Mon précédent billet fait référence à certains slogans vus ou entendus lors des manifestations en faveur du mariage homosexuel. J’y soulève la connivence entre ces slogans, la misandrie développée dans notre société et les milieux lesbiens en particulier. Le député genevois Didier Bonny pense que mes propos sont déplacés. Je vais donc préciser ma position et creuser la tranchée.
Il y a quelques années j’ai ouvert les yeux sur la réalité du féminisme. J’avais longtemps soutenu le féminisme réformiste parce que je préférais la liberté - pour les hommes et les femmes - à l’enfermement dans un rôle définitif. Cette vitrine libertaire du féminisme recelait une autre intention mais j'étais trop hypnotisé et peu connaisseur de l'Histoire pour soutenir un discours critique.
Je confirme ma critique argumentée: le féminisme, initialement libérateur et légitime, est devenu une entreprise misandre. Parmi les courants qui s’en sont accaparés la communauté lesbienne américaine tient une place très forte. Elle a amalgamé défense des femmes et défense de l’homosexualité, le dénominateur étant la lutte des genres qui remplace la lutte des classes défaillante. Ce discours existe réellement aujourd’hui comme il a existé il y a 40 ans.
Exemple du questionnement induit par le féminisme politique:
«Est-il possible d'abolir la domination patriarcale à l'intérieur du système capitaliste fait d'inégalités?»
La domination patriarcale est un mythe marxiste-féministe destiné à présenter globalement les hommes comme des abuseurs de femmes.
Et encore:
«Pourtant, la lutte des sexes demeure un facteur invariable de la lutte des classes, et inversement.»
«La classe des femmes existe dans la mesure où existe une très nette division sexuelle du travail, qui exige des unes qu’elles réalisent le travail de reproduction sociale et qui en exempte les membres de la classe des hommes.»
Ici, le discours édifiant de la féministe lesbienne américaine Andrea Dworkin, dont le discours qui influence fortement le féminisme tend à assimiler les mâles à de simples animaux:
«... l’emploi récurrent de « mâle » comme adjectif à la place de « masculin », qui s’ajoute à l’emploi de « mâle » comme substantif. Ainsi dans « La pornographie », « mâle » est employé à dix-huit reprises. Exemples : « vengeance mâle », « contrôle mâle », « intellectuels mâles », etc. Il s’agit évidemment d’imprimer l’idée selon laquelle les hommes relèvent de l’animalité (avec ce que cela connote : absence de sentiment, de contrôle, dangerosité,etc.) et non de l’humanité.»
A lire en entier sur cette page.
Ces propos et pire abondent dans la littérature féministe. Ce féminisme-là a également produit la théorie du gender, qui indifférencialise les sexes et prétend donc parler des hommes à leur place et leur assigner une réalité culturelle qu’ils n’ont pas décidée. Il sert aussi à indifférencier la place des pères. Cela dure depuis des années: le père n’a pas d’importance réelle pour le féminisme. Et puisqu’il est homme il est dangereux et nuisible. Le gender est intimement allié au mythe misandre de la domination masculine, cette falsification de l’histoire dont le but est de présenter des femmes comme universellement victimes et esclaves et donc de justifier la fabrication d’un mâle mauvais et la déconstruction du masculin.
Je rappelle un des slogans peints sur les seins des Femens: «In gay we trust». Les Femen dont le site est orné, rappelons-le, d’une superbe femme aux seins nus tenant dans sa main comme un trophée des testicules arrachées.
On est loin de quelques cas isolés. Il s’agit d’une pensée collective contre les hommes. Le discours est clair et ne pas le voir c’est se mettre la tête dans le sable. J’affirme que le féminisme politique, longtemps caché derrière le féminisme réformateur, a pris le pouvoir et développe une stratégie anti-homme à une échelle de plus en plus large. Ce féminisme est fortement influencé par le mouvement lesbien américain.
Je pose ouvertement l’hypothèse que l’orientation sexuelle des lesbiennes américaines est une des causes de leur idéologie misandre. On ne peut faire l'économie de la part personnelle ou communautaire. Cela s’explique par les violences subies dans le passé ou encore aujourd’hui par les homosexuels: peine de mort dans certains pays, discrimination sociale, chambres à gaz sous le régime nazi, agressions physiques et verbales, entre autres. C’est insupportable et inacceptable. Il est fréquent que la différence interpelle ou dérange. Il n’est pas normal qu’elle justifie le crime. Pour autant la misandrie développée est prémisse d’un climat social se péjorant.
