Genève est-elle un paradis pour les femmes? Si l’on compare les chiffres des agressions subies par les femmes avec les projections mondiales de l’OMS, le territoire genevois est un havre de paix. Comme toute la Suisse d’ailleurs. Examinons cela.
Les chiffres à Genève invalident l’OMS
Si l’on croit les chiffres du récent rapport de l’OMS sur la violence faite aux femmes, une femme sur 3 dans le monde subira une violence physique ou sexuelle dans sa vie. Un tiers des femmes! Pour l’Europe ce ne seraient «que» 27% des femmes qui seraient victimes.
Comment une telle projection est-elle possible? Voici quelques éléments pour éclairer le débat et tenter de vérifier cette affirmation alarmiste.
La République genevoise compte 470’000 habitants. Soit environ 235’000 femmes pour faire simple. Les statistiques policières comptabilisent, en 2011, 102 délits de violence grave, victimes femmes et hommes confondues. Dans ce groupe on trouve les homicides ou tentatives d’homicides et les viols ou tentatives de viols, ainsi que les agressions causant des lésions graves.
Il s’agit des Statistiques policières, non de jugements démontrant les faits. Prenons cependant les chiffres des viols et tentatives de viols (ge_cp_2012_07_criminalite.pdf), et supposons qu’il n’y ait aucune fausse accusation par vengeance, vénalité ou maladie psychiatrique. Seules les femmes possiblement victimes sont comptabilisées puisque la loi suisse ne reconnaît pas de viol sur un homme. Selon la police il y a eu 35 viols ou tentatives en 2011. Aux procès environ 50% des accusés sont acquittés. Il reste 18 viols ou tentatives pour une année (un autre rapport indique 9 viols et 11 contraintes sexuelles dénoncés à la police en 2011). Cela fait 0,0077% de la population féminine tous âges confondus. Considérant que l’espérance de vie moyenne d’une femme à Genève est de 86 ans, il faut multiplier le pourcentage annuel par 86 ans pour voir quel pourcentage de femmes risque un viol durant sa vie. Le résultat est de 0,66%. Et ceci n’est pas une prévision, ni de la divination: c’est une projection, soit une hypothèse. On ne la vérifiera que dans 86 ans.
Admettons l’extrapolation des féministes selon laquelle une femme sur 10 seulement dénonce le viol ou la tentative qu’elle aurait subi, même si cette extrapolation est invérifiable. Dans ce cas, et en 86 ans, 6,6% des femmes pourraient subir un viol ou une tentative. Où sont donc les 27% annoncés par l’OMS pour l’Europe? Seraient-ce les autres agressions et homicides? Ajoutons alors les 67 cas de la statistique policière (un autre rapport indique 2 homicides et 9 lésions corporelles graves dénoncés à la police en 2011, tous sexes confondus). On sait selon différentes statistiques que les hommes sont nettement plus victimes d’agression et environ 2 fois plus d’homicides que les femmes. Les statistiques manquant de précision, enlevons de ce chiffre seulement les 2/3 d’hommes victimes d’homicides ou tentatives, soit 20. Reste 47 selon le premier rapport, et 11 selon le deuxième, que l’on ajoute aux 35 viols ou tentatives recensés par la police. Cela fait 82 femmes victimes de viols ou tentatives, homicide ou tentatives, et agressions graves. Soit 0,034%. Multipliés par 86 ans: 2,9%. Chiffre exagéré puisqu’il ne prend en compte que le premier rapport. La réalité serait plus proche de 1% en 86 ans.
Femmes et hommes sont égaux dans le risque d’être agressés une fois dans leur vie.
L’entourloupe des 10%
Je rappelle encore une fois qu’il s’agit d’une projection et non d’une prévision, et que je n’ai volontairement pas minimisé les chiffres. Faire passer une projection pour une réalité est une stratégie d’intoxication et une méthode particulièrement malhonnête.
Pour arriver environ aux 27% de l’OMS il n’y a qu’une méthode: gonfler les statistiques policières en affirmant que seules 10% des femmes déposent des plaintes. On aurait alors 2,9% multipliés par 10: 29%.
Mais que vaut cette extrapolation? Elle est fondée sur les enquêtes de victimisation. Ce sont des questionnaires remplis seuls et anonymement, ou chacun répond ce qu’il veut et dont personne ne peut vérifier la réalité. Il n’y a aucune rigueur scientifique dans cette méthode et les interprétations subjectives, les ressentiments, les vengeances ou les campagnes publiques peuvent influencer ou motiver des réponses. Ces enquêtes sont forcément contaminées. Ainsi en France on annonce 75’000 viols annuels. C’est craché comme une vérité, une certitude, alors qu’il n’y a en réalité que 1’800 condamnations pour viol par année. Le premier biais est évidemment d’affirmer que ce chiffre EST la réalité. Le deuxième est que les féministes acceptent les enquêtes de victimisation et les extrapolations pour les femmes, pas pour les hommes (qui selon ces enquêtes sont au Canada le 50% des victimes de violence conjugale)! Cherchez l’erreur.
75’000 viols annuels supposés pour un pays de 70 millions d’habitants, extrapolation non vérifiée, impossible à vérifier, et 18 en République de Genève pour 235’000 habitants. Le chiffre de Genève rapporté à la population française donne environ 5’300 viols ou tentatives, pas 75’000.
Décidément, les chiffres de la cavalerie pro-féministes sont lourds et de plus en plus délirants. Il s’agit cette fois de l’OMS. Oui, l’Organisation Mondiale de la Santé est, après Amnesty et d’autres, devenue une officine pro-féministe, dont le discours culpabilise au maximum les hommes, qui sont évidemment visés par cette guerre des chiffres, sans avoir jamais le courage de les nommer. On connaissait l’hystérie paranoïaque de l’OMS au sujet de la grippe AH1N1. Elle se discrédite un peu plus avec ce nouveau rapport. Il faut cesser de subventionner cette officine misandre qui coûte des milliards, ou remercier sa direction et ses cadres féministes et changer son personnel.
Tant cette organisation que les associations féministes sont subventionnées par l’argent public. Y compris celui des impôts des hommes.
Des hommes qui paient pour être trainés dans la boue.
Commentaires
Rétablissons la vérité!......hélas vous sous-estimez largement les faits: pour ma part, j'ai eu PLUSIEURS "agressions" mineures ou plus graves au cours de ma vie; rien qu'avant 20 ans, j'avais subi des attouchements à la poitrine en pleine rue (à 12 ans, oui, 12); à 17 ans, je me suis fais poursuivre jusqu'à l'ascenseur par un mec la bite à l'air, je mourrais de trouille. A 18 ans je me suis fait coincer et tripoter par un taré, et quand j'ai voulu porter plainte, les policiers n'ont pas donné suite (dans les années 70)
Adulte, j'ai eu droit à quelques propositions malhonnêtes, et échappé de justesse à une tentative de viol collectif(à l'étranger, j'en conviens)alors que j'étais accompagnée d'un ami. Je ne m'habille jamais sexy et n'ai jamais cherché à allumer les messieurs...
J'ai des filles...elles aussi ont eu à subir mains aux fesses (au collège, Monsieur) et touchage de seins par un voisin malveillant...
En fait, je ne connais pas une femme personnellement qui n'a pas eu au moins un épisode déplacé de la part d'un homme.
Que les femmes qui n'ont jamais eu aucune proposition malhonnête ou subit aucun geste déplacé de la part d'un homme se fasse connaître...
J'attends, et je serais ravie qu'il y ai plein de réponses...
Lancez une étude...j'aimerai bien savoir si je suis simplement malchanceuse ou si ces comportements sont simplement sous-estimés...
@ turêves
les faits que vous relatez ne sonts nis des viols ni des tentatives de viols.
"aucune proposition malhonnête "
quel rapport avec "une violence physique ou sexuelle"
aucun
Et dire que cette organisation banale pompeuse de fric exporte sa démocratie sous prétexte d'aider les pays émergeants.
L'Afrique est malheureusement lui aussi contaminé par toute cette racaille, qui cherchent à détruire les couples comme ils l'ont fait avec l'Europe.
Il faut toujours se méfier des personnes qui se prétendent généreuses et serviables, ils sont souvent pire que nos propres ennemis.
Il serait honnête de faire remplir ces questionnaires par des hommes aussi.. hélas, c'est rarement le cas et l'on ne veut voir la violence que dans un sens.
En lisant ce genre de statistiques, j'en viens à penser que le féminisme radical n'est pas cantonné à quelques groupes isolés, quoi qu'en disent certains.
Toute la question est : qu'appelle-t-on une violence sexuelle et une violence tout court ? Comment comparer, comment établir des équivalences ?
Au fond, il faudrait parler des violences faites aux hommes chaque fois qu'on évoque les viols, afin d'être équitable.
Les statistiques sont toujours suspectes, puisqu'il est impossible de répertorier officiellement toutes les occurrences. C'est la nature même du viol qui en fait un mauvais objet de statistiques.
Selon votre façon de considérer ces statistiques sur les viols commis sur les femmes (=prendre en considération que les cas condamnés), on en arriverait à dire que les viols sur homme n'existent pas ( très peu de cas jugés). Cela d'autant plus que la loi suisse ne connaît pas ce crime, contrairement à la plupart des pays européens.
Ces chiffres sont toujours très abstraits et je me demande si leur publication a véritablement une valeur scientifique.
Peut-on comparer un viol avec un tabassage et est-ce qu'un viol sur un homme est comparable avec celui commis sur une femme ?
Poser ces questions me semble bizarre et y répondre quasiment impossible.
Mais peut-être existe-t-il des études à ce sujet. Quelle peut être le vécu d'un homme violé ? Sa souffrance peut-elle avoir quelque chose en commun avec celle d'une femme?
Se faire mettre la main aux fesses, toucher les seins: est-ce une violence ou pas ? Est-ce permis ou pas ?
Faut-il en faire toute une histoire ou se dire : ça ne fait rien, ça pourrait être pire ?
A l'autre bout de l'échelle de l'horreur, il y a le viol comme arme de guerre. Il peut être commis sur des hommes et sur des femmes avec le risque de grossesses non-désirées. Dans ces cas, il s'agit d'humilier et de démoraliser les victimes un maximum. Pensez-vous que les médias exagèrent également la pratique de ces viols-là ? Je n'arrive pas à me faire une idée précise, car là aussi : comment être totalement sûr des chiffres ?
Le commentaire de "turêves" (encore une lâche qui ne met même pas son prénom et un "pseudo-pseudonyme" pourri à la place) s'apparente tout simplement à quelqu'un qui généralise au seul sexe masculin des faits graves sur la base de rapports conflictuels intrinsèques à la vie quotidienne. Rien de nouveau sous le soleil, donc. Cet état d'esprit n'a rien à envier aux religions, aux sectes ou aux idéologies totalitaires, le manichéisme étant le dénominateur commun.
C'est de cette manière que, aujourd'hui, une femme aigrie devient féministe, puisqu'il s'agit d'un refuge idéologique dans lequel on fait naître ou on radicalise le sentiment misandre, on désigne l'homme comme inférieur, animal, source de tous les maux possibles (y compris de ses échecs personnels), et la femme comme l'Être Suprême, une espèce dotée d'une intelligence interpersonnelle supérieure, par conséquent incapable de toute forme de malveillance. Il serait néanmoins légitime de se demander comment un sexe dit supérieur peut seulement imaginer se revendiquer détenteur de la parole d'or et se permettre de snober le sexe opposé...
@turêves
Je vous crois tout à fait dans vos propos et même si l'on ne parle pas de viol au sens juridique du terme, ces atteintes que vous avez subies peuvent être, selon les personnes, ressenties comme de véritables agressions et cela n'est pas acceptable.
Oui les fillettes, les femmes sont malmenées de par le monde et franchement il serait déloyal de ne pas le reconnaître. Pour ne citer que l'Inde quifait tristement l'actualité ces temps en matière de criminalité envers les femmes. Et oui, là bas, au pays de Gandhi, les vaches sont sacrées, mais pour ce qui en est des femmes, c'est un autre débat! revenons à la Suisse. cela est juste de dire que l'on s'y sent en sécurité par rapport à d'autres pays, même si je remarque, en tant que femme, une certaine dégradation en matière de sécurité mais bon, pour ma part, je sors encore la nuit sans crainte.
Pour ce qui est de l'éternel débat de la comparaison hommes-femmes violentés, il est intéressant mais je me suis toujours refusée à prendre un parti plus qu'un autre. Je suis maman d'une fille qui a l'âge de 3 and a été victime d'attouchements de la part d'une femme et maman d'un garçon qui il y 2 ans a été victime d'un déséquilibré homme. Bref, tout est possible et envisageable de la part des deux sexes.
Il n'empêche que tout mélanger (meurtre, viol, reflexion déobligeante, plaisanterie douteuse, geste déplacé, tentative de geste déplacé, proposition sexuelle plus ou moins appuyée sans geste, compliment lourdaud) et présenter cela comme "extreme" violence faite aux femmes, avec à l'appui une photo d'une femme explosée comme si elle avait affronté un boxeur poids lourd pendant 15 rounds est plus que tendancieux. Il est aussi tres tendancieux d'appeler a la rescousse l'Inde, le Pakistan , les talibans, pour nous asséner qu'en Europe c'est pareil....
