Violences féminines : malaise dans le genre.
Un récent rapport accuse la virilité masculine. Elle coûterait plus de 9 milliards de francs à la Suisse, 100 milliards d’euros à la France. Ce chiffre est le résultat d’un calcul compliqué.
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Violences féminines : malaise dans le genre.
Un récent rapport accuse la virilité masculine. Elle coûterait plus de 9 milliards de francs à la Suisse, 100 milliards d’euros à la France. Ce chiffre est le résultat d’un calcul compliqué.
Les enquêteurs sont sous le choc. Dans une récente enquête, « Un homme en couple sur cinq confie avoir été victime d’une forme de violence conjugale, depuis le début de la pandémie. »
Le Grenelle des violences conjugales s’annonce fou, fou, fou! Première folie: la généralisation. Dans la presse écrite, sur les plateaux de télé, tout le monde dit: les femmes. Pas des femmes, mais les femmes, donc toutes les femmes.
S’il y a un phare, c’est peut-être une île. Une île symbolique. Un endroit où ils pourraient venir en sécurité, se poser, parler. Parler de ces choses étranges qu’on ne dit pas facilement. Eux-mêmes n’osent y croire tellement cela semble contraire à la nature: pourquoi d’autres les croiraient?
L’article de la Tribune paru sous la plume de Sophie Roselli commence par ce gros titre. J’y rajoute le «Vraiment?» Parce que ce titre alarmiste mérite d’être disséqué. D’abord d’où vient ce chiffre? D’une étude réalisée par un criminologue, Martin Killias. Etude dont je n’ai pas trouvé le détail ni la méthode. Je me baserai ici sur les éléments apportés par le quotidien genevois et sur une autre étude de 2012-2013.
Un article d’Amnesty Suisse pose enfin crûment la réalité. Sa branche belge, et dans une mesure sa branche française sont absorbées par des féministes misandres. L’article que je mentionne ci-dessous montre à quoi ressemble la réalité quand elle n’est plus contaminée par le féminisme.
La vidéo en fin de billet est un choc. Elle illustre pourquoi, à l’heure actuelle, les hommes ont perdu la bataille. La bataille médiatique est perdue. La bataille politique également. Le décervelage bat son plein. Les hommes sont mis à genoux. Absents du discours social en tant que victimes de violence. Le stéréotype est installé.
J’ai parlé il y a quelques temps de la seule conférence sur les hommes, en l’occurrence les hommes battus, dans le cadre de la quinzaine de l’égalité Rhône-Alpes. J’avais mentionné comment le groupe organisateur avait été boycotté dans le programme alors même qu’il avait été accepté et même petitement subventionné dans cette manifestation organisée par des élus régionaux.
Bon sang! Voilà qui va encore mettre à mal le stéréotype mâle. La domination masculine descend un peu plus du piédestal où la Féminista l’avait déposée. Horreur! Malheur! Pas lui! Pas James Bond. Et bien si: lui, James Bond, homme battu. Selon ses propres dires - et il faut garder avec les hommes la même circonspection qu’avec les femmes: tant que rien n’est démontré on n’en sait rien. Mais après tout on donne bien la parole à Sandrine Salerno. Pourquoi pas à James Bond?
En suite au débat sur mon billet d’hier, je reviens sur le compte-rendu d’un colloque parisien sur la violence conjugale. Colloque organisé entre autres par Solidarité femmes et soutenu par la Mairie de Paris et d’autres organismes.
L’association SOS Hommes Battus est spécialisée dans l’aide aux hommes victimes de violences conjugale. C’est un thème difficile car il ne s’inscrit pas dans le discours officiel. Il est soit dénié, soit minimisé. Les groupements d’aides aux femmes battues, relayées par des politiciens, admettent 2% d’hommes battus et 98% de femmes battues comme répartition des victimes de la violence conjugale.
Quelle pitié! Comment le gouvernement Fillion peut-il en arriver là? Comment peut-il s’étaler dans la démagogie comme un cochon dans la boue? Il n’y a plus aucune dignité dans ce conglomérat de ministres angoissés. Et l’angoissée en chef est Roselyne Bachelot.
De nombreuses féministes affirment haut et fort que la répartition de la violence conjugale est de 95% de femmes victimes pour 5% d’hommes. Depuis des années des hommes démentent et dénoncent ces chiffres, en citant entre autre les enquêtes très fouillées faites au Canada.
Cela commence comme une rumeur, née vers 1980 au Québec dans l’esprit d’une féministe canadienne, Linda McLeod. A l’époque elle avait sorti, un peu par hasard, sans étude ou enquête sérieuse, qu’une femme sur 10 au Québec subirait de la violence de la part de son conjoint.
La Tribune de Genève se fend d’un article sur un homme battu, sous la plume de Shaymaa Gabr. Fort bien. Parler de l’homme battu devient donc tendance. Oui, c’est bien en société. Les femmes battues ont saturé les médias, les campagnes ont peu d’effet, la culture du morbide a pris le dessus sur la défense des vraies victimes. Alors parler d’un homme battu est tellement incroyable que cela vous fait briller en société.