Cela doit être dit et démonté. Il n’y a pas de raison de s’interdire un discours critique. La critique est légitime, qu’il s’agisse des politiques, des hétérosexuels, des homosexuels, et le politiquement correct actuel ne saurait faire loi.
Je dis que pour se protéger durablement de tout ostracisme ultérieur, les lesbiennes américaines se servent du féminisme et ont planifié l’égalisation totale des genres et des sexes. Elles prennent les femmes en otage et attisent un esprit de revanche sur les hommes. Elles encouragent tout ce qui peut porter atteinte à l’homme blanc hétérosexuel, épouvantail moderne qui sert à faire passer tous les autres pour des victimes méritant une contre-discrimination.
Vu sous cet angle les slogans anti-pères entendus vus pendant la manifestation pro mariage gay, et qui semblent trouver de l'écho au point où l'on peut presque parler d'hétérophobie, et le féminisme lesbien participent bien à une stratégie d’ensemble visant à détruire les pères, entre autres. Il s’agit d’un lavage de cerveau qui doit être impérativement critiqué.
Commentaires
Pour témoignage véridique, une de mes sœurs devenue lesbienne, elle avait 13 ans à l'époque, m'avait sorti quand j'avais 8 ans que j'étais un misogyne. Je te jure, c'est vrai. La vache, à l'époque, tout môme que j'étais, ça m'avais estomaqué. Putain, dire à un gosse de 8 ans qu'il est misogyne, par sa sœur de 13 ans, mais c'est incroyable ce que le discours des adultes peut pourrir une enfance.
En plus j'étais le petit dernier d'une famille de 5 enfants, avec 4 soeurs.
Je persiste et signe: vos propos dans votre billet précédent étaient déplacés, c'est-à-dire, comme le mot le sous-entend, qu'ils n'étaient pas à leur place: faire un amalgame entre mariage gay et attaque contre les hommes était de mon point de vue pour le moins douteux.
Pour témoignage véridique, une de mes sœurs devenue lesbienne, elle avait 13 ans à l'époque, m'avait sorti quand j'avais 8 ans que j'étais un misogyne. Je te jure, c'est vrai. La vache, à l'époque, tout môme que j'étais, ça m'avais estomaqué. Putain, dire à un gosse de 8 ans qu'il est misogyne, par sa sœur de 13 ans, mais c'est incroyable ce que le discours des adultes peut pourrir une enfance.
En plus j'étais le petit dernier d'une famille de 5 enfants, avec 4 sœurs. et je peux te garantir qu'elles me l'ont fait payer d'être le mâle unique de la fratrie. Elles m'ont traité de tout, d'être homo, comme si c'était mal, alors que je suis un hétéro complet et pas trop mal burné, donc à côté de la plaque, d'être un profiteur et j'en passe et des meilleures, d'être une feignasse, c'est sûr que d'être fustigé ne motive pas. Bref, je n'ai plus de contacts avec elles, je m'en fout, la page est tournée. La dernière fois que j'ai rencontré une de mes sœurs, elle a voulu m'apprendre comment "communiquer" selon la méthode Jacques Salomé. Alors là, je lui ai dit dégage et ne me gonfle pas trop longtemps avec tes procédures disciplinaires de communication à la con.
HL, il ne vous reste qu'une solution avec cette obsession concernant l'arrachage de vos boules : Le slip en titane... Ou en cherchant, vous devriez en trouver en Kevlar! Nous ne pouvons vous dire lequel est le plus efficace...
Bien à vous
Il y a quand même quelque chose qui m'interpelle chez les Femen : comment se fait il qu'elles ne s'attaquent qu'à l'église orthodoxe ou catholique ?
Vous les avez déjà vu faire leur cirque dans une mosquée ?
Je n'en ai pas souvenir.il me semble pourtant que certaines religions sont bien plus stigmatisantes concernant la liberté des femmes.