Je peux affirmer que les hommes aussi subissent la violence et certainement plus de 30 % d'entre eux: entre les coups (d'hommes et de femmes) , les menaces , les insultes. Personnellement , malgré mon gabarit et ma taille j'ai déja eu des attaques physiques de femmes , et d'hommes, pas mal d'insultes diverses sans compter, la violence routière : tentative d'intimidation et doigt levé. Des femmes m'ont dit que j'étais mignon ou que j'avais un beau cul. Je devrais en bonne logique m'attendre a voir un déferlement d'article dénonçant le sexisme anti hommes, j'attends toujours. En fait ce qui me gêne ce n'est pas qu'il n'y ait pas d'articles sur la "violence faite aux hommes" c'est juste le sexisme officiel qui capture la violence et l'amplifie pour s'en servir d'outil de promotion exclusive des femmes.
oui, je comprends parfaitement votre point de vue Pat et le respecte et c'est le bon sens qui parle.
Ah bon vous avez un beau cul? oups pardon...voyez je m'y mets aussi. Personnellement c'est le genre de réflexion qui, moi, ne me dérangerait pas mais bon cela m'appartient, je conçois que d'autres se sentent offusqué(e)s par une telle remarque.
en effet plusieurs me l'ont dit mais cela ne m'a pas provoqué d'accès de tétanie ou de défaillance cardiaque, même si l'une a voulu vérifier sans permission. Je n'ai pas été déposer plainte.
L'age aidant j'ai moins de remarques de ce type, et je trouve cela navrant (l'age bien sur).
En tout cas en lisant le commentaire de Calendula, je me demande de quel type de viol envers les hommes parle t on ?
S'agit il de viols commis par des femmes sans doute en groupe à moins que ce ne soit une femme de plus de 1 m 80 et 70 kg sur un homme de petite taille ?
Ou de viols commis par des hommes comme c'est le cas dans les douches pénitentiaire ?
J'avoue qu'il y a quelque chose qui m'échappe...
Pour la violence conjugale, on l'a vu, les femmes sont autant capable de violence envers les hommes, et oui comme le souligne pat, elles peuvent se montrer toutes aussi agressives, harceleuses, chauffardes (j'ai circulé en bagnole pendant un an en région parisienne principalement)et violente sur la route. Et je ne parle même pas des phénomènes de gang féminins qui voient le jour aux Etats-Unis depuis quelques années. Et comme chacun sait tout ce qui se passe aux Etats-Unis s'exporte à merveille en Europe sans s'interroger sur les "bienfaits".
Bien sur les bonnes âmes me répondront que celà représente une minorité certes, mais si l'on continue à ériger inconsciemment la part d'ombre de l'homme comme modèle aux jeunes filles; on court à la catastrophe!
Il faut que les féministes prennent immédiatement les mesures et responsabiliser les femmes avant que notre société sombre dans le chaos total !
@prometheus,
Il est vrai que les viols sur hommes commis par des femmes ne doivent pas être très fréquents dans les statistiques. Et dans les faits ? Je n'en sais rien. Est-ce qu'il existe des hypothèses plausibles à ce sujet ?
Il me semble plus probable que les viols sur hommes sont commis par des hommes.
Ce qui me semble clair : admettre qu'on a été violé (ou que l'on a subi des violences sexuelles , des contraintes fortes) est difficile pour certaines personnes. Devoir témoigner semble être au-dessus des forces d'une partie des enfants, femmes et hommes qui sont passés par là.
A l'inverse, les fausses accusations, faux témoignages existent, les faux souvenirs également.
Rude tâche que de séparer le grain de l'ivraie.
Le débat est très difficile, car on se rend bien compte qu'aux yeux de beaucoup de personnes, les femmes ne devraient rien dire, ne pas parler du viol et que les médias ne devraient pas en parler, afin de ne pas faire peser ce thème sur les hommes, car le viol ne serait pas vraiment un problème significatif, juste anecdotique.
Les enfants qui ont subi des choses de la part des hommes d'église auraient -ils mieux fait de se taire, afin de sauvegarder l'image de l'Eglise ?
C'était si confortable de ne pas savoir...
Est-ce que l'idée des dénonciations n'est pas d'éviter que cela se reproduise ?
Certes, une accusation biaisée, les statistiques trafiquées ou les accusations simplement fausses font de gros dégâts. Et les personnes vraiment violées sont encore une fois trahies.
@ Calendula;
Sur votre phrase plus haut: " Faut-il en faire toute une histoire ou se dire : ça ne fait rien, ça pourrait être pire ?"
L'époque tend à criminaliser les comportements masculins de drague ou de séduction. Personnellement je n'aime pas ce genre de méthode. J'avoue cependant avoir déjà fait "pouet-pouet" à une femme sans lui demander d'abord son accord (je la connaissais quand-même). J'avoue aussi avoir tenté de passer mon bras sur l'épaule d'une fille qui me plaisait, ou de lui prendre la main, ou de lui dire quelque chose à l'oreille (pas du premier coup quand-même, je n'ai pas cette audace).
Quand j'avais 20 ans, une fille qui se faisait toucher et qui n'aimait pas le disait, donnait éventuellement une claque ou piquait une colère. Et c'était bien. Si l'on n'essaie pas on ne sait pas où est la limite. Et l'homme doit bien essayer. Il ne peut pas attendre qu'on lui délivre une autorisation en deux exemplaires.
La société actuelle travaille à fragiliser et dénigrer le comportement masculin. Bientôt on va aussi faire un procès aux animaux quand ils se reniflent. Et après on en fera aux femmes qui s'habillent de manière à faire monter le désir masculin. Car comme le toucher, la vue est un sens. Si toucher entre dans la sphère de l'autre, montrer aussi.
Pour ma part, je changerais volontiers votre phrase: " Faut-il en faire toute une histoire ou se dire : ça ne fait rien, ça pourrait être pire ?" en disant: "...ça ne fait rien, ça pourrait être mieux ?"
:-)
Pour ce qui est du viol, même si certains comportements féminins sont parfois très provocateurs, le passage à l'acte me semble globalement masculin. Les criminalités ne sont pas identiques d'un sexe à l'autre, ni les modes d'action. Mais le pourcentage de violeurs sur le nombre d'hommes est minime.
@ prometheus: je suis d'accord sur votre analyse, mais je pense que vous êtes encore naïf à propos du féminisme, où il voudrait agir contre ses propres excès, porté par un idéal d'égalité entre les sexes.
Voici ce qu'en dit wikipédia: "Le féminisme est un ensemble d'idées politiques, philosophiques et sociales cherchant à définir, promouvoir et établir les droits des femmes dans la société civile et dans la sphère privée. Il s'incarne dans des organisations dont les objectifs sont d'abolir les inégalités sociales, politiques, juridiques, économiques et culturelles dont les femmes sont victimes."
Cette phrase résume parfaitement l'esprit des féministes. Ainsi, il est normal que le taux d'échec scolaire soit bien plus important chez les garçons ou qu'il n'envisage pas les violences faites envers les hommes: le féminisme s’occupe des femmes, pas des hommes. Le fait qu'aucun féministe n'ait condamné les propos de Nancy Huston est très révélateur.
Voici un extrait:"Pour ma part, j’aimerais bien savoir pourquoi la spécificité des hommes semble être le massacre des innocents"
Voilà le coeur du féminisme: la femme doit arracher à l'homme ses prérogatives, c'est une véritable guerre entre les sexes, où l'homme est l'ogre-bourreau et la femme l'enfant-victime.
Tous ceux qui sont pour l'égalité des droits et qui se prétendent féministes ne sont pas féministes, comme ceux qui en dénoncent les excès: ils trahissent la cause féministe.
On dit de l'islam qu'il est tolérant là où il est faible et intolérant là où il est fort. J'appliquerais cette phrase au féminisme. Regardez la Suède et le Québec: voici ce que veut le féminisme.
Je vous le dis, le féminisme est une goule qui se nourrit du bonheur de l'occident, il l'aspire sans cesse dans une faim inextinguible.
@, turêves, je me demande quelle solution vous prônez? Considérez-vous que les tentatives de séduction, même mal faites, ou le fait qu'un homme regarde une femme dans la rue doivent être punis par la loi? Que les "agressions" dont vous parlez doivent être considérées comme un viol et que le viol, que vous n'avez pas subi vu ce que vous avez écrit, soit le plus grave des crimes?
@ turêves: vous n'avez pas subi le plus grave, uniquement la peur et un attouchement. Je connais quelqu'un qui a subi ce crime et croyez-moi elle ne considère pas tous les hommes comme des pervers. Sachez que l'être humain est faible de nature mais ce n'est pas une raison pour s'y complaire.
P.S.: une "étude", l'ENVEFF, a bien été lancée, où il était "prouvé" que 10% des femmes en France subissait des violences. Vous y croyez?
@ vali: vous pensez qu'une "proposition malhonnête" est une agression? cette femme est enfermée dans ses différents traumatismes alors qu'ils ne sont pas si graves, elle pleurniche sur ses malheurs passés sans y faire quoi que ce soit. Je connais des personnes qui ont subi bien pire et qui ont surmonté ça. Ne faites pas preuve d'une coupable indulgence pour une faible.
@hommelibre" Si l'on n'essaie pas on ne sait pas où est la limite. Et l'homme doit bien essayer. Il ne peut pas attendre qu'on lui délivre une autorisation en deux exemplaires."
C'est un comprtementde rustre. La séduction est un art que certaisn hommes libres ou non sembnle ignorer.
Je suis entièrement d'accord "hommelibre", aujourd'hui le comportement masculin est bel et bien criminalisé et déprécié, il peut rapidement être interprété comme machiste, déplacé ou pervers à partir du moment où une femme est en face de lui. C'est le facteur principal de mes multiples gênes ancestrales à l'égard des femmes, ce qui est naturel puisque depuis ma naissance j'ai évolué dans ce genre de société, où la justice est partiale en faveur des femmes et tend à désigner l'homme comme un criminel sexuel potentiel. Pourtant, lorsque les femmes adoptent bel et bien des comportements pervers ou font du racolage, en toute impunité, que ce soit réellement ou virtuellement, et encore, par-dessus tout, que parallèlement les féministes soient sur le point de faire instaurer des lois qui ne visent que les clients de prostituées en évitant soigneusement de punir les prostituées et les racoleuses, cela n'émeut aucun prétendu égalitariste. Le silence, c'est la complicité passive, c'est l'acceptation implicite et avant tout, la transgression régulière des lois fondamentales n'épargnant aucun échelon de la société.
Lorsque la société verra de la même manière un comportement pervers qu'il soit masculin ou féminin et que disparaîtra cette hiérarchie des crimes et des viols, j'envisagerai de prendre au sérieux les discours sur les gestes "déplacés" qu'on reproche souvent aux hommes. Car oui, cela existe bel et bien le genre d'homme machiste qui harcèle, mais si on devait tout énumérer également ce que les femmes font parfois sans gêne, ou même ne serait-ce qu'exploiter le stéréotype de la femme prostituée et sexiste en la généralisant à toutes les femmes, je ne suis pas sûr qu'elles auraient quoi que ce soit à nous envier. Tout cela pour dire qu'au niveau de l'immixtion dans la sphère personnelle et privée, ces considérations sont à géométrie variable et on se garde bien de passer sous silence l'approche misandre que l'on détecterait bien plus facilement s'il n'y avait pas de conditionnement intellectuel et moral.
Par contre, je trouve que les gifles n'ont pas lieu d'être lorsque l'homme manifeste simplement son intérêt. Nous sommes tout de même censés être civilisés, intelligents un minimum. Par conséquent on peut espérer s'exprimer comme des adultes sans passer par la violence. D'ailleurs, une gifle de la part d'un homme contre une femme est simplement impensable et contraire à la "bien-pensance", cela le discréditerait pour toujours.
Sauf qu'aujourd'hui, j'ai remarqué que la violence misandre était banalisée et encouragée, notamment dans les publicités et au cinéma où l'on voit justement la plupart du temps les femmes baffer les hommes sous tous les prétextes possibles (souvent en public pour accentuer l'humiliation et montrer fièrement le mépris), cela passe comme si de rien n'était. Bien entendu, il ne s'agit que d'une infime partie de l'iceberg où il n'est ici pas encore fait mention de la violence morale, verbale et psychologique, etc... Le fait de se rendre compte de cela ne peut qu'alimenter le sentiment misogyne, instiller la peur et la haine des femmes, ce qui finirait par devenir compréhensible.
ª Mère Thérèse:
oui et non. Cela dépend évidemment de la limite et du contexte. Cela dépend aussi de chacun. Certains hommes prennent d'infinies précautions, avancent d'un quart de millimètre, attendent un signal, puis un autre quart de millimètre, etc, et parfois ont l'audace d'esquisser un sourire ou d'adresser la parole - et encore, si les conditions s'y prêtent.
D'autres, plus audacieux, précèdent et provoquent les signes. Dans mon expérience je vois que les femmes réagissent selon un éventail large. Certaines apprécient l'audace, d'autres s'en sentent objétisées, d'autres agressées. Celles qui aiment la grande douceur et la progression millimétrée parce qu'elle leur permet de s'apprivoiser progressivement laissent souvent une part de fragilité assez grande dans la relation si relation il y a. Les conditions initiales donnent le ton pour le reste, et si un jour l'homme "du millimètre" prend plus d'essor et de puissance c'est le tremblement de terre dans le couple! En fait il reste dans la contrainte des conditions initiales. L'homme "rustre" (encore faut-il préciser qu'il y a là aussi une palette de comportements - et j'ajoute que bien évidemment le viol ne saurait en faire partie et ne trouve à mes yeux aucune légitimité), s'il est accepté par la femme, aura un espace d'essor personnel plus vaste.
On dit, et je suis assez d'accord, que la femme choisit l'homme qu'elle laisse s'approcher. Elle peut être assez rapide. Si elle est disponible cela peut se passer dans la rue.
