des gardes de la sécurité de sexe masculins ça se mobilisent.
Les positions de Mme Cools, élue femme de l'année en 1999, sont d'autant plus pertinentes et révélatrices qu'elles sont le fait de la fondatrice de l'une des premières maisons d'hébergement pour femmes au Canada. Bravo pour avoir mis la patte sur son témoignage, qui pourra servir ultérieurement pour défendre la réalité de la parité en violence conjugale. Pas étonnant qu'on traite cette femme d'antiféministe. Il m'arrive de me demander s'il ne suffit pas à un homme de respirer à côté d'une féministe pour se voir accusé de ce crime de lèse-majesté pour lui avoir pompé l'air.
Les positions de Mme Cools, élue femme de l'année en 1999, sont d'autant plus pertinentes et révélatrices qu'elles sont le fait de la fondatrice de l'une des premières maisons d'hébergement pour femmes au Canada. Bravo pour avoir mis la patte sur son témoignage, qui pourra servir ultérieurement pour défendre la réalité de la parité en violence conjugale. Pas étonnant qu'on traite cette femme d'antiféministe. Il m'arrive de me demander s'il ne suffit pas à un homme de respirer à côté d'une féministe pour se voir accusé de ce crime de lèse-majesté pour lui avoir pompé l'air.
Les positions de Mme Cools, élue femme de l'année en 1999, sont d'autant plus pertinentes et révélatrices qu'elles sont le fait de la fondatrice de l'une des premières maisons d'hébergement pour femmes au Canada. Bravo pour avoir mis la patte sur son témoignage, qui pourra servir ultérieurement pour défendre la réalité de la parité en violence conjugale. Pas étonnant qu'on traite cette femme d'antiféministe. Il m'arrive de me demander s'il ne suffit pas à un homme de respirer à côté d'une féministe pour se voir accusé de ce crime de lèse-majesté pour lui avoir pompé l'air.
Il existe une forme de racisme dont on parle très peu celui fait envers des personnes âgées et par des femmes qui souvent se servent d'elles comme exutoire quand il y a dissension au sein de leurs couples,cela se passe au sein d'immeubles et c'est bien d'en parler .Cela existe depuis l'époque de Mathasalem seulement femmes défavorisées ou ayant exercé des métiers pas convenables comme on disait en ce temps ,là elles n'osèrent jamais parler pour éviter les internements arbitraires qui étaient légion.Heureusement maintenant elles sont écoutées et enfin crues,quand à cette gente féminine manquant de respect envers ces personnes seules ,on dit que la roue tourne ,la vie leur rendra sous quelque forme que ce soit ces moments de désespoirs dont elles sont responsables
Et apparemment c'est de pire en pire :
http://madame.lefigaro.fr/societe/filles-ces-nouveaux-bad-boys-121011-182044
Qui veut rejoindre mon association de célibataire en détresse ?
@ Kasilar:
Très impressionnant cet article. On remarque que les femmes imitent les hommes, pas l'inverse. Parce que l'homme est le modèle idéal, quoi qu'en disent les féministes.
:-)))
Ou alors elles font comme dans les clips qui sont pas tristes. La vulgarité des stars fait des émules. Ou bien elle veulent réveiller les mecs qui sont devenus trop gentils. Elles provoquent, font comme eux pour qu'ils surenchérissent.
Leurs mères féministes les ont élevées dans le girl power en culpabilisant les garçons. alors à la fois elles veulent les dominer et les provoquer à être plus forts qu'elles.
Hypothèses, bien sûr.
"Ou bien elle veulent réveiller les mecs qui sont devenus trop gentils. Elles provoquent, font comme eux pour qu'ils surenchérissent.
Leurs mères féministes les ont élevées dans le girl power en culpabilisant les garçons. alors à la fois elles veulent les dominer et les provoquer à être plus forts qu'elles"
N’importe quoi.
J’ai grandi au milieu de 3 frères, il n’a jamais été question de favoritisme ni de girl power.
J’ai rendu naturellement autant de coup que j’en ai pris sans aucune protection particulière de ma mère.
J’ai même été plusieurs fois sévèrement punie parce que je mordais mes frères jusqu’au sang.