Concernant la suite du mariage pour tous , j'attends de voir quelle sera la position des féministes lorsqu'on abordera la question de la gestation pour autrui : marchandisation du corps de la femme ?
Car il va bien falloir trouver un système égalitaire jusqu'au bout : si les couples de femmes ont le droit à l'insémination artificielle et la FIV, les couples d'hommes doivent pouvoir avoir accès à la GPA.
Je passe la question du remboursement par la sécurité sociale d'un acte qui ne sera même pas du à un problème médical d'infertilité mais à une incapacité physiologique naturelle.....ça mérite débat il me semble.
Euh non....Misère, je deviens facho là...Je me questionne trop.
Il est important de mentionner que le contexte social des années 60 était par beaucoup différent de celui d'aujourd'hui et par conséquent... Les opinions des féministes radicaux sont, je n'irais pas jusqu'à dire qu'elles sont justifiable, mais du moins compréhensible... Le problème réside plutôt dans le fait qu'elles occupent la place de quasi idole pour les féministes actuels qui en viennent à indifférencier notre époque de la leur... En tout cas c'est mon impression.
Et je peux vous confirmer pour l'avoir vu plusieurs fois a différents endroits, les féministes radicaux raffolent des références à d'autres féministes (idolatré), mais aussi des points de vue de nombreux sociologues, politologues, etc. qui possèdent toutes la particularité étonnante d'être eux-même féministe et qui font de grandes démonstrations du patriarcat non pas sous la bannière du féminisme, mais bien sous celle de leur domaine respectif... Ainsi, le féminisme se justifie de lui-même... Les groupes féministes rapportent des taux de viols effarent... De 80 fois supérieur a ceux des gendarmes... Bientôt, elles prétendront que deux femmes sur trois sera violé dans sa vie (pour l'instant, on est a 1 sur 3, parfois 1 sur 2...). Mais personne ne semble voir un conflit d'intérêt du fait que ses ''grandes études'' de société soi-disant neutre sont toutes menées par des groupes féministes... ?
Ah oui et sans compter l'édifiant terme de ''mansplaining'' qui n'a rien a envier en terme de sexisme à ceux utiliser par Dworkin pour extraire le caractère animale, arriéré, de l'homme...
Allez voir ce lien... Je vous laisse juger...
http://cafaitgenre.org/2012/07/14/bingo-feministe-et-mansplaining/
Désolée, je ne suis pas convaincue.
Il est fort possible qu'un certain nombre de lesbiennes soient misandres (un certain nombre d'entre elles sont peut-être racistes aussi), mais je ne vois pas en quoi cela contredit mon argument, qui était que vous ne pouvez pas surinterpréter ainsi les panneaux d'une manifestation.
Il y a des extrémistes dans tous les groupes. Du côté des anti-mariage gay, on trouve des groupuscules comme Civitas. Un groupe catholique extrémiste nommé "les Intransigeants" revendique sur son site que "la place des sodomites est au bûcher" [sic]. Peut-on pour autant prétendre que les personnes qui brandissaient un panneau "stop à l'homofolie" lors de la "manif pour tous" partagent ce point de vue? Certains le font, mais pour ma part (et je pense que vous approuverez), j'estime qu'il s'agirait d'un amalgame douteux.
Exactement comme votre amalgame entre les participant(es?) à cette manifestation pour le mariage gay et des extrémistes féministes américaines est totalement absurde.
Vous avez dénoncé à plusieurs reprises la stratégie qui consiste à "étiqueter" tous les opposants au mariage gay comme "homophobe", et vous employez exactement la même stratégie en désignant les participants de cette manifestation comme "misandre".
C'est pire que ce que je pensais :
http://www.lefigaro.fr/politique/2013/01/29/01002-20130129ARTFIG00691-taubira-ouvre-la-voie-a-la-gestation-pour-autrui.php
Utilisez les ventres étrangers, on vous fera des facilités.
Bonjour hommelibre...
Jacques a dit:-)
http://leschroniquesderorschach.blogspot.ch/2013/01/vers-lhumanite-unisexe-quand-jacques.html
@ Patricia
"Il y a quand même quelque chose qui m'interpelle chez les Femen : comment se fait il qu'elles ne s'attaquent qu'à l'église orthodoxe ou catholique ? "
Vous les avez déjà vu faire leur cirque dans une mosquées
elles s'attaquent qu'a ceux où elles savent que physiquement elles ne risquent physiquement rien comme les féministes.