Moi je suis assez soft, mais je trouve que parfois je manque d'audace. Comment savoir ce qui est juste? En faire le moins possible est ne pas prendre le risque d'être rustre. Il y a un équilibre à trouver, équilibre variable. Mais je pense que c'est dans la "nature sociale" et biologique de l'homme d'aller de l'avant. Ce n'est pas par hasard que cela marche ainsi depuis la nuit des temps connus, et que quand une femme prend ce genre d'initiative (aller vers l'homme) peu d'entre eux y répondent positivement, ou seulement à très court terme. Moi aussi je peux me sentir agressé par un comportement féminin à la hussarde. Cela existe, j'en connais, et je pose très vite mes limites, et très clairement! La femme touche moins les fesses (quoique la petite claque existe aussi): elle aura une sollicitude très lourde et imposante, touchera le visage dans une "caresse-possession", prendra un ton légèrement maternant ou guerrier, tentera de mettre ses lèvres sur les miennes au moment de faire un simple bisous sur les joues. Mais elle le fait moins ou pas avec des inconnus - question de préservation de soi, sans doute.
A ce compte-là, si l'on considère cela comme une insistance déplacée, je peux dire que j'ai été agressé de nombreuses fois dans ma vie d'homme! Et je ne parle pas des tenues lors d'un repas au resto, destinées à me faire craquer. Le "toucher visuel" est-il une agression?
A nouveau il faut voir les comportements dans un contexte: un geste, déplacé pour l'une (ou l'un!), sera bienvenu ailleurs.
Vouloir codifier de manière rigide, et aller en justice pour un regard appuyé ou un geste mal vécu: autant régler cela soi-même sur le moment. C'est plus franc et plus fort, cela renforce la notion de limite réelle de chacun et cela renforce aussi la femme qui pose cette limite, ou l'homme. La justice sanctionne mais ne renforce pas les relations. Elle ne fait que répandre la peur, pas la sagesse. Cela dépend bien sûr, à nouveau, du type de comportement et à quel moment l'on peut se sentir agressée.
Les humains sont fondamentalement dans une recherche de reproduction. C'est basique, même sous le vernis de la civilisation. On doit l'admettre: c'est grâce à cela que l'espèce est toujours présente. L'amour courtois qui chantait la belle dame était platonique même s'il était très beau.
Dans ce que je décris assez régulièrement comme étant des excès de méfiance dans les relations femmes-hommes, il y a sûrement quelque chose à redéfinir. On peut redéfinir le cadre général (le consentement) et laisser régler l'application de ce cadre à chacune et chacun, de cas en cas, de sensibilité en sensibilité. Mais je pense qu'un homme qui prend le bras d'une inconnue dans la rue pour lui parler n'a pas l'intention d'agresser, en principe (après il faut voir comment il insiste si la dame s'y refuse, mais un homme connaît parfaitement la différence entre poser la main sur le bras ou la jambe, voire se serrer contre des fesses, et le viol; seuls les malades ne voient pas de différence). Un homme qui n'insiste pas n'est peut-être pas une "bon reproducteur", et socialement il est mal perçu. La nature masculine, sa force, sa moindre dépendance biologique (grossesse) lui ouvrent un champ où l'audace, la prise de risque et l'insistance sont des valeurs positives.
Un homme qui s'arrête dans une activité à la première résistance ne va pas au bout de son intention. Aller au-delà des résistances est très masculin. Les inventeurs ont brisé les résistances de la matière pour créer de nouvelles choses. L'homme qui reconstruit de nombreuses fois sa machine à voler jusqu'à ce qu'elle marche ou celui qui fait une cour longue à sa belle sont le même.
Personnellement j'aime mettre des formes agréables dans les relations, je n'aime pas l'insistance lourde, je n'aime pas toucher des fesses en prétextant d'un tram bondé.
Mais aujourd'hui, ce que de plus en plus d'hommes constatent, et ce blog le rend parfois visible, c'est le sentiment des hommes que leur comportement est criminalisé. Peut-être faut-il encore et encore débattre des besoins des femmes et de ceux des hommes. J'aime bien par exemple Vali plus haut, qui assume des réflexions directes sur son anatomie et n'en est pas choquée. C'est aussi un aspect du jeu amoureux homme-femme. Pour elle c'est ok. Pour d'autres ce serait déjà une agression.
@hommelibre,
Je comprends que nous ne parlons pas de la même chose
D'un côté, il y a le viol réel, envahissement du corps de l'autre contre son gré. Les statistiques dont vous parlez portent, je crois, sur cela.
De l'autre côté du spectre, des paroles ou des attouchements que vous décrivez.
Si c'est par un homme connu, dans une ambiance détendue, seigneur ! comment se plaindre.
Il est clair que les deux extrêmes sont à considérer de façon tout à fait différente.
J'ai subi des attouchements par un inconnu, vers l'âge de 16-17 ans. J'étais juste tétanisée, morte de honte, je me suis lavée plusieurs fois de suite, alors que ma peau n'avait même pas été touchée. Je crois que ce qui m'a fait honte, c'est d'avoir pas su me défendre, d'être restée tétanisée. J'aurais dû mettre une gifle ( il s'est frotté contre moi, se tenant derrière moi), mais je n'ai pas su le faire.
Cet incident est resté l'unique et j'en suis soulagée.
Il est clair que j'ai sur-réagi, c'était vraiment épidermique, irrationnel, mais je pense que l'homme en question, dont je n'ai même pas vu le visage, était également dans un comportement compulsif. Et il a pris le risque de confirmer une image menaçante de l'homme.
Je sais bien que vous pensez que c'est à la femme de relativiser cela, mais une fois que l'on a eu très peur, c'est compliqué.
Je ne suis pas d'accord qu'on minimise l'effet de ce genre d'incident, certes mineur, sur de jeunes femmes. Il n'y a pas de quoi faire un plat, ce n'est pas une violence, mais c'est chiant.
Cela crée une méfiance, d'autant plus qu'on est sans cesse "draguée", car jeune on est non seulement plus jolie, mais également plus vulnérable.
Une femme d'âge mûr fait la part des choses et effectivement, les tentatives de drague diminuent dramatiquement ; -))), mais pas complètement ;-)))
Je vous comprends Calendula.
Pour moi cela confirme mon point de vue: garçons et filles ne doivent pas être éduqués de la même manière. La symétrie de comportement n'existe pas.
Les pères devraient éduquer les garçons à savoir se tenir. L'audace ne justifie pas tout. Le comportement masculin que vous décrivez est détestable même pour moi en tant qu'homme. Je ne saurais valider un tel manque élémentaire de civilité. Comportement compulsif, probablement, oui, et il suffit hélas de peu d'hommes pour faire beaucoup de dégâts à l'image masculine.
Le filles doivent être éduquées par les mères à savoir répondre, être prévenues, sans pour autant développer une méfiance généralisée envers les hommes.
Après c'est affaire de nature: l'éducation ne fait pas tout. On apprend aussi par les expériences désagréables de tous ordres.
certains hommes actuellement ne sonts pas dans la tentative de séduction quand ils interpellent où touchent une inconnue, mais dans l'irrespect, ils onts un manque éducatifs, ils sonts en manque de pére, de limites, leur pére n'onts plus droit au chapitre où onts été éjectés lors d'une séparation.
je pense que cet irrespect grandissant est du à l'éjection des hommes de leur rôle.
et accusser globalement les hommes comme fonts les féministes n'y changera rien, alors que ce qui se passe découle de ce quelles onts mis en place.
Chers tous ceux qui m'ont répondu et les autres:
Le point que je voulais amener, c'est que pour ma part je ne connais aucune femme qui n'a pas eu à subir une forme de "violence", attouchements ou violences verbales à caractère sexuel.
Aucune.
Je connais par contre deux femmes violées (pour une, à deux reprises) dans leur adolescence, une à Genève, l'autre en Allemagne, et qui n'ont jamais porté plainte.
Les attouchements, je pense que personne ne porte plainte pour cela, et pourtant, certains peuvent être traumatisants.
Je ne parle en aucun cas d'une tentative de séduction !
Donc de parler d'une femme sur trois qui aurait à subir des violences physiques ou sexuelles n'est de loin pas exagéré, n'en déplaise à HommeLibre pour qui défendre ce fait me transformerait en monstrueuse féministe.
Ha, oui, je ne connais pour ma part aucune féministe personnellement.
Alors: je ne prends aucunement tous les hommes pour des salauds, loin de là, et j'ai de très bons amis hommes, je n'ai jamais généralisé.
Mais oui, HommeLibre, les filles, les demoiselles, et les dames, probablement plus d'une sur trois, seront importunées une à plusieurs fois au cours de leur vie par des indélicats voir pires de l'autre sexe, ceci jusqu'à la violence physique et au viol.
se mettre à tripoter la poitrine (pas effleurer) d'une gamine de 12 ans, c'est une agression. Se coller au dos d'une jeune fille et s'y frotter de manière sexuelle, c'est une agression.
Si les propositions malhonnêtes telles que "(vient chez mon pote on te prendra en sandwich") (je distribuais des pamphlets) sont moins graves, suivant l'âge de la jeune fille, c'est assez grave quand même.
Alors, j'attends toujours pour voir si je me trompe, ou si j'ai raison...je ne connais pas moi-même de femmes qui n'ont pas été, à un moment ou à un autre, victime de ces comportements, ni au collège, ni plus tard.
Je serais ravie d'avoir tort. Que ces dames se fassent connaître...messieurs, interrogez vos compagnes, vos amies.
Sur ce, bonne journée.
Cher HommeLibre, je reprends votre phrase:
"Les humains sont fondamentalement dans une recherche de reproduction. C'est basique, même sous le vernis de la civilisation. On doit l'admettre: c'est grâce à cela que l'espèce est toujours présente."
Voilà donc la nature profonde des relations humaines ? Donc, les femmes ne sont à priori que des reproductrices? Seule la civilisation, avec l'invention du vernis de la séduction rend les relations plus agréables?
Ce n'est sans doute pas faux, (ce sont les homosexuels qui apprécieront) mais dans ce cas, comment ne pas craindre les hommes, en sachant que la seule chose qui les intéresse, c'est de se reproduire avec nous? Que la séduction, loin d'être innée, n'est qu'un outil civilisé pour parvenir à ses fins?
Le problème avec les attouchements à caractère sexuels que j'ai mentionné plus haut, c'est qu'ils n'ont rien à voir avec la séduction, rien du tout. Pour la femme, c'est juste l'affreux sentiment d'être devenu un objet sexuel et rien d'autre. D'être agressée simplement parce qu'on est femme, qu'on a des seins, des fesses, et que c'est la seule chose qui intéresse l'agresseur.
@ turêves
l'irrespect envers les femmes est quand même loin d'être un comportement de beaucoup d'hommes.
http://www.dailymotion.com/video/xwbwdr_naked-funny-erotic-display_redband
"une femme sur 3 dans le monde subira une violence physique ou sexuelle dans sa vie."
comment faire gonfler des chiffres, dans sa vie !!! effectivement sur une durée de temps pareil, dans le monde aussi sachant que suivant les cultures le respect de la femme est tout à fait différent. on le voit bien dans nos banlieues avec des personnes d'origine magréhbine non intégrées et en plus de ça considérés comme des victimes. une certaine proportion le respect des femmes est le dernier de leur souci.
@ hommelibre: le rôle positif de l'homme et du père sont dévalués. Comment est-ce qu'un père pourrait apprendre à son fils à se conduire en homme s'il n'est pas un bon père et qu'il est déconsidéré même dans ce cas?
@ turêves: le problème vient de l'autorité qui est déconsidérée: en 68 il était dit "Il est interdit d'interdire", nous sommes tous devenus depuis des enfants-rois. Ceux qui dépassent les limites (propositions indécentes, attouchements, viols) les ignorent car ils décident de les enfreindre afin d'augmenter leurs chances de succès ou de mettre fin à leurs frustrations.
Paradoxalement des tentatives de séduction maladroites sont sanctionnées bien plus sévèrement (paroles désagréables, gifles, humiliations). La frontière devient floue entre ce qui est acceptable et ce qui ne l'est pas, et ce qui est acceptable devient plus honteux que ce qui ne l'est pas.
Demandez-vous si, quand un homme a tenté de vous séduire et qu'il n'a pas réussi, vous l'avez sanctionné comme je l'ai dit, alors qu'il a fait un effort, ou si vous avez agi autrement, de manière positive? Demandez-vous cela, et demandez-vous si certaines femmes ne font pas ces comportements condamnables?
Pour les plus directs, les moins sûrs d'eux ou des limites implicites à ne pas franchir, la tentative peut être forte.
Après tout, pourquoi être respectueux quand cela ne donne aucun résultat? L'homme sera bien vu socialement mais il sera toujours en frustration sexuelle ou sentimentale...
Hormis ces cas extrêmes, on peut également voir plusieurs cas: ceux qui n'ont pas appris à séduire et qui ne veulent pas agresser les femmes; ceux qui enchaînent les coups d'un soir, des monogames en série qui n'arrivent pas à se fixer sur une femme car ils aiment les femmes et aucune spécialement, ou ceux qui la considèrent comme un morceau de viande à consommer sont des séducteurs pour qui l'art de séduire (le moyen) est devenu plus important que garder la femme (le but); enfin ceux qui n'arrivent pas à s'engager.
Pourquoi je parle de ces différents cas? Ces hommes voient les femmes comme des objets car investir des sentiments, s'attacher risque de leur être immensément destructeur, quand on sait que la majorité des ruptures se fait à l'initiative des femmes...
turêves, les hommes comme les femmes ont leur part de responsabilité dans cette affaire, et croire les femmes innocentes en tout est préjudiciable à tout le monde. Quand on criminalise le comportement masculin, y compris dans la séduction, on le rend criminel. Certains peuvent être tentés d'agir en fonction de cette donnée et pas d'un critère moral inutile et encombrant.
Si vous vous insurgez toujours, expliquez-moi comment un homme peut séduire une femme s'il n'apprend pas à séduire et donc qu'il peut être indélicat.
