Arrêt sur image : #SheToo ou le sexisme invisible dans le foot.
Invisible et pourtant sous nos yeux. Invisible parce que trop admis comme naturel. Habillé de bonnes intentions il n’en prolonge pas moins un stéréotype aussi désagréable qu’injuste.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Arrêt sur image : #SheToo ou le sexisme invisible dans le foot.
Invisible et pourtant sous nos yeux. Invisible parce que trop admis comme naturel. Habillé de bonnes intentions il n’en prolonge pas moins un stéréotype aussi désagréable qu’injuste.
L’auteuse pensait-elle au Grand Meaulnes? Vous savez, le héros du livre d’Alain-Fournier. Un livre culte vendu à plus de quatre millions d’exemplaire depuis sa sortie en 1913. Une histoire d’amitié forte, de loyauté, et d’un amour fou, beau et dramatique.
Petite polémique sur le comportement d’un candidat de l’émission de M6. Vincent (image 1, © M6 & Cécile Rogue), bel homme de 40 ans, éducateur équestre, a rompu avec Natacha, 26 ans, après avoir couché avec elle.
Si en 2008 l’élection de Barak Obama m’avait enthousiasmé, certaines de ses décisions politiques m’avaient ensuite douché. En particulier les mesures sexistes qu’il avait imposé aux universités.
Cette petite phrase discrète fait mal. Ou mâle. Les tenancières du langage inclusif subissent un camouflet. Je publie ci-dessous l’infographie qui accompagne l’article qui a inspiré mon précédent billet. Ce graphe illustre, en pourcentage, l’exposition des femmes au risque du Covid-19.
Ce livre vient à point pour combler une lacune. On parle beaucoup de sexisme, on le dénonce, avec raison mais aussi avec exagération. Et surtout avec omission: on ne parle presque jamais du deuxième sexisme.
L’ouverture du Salon de l’auto de Genève n’y est pour rien: aujourd’hui c’est la Fiat 500 S « Bad boys » qui passe au tamis à cause d’une pub jugée sexiste. Pour cette info j’ai choisi le site femmes du Maroc, qui dit les mêmes âneries que les sites féministes européens.
Des femmes et des hommes expriment leur incompréhension, leur désaccord ou leur colère suite au visionnement du clip de la marque. Parfois aussi leur accord. Je propose un petit florilège de ces réactions.
Des milliers d’hommes ont déjà jeté leur rasoir. Internet bouillonne suite au clip sexiste de la marque Gillette. Un clip carrément méchant, sorte de prolongement de MeToo en vue d’éduquer les mâles vers le Bien.
Le Tribunal de l’opinion a rendu sa sentence: Moix est crucifié. Ses déclarations sur les femmes de 50 ans et sa préférence pour les femmes jeunes et de type asiatique valaient-elles tant d’infamie? Pas sûr.
Le sexisme est un des derniers espaces d’humour. Je l’écris vite avant d’être voué aux gémonies de l’armée des 1000 singes. Car la société « hygiéniste » en cours d’instauration reprend un des codes du passé: ignorer ou faire taire les voix originales ou simplement différentes.
Le parti socialiste genevois n’applique pas à lui-même sa propre règle idéologique. En l’occurrence, la parité femmes-hommes, soit l’égalité numérique dans les représentations politiques. À gauche ce fut pourtant un cheval de bataille. Les règles de la parité devaient permettre de renforcer la représentation féminine dans les assemblées.
Aujourd’hui je propose de suivre un fil. Ce fil débute le 28 juillet 2015 et s’achève temporairement le 3 octobre 2017. On y trouve mélangés des juifs envahisseurs, des islamistes forcément martyrs, et l’habituel féminisme bardé de slogans pavloviens.
Le débat d’Infrarouge ce soir à 22h30 environ traite du thème du sexisme. J’y participe comme invité. Le terme sexisme est en général associé à misogynie, soit aux discriminations de genre au détriment des femmes.
« Paillasson, martyre, jetée en pâture ». Ou encore, qui pour parler à la place de la dame supposément réduite au silence: « N’importe quelle voix issue d’une bouche appartenant à un corps couillu. Celle d’un chien aurait fait l’affaire... » Le corps couillu étant bien sûr celui d’un « mâle ».
J’ai lu hier plusieurs médias qualifiant le 8 mars de « Fête des femmes ». Une fête? Ce serait formidable! Fêter les femmes, comme on fête les mères, les pères, les grands-mères.
«Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés», écrit La Fontaine dans Les animaux malades de la peste. On peut dire de même lors d’attentats terroristes. La terreur complète les armes. Cela figure dans la sourate 59 verset 2 du coran, verset mentionné dans le communiqué publié par Daech:
Un rapport annuel de l’Unesco dit que dans le monde, 12% des filles n’ont pas accès à l’école primaire. Pour le secondaire cela monte à 16%. L’image 1 montre la différence de taux de scolarisation entre les garçons et les filles (cliquer pour agrandir).
Éloïse Bouton s’est enfin décidée à parler.
Mon billet de novembre 2012 avait déclenché une grosse polémique. Pas moins de 176 commentaires, certains soutenant l’hypothèse, d’autres condamnant ou contestant le risque pris par mes propos et l’absence de preuve formelle. Dont une féministe universitaire dans un discours ne faisant pas honneur intellectuellement à l’Université.
- Mais non!
- Mais si!
- Tu exagères.
- Du tout.
- Je ne te crois pas.
- Je m’en fiche.