Un article ?
http://www.20min.ch/ro/multimedia/stories/story/Une-application-incite-a-dresser-son-mec-30860177
Patoucha,
Comment faut-il comprendre votre phrase :
a) Faut-il être moche pour devenir ou être lesbienne?
b) Ou bien est-il moche d'être lesbienne ?
c) En étant lesbienne, devient-on automatiquement moche ?
d) Comment reconnaître une lesbienne dans une foule, parmi toutes les moches ?
e) En tant que moche, faut-il réfléchir à son orientation sexuelle ?
f) Comment être sûre d'être assez moche pour abandonner tout espoir d'hétéro-sexualité?
Attention, il existe malgré votre idée, une tendance à l'esthétisation des femmes lesbiennes :
Dans les séries-tv américaines, elles sont presque toujours hyper-belles (p.ex. dans The Good Wife ou Grey's Anatomy).
Peut-on penser qu'il s'agit d'un complot cherchant à déguiser la réalité et à faire passer le lesbianisme pour une orientation qui ne serait pas due à un défaut chez la femme ?
D'autre part, il est de notoriété publique que le saphisme est considéré comme très bankable au niveau de la pornographie grand-public (qui s'adresse donc également aux hommes).
Doit-on penser que personne n'est dupe et que tout le monde fait semblant d'apprécier le spectacle et paye pour ça, mais trouve ça au fond assez moche ?
Je crois que le mot "toutes" dans votre phrase est soit de trop ou alors de pas assez, parce qu'on ne comprend pas très bien le pourquoi du comment. ;-)))
Patoucha, il y a des lesbiennes tellement belles ... mon D_u !
Peut être que ce qu'on reproche aux lesbiennes, c'est que c'est foutu pour les hommes hétéros.
Bonsoir John, je suis de passage pour vous signaler que le commentaire signé Patoucha n'est pas de moi mais de l'usurpateur. l'IP le confirmera.
Ben Victor Winteregg, est-ce dans mes habitudes ce genre de commentaire débile? :)
@Patricia :) Je me demandais où vous étiez passée? J'espère que vous allez bien et en profite pour vous faire mes meilleurs voeux pour cette année 2013.
Bonne soirée
@Patoucha :
Gagné !
J'étais persuadée que ce comm n'était pas de vous.
Je me suis absentée pour une raison de santé. Je suis en soins actuellement.
Je vous souhaite également une très bonne année 2013 !
"Comment faut-il comprendre votre phrase:"
De la même manière que je l'ai comprise, Calendula, soit: qu'elle n'est pas de moi mais de l'usurpateur débile qui fait une fixation sur Patoucha. Mais ce qui est étonnant c'est qu'une phrase aussi idiote puisse susciter ne serait-ce qu'un seul commentaire....
"Dans les séries-tv américaines, elles sont presque toujours hyper-belles (p.ex. dans The Good Wife ou Grey's Anatomy)."
Désolée, mais je préfère regarder Castle. Ceci-dit, pour vous donner quand même mon avis :)
Bonne journée.
à Patoucha,
Ok, message reçu.
Je crois que pour finir, ma série préférée reste "New York, police judiciaire" car les scénarios sont totalement imprévisibles, comme l'est souvent la vraie vie.
Patricia je vous souhaite de bien vous rétablir, ainsi qu'une bonne année histoire de vous titiller encore d'avantage le moment venu!
Bonsoir, juste avant de quitter car j'ai passé un moment à lire les élucubrations de Géo dans le billet: "Bergier, on a donné, merci !
Patricia: "Je me suis absentée pour une raison de santé. Je suis en soins actuellement."
Cela m'a traversé l'esprit d'où mon " J'espère que vous allez bien". J'ai même pensé demander de vos nouvelles à John. Vous avez la vie longue Patricia :) car vous voilà de retour. J'aurais dû penser à vous avant.... :)
A mon tour de vous remercier pour vos souhaits. Et surtout soignez-vous, car la santé est le bien le plus précieux.