@Leclercq, absolument d'accord, l'irrespect envers les femmes n'est pas, dans nos sociétés, le comportement de la majorité des hommes. Je ne fais pas d'amalgames.
Néanmoins, vous noterez que partout ou il est légal que des hommes mûrs épousent des gamines, cela se produit. Que dans les sociétés où il permis, voir encouragé, de battre son épouse (religion musulmane) cela se produit. Partout où les hommes pensent être impunis (guerre) les viols se produisent.
Il y a donc bien un problème dans les relations hommes femmes, et les femmes ont certainement à subir, de part le monde, beaucoup de mauvais traitements de par la gente masculine.
Lorsqu'il y a domination, c'est généralement de l'homme sur la femme et rarement le contraire.
Comme le soulignait une autre internaute, les viols sur les hommes, car il y en a malheureusement, sont commis...par d'autres hommes...
@ApprentissageDeLaVie:
Vous continuez résolument à parler de tentative de séduction quand j'ai fait état d'attouchements d'ordre sexuel, sans aucune connotation de séduction, mais bien d'agression.
Quand à cette phrase que vous avez écrite, elle soulève pas mal de questions...
"Après tout, pourquoi être respectueux quand cela ne donne aucun résultat? L'homme sera bien vu socialement mais il sera toujours en frustration sexuelle ou sentimentale..." En bref, l'homme est respectueux par tactique, de toutes façons, sont but est d'avoir une relation avec la femme; si le respect ne marche pas, on prend, c'est bien ça que vous vouliez dire?
Pour le reste, rassurez-vous. J'ai relaté ces choses parce qu'elles sont arrivées. Mais je vis ma vie, j'ai eu des relations tout à fait riches avec les hommes, et je ne suis pas aigrie contre la gente masculine.
Mais ce débat devient ma foi intéressant...en bref, on apprend des hommes que mettre la main aux fesses et "plotter" les gamines, seraient une tentative de séduction envers des parfaites inconnues, que les hommes manquent de respect aux femmes parce que les mères auraient mis les pères dehors (quel rapport)
...certains discours sur ce post ne donne guère envie de se faire séduire par leurs auteurs, lol
@ turêves
"Néanmoins, vous noterez que partout ou il est légal que des hommes mûrs épousent des gamines, cela se produit. Que dans les sociétés où il permis, voir encouragé, de battre son épouse (religion musulmane) cela se produit."
"et les femmes ont certainement à subir, de part le monde"
de part le monde, ça ne sert à rien de faire l'amalgame de ce qui se passe de part le monde, vous le soulignez plus haut.
"Lorsqu'il y a domination, c'est généralement de l'homme sur la femme et rarement le contraire."
http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/entretien-avec-sylvianne-spitzer-57815
rien n'est moins sur, beaucoup d'hommes subbissent la violence psychologique de leur compagne, sonts dominés par leur compagne, ne sonts pas un contre pouvoir pour elle, ma jeune épouse fait du toilettage canin à domicile, cotoie beaucoup de couples, et bien la proportion de mégéres infernales à vivre est beaucoup plus importante que le contraire.
mais cette réalité est cachée, elle dérangerait trop. des manies disent de leur filles quelles sonts infernales à vivre.
"les hommes manquent de respect aux femmes parce que les mères auraient mis les pères dehors (quel rapport)"
http://www.hommedaujourdhui.ca/jean_gabard.htm
"Dans notre société de plus en plus
féminisée, le « futur nouveau macho », maintenu dans la fusion maternelle,
ne souffre pas d'une « overdose » d'ordre masculin mais d'absence de
« père » et de repères. Tout autant incapable de sortir de l'enfance, il n'a
pas acquis une identité d'homme suffisamment solide pour pouvoir accepter la
différence. Arrivé à l'âge où il devrait commencer à assumer la castration,
il est encore en plein refoulement et a toujours besoin d'inférioriser les
femmes pour pouvoir exister. Alors qu'il devrait être en mesure de « tuer le
père », il doit s'en inventer un et il se « bricole » ce qui devient une
caricature. Comme de nombreux Allemands au père humilié par la Révolution
Industrielle, par la défaite, par le Diktat de Versailles, par le chômage…
des garçons ont besoin, aujourd'hui, pour se sentir des hommes, de se
comporter en nazi et d'humilier les femmes. Lorsque la fragilité de
l'identité sexuelle rencontre la perte d'une identité nationale, il ne faut
donc pas s'étonner si certains essaient de justifier leur machisme par une
dose de religion ou de nationalisme ! "
@ Turêves:
Ne vous connaissant pas je ne peux apprécier votre expérience. Je n'en dirai rien. Par contre j'ai beaucoup de femmes autour de moi qui n'ont jamais été agressées de la manière dont vous la décrivez, ou qui n'en ont jamais fait une véritable agression.
J'ai aussi dû faire avec la main d'un homo qui s'égarait en conduisant à l'occasion de voyages en auto-stop, et plus d'une fois. Je ne me suis pas senti agressé mais j'ai demandé d'arrêter la voiture et je suis descendu. J'ai aussi eu cela avec une femme, ce qui me semblait plus agréable, toutefois j'étais très emprunté et cela n'est pas allé plus loin - à part une remarque désobligeante de sa part sur le fait que j'étais trop nunuche pour profiter de l'occasion et pour la satisfaire. Charmant... Sans compter une qui me disait tout ce que je devais faire pendant l'acte...
Bref, je ne considère pas cela comme des agressions. Nous sommes tous objets de désirs, après c'est à nous de poser les limites.
Votre expérience me fait me poser des questions, mais j'aimerais aussi savoir plus de détails. Je vous les cite mais je ne vous demande évidemment pas d'y répondre: dans quel milieu naviguez-vous habituellement? Quel est votre physique ou votre degré d'attractivité (j'ai connu une femme qui regrettait d'être fréquemment sifflée, mais quand j'ai vu le personnage, sa séduction débordante, son look sexy, bref tout, j'ai compris). Donc je creuserais pour comprendre pourquoi votre expérience est celle-là - et je vérifierais au passage que nous avons la même définition des mots.
Pour ce qui est de la reproduction:
- les homos apprécieront... ils me semble qu'ils savent d'emblée qu'ils ont une différence fondamentale et irréductible d'avec les hétéros: ils ne peuvent pas se reproduire ensemble. Rien que d'évident et de lucide en cela. Choquant? Dans une société coincée et assez paranoïaque, peut-être. Dans une société moins conne ce serait simplement normal de le voir ainsi, car c'est simplement la réalité. Où est le problème? Dire la réalité? J'assume.
- "Voilà donc la nature profonde des relations humaines ?" C'est en tout cas une fonction fondamentale: se reproduire, comme pour tout le vivant. Tout est organisé autour de la gestion de la reproduction, même la civilisation. Cela peut être emballé dans différents papiers cadeau, dans le romantisme, dans le porno, que sais-je: même se nourrir sert d'abord à maturer pour se reproduire. C'est cru mais basique. Si l'on n'admet pas cette réalité alors on souffrira beaucoup du monde. Vu sous cet angle on peut relativiser certaines choses, comme le fait que beaucoup de femmes cherchent le reproducteur-pourvoyeur si possible riche pour s'occuper de leurs petits. Etonnant comme elles préféreraient passer une soirée avec Brad Pitt qu'avec l'éboueur du coin. Mais la discrimination par l'argent n'est pas considérée comme une violence. C'est au plus une compétition pour les hommes...
:-)
@ turêves
"les filles, les demoiselles, et les dames, probablement plus d'une sur trois, seront importunées une à plusieurs fois au cours de leur vie par des indélicats"
Olala pauv' chochotte. Trop grave, trop trop grave... Ce genre d'attitude ne peut que conforter le sentiment de supériorité ou de rebellion légitime de beaucoup d'hommes face à des femmes traitées comme des handicapés, ou sacralisées pas à juste titre.
"Si les propositions malhonnêtes telles que "(vient chez mon pote on te prendra en sandwich") (je distribuais des pamphlets) (NDLR ?) sont moins graves, suivant l'âge de la jeune fille, c'est assez grave quand même."
Ah oui? et en quoi est-ce grave? si elle a déja ces règles et qu'elle aime ça y'a aucun problème, de quoi je me mêle Simone.
"ce sont les homosexuels qui apprécieront"
qu'ils apprécient ou pas on s'en branle, nous n'avons pas de compte à leur rendre, la vérité se moque des lobby abusifs.
"Que la séduction, loin d'être innée, n'est qu'un outil civilisé pour parvenir à ses fins?"
On m'aurait menti... ben oui sinon qu'est-ce que vous voulez que ce soit d'autre?
"simplement parce qu'on est femme, qu'on a des seins, des fesses, et que c'est la seule chose qui intéresse"
c'est déja pas mal. Je dois dire que de ce coté là aussi les féministes manquent souvent d'"intérêt". Ceci expliquant peut-être cela, jalousie?
"Que dans les sociétés où il permis, voir encouragé, de battre son épouse (religion musulmane) cela se produit. Partout où les hommes pensent être impunis (guerre) les viols se produisent. "
C'est ça, comme en Suède?
http://www.planetoscope.com/Criminalite/1202-nombre-de-viols-commis-dans-le-monde.html
http://www.liberation.fr/monde/0101564572-la-suede-malade-de-ses-viols
HommeLibre, je vous cite :=))
"Votre expérience me fait me poser des questions, mais j'aimerais aussi savoir plus de détails. Je vous les cite mais je ne vous demande évidemment pas d'y répondre: dans quel milieu naviguez-vous habituellement? Quel est votre physique ou votre degré d'attractivité (j'ai connu une femme qui regrettait d'être fréquemment sifflée, mais quand j'ai vu le personnage, sa séduction débordante, son look sexy, bref tout, j'ai compris). Donc je creuserais pour comprendre pourquoi votre expérience est celle-là - et je vérifierais au passage que nous avons la même définition des mots."
Voilà bien le problème...de penser comme ça excuse les musulmans de mettre leurs femmes sous le tchador....
Donc pour les hommes en général et pour vous en particulier, si une femme est séduisante, c'est un feu vert pour tous les hommes??? C'est le "respect sélectif"? ou bien respect des moches, et non-respect des "sexys"?
Au fait, que veut dire sexy? Une femme qui provoque la montée du désir chez l'homme?
Pensez-vous donc que les femmes violées pendant les guerres font quoi que ce soit pour exciter les hommes?
C'est bien compliqué, il me semble. Les femmes qui sont considérées sexy en ville le sont-elles plus que les femmes en bikini sur les plages? Et pourquoi les Amérindiens qui vivent quasiment nus ne sont pas toujours en érection, alors?
Pour le reste, ben non, je n'étais pas ce qu'on appellerait une femme sexy, plutôt une intellectuelle horriblement romantique...et comme j'étais un peu ronde, je mettais volontiers des tuniques genre indiennes...
Vous remarquerez également qu'aucune femme n'ayant jamais subi d'attouchement ou de remarque déplacée de la part d'un homme ne s'est manifestée personnellement...ce n'est pas parce que vos amies/copines ne vous en ont rien dit qu'elles n'ont rien connu.
Je parle de tout geste, grave ou non (mains aux fesses, à la poitrine, remarques basées uniquement sur le sexe, propositions à caractère cru) Je ne parle certainement pas de séduction, de câlins, des délicieux premiers émois, etc.
Pour contrebalancer les statistiques, il faudrait que beaucoup de femmes se manifestent, car sur ce seul post, il y en a 2 en témoignage direct Calendula et moi-même) qui se sont exprimées...
Mais même s'il n'y avait que, disons, 5 femmes, qui se manifestaient et à qui il n'est RIEN arrivé (à caractère non-désiré, forcé et à connotation sexuelle) on arriverait quand même à presque 30% de femmes IMPORTUNEES par certains hommes...
:=)) Mobilisez vos copines...:=))
Bonjour à tous,
S'il est logique que les pères s'occupent de l'éducation de leurs fils, je me demande si c'est à eux seuls d'expliquer ce qui se fait et ne se fait pas au niveau de la drague ou de la séduction.
Il est évident que tout enfant apprend par l'exemple et en cela, le père a un poids particulier.
Néanmoins, les mères peuvent apporter des éléments, les soeurs également.
Si on pense à la vie d'un jeune ado : il est en principe inséré dans une famille (même si les parents sont divorcés), dans laquelle il apprend que chaque personne est respectable. Même s'il se chamaille avec ses frères et soeurs, qu'il s'engueule avec sa mère ou est en opposition avec son père, il constate bien que ces personnes ont une dignité propre.
A l'école, ça continue : on lui demande de s'adapter au règlement, avec force sanctions, en cas de non-respect. Il est lui-même protégé par ce règlement qui lui reconnaît le droit de vivre en paix à l'école.
Les ados s'agglutinent souvent en bande (filles et garçons) pour se soutenir mutuellement et ils établissent leurs propres codes et règles parallèles. C'est là, que ça peut mal tourner, entre autres. La transgression est presque un passage obligé.
Pendant l'année scolaire qui se termine, j'ai eu à remettre en place des ados de 12-15 ans qui s'insultaient avec "pute" "fils de pute" et toutes ses variantes. Ils perçoivent ces mots comme des signaux très clairs pour commencer une bagarre. Une fille peut traiter une autre fille de pute, sans problème, mais je dirais que cela ne se passe jamais entre des filles scolairement performantes, qui n'ont pas trop d'énergie à mettre dans des bagarres et insultes.
(Je n'entends plus jamais "pédé".)
Une "pute" étant une fille facile, il est clair qu'une fille n'a pas avantage à draguer, ni à céder aux avances d'un garçon, qui risque de finir par la trahir. Je dirais qu'il n'y a rien de neuf sous le soleil.