Mes frères sont loin d’être mes victimes, au contraire, ils sont fiers de dire que je suis une dure à cuire qu’ils n'ont jamais, je cite « vue chialer ».
Il existe un véritable cercle de confiance des hommes. Il est très restreint, il se « mérite » et fluctue en fonction des personnalités.
L’inconvénient, c’est que sortie du rôle de sœur ou de bonne copine, on y est élevée au rang de divinité.
Donc, bon………
Tu reconnaîtra tout de même que le féminisme a fait énormément de ravages dans la société : famille ... et que ce féminisme moderne est sur la mauvaise voie.
"le féminisme a fait énormément de ravages dans la société : famille ... et que ce féminisme moderne est sur la mauvaise voie."
C'est un "féminisme étriqué", sexiste et misandre qui détruit autant de familles !
Et la « Justice familialiste de malfaçons » aux mains d’« avocats menteurs » est le bras armé de ce féminisme là !
La "Maltraitance" des hommes... Regardez ce qui se passe en France avec DSK et Tristane Banon. DSK, l’un des hommes les plus puissants de la Terre… et malgré le fait qu’il ait été « Blanchi » aux USA, « des fausses accusations d’une « Menteuse Notoire » qui se faisait passer pour une « Pauvre femme de chambre »… mais qui avait plus de 400.000 dollars sur son compte en banque)… et bien Tristane Banon l’accuse d’une « Tentative de Viol » qui se serait passée il y a 8 ans, et ce, sans aucune preuve matérielle !!!…
En réalité, ce sont de simples accusations verbales. Malgré le fait que la « Justice » Française a classé l’affaire sans suite, en raison de la prescription, Tristane Banon va maintenant attaquer DSK au « Civil »… En fait, cette plainte est faite pour lui soutirer le maximum possible d’argent (DSK est très riche), et ce, avec l’aide de ces « Ordures d’Avocats Menteurs ». Point.
Oui, les « Féministes » Américaines et les « Féministes » Françaises, toutes sexistes et misandres (qui ont des ressentiments ou de la haine envers les hommes) ne lâcheront pas DSK !
J’ai 68 ans, et je n’ai jamais… jamais… jamais… (à part 1 ou 2 fois seulement, aux USA) connu une seule femme qui a été traitée comme DSK !
J’estime qu’aussi longtemps que DSK n’est pas condamné, il est innocent… Point.
@ Patricia
ton éducation familiale correspondait elle à ce qui est écrit dans cet article apparement non.
j'ai pas l'impression vu tes propos que tes parents auraient supporté que le canapé du salon se retrouve dans la piscine !!!
tes parents appliquaient déjà ces recommandations
" Mode d'emploi des néo-hussardes
Selon Xavier Pommereau, s’il n’y a pas de solution miracle, il y a (au moins) trois règles d’or à respecter :
On ne banalise pas en se montrant complice. Ce n’est pas parce que, adulte et mère, on ne refuse pas un verre entre amis qu’il est anodin de faire de même à 14 ans. On ne se laisse pas piquer une bouteille de champagne dans les réserves familiales parce qu’on est « cool ». On n’est pas cool sur ces sujets, voilà.
On fixe des règles qui valent pour tous : la maison est une zone totalement non-fumeurs, pour elles, pour nous et pour nos amis... De même, on surveille son langage ou ses éclats : même si la tentation est forte de vociférer des horreurs ou de claquer les assiettes sur la table parce que trop, c’est trop, on se retient.
On n'oublie jamais que le job est ingrat. Ne rêvons pas, on n’élève pas des ados filles en « pilotage automatique ». Il faut 100 fois répéter la même chose, 1 000 fois revenir sur les dangers de se promener en micro-short, 10 000 fois rappeler que la cigarette abîme la peau (un argument qui marche) ou les convoquer parce qu’il y eu une rixe inacceptable dans la fratrie ou de la casse à la maison. Elles trouvent ça « soûlant » et l’expriment... mais se sentent abandonnées si on ne le fait pas. Avec risque de surenchère !