Calendula, j'aime bien aussi cette série. Castle, que je recommande aussi à Patricia, c'est vraiment autre chose! Il passe sur Fr2 tous les lundis - trois épisodes - à ne pas rater. Vous me direz ce que vous en pensez. Mais bon, je suis une fan :)
pli: "Peut être que ce qu'on reproche aux lesbiennes,.."
On peut aussi leur reprocher de s'attaquer à des toutes jeunes filles et à des femmes qui ne leur ont rien demandé. Elles ont une approche bien plus insistante que les hommes.
Bonne soirée à vous. Moi, je jette l'éponge.. pour ce soir.
@ Laura:
Je ne dis pas que tous les participants à cette manif sont misandres. Je dis qu'il se véhicule dans ce débat une idéologie misandre (et hétérophobe) et que cette idéologie est largement soutenue par le féminisme politique lesbien, source majeure du féminisme radical. Les panneaux, la virulence des propos de Virginie Despentes, entre autres, véhiculent et révèlent cette misandrie.
Je ne dis pas non plus que toutes les lesbiennes sont misandres. Je parle du lesbianisme féministe américain dont Andrea Dworkin est un leader et un modèle de "pensée".
@ Victor:
Je découvre cette application. Bigre. Imaginez l'inverse: un jeu avec un homme qui "dresse" sa copine. L'action Apple chuterait de moitié en une semaine. On est en pleine dissymétrie, sous prétexte d'égalité.
@ Absolom:
Comme le dit Calendula, la vraie vie est heureusement plus imprévisible!
Oui...bien sûr...
Parfois je glisse tel ou tel lien, histoire de rigoler un peu...:-))
Je reste néanmoins persuadé que certains rêvent d'une "organisation" telle qu'imaginée par M. Attali...et d'autres bien avant lui.
HL : c'est une horreur ce féminisme là. Vous avez raison, je pense comme vous qu'une forme de misandrie existe bel et bien dans ces mouvements lesbiens qui rabaissent l'homme de manière systématique. Chose que je ne comprends pas bien par ailleurs quand on sait que souvent, excusez moi d'avance mon langage imagé cru, elles ont recours à des ceintures avec pénis pour pouvoir se donner du plaisir sexuel, et que sont-donc les vibromasseurs, s'ils ne représentent pas le sexe de l'homme en érection? bon je précise que toutes les lesbiennes ne sont pas aussi haineuses envers les hommes heureusement mais vous avez raison cela existe et ces nanas me donnent la nausée.
@ pli
"La dernière fois que j'ai rencontré une de mes sœurs, elle a voulu m'apprendre comment "communiquer" selon la méthode Jacques Salomé. Alors là, je lui ai dit dégage et ne me gonfle pas trop longtemps avec tes procédures disciplinaires de communication à la con."
AH AH AH! bien joué! joli témoignage.
Si tu me lis, par curiosité quand tu dis qu'elles ont affirmé que tu étais homo, alors que tu es un "hétéro complet et pas trop mal burné", ne t'auraient-elles pas fait le coup du "ne soit pas si viril, laisses aller ton coté féminin, sinon ça veut dire que tu refoules et que tu es homo"? C'est un grand classique, la virilophobie chez les féministes, et désormais dans l'ensemble de la société. C'est ça la tolérance?
Ce billet qui coule sous le sens est terrifiant d'évidences... dire qu'à notre époque il est révolutionnaire !
Je découvre votre blog, je prendrai le temps de le découvrir.
Peut-être à bientôt.
Dans ce combat, car c'en est un, de l'homosexualité contre "les autres, les méchants", qui gagnera? A la longue, les homos, car ils sont plus motivés et solidaires. Mais après, au sein même des homos dominants, les hommes ou les femmes? Les femmes, bien sûr, car ce sont les plus hargneuses. Et quand le monde ne sera plus composé que de femmes homos, qui gagnera? Les femmes dominantes, bien sûr, et opprimeront une multitude de femmes dominées... Ainsi va le monde. Au fait, les femmes homos, se nomment lesbiennes, voire saphistes, deux termes élégants, mais les hommes? Homo? Non, c'est le diminutif d'un adjectif ; gay? Non, c'est un simple adjectif US que revendiquent les lesbiennes. Sodomites? Pas très élégant... Alors? Pas de nom précis. Même chez les homos, les hommes se font avoir.