Après 16 ans, ces schémas changent, heureusement pour tout le monde.
La question de départ était : est-ce que les féministes faussent les statistiques dans l'idée de charger les hommes collectivement et d'obtenir des fonds pour leurs organisations ?
A ce stade des échanges, nous sommes assez d'accord sur le fait que les hommes et les femmes ne vivent pas les situations de drague de la même façon. Personne ne défend le droit aux attouchements ou à davantage. Ce qui n'est toujours pas très clair : qu'est-ce qu'une jeune femme peut dire et faire, si un homme transgresse fortement les limites de la décence commune ? Doit-elle craindre de passer pour une féministe, si elle se fâche ou s'offusque publiquement? Comment peut-elle fixer les limites, une fois que le mal est fait ?
Je ne crois pas du tout que les hommes cherchent à se reproduire en permanence. En revanche, beaucoup aiment jouer à le faire croire. Là, les codes sociaux et culturels sont primordiaux, pour éviter les malentendus.
Il me semble difficile de balayer du revers de la main ce qui se passe sur d'autres continents. L'OMS est justement une organisation mondiale.
Une femme européenne peut bien sûr se féliciter de ne pas vivre en Inde, au Pakistan, en Egypte ou en Arabie Saoudite. J'imagine qu'une pakistanaise qui a été brûlée au visage à l'acide se considérerait déjà heureuse, si elle se savait être la dernière à devoir subir cela.
Merci Didier de votre franchise! Votre commentaire en dit plus long que ce que je n'aurais osé ajouté afin de ne pas froisser les hommes civilisés.
(on appelle ça scier la branche sur laquelle on est assise...)
La chochotte....
C'est bien compliqué, il me semble. Les femmes qui sont considérées sexy en ville le sont-elles plus que les femmes en bikini sur les plages? Et pourquoi les Amérindiens qui vivent quasiment nus ne sont pas toujours en érection, alors?
les codes sociaux ne sonts pas les mêmes suivant l'endroit où l'on se trouve et les culture c'est évident.
le commentaire plus haut, d'un certain Didier, valant son pesant d'or, je me permets de le remettre:=))
"@ turêves
"les filles, les demoiselles, et les dames, probablement plus d'une sur trois, seront importunées une à plusieurs fois au cours de leur vie par des indélicats"
Olala pauv' chochotte. Trop grave, trop trop grave... Ce genre d'attitude ne peut que conforter le sentiment de supériorité ou de rebellion légitime de beaucoup d'hommes face à des femmes traitées comme des handicapés, ou sacralisées pas à juste titre.
"Si les propositions malhonnêtes telles que "(vient chez mon pote on te prendra en sandwich") (je distribuais des pamphlets) (NDLR ?) sont moins graves, suivant l'âge de la jeune fille, c'est assez grave quand même."
Ah oui? et en quoi est-ce grave? si elle a déja ces règles et qu'elle aime ça y'a aucun problème, de quoi je me mêle Simone.
"ce sont les homosexuels qui apprécieront"
qu'ils apprécient ou pas on s'en branle, nous n'avons pas de compte à leur rendre, la vérité se moque des lobby abusifs.
"Que la séduction, loin d'être innée, n'est qu'un outil civilisé pour parvenir à ses fins?"
On m'aurait menti... ben oui sinon qu'est-ce que vous voulez que ce soit d'autre?
"simplement parce qu'on est femme, qu'on a des seins, des fesses, et que c'est la seule chose qui intéresse"
c'est déja pas mal. Je dois dire que de ce coté là aussi les féministes manquent souvent d'"intérêt". Ceci expliquant peut-être cela, jalousie?
"Que dans les sociétés où il permis, voir encouragé, de battre son épouse (religion musulmane) cela se produit. Partout où les hommes pensent être impunis (guerre) les viols se produisent. "
C'est ça, comme en Suède?
http://www.planetoscope.com/Criminalite/1202-nombre-de-viols-commis-dans-le-monde.html
http://www.liberation.fr/monde/0101564572-la-suede-malade-de-ses-viols
Écrit par : Didier | 26 juin 2013
@ turêves
"(on appelle ça scier la branche sur laquelle on est assiSE...)"
assiSE; ah ah! oui je n'aurais pas dit mieux, j'ai scié la branche sur laquelle vous étiez assise. Désolé pour mon coté rustre, j'espère que vous ne vous êtes pas fait trop mal en tout cas.
Cela étant, sur le fond je crois que vous pourriez être un peu plus explicite, allez-y osez, nous pouvons ici, on n'est pas sur un forum féministe. Dites ce sur quoi vous n'êtes pas d'accord, même si je ne vous garantis pas que vous ne pourriez pas rechuter. Je ne veux pas croire que vous seriez la énième féministe qui une fois acculé (j'ai bien dit ACculée), botte en touche, focalise sur des détails, fuit l'argumentaire, fait semblant d'être incapable de raisonner...
Ah je viens de voir que vous avez recopié mon commentaire; ça va pour cette fois, je vous fais cadeau de la deuxième fessée, mais pour les suivantes y faudra quand même penser à me rétribuer.
@ turêves: j'ai déjà écrit que les attouchements faisaient partie des limites à ne pas franchir, avec le harcèlement et le viol. C'est une tentation que tout homme pourrait franchir si cette limite n'est pas assez ancrée en lui. C'est en cela que la perte de l'autorité est dommageable.
Et effectivement si obéir à la morale alors qu'elle vous condamne à l'abstinence ne sera pas choisie pour un homme qui n'a pas de barrières mentales ou morales, qui n'a pas de surmoi en somme. Regardez Nicolas SARKOZY. L'épisode "Casse-toi pôv' con" n'est pas ce qu'un homme devrait faire.
Quand à la "séduction" qu'exercerait ces hommes, j'ai déjà expliqué que c'est un art complexe et que certains ne le maîtrisaient pas. Comme la séduction réelle a peu de chances de marcher pour eux, ils se rabattent sur des moyens radicaux. D'ailleurs, certaines femmes paraissent apprécier (je n'ai jamais essayé), et je suis abasourdi par cela.
Je voulais tenter d'expliquer pourquoi certains en arrivent à cette extrémité, parce dépeindre les femmes comme des victimes sans comprendre comment cela peut arriver est préjudiciable pour tout le monde.
Et en effet, certains le considèrent comme de la séduction. Pourquoi? Comment? J'en reviens à mon idée de départ: le féminisme veut la guerre entre les sexes, car elle abolit toute chance de paix sociale. Ces "séductions" n'en sont qu'un exemple
@ Calendula: concernant les limites à ne pas franchir, je dirais ceci: je pense que la majorité de ces transgresseurs (des limites) ne sont pas conscients que cela pose problème aux jeunes filles et jeunes femmes. Il faut donc qu'elles n'en aient pas peur, mais elles doivent rester calmes puis faire comprendre au jeune homme ou à l'homme qu'il a franchi une ligne.
Autant que possible, il faut rester calme mais forte. Et s'il ne comprend toujours pas, hausser le ton jusqu'à ce qu'il ait compris.
S'il s'arrête, il faut lui faire mesurer la gravité de ses actes en lui expliquant ce qu'on ressent. Si on est très charitable (je sais, c'est difficile), lui expliquer ce qui n'allait pas dans sa tentative de séduction.
S'il ne s'arrête pas soit il est submergé par ses hormones et ne vous entend plus soit c'est un pervers. Dans le premier cas il faut lui faire reprendre ses esprits, par une ou plusieurs gifles notamment; dans le second cas soit vous arrivez à le maîtriser soit quelqu'un vous aide soit vous fuyez. Il est entraîné à ce genre de situations donc méfiez-vous de lui.
Mais les pervers sont très rares, donc normalement, tout devrait bien aller.
Autre chose: il faut savoir doser et comprendre quelle est la situation.
C'est une méthode possible mais hypothétique. La plupart de ceux qui franchissent ces lignes ont déconné, il faut donc les remettre sur le droit chemin.
En effet, les hommes ne cherchent pas tout le temps à se reproduire. C'est juste qu'ils pensent en moyenne près de trois fois plus au sexe que les femmes en moyenne. D'autre part, les hommes aiment agir et se vanter de faits quantifiables (ce qu'il gagne, où il a été, les personnes qu'il a rencontrées, le nombre de ses conquêtes, ce qu'il a comme voiture ou comme maison...), le sexe est une compétition pour certains; pour d'autres c'est un moyen d'exprimer son amour à sa compagne; c'est aussi un excellent moyen de s'occuper.
Concernant les autres continents, notamment le cas de cette femme pakistanaise, ce n'est pas tolérable. Pour qu'une société fonctionne bien, elle doit pouvoir évoluer. Qu'elle en arrive à de telles extrémités montre que cette société agonit mais qu'elle ne le sait pas encore. Pour ceux qui pensent que c'est le patriarcat, je dois les détromper: sous l'Ancien Régime et du 1er Empire à la Seconde guerre mondiale, il n'y avait pas de telles violences, ou elles étaient mineures.
oh, Didier, si vous voulez polémiquer sur les fautes de frappe, je vous signale qu'on dit "ses" règles...
Bravo pour cet article. Je suis très heureux d'entendre votre voix dans le monde francophone.
Je vis en Belgique et ici c'est le désert: personne ne remet en question les dogmes féministes à ma connaissance. Féministes qui comme partout ailleurs ont noyauté les médias et le monde politique.
Vous avez raison. La réalité est bien souvent plus complexe que ce qui est médiatisé.
En Inde, à côté des viols terribles dont on a entendu parler, il y a aussi des hommes faussement accusés de viols. Fausse accusations aux conséquences elles aussi parfois dramatiques.
Voir cet article datant de mai dans le Times of India
"For the third time in less than a week, the Delhi high court has decried that rape laws are often misused by women.
Flagging the issue in a judgment on Saturday, Justice Kailash Gambhir said rape cases are being used as "a weapon for vengeance and vendetta" to harass and even force a boy to marry."
http://articles.timesofindia.indiatimes.com/2013-05-26/india/39538054_1_justice-g-p-mittal
Au sujet des viols en Inde, voici quelque-chose dont on parle beaucoup moins: les fausses accusations de viols, aux conséquences elles aussi souvent dramatiques.
Dans le Times of India du 26 mai:
"For the third time in less than a week, the Delhi high court has decried that rape laws are often misused by women.
Flagging the issue in a judgment on Saturday, Justice Kailash Gambhir said rape cases are being used as "a weapon for vengeance and vendetta" to harass and even force a boy to marry."
http://articles.timesofindia.indiatimes.com/2013-05-26/india/39538054_1_justice-g-p-mittal
Je voudrais apporter une précision: Si l'on prend les violences en général, les hommes en sont plus fréquemment victimes que les femmes. Ils sont plus souvent victimes d'agressions, ils sont les premières victimes des conflits, etc.
Ce qui veut dire que si une femme sur trois sera victime de violence dans sa vie (imaginons que cette stat soit correcte), pour les hommes ce serait plus proche d'un sur *deux*. Citer une statistique sans l'autre donne une vision faussée de la réalité. Les hommes sont aussi victimes de violence.
Pour ce qui est des violences spécifiquement conjugales, les études montrent encore et encore que les femmes sont aussi violentes sur leur conjoint que les hommes. Voir la méta-étude ci-dessous, publiée il y a un mois:
"Among PASK’s findings are that, except for sexual coercion, men and women perpetrate physical and non-physical forms of abuse at comparable rates, most domestic violence is mutual, women are as controlling as men, domestic violence by men and women is correlated with essentially the same risk factors, and male and female perpetrators are motivated for similar reasons.
PASK is the most comprehensive review of the scholarly domestic violence research literature ever done, conducted by 42 scholars at 20 universities and research centers."
http://www.prweb.com/releases/2013/5/prweb10741752.htm?PID=4003003
@ Calendula:
"Doit-elle craindre de passer pour une féministe, si elle se fâche ou s'offusque publiquement?" Non, je ne le pense pas. La limite est la limite. Et comme chacun à sa propre limite, je trouve bien qu'elle soit exprimée clairement. Il y a des limites admises collectivement, comme le consentement indispensable, et l'on sait quels actes transgressent le consentement de manière criminelle et évidente. Mais avant les actes criminels, il y a une zone plus ou moins large selon chaque individu.
Je pense que l'on doit apprendre aux filles à oser se fâcher publiquement si nécessaire, à crier dans le tram si cela se passe. Mais après chacune a son tempérament. On ne peut vivre dans un mode de porcelaine. Il faut aussi aller au front dans la vie. Je pense même que l'on doit éduquer les enfants de manière plus dure, stimuler leur résilience plutôt que de les encourager à pleurer. Croit-on que la vie sera comme chez les télétubies? Non, elle ne l'est pas. On doit apprendre aux enfants à se relever de l'échec, mais aussi du mensonge, de la violence. Une femme violée doit se relever, elle doit être encouragée à cela, alors qu'aujourd'hui elle n'intéresse les féministes qu'en tant que victime monnayable socialement. Moi aussi j'ai dû me relever. Je connais les dégâts d'une agression grave, et je n'en sors pas intact. Et alors? C'est à moi de vivre et de recommencer quelque chose. Ce qui est perdu est perdu. Ce qui est à venir dépend de moi. On ne m'a pas pris mon pouvoir sur ma vie.
En ce qui concerne l'Inde, comment savoir si la situation est plus ou moins grave pour les femmes? Le drame terrible de la fin 2012 a eu un retentissement mondial, puis deux ou trois autres. Sur 1 milliard 300 millions d'habitant, combien de viols, quel pourcentage de la criminalité représente-t-il? Il y a aussi des féministes dans ces pays, et l'on voit comment chaque cas en Europe est généralisé. Le lendemain du début de l'affaire DSK, "tous les hommes sont des violeurs" disait le blog d'une féministe.