M. leclercq, aujourd'hui sous couvert de liberté et de démocratie libérale, les gens font ce qu'ils veulent y compris des choses capables de porter atteinte à l'intégrité d'autrui : attentat à la pudeur, alcoolisme par excès ... Ca touche autant les jeunes que les moins jeunes. Forcément les gosses ne vont surement pas s'en priver. C'est nous adultes qui montront l'exemple aux plus jeunes. Tout comme ce sont les personnes âgés qui donnent les meilleures tuyaux et expérience. Quelque que soit nos croyances, c'est mathématiquement comme celà que ça se passe. Vu la médiocrité de la société, et ce qui lui sert de référence, on ne peut qu'encourager la connerie humaine.
@WIll
Même les assistantes sociales, les femmes dans le monde du travail ... ces personnes là soutiennent les femmes dans leur "calvaire" quelque soit sa personnalité. Du coup la femme est intouchable et doit être partout à la fois à notre époque
"Bourreau" est masculin... "Victime" est féminin... On n’entend… ou on ne lit que « Manipulateur » qui est aussi masculin…
Alors comment désigner une femme qui est un bourreau ? C'est impossible !!! Comment désigner une femme qui est maltraitant ? Essayer d’écrire « Maltraitante » pour voir ? C'est inexact !!! Vous vous apercevrez que c’est un mot impropre, inexistant.
Mais par contre le mot « mal traitante » est exact !
Il faudra donc combien de temps pour que nos cerveaux de primates, mutants, polytarés (l’Homo sapiens apparus, il y a 200.000 ans, en évolution constante) comprennent – une fois pour toutes – que les femmes sont autant violentes que les hommes ?
Conversation avec les parents :
« Votre fils a fait un coma éthylique »
Réaction des 2 parents confondus après avoir demandé des détails sur son état de santé :
« Mais quand est ce qu’il va arrêter de faire des conneries …. »
Conversation avec les parents :
« Votre fille a fait un coma éthylique »
Réaction du père : généralement il se tait, encaisse l’information et demande des nouvelles de sa fille.
Réaction fréquente de la mère : "je ne comprends pas, je connais ma fille, elle ne ferait jamais ça, qui l’a fait boire ?"
Si des copains sont présents : "c’est encore toi ??"
Si la meilleure copine est présente : "c’est toi ??, de toute façon, tu ne lui fais faire que des bêtises ".
La mère déresponsabilise pratiquement systématiquement sa fille.
Ce n’est pas un combat contre l’homme, le message des néo hussardes est adressé à leurs mères qui pratiquent le déni et l’angélisme.
"Bourreau est masculin... Alors comment désigner une femme qui est un bourreau ?"
C’est peut être du au fait qu’on a toujours laissé aux hommes le soin d’exécuter ses semblables
Patricia,
Intéressante remarque sur les néo-hussardes! Voulez-vous dire que c'est délibéré?
A partir de là j'extrapole: les garçons élevés par des pères trop doux, trop culpabilisés, vont-ils eux aussi devenir plus violents?
@ hommelibre
"A partir de là j'extrapole: les garçons élevés par des pères trop doux, trop culpabilisés, vont-ils eux aussi devenir plus violents?
oui en résumé des péres qui ne jouent pas leur rôle de pére.
extrait d'homme et fier de l'être d'yvon dallaire
"6. Les conséquences du père absent
Que se passe-t-il lorsque le père ne remplit pas ses fonctions ? Qu'arrive-t-il s'il ne s'implique pas dans le triangle père-mère-enfant ? Qu'arrive-t-il lorsque le père est psychologiquement absent ? Quelles sont les conséquences du foisonnement de familles mono¬parentales dirigées uniquement par les mères ? Qu'arrive-t-il si, pour une raison ou pour une autre, l'homme est empêché de remplir sa fonction paternelle? Il arrive ce que nous constatons aujourd'hui partout autour de nous. Entre autres :• Les mères cherchent à remplir la fonction du père manquant, ce qui accentue l'attitude ambivalente des enfants envers leur mère et leur père.
• Les enfants collent à la maison avec leur mère poule.
• La délinquance et le vagabondage des jeunes augmentent.
• Les adolescents n'abandonnent jamais leur sentiment de toute-puissance et continuent de croire que tout leur est dû, qu'ils sont le centre de l'univers.