Les femmes pakistanaises et l'acide, c'est terrible, comme les crimes d'honneur. Mais on ne sait pas combien de femmes cela touche. Le flou des chiffres entretient facilite la généralisation. Ainsi en Inde tous les hommes sont devenus des suspects en puissance. Ce n'est pas possible. Si l'on va par là, alors tout est suspect, et l'on sait qu'une condamnation pour viol rapporte un joli montant à l'accusatrice, en plus du statut valorisant de victime - le quart d'heure de célébrité. Une vraie téléréalité. De quoi aiguiser des appétits.
Je provoque en disant cela, c'est pour mettre de la raison dans des problématiques qui sous-tendent une guerre à la moitié de l'humanité.
@ Alain Bo:
"Si l'on prend les violences en général, les hommes en sont plus fréquemment victimes que les femmes."
Oui, en effet.
Oui, si on prend toutes les violences confondues, les guerres, les bagarres de rues, les hommes sont plus souvent victimes que les femmes, mais généralement de la part d'autres hommes....mais je n'oublie pas les jeunes gens qu'on a envoyé au front ou qui le sont encore dans les pays en guerre.
Néanmoins, l'un n'explique pas l'autre, et au regard de certains commentaires, les bras m'en tombent....donc avant d'être manchotte (je suis parait-il déjà chochotte selon Didier) m'en vais aller me coucher!
Bonne nuit à tous!
"Que dans les sociétés où il permis, voir encouragé, de battre son épouse (religion musulmane) cela se produit. Partout où les hommes pensent être impunis (guerre) les viols se produisent."
Faux, dans le Coran il faut interpréter avec délicatesse, car il est une dimension spirituelle au delà de l'entendement dont est capable l'être humain, ce n'est pas comme si c'était un simple bouquin:
Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance [nushûz], exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et « frappez-les » [wa-dribûhunna].
Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Dieu est certes, Haut et Grand ! ” S4.V34.
http://oumma.com/Frapper-sa-femme-avec-le-Coran-et
Dans un premier temps exhortez-les, éloignez-vous d'elles dans leur lit (répudiez) et frappez-les : avec un sawak objet de la taille d'une brosse à dent. Donc si certains ne sont pas capables d'interpréter correctement le Coran, ce n'est pas de la faute de la religion.
Pour moi ce verset signifie en gros qu'il faut un contre-pouvoir pour se faire respecter par sa femme, tout à fait dans l'ère du temps d'ailleurs.
Et le prophète Mohammed sws a dit "le meilleur d'entre vous est celui qui traite bien sa femme"
"Il y a donc bien un problème dans les relations hommes femmes, et les femmes ont certainement à subir, de part le monde, beaucoup de mauvais traitements de par la gente masculine."
Croire que les femmes sont blanches comme neige au niveau harcèlement, attouchement (je pense par exemple aux jeunes filles un peu sauvage de notre époque) et autres dispositifs prédatifs, c'est soit être totalement naïf, soit prendre les gens pour de sacrés billes.
"Lorsqu'il y a domination, c'est généralement de l'homme sur la femme et rarement le contraire."
Pourtant depuis le MLF des années 60 il semblerait que ce serait plutôt les femmes qui dominent les hommes, même s'il subsiste certains bastions masculins.
Par exemple, un homme battu par sa femme, je le vois mal comment dominer cette dernière. Les échecs scolaires des petits garçons dans un système éducatif dominé par la gent féminine. Et encore ce ne sont que quelques détails.
Il y a bien longtemps que les hommes n'ont plus le monopole de la domination, puisque un homme qui domine, ou devrais-je dire un homme qui s'épanouit dans son identité sexuelle et est perçu par la société comme un dominateur patriarcal, est en voie de disparition.
D'ailleurs on peut constater que les femmes reprennent parfaitement le flambeau
"Voilà bien le problème...de penser comme ça excuse les musulmans de mettre leurs femmes sous le tchador...."
le tchador n'est pas un vêtement religieux, une femme doit porter le voile et puis .... c'est tout
"Et pourquoi les Amérindiens qui vivent quasiment nus ne sont pas toujours en érection, alors?"
Parce que les Amérindiens n'ont pas la notion de pudeur, d'érotisme, d'identité vestimentaire et vivent à l'état primitif. D'ailleurs les Amérindiens n'ont jamais voulu évolué . C'est le même problème que les nudistes, prenons un exemple; un homme qui s'initie au naturisme à force d'être entouré de femmes nues pour un homme au début sauf éducation il serait sans doute mal à l'aise, serait en érection en voyant toutes ces femmes en tenue d'Eve et puis avec l'habitude il n'y prête plus attention, se fond dans la masse. Puis lorsqu'il rentre du cap Vert, il se retrouve à porter des fringues comme tout le monde ou plus naturellement en hiver. Et lorsqu'il retourne au camp en étant resté longtemps habillé, il se retrouve avec les mêmes problèmes. Mais plus une femme est habillée, plus elle est mystérieuse et en même temps préserve un maximum de partie charnelle. Essayez par exemple d'observer la conversation entre un homme et une femme voilée, et essayez d'observer a crescendo, lorsque la femme tend à se vêtir sexy, voire vulgaire, l'homme aura sans doute tendance à prendre de moins en moins au sérieux cette femme, il serait intéressant de constater une certaine montée de libido ou un évitement par pudeur en fonction de la tenue de cette femme.
Ce n'est pas un hasard si les gens venant de pays où 90 % des femmes portent le voile deviennent lourd voire agressif envers les femmes pas forcément sexy comme en Belgique, et pourtant le contraste n'est pas aussi énorme que cette fille qui a fait le reportage et une femme qui vient du pays de ces individus, qu'une femme américaine très libérée au niveau vestimentaire et une femme voilée. Et paradoxalement j'ai remarqué que ce sont certaines de ces femmes qui viennent de ces pays qui semblent plus libérées au niveau vestimentaire
Attention je n'ai jamais parlé d'agression sexuelle ou physique
"Pour contrebalancer les statistiques, il faudrait que beaucoup de femmes se manifestent, car sur ce seul post, il y en a 2 en témoignage direct Calendula et moi-même) qui se sont exprimées..."
Calendula comme d'autres pas forcément féminin ont le mérite de nourrir le débat, même si vos propos sont quelque peu caricaturaux, vous avez au moins le mérite de titiller le débat, pas comme les trolls habituels qui viennent polluer ce blog
@ Turêves:
"Voilà bien le problème...de penser comme ça excuse les musulmans de mettre leurs femmes sous le tchador....
Donc pour les hommes en général et pour vous en particulier, si une femme est séduisante, c'est un feu vert pour tous les hommes???"
Vous me faites un procès d'intention. Votre remarque est hors propos. Si les musulmanes veulent bien mettre le tchador, quelles que soient leurs raisons (auxquelles les féministes, en bonnes colonialistes du monde, ne croient pas) c'est leur affaire.
Mais entre le maillot sur la plage et le maillot dans un resto du centre-ville, ou dans un cinéma en hiver, il y a des circonstances qui modifient le message. Voir de la peau sur la plage en été est intégré en général. Voir de la peau dans un autre contexte a une autre signification. Après vous faites comme vous voulez! Pour ma part si j'étais invité à une soirée de gala, je n'irais pas en short et marcel. De même si je me promenais la nuit dans le Bronx j'éviterais d'arborer une Rolex bien visible. C0'est tout, cela ne va pas plus loin.
En ce qui concerne la statistique que vous citez, avez-vous lu les deux phrases à la fin de cette page du planétoscope?
"Le Planetoscope est alimenté par des bases de données du monde entier et … par vous !
Ajoutez une information, un commentaire, des précisions ou d’autres statistiques. "
Donc chacun met les chiffres qu'il veut. Bonjour le sérieux! Il est d'ailleurs affirmé que les chiffres sont ceux des viols "commis" dans le monde, tout en précisant: "Il se commet 903 viols par jour, soit 329 708 viols chaque année dans le monde (viols déclarés)". Viols déclarés: soit aucune enquête à ce stade, encore moins de procès pour confirmer la chose. Donc il ne s'agit pas de viols commis, mais d'une supputation sur la base des chiffres donnés par les internautes. Dès lors le décompte en haut de la page est pourri grave.
Tiens, en Suède, plusieurs sources indiquent une recrudescence de viols.
«Depuis la pénalisation du client en 1999, les violences sexuelles sont en constante progression en Suède. Selon L'Office de lutte contre la drogue et le crime organisé de l'ONU, la Suède a la plus forte incidence des viols signalés en Europe. Selon une étude de 2009, il y avait 46 cas de viol pour 100.000 habitants.»
http://www.atlantico.fr/decryptage/najat-vallaud-belkacem-t-elle-conscience-que-nombre-plainte-pour-viols-explose-en-suede-simultanement-interdiction-prostitution-537144.html#oG8zkFaTY06vOYyu.99
Au passage, 46 cas (vérifiés? Jugés?) sur 9 millions d’habitant, cela fait 4’000, pas 60’000. Pourtant le chiffre de 60’000 tourne en boucle sur internet. Et il y a aussi ceci:
«Les victimes sont de plus en plus jeunes. En 2006, deux tiers d’entre elles avaient moins de 30 ans. Plus de la moitié étaient ivres. Et la majorité n’avait jamais rencontré son agresseur, vingt-quatre heures avant le viol.»
L’alcool et des pratiques comme l’alcoolisation violente et rapide, y compris par les filles, cela ne semble pas aider, si l’on n’est plus en état de dire non. Mais en Suède la loi stipule que la relation sexuelle avec une femme prise de boisson est automatiquement un viol. Comme de faire l’amour à sa compagne en pleine nuit (cf Julian Assange). Cela fait monter les statistiques. Et au fait, une femme ivre qui sollicite un homme, n’est-elle pas coupable de harcèlement? Il faut tout envisager, pas seulement un côté.
http://www.liberation.fr/monde/0101564572-la-suede-malade-de-ses-viols
Et il y a aussi ceci, dont personne n’ose vraiment parler: à Oslo, selon la police, 100% des viols sont commis par des immigrés non européens. Accrochez-vous, ça fait des dégâts. Je n’ai même pas encore osé en faire un billet:
http://www.youtube.com/watch?v=I35gB2Y61HM
@ApprentissageVie:
Oui je me disais bien que ce mouvement n'est pas pour l'égalité ses sexes, du moins il est paradoxale de militer d'un côté pour l'égalité des sexes et faire de la politique pour la moitié de l'humanité de l'autre ce qui est de toute évidence du communautarisme. Certaines féministes que je respecte comme Badinter ont au moins le mérite de ne pas dire de bêtises ce qui est loin d'être le cas de la majorité des féministes présentées dans les plateaux TV, magazines et autres futilités.
Après tout comme le dit Polony dans "l'homme est l'avenir de la femme" le féminisme est la suite logique des philosophes des Lumières à l'origine de la Révolution de 1789.
C'est la raison pour laquelle j'ai évoqué le fait qu'il faille d'urgence que ce mouvement se rebiffe en responsabilisant les femmes et en montrant les modèles féminins dans les métiers où elles peinent à se hisser : mathématiques, car qu'on le veuille ou non, qu'ils soient de même taille ou pas, le cerveau féminin et masculin d'après les neurobiologiste canadien ne fonctionnent pas du tout pareil.
@ turêves
"oh, Didier, si vous voulez polémiquer sur les fautes de frappe, je vous signale qu'on dit "ses" règles..."
Ce n'est pas mon genre de m'attarder sur des détails comme ceux-là, surtout s'ils sont insignifiants. Mais ça ne me surprend pas; en voila encore une prise sur le fait, à pinailler, qui comme je l'avais dit auparavant "focalise sur des détails, fuit l'argumentaire, fait semblant d'être incapable de raisonner...".
Elle ne répondra pas sur le fond avec quelqu'un comme moi, car les gens comme moi posent les vraies questions et apportent les vraies réponses, et je crains que le réveil soit brutal pour elle, crack! par terre.
Pour ce qui est de "scier la branche sur laquelle on est assiSE", je rigolais parce que je ne pense pas que ce soit juste une faute de frappe, je pensais plutot à un lapsus révélateur. Pour le coup c'est significatif.
Dans ce genre là voyez :
Un lapsus qui contredit tout ce que vous aviez envie d’exprimer révèle le fait que vous abondez en réalité dans la position inverse. Ceci connote une attitude obligatoire, c’est-à-dire le fait que vous êtes obligé de défendre cette position alors que vous n’en êtes pas convaincu.
@ prometheus: selon le site la cause des hommes Françoise Badinther ne dit pas trop de bêtises. voici le site.
http://www.la-cause-des-hommes.com/
@ApprentissageVie et hommelibre,
Vous me (nous) donnez des pistes de comportements à adopter en cas de transgression de limites, nous parlons donc d'attouchements par des inconnus ou des personnes connues, qui tentent leur chance de façon téméraire. J'aimerais m'attarder sur ces pistes, avec un regard pragmatique.
Ce que je crois y lire, c'est cette posture de la personne calme, qui verbalise et structure un discours clair, un peu comme une maîtresse d'école. Cela ne me dérange pas, puisque je suis maîtresse d'école ! mais mais...
Cela demande une sacrée force de caractère, surtout si on est jeune. Arriver à rester calme et en maîtrise de soi, si on a peur et que l'on est sur alerte rouge(ça signifie p.ex. qu'on peut se mettre à trembler très fort). Pensons simplement à une jeunette face à un homme d'âge mûr, pendant une fête de famille ou une fête de Noël en entreprise.
La femme a avantage à effectivement être calme et digne et garder en tête tous les paramètres. En un instant, elle doit avoir des réflexes raisonnables, garder les yeux en face des trous, vérifier qui est à l'entour, si elle peut obtenir des appuis et si elle est en sécurité, si le scandale peut lui rejaillir dessus, si sa réaction est appropriée ou possiblement trop prude.
Dans la nature, les attitudes des animaux face à plus fort que soi, c'est soit la lutte, soit la fuite. Une mère avec des petits est connue pour être féroce, mais si on n'a pas de petits et qu'on ne bénéficie pas de cette poussée d'adrénaline-là ?
Selon moi, la fuite est un bon plan, une fuite silencieuse, s'il y a des témoins.
Si on est sans témoins, que la fuite est hors question, il faut jouer sur la surprise, trouver une stratégie de déstabilisation de l'adversaire.
Jeune, j'étais tétanisée. Ce souvenir m'a rendue très peu sûre de moi pour la suite. J'ai donc toujours pris mille précautions pour ne pas me retrouver seule dans des endroits jugés dangereux.
Avec le recul, je me dis que j'aurais dû faire des cours de self-défense, pour être réactive. Mais déjà à l'époque, je trouvais ça un peu parano. Je n'étais pas en guerre, je voulais trouver des stratégies raisonnables pour m'en sortir.
La stratégie de l'anticipation des zones dangereuses ne marche pas à 100 %: p.ex. la fois, où je me suis trouvée seule, à 1h du matin, dans un quartier un peu louche à Philadelphie, avec une clé américaine un peu bizarre pour ouvrir la porte, à cause de laquelle je me suis éternisée à découvert. J'avais déjà dû traverser des rues vides toute seule et j'étais passablement ébranlée. J'ai eu très très peur, mais je devais avoir un ange gardien.
A mes yeux, si je m'étais fait agresser, simplement pour une histoire d'argent, j'aurais été responsable de m'être laissé mettre dans cette situation.
Heureusement que le concept de résilience commence à être largement connu. C'est vraiment l'ouverture possible, pour tous ceux qui ont reçu des coups dans la vie. Cela doit concerner presque toute la population ! En effet, qui se vante de vivre en Teletubbie ?
(Même ceux qui n'ont pas de problèmes se plaignent d'injustices et de problèmes imaginaires !)
Il me semble que la tendance générale en Suisse veut qu'on vive dans un monde sans difficultés, on aurait droit qu'aux bons côtés.
Si on pense à la mobilité : chacun veut se déplacer le plus rapidement, économiquement et confortablement d'un point A à un point B, à sa façon.
Si cela entraîne l'encombrement du ciel, des routes et des rails, c'est inadmissible.
On veut manger des bonnes choses pour pas cher et sans perdre de temps - vous compléterez vous-même ce qui en découle ...
Pour en revenir aux femmes : on les veut belles et féminines, assez sûres d'elle pour savoir poser clairement les limites et gérer les émois qu'elles peuvent susciter, mais il ne faut pas qu'elles dépassent les limites non plus !
@ Calendula:
concernant l'agression que ces femmes peuvent subir, je réfléchissais sur l'idéal, ce qu'il serait possible de faire. Mais en effet j'ignore ce que cela fait d'être agressé sexuellement.
En tout cas merci de m'avoir fait me souvenir qu'on veut aliéner également les femmes. Pourquoi le féminisme ne s'en occupe pas? Sur certains sites, il y a une théorie selon laquelle le féminisme n'est pas fait pour les femmes mais pour la minorité occidentale la plus fortunée, les femmes de la classe supérieure, qu'ils appellent bourgeoises.
Quelles sont les revendications actuelles? La parité en politique et dans les postes à haute responsabilité. Cela ne concerne qu'une minorité de femmes, rien ne dit qu'elles seront plus compétentes ou également compétentes, comme elles ont été placées. C'est comme la promotion canapé.
On ne parle pas de la majorité des femmes occidentales, des secrétaires, des charcutières, des femmes au foyer.
Le droit au travail? Parlons plutôt d'obligation au travail. Le viol? Toujours pas éradiqué. Les autres parties du monde? Elles revendiquent sans comprendre les autres modes de vie (Femen), sans changer les choses efficacement.
Déconnectées des réalités, elles ne font rien pour améliorer le sort de l'extrême majorité des femmes occidentales.
Sérieusement, pensez-vous que la femme à la tête d'une entreprise ou députée soit automatiquement meilleure qu'un homme? Ce qui compte c'est que la personne soit la meilleure dans son domaine et qu'elle ait des résultats et pas son sexe.
Une inquiétude me taraude: peut-être que ces femmes placées ne sont pas compétentes, que la seule chose qui les amène soit le pouvoir pour en abuser.
Mais bien sûr ce n'est que l'un des nombreux problèmes que traverse l'Occident: l'égoïsme y règne en maître car on ne peut faire autrement, le clientélisme (Bernard Tapie a gagné 45 millions d'euros pour préjudice moral), les politiques manquent de courage, le néolibéralisme nous mène sur une pente toujours plus savonneuse, nous détruisons la planète pour des choses inutiles, nous négligeons notre Défense...
Je pourrais ajouter d'autres problèmes, mais cela pourrait remplir des pages entières. L'Occident se désagrège, comme la Rome antique: ils jouissaient de l'instant présent sans se soucier du futur alors que les Barbares étaient à leur porte. Quelle importance? Nous pouvons consommer, consommer, consommer. Quelle merveille...
@ turêves
"Oui, si on prend toutes les violences confondues, les guerres, les bagarres de rues, les hommes sont plus souvent victimes que les femmes, mais généralement de la part d'autres hommes...."
mais les hommes sonts déjà plus victimes de violences psychologiques de la part de leur compagne que l'inverse et ça c'est la réalité actuelle !!!
ça sert à quoi de nier cette réalité.
@ Calendula
"S'il est logique que les pères s'occupent de l'éducation de leurs fils, je me demande si c'est à eux seuls d'expliquer ce qui se fait et ne se fait pas au niveau de la drague ou de la séduction."
le propos n'est pas que les péres ne soient pas là pour expliquer à leurs ado ce qui se fait où pas mais qu'ils soient absents pour jouer leur rôle de pére par rapport aux ados
http://www.uniondesfamilles.org/absence_du_pere.htm
"J'en parlerai à ton éducateur" introduit un tiers dans la relation entre la mère et l'enfant. Et c'est un drame aujourd'hui pour nombre d'adolescents de ne pouvoir passer que de madame l'enseignante à madame la juge et à madame l'éducatrice. La seule figure masculine éducative pour eux c'est le CRS ! Il serait urgent de créer une parité dans le monde éducatif."
http://www.cairn.info/article.php?ID_REVUE=EP&ID_NUMPUBLIE=EP_021&ID_ARTICLE=EP_021_0058
LES PARENTS ONT CHANGE
L’évolution de l’assistance éducative vers plus de compréhension a été rendue possible par les changements survenus chez les parents eux-mêmes. C’est là-dessus que je voudrais maintenant insister.
Dans les années soixante, on rencontrait souvent des parents de droit divin qui considéraient leurs enfants comme leur propriété personnelle. Il fallait taper sur la table pour conquérir de haute lutte une position de tiers légitime à intervenir, avec le risque de se situer davantage en avocat de l’enfant qu’en magistrat.
Insensiblement, le paysage a changé. Non seulement ce type de configuration s’est estompé, mais on a eu de plus en plus le sentiment d’avoir affaire à des gens non pas indifférents à leurs responsabilités parentales, mais dominés par des difficultés de vie incompatibles avec l’exercice de celles-ci [2].
La clientèle de l’assistance éducative, autrefois identifiée au sous-prolétariat, s’est élargie, diversifiée, et elle reflète pour une part les incertitudes d’une parentalité inquiète, voire dépassée, par les problèmes éducatifs. La famille est demandeuse plus souvent qu’on ne le croit, ce qui n’est pas forcément d’un bon pronostic quant à l’efficacité de l’intervention, compte tenu des naturelles ambivalences d’une telle démarche, mais témoigne d’un changement de représentations.
Les causes de cette évolution sont multiples : en l’espace d’une cinquantaine d’années, la puissance paternelle, prérogative dévolue aux pères, est devenue une autorité parentale partagée, quand elle n’est pas disputée entre père et mère, voire divisée de fait entre des partenaires successifs.
@ Calendula:
Dans une situation de stress extrême ou d'agression on ne sait pas si les stratégies fonctionneraient. Mais c'est bien d'en prévoir, en sachant que tout le monde n'est pas méchant (sans quoi l'espèce aurait disparu) mais qu'il suffit d'un individu pour gâcher la vie de centaines d'autres.
Sur les agressions spécifiquement sexuelles, les hommes sont plus responsables, c'est ainsi. Ils doivent donc être davantage éduqués à se gouverner. Je parlais du père car lui peut ancrer une crainte physique. L'éducation est en partie du dressage. Mais si l'on est devant un cas pathologique, ce qui semble être le cas de nombre de violeurs, c'est comme devant un animal enragé. Par contre pour les agressions mineures comme celle que vous avez citée, elles sont plus difficiles à anticiper. Moi je dirais qu'en public, il faut surréagir, d'où ma suggestion de crier. Si vous devenez le centre de l'attention, l'autre qui est contre vous aussi!
Pour les stratégies des femmes, j'imagine aussi qu'aujourd'hui elles pourraient avoir un petit appareil à décibels attaché de manière accessible. Une traction dessus et il fait plus de bruit qu'une sirène de police.
Ce qu'il faut se dire, dans l'acceptation d'une certaine dangerosité du monde, est que peu de gens suffisent à le pourrir. Donc déjà ne pas voir des ennemis partout. Mais comme les animaux qui sont toujours attentifs à ce qui se passe autour d'eux, il y a des cas où l'on doit abandonner notre tranquillité au profit d'une vigilance accrue.
Vous citez cet épisode nocturne, et en fait il est le même pour les hommes seuls la nuit dans des rues désertes. Il y a beaucoup plus d'agressions pour des vols que de viols. Dans une ville, l'appareil à bruit est un truc utile je pense.
@Leclercq:
"mais les hommes sonts déjà plus victimes de violences psychologiques de la part de leur compagne que l'inverse et ça c'est la réalité actuelle !!!"
ça reste à prouver, ça, comme les stats de l'OMS....
@ Didier (qu'il est mignon et ingénu, celui-là...)
Aller, aller, sur le fond, vraiment? Quand on traite de chochotte une femme qui mentionne avoir subi plusieurs comportements tout à fait inadéquats, voire pénalement condamnable (attouchement sexuel sur mineure pour un cas, voyeurisme avec poursuite jusque dans l'immeuble dans le deuxième cas, attouchements de nouveau avec une certaine violence dans le troisième cas, ceci avant ma majorité) donc, disais-je, quand votre réponse est de me traiter de chochotte, cela en dit long sur votre philosophie concernant le sujet...
Ensuite, quand un parfait inconnu vient vous proposer de vous prendre en sandwich avec son pote, alors que vous êtes tranquillement en train de distribuer des pamphlets, si vous trouvez que c'est tout à fait chouette, que si j'ai mes règles je devrais m'en réjouir, mon Dieu, que répondre? Vous êtes simplement le genre d'homme dont on se plaint....ou bien aurais-je mal compris?
@ aux autres
Voilà, pour moi le sujet est clos; aucune dame ne s'étant présenté pour me contredire, je suppose que je peux affirmer qu'il y a au moins 30% des femmes qui se font "emmerder" par de parfaits inconnus simplement parce qu'elles sont femmes. Mais je pense que c'est plus, car comme je vous l'ai dit, je ne connais personnellement aucune femme qui n'a pas au moins un épisode de ce style à raconter. Alors, non, pour ma part, je ne suis pas traumatisée à vie, mais je fais gaffe et j'ai enseigné à mes filles la même chose....
@hommelibre,
Absolument d'accord que dans une ville, la nuit, tout le monde est une cible potentielle.
Simplement, les personnes moins costaudes peuvent être ciblées par plus d'agresseurs potentiels, qui n'ont pas besoin d'être eux-même très puissants ou très armés. Ainsi, ne vieille dame risquera davantage qu'un jeune athlète mesurant 1.85m, qui risque de riposter de façon efficace.
Est-ce que l'appareil que vous décrivez existe ? Ca m'intéresse, car lorsque je serai une vieille dame, ça pourrait vraiment être pratique.
A l'heure actuelle, je me contente d'être vigilante et d'anticiper les situations dangereuses que je connais, directement ou par l'intermédiaire de mes proches et amis, tout en essayant de ne pas avoir une mentalité d'assiégée.
J'espère savoir réagir de manière adéquate, si quelqu'un me remet la main dessus ou se frotte, dans le style de l'inconnu beurk d'il y a 40 ans.
@ApprentissageVie,
J'apprécie votre sérieux et votre façon d'aborder les problèmes sans à-priori.
J'aimerais répondre à ceci d'abord :
"Sérieusement, pensez-vous que la femme à la tête d'une entreprise ou députée soit automatiquement meilleure qu'un homme? Ce qui compte c'est que la personne soit la meilleure dans son domaine et qu'elle ait des résultats et pas son sexe.
Une inquiétude me taraude: peut-être que ces femmes placées ne sont pas compétentes, que la seule chose qui les amène soit le pouvoir pour en abuser."
Si vous remplacez le mot "femme" par "homme", vous n'arrivez pas à des phrases absurdes...
En effet, sommes-nous si sûrs que l'homme arrivé au pouvoir ne cherche pas parfois à en abuser ?
Sommes-nous totalement assurés qu'un homme est automatiquement meilleur qu'une femme à un poste à responsabilités donné ?
Comme vous, j'aimerais que la personne la plus compétente occupe les postes, à quelque niveau que ce soit.