• Le phénomène du décrochage scolaire et les problèmes socio-affectifs s'intensifient, particulièrement chez les garçons.
• Les adolescents demeurent d'éternels adolescents faute de modèle patriarcal positif.
• La consommation de drogues douces et dures est plus élevée dans les familles monoparentales.
• Le taux de divorce explose et devient une véritable industrie faisant vivre psychologues, médiateurs, avocats, juges, huissiers, travailleurs sociaux, agents immobiliers, administrateurs...
• Les enfants et adolescents tueurs se multiplient.
• Les garçons incestes psychologiquement par leur mère devien-nent des hommes qui ont peur de s'engager avec une femme, au même titre qu'une fille incestée sexuellement aura de la difficulté à s'épanouir sexuellement une fois adulte.
• 35 % des gens vivent maintenant seuls faute d'avoir appris l'art du partage et de la négociation inhérente à la vie de couple.
• Les taux de suicides augmentent de façon alarmante chez les hommes et les adolescents.
• La violence conjugale devient une véritable épidémie.
La définition et le sens de la paternité sont recherchés en fonction de systèmes normatifs, théoriques ou comportementaux idéaux, comme si le vécu du père, son agir, ses perceptions étaient insuf-fisants pour décrire la paternité. On a tellement décrié le «patriar-cat» et le paternalisme que les pères ne se sentent plus adéquats.
De plus en plus d'experts considèrent que le rôle principal d'un père auprès de ses enfants en est un de socialisation. Comme exprimé par un membre de GEPSE :
« Il revient au père de briser cet état de fusion qui unit la mère et l'enfant en bas âge, pour ouvrir le monde à son enfant, pour lui faire prendre conscience qu'il aura à coopérer et à collaborer avec ses semblables dans l'édifi-cation de la société, et qu'il lui faut maintenant cesser de voir ce monde extérieur comme un ennemi qui viendrait troubler la quiétude douillette de cet utérus virtuel où baignent la mère et son enfant. »
Pour paraphraser Jacques Languirand qui disait, lors du premier forum québécois sur la condition masculine, que « le féminisme et le mouvement des femmes avaient transformé l'humanité», c'est, j'espère, le mouvement des hommes/pères qui sera le changement le plus important que l'humanité vivra au cours du XXIe siècle.
Les enfants qui manquent de pères finissent par manquer de re-pères."
"M. leclercq, aujourd'hui sous couvert de liberté et de démocratie libérale, les gens font ce qu'ils veulent y compris des choses capables de porter atteinte à l'intégrité d'autrui : attentat à la pudeur, alcoolisme par excès ... Ca touche autant les jeunes que les moins jeunes. Forcément les gosses ne vont surement pas s'en priver. C'est nous adultes qui montront l'exemple aux plus jeunes. "
c'est d'abord d'un pére qui joue son rôle qu'ils onts besoin avant d'exemple.
ces jeunes sonts maternés sans vrai autorité.
"attentat à la pudeur, alcoolisme par excès ..." ces comportements sonts en minorité dans les familles citées dans le lien, et l'alcoolisme des jeunes n'est pas un alcoolisme d'imitation des parents
"les garçons élevés par des pères trop doux, trop culpabilisés, vont-ils eux aussi devenir plus violents?"
Violent n’est pas le mot juste, disons qu’ils vont souvent devenir plus « dominateurs »
Ils vivent en général très mal une domination maternelle et un père qui ne s’affirme pas dans le couple parental.
Le parfait équilibre entre l’influence paternelle et maternelle est très difficile à trouver.
Je dirais que la mère naturellement « protectrice » a tendance à garder l’enfant tout près d’elle et que c’est au père d’accompagner l’enfant dans sa conquête de l’indépendance : apprentissage de la marche, de la nage, du vélo…etc…etc….
(Faut-il encore que la mère le laisse faire.)
Le tout premier geste symbolique pour moi dans ce sens est la section du cordon ombilical par le père (mais ça n’engage que moi.)