Posons le problème ainsi :
Comment choisir entre deux hommes qui postulent pour un même job ? Selon quels critères le patron ou le responsable des Ressources Humaines va-t-il trancher ?
Il va essayer de comparer objectivement les CV, l'âge, l'expérience, les qualités humaines et parfois même faire effectuer une analyse graphologique. Lorsqu'il aura choisi, il ne saura jamais si le rival n'aurait pas été en définitive meilleur.
Parfois, le piston ou le népotisme entrent en jeu et cela fausse la donne, même entre les candidats masculins. On sait également que les jeunes sans expérience sont défavorisés.
Quittons le monde exclusivement masculin, pour considérer quels sont les avantages et les inconvénients d'une femme à un poste de responsabilité.
Le sexe est certes un critère qui peut être mis en avant. Certaines boîtes ont compris que d'avoir des femmes parmi les cadres peut amener à développer des produits ou services innovants, qui correspondent à des besoins que les femmes perçoivent en priorité. J'ai récemment lu des statistiques à ce sujet et l'augmentation du chiffre d'affaire dans des boîtes suisses est avérée, suite à l'arrivée de femmes dans l'équipe dirigeante.
Etre une femme-alibi n'a rien de glorieux. C'est certainement plutôt un handicap. Une femme sait qu'elle doit en faire davantage qu'un homme pour ne pas passer pour un alibi. Une jeune femme sait qu'elle doit se prononcer sur ses projets familiaux lors d'un entretien d'embauche.
En Suisse, dans un temps pas si reculé, les jeunes hommes avaient un problème similaire : ils devaient beaucoup s'absenter au profit du Service militaire, pour les cours de répétition annuels. Cela a un peu changé, heureusement, car ils auraient été désavantagés par rapport aux candidats étrangers ou les exemptés de service.
Il est difficile pour un patron de se dire qu'un gradé à l'armée ou une mère de famille apporte une plus-value pour l'entreprise, car ce qu'on constate en premier, c'est qu'on paye les personnes "à ne rien faire", pendant leurs absences.
@ tu rêves
"mais les hommes sonts déjà plus victimes de violences psychologiques de la part de leur compagne que l'inverse et ça c'est la réalité actuelle !!!"
ça reste à prouver, ça, comme les stats de l'OMS....
ah oui c'est vrai ça n'a pas de valeur si ce n'est pas une enquête !!!
ouvrez les yeux et regardez la réalité en face, ce que j'ai écrit mon épouse le constate tous les jours dans sa clientéle, Sylvianne Sptitzer elle là constaté ce que c'était la violence psychologique envers les hommes, elle est lucide et honnête elle.
les hommes ne fonctionnement pas comme les femmes, ils ne fonts pas de tapage, les femmes féministes elles gonflent les chiffres mentent exagérent sonts de mauvaise foi, ne sonts pas lucides, pas impartiales, et ces fonctionnement là peu de personnes en onts réellement conscience, c'est ce qui fait leur force tout le monde croit du moment que c'est une enquête, que c'est écrit que c'est dit à la télé que ça ne peutr être que l'exacte vérité, oui mais ça doit vient de femmes féministes ce n'est pas parce que c'est écrit quelles deviennent du jour au lendemain honnêtes.
ces hommes victimes de violences psychologiques onts crus au dicours ambiant à quoi ça leur sert à rien, ils n'en sonts que plus méprisés par des personnes comme vous, leur souffrance des personnes comme vous avec des oeilléres sans moquent.
elles onts fait voter des lois pour que ces hommes quoi qu'ils fassent soient coincés, leurs compagnes le savent, une seule solution dans ces cas là, un vrai contre pouvoir à ces femmes dés le début de la relation de la fermeté de l'assertion dironts les psychologues, voilà ce qu'écrit Sylvianne spitzer.
Calendula, l'appareil existe, je pense qu'on le trouve assez facilement et bon marché.
@ ApprentissageVie: Sur la question de savoir si des femmes peuvent abuser du pouvoir, l'inverse est pour moi tout aussi évident. L'Histoire montre que le goût parfois immodéré du pouvoir n'a pas de sexe. Pour ne pas en abuser, il faut plus que de l'éducation et de l'éthique. N'importe qui peut prendre goût au pouvoir. Hollande, Sarkozy, Giscard, et d'autres, semblent avoir apprécié. Mais leur goût est mineur: népotisme soft, honneurs, etc. Ils ne sont pas des Néron, des Napoléon, des Catherine de Russie. Je me demande parfois si le goût immodéré du pouvoir n'est pas aussi lié à des composants neurologiques ou biologiques.
Pour ce qui est du goût "light" du pouvoir, si la personne remplit bien son contrat et qu'elle sert son job au moins autant qu'elle-même, c'est déjà pas mal. J'accepte que les humains ne soient pas sages à 30 ans, ni même à 40 ans. Mais c'est un âge où leur ambition va leur faire réaliser beaucoup de choses. Le tri entre le service à la communauté ou à l'entreprise, et le service à soi-même, se fera plus tard. Il faut d'abord aller au charbon pour en connaître la couleur et l'odeur.
@ Turêves:
Je pense que vous faites bien d'apprendre à votre fille à faire gaffe. Même si le nombre d'hommes au comportement déplacé est certainement faible, le risque n'est pas nul, évidemment. Mais ne lui faites pas peur: tous les hommes sont loin d'être cela. Ici vous avez pas mal d'internautes hommes qui ne se reconnaissent pas dans le portrait "maléfique" que l'on fait des hommes.
C'est bien que vous ayez posé la question pour savoir si d'autres femmes vous contredisent. Mais sur un blog quelques avis ne peuvent faire statistique, et je questionnerais autant le résultat si d'un coup cent débatteurs hommes disaient tous avoir été victimes de fausses accusations.
Cela dit, si vous prévenez votre fille, je ferais de même si j'avais un fils sur le risque de fausse accusation.
Merci de votre visite et de votre contribution.
@ turêves
les stats de l'oms sonts fait par des militants avec une mentalité de militante. comme le décrit trés bien élisabeth Badinter
http://www.pensamientocritico.org/elisbad0105.htm
"L’autre monde féministe est un ensemble de nébuleuses constitué de centaines d’associations, voire de milliers sur toute l’Europe. Sa vocation est de secourir des femmes, de venir en aide. Ses militantes, extrêmement engagées, ont une fonction unique: une fonction sociale de réparation. Ainsi, lorsqu’il s’agit, par exemple, d’associations de défense contre les violences faites aux femmes, on observe la plupart du temps une «réaction de militantes» à propos du sujet qui les préoccupe.
Ces associations-là, de terrain, ne se réclament de personne, faute de grande figure du féminisme comme Simone de Beauvoir, mais ne sont pas sans influence. Elles sont proches des médias de gauche et arrivent très bien à se faire entendre. Ce qui me paraît inquiétant, c’est qu’à partir de leur combat quotidien, ces associations dégagent une image de la femme – leur image propre de la femme, c’est-à-dire celle qui constitue leur «ordinaire» et dont elles font une «généralité». Ces féministes, qui s’occupent de femmes violées ou de femmes agressées, induisent de leur constat une condition des femmes qui remonte à la presse par le biais de leurs amies journalistes. J’ai été très frappée de voir – que ce soit pour la prostitution, pour la pornographie, "
"Erin Pizzey (1939- ) : écrivaine anglaise très intéressée par la condition féminine, mais hors idéologie ; elle ouvre en 1971, à Chiswick, le premier centre pour femmes victimes de violences conjugales. Dix ans plus tard, après avoir reçu cinq mille femmes et perdu beaucoup d’illusions, elle raconte son expérience dans Prone to violence (Enclin à la violence, 1982). Elle y fait plusieurs constats politiquement incorrects : la moitié des femmes venues dans ce centre sont elles-mêmes violentes ; leur misère est exploitée par des encadrantes sexistes qui les poussent à la haine des hommes en général ; la violence conjugale est devenue une industrie dotée de budgets énormes que des groupes idéologiques essaient de capter à leur profit. La publication de ce livre déclenche contre elle une véritable hystérie, au point qu’elle a besoin d’une protection policière pour en faire la promotion. Il devient un livre maudit : jamais traduit en français, et accessible seulement dans quelques bibliothèques du monde. Elle continue, dans des articles, à démonter et à dénoncer les mécanismes de l’idéologie misandre."
ces deux textes confirment le fonctionnement du féminisme.
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/famille/la-verite-sur-les-violences-conjugales_485479.html
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/11/19/01016-20121119ARTFIG00562-il-est-rare-qu-un-homme-battu-depose-plainte.php
136.000 hommes ont été victimes de violences conjugales en 2011. Mais l'on sait par ailleurs qu'il est rare qu'un homme dépose plainte pour avoir subi des violences de la part de sa femme. Moins de 4 %, le feraient… Ce qui laisse penser que les chiffres réels de violences conjugales subies par des hommes sont beaucoup plus importants que les 110 000 plaintes effectivement recensées.
Un homme peut ainsi passer sa vie à être sans cesse dévalorisé par sa femme
ça c'est ce que constate mon épouse tous les jours.
et il y en a beaucoup quand on voit le nombre d'hommes estimé que la violence envers eux mérite un dépot de plainte !!!
path path
On peut imaginer la vie de certains hommes mariés quant on voit ces mégères / semeuses de zizanie sur leur lieu de travail !
Le 19/11/2012 à 17:01
@ turêves
Maintenant qu'elle ne pinaille plus, elle fait dans les sarcasmes, mais elle ne répondra pas sur le fond du sujet.
"Quand on traite de chochotte une femme qui mentionne avoir subi plusieurs comportements tout à fait inadéquats, voire pénalement condamnable (attouchement sexuel..."
Malhonnête. Apprenez à être précise pour des choses vraiment utiles, ça pourrait faciliter votre compréhension de la réalité au lieu de comprendre ce que vous voulez comprendre. Je réagissais précisément à ce que vous avez dit "les filles, les demoiselles, et les dames, probablement plus d'une sur trois, seront importunées une à plusieurs fois au cours de leur vie par des indélicats"; ni plus, ni moins. Effectivement vous êtes une chochotte, ça me semble évident. Importunées par des indélicats, ah ah! Oh pauvre choux!
Vous imaginez si chaque homme ou femme se mettait à geindre "olala elle m'a dit que j'avais un beau cul!", "elle m'a demandé direct si je voulais baiser, aie aie aie!", "elle m'a mis la main sur les pecs, j'en suis choqué!" etc.
"Ensuite, quand un parfait inconnu vient vous proposer de vous prendre en sandwich avec son pote, alors que vous êtes tranquillement en train de distribuer des pamphlets (NDLR si on peut même plus distribuer des pamphlets sans se faire choquer par des inconnus!), si vous trouvez que c'est tout à fait chouette, que si j'ai mes règles je devrais m'en réjouir, mon Dieu, que répondre?"
Non là vraiment celui qui vous a proposé ça c'est peine de mort direct...
Vous manquez peut être encore un peu d'humour ou de répartie je sais pas.
En plus j'avais pas bien compris ce que vous vouliez dire, j'ai cru qu'un type proposait un plan à 3 à sa jeune copine; d'où ma réponse, si elle a l'"age" de baiser et qu'elle est d'accord je ne vois pas où est le problème.
http://jeanmorizot.blog.lemonde.fr/2012/11/24/violences-conjugales-les-hommes-battus-organisent-leur-defense/
." Il est l’un des rares à avoir intenté une action en justice. Sylvianne Spitzer donne les chiffres : "4% déposent une main courante, 1% portent plainte, 1% entament une procédure de divorce. Il ne se passe rien dans 94% des cas."
"95% des juges aux affaires familiales sont des femmes"
Olivier Besida, délégué de SOS Papa à Paris, prend la parole. Il présente son association. Cette dernière réclame qu’aux yeux de la loi, "père et mère soient traités sur un pied d’égalité". Fondée il y a vingt ans, elle revendique 15 000 adhérents et "conseille en moyenne 6 000 papas par an." Les pères victimes de pressions ou de violences sont confrontés à un dilemme récurent : "Partir ou rester pour protéger les enfants. Car la mère en obtiendra toujours la garde."
Plusieurs participants au colloque sont en procédure pour obtenir la garde de leurs enfants. La conversation s’engage sur les JAF (juges aux affaires familiales), une "parodie de justice". Un homme assure que "95% des JAF sont des femmes qui favorisent les femmes, protégées par le pouvoir souverain d’appréciation des juges". Certains ne cachent pas leur dégout du système judiciaire. Ils s’estiment victime de misandrie. "Qu’est-ce que c’est que ces conneries ?", murmure au dernier rang une dame qui quittera la réunion avant son terme.
quand j'écrivais plus haut que les féministes n'étaient pas impartiales, elles donnent un bon exemple de leur fonctionnement dans la justice familiale, qui est devenue avec ces dames de la parodie de justice où sonts ces belles qualités féminines que les femmes politiques mettent en avant ?
@c'est bien ce que je disais: faisant partie du lot des irrespectueux, vous trouvez tout normal. Au revoir, malotru!
@ Turêves:
Didier est cru et assez franc de collier. C'est son style. Il n'a pas besoin que je le défende, mais je veux simplement dire que je ne le perçois pas comme vous. Il est direct, alors par exemple que je sui plus nuancé. Parfois j'essaie d'être comme lui, parce qu'il y a quelque chose qui m'intéresse dans cette forme de l'énergie que j'ai envie d'appeler masculine (à raison ou à tort). Quelque chose que je n'ai pas. Les femmes aiment bien mon côté plus féminin, mais je trouve que ce côté masculin direct me manque quelques fois.
Je ne crois pas qu'il trouve tout normal, mais si les gens sont d'accord ensemble c'est leur histoire. Sans vouloir vous commander, j'aimerais vous