Ensuite, il faut qu’il rentre immédiatement dans la danse sans attendre..Biberons, bain, soins, promenades en poussette, y compris seul avec bébé…
Ça évite l’installation d’une relation fusionnelle mère enfant qui tend à exclure le père d’une part et à étouffer « l’épouse amante », d’autre part et qui entraine des problèmes de couple.
"Voulez-vous dire que c'est délibéré?"
Je dirais qu’il y a une surenchère, les ados provoquent mais ne supportent pas qu’on leur cherche des excuses constamment et encore moins qu’on tente de rejeter la faute sur leur copains /ines .
De ce fait, une bêtise injustement excusée par les parents en entraine généralement une autre plus grave comme si ces ados attendaient d’être officiellement reconnus « casse couille qui mérite bien sa punition, tu l’as pas volée celle là » et, quand ça n’a pas suffit pour obtenir ce qu’ils attendent, ils augmentent la dose.
Ils ont beau râler, Ils n’aiment pas du tout les « parents potes ».
Et certaines mères font l’erreur de vouloir être la meilleure copine de leur fille, la confidente à qui elle dira tout (en fait juste histoire de satisfaire leur curiosité et d’être sure qu’elles ne vont rien louper de la vie de leur fille)….
C'est quand même plus normal de laisser la place à une vraie copine, non ???
"La définition et le sens de la paternité sont recherchés en fonction de systèmes normatifs, théoriques ou comportementaux idéaux, comme si le vécu du père, son agir, ses perceptions étaient insuf-fisants pour décrire la paternité. On a tellement décrié le «patriar-cat» et le paternalisme que les pères ne se sentent plus adéquats."
J'ai d'aileurs bien souvent entendu décrié le paternalisme et le patriarcat a tué depuis des millénaires. Evidemment ce sont les féministes qui pensent celà. Y a qu'à jeter un coup d'oeil dans la blogosphère féministe pour confirmer ce que je dis.
"Ensuite, il faut qu’il rentre immédiatement dans la danse sans attendre..Biberons, bain, soins, promenades en poussette, y compris seul avec bébé…
Ça évite l’installation d’une relation fusionnelle mère enfant qui tend à exclure le père d’une part et à étouffer « l’épouse amante », d’autre part et qui entraine des problèmes de couple."
Oui enfin faut pas non plus que ce soit systématiquement l'homme qui le fasse car ce n'est naturellement pas son rôle d'une part et d'autre il s'en occupe uniquement si la femme est malade ou autre. Ce que vous ne semblez pas comprendre les femmes de cette nouvelle société est que le foyer et les gosses appartiennent à deux personnes un homme et une femme et que ce n'est pas parce que le patriarcat veut que ce soit la femme qui prend ce rôle qu'il faut l'imposer derechef aux hommes. Pour moi c'est la femme qui doit s'occuper des gosses pendant que Monsieur fasse le ménage à sa place par exemple. Fin bon un homme qui s'occupe trop de ses gosses se féminise
Chez les Papous et chez les autres primitifs qui vivent encore à notre époque actuelle… où les hommes vont à la chasse, baskets aux pieds… avec leurs « Sarbacane » à fléchettes empoisonnées et/ou leurs Arc primitifs… et où les femmes s’occupent des enfants, et de préparer les repas,… et bien, l’on peut dire que ni les hommes ni les femmes ne sont maltraités, ni battus ! Ils vivent bien autrement que nous, les civilisés, alors qu’eux sont considérés comme étant de purs primitifs… vivant un peu comme les Homo Sapiens d’il y a 200.000 ans !
Pas fier d’être dans cette époque moderne, en 2011, où l’on doit fait gaffe à notre vocabulaire et à nos mains… pour ne pas être condamné en tant que violent conjugal… ou en tant qu’agresseur sexuel sur des enfants… ou sur des femmes… Bref, il faut faire gaffe pour ne pas être condamné en tant que coupable ou en tant comme innocent !!!
Un « Monde » fou de détraqués psychiatriques ! Ça oui !
@Will
Je suis bien d'accord avec vous, c'est nous les primitifs en fait qui ne sommes pas capables de nous comporter de façon civilisé envers son prochain. Il n' y a pas non plus d'agression entre ces gens là j'imagine, ni même de maltraitance.
Foutu modernisme tu l'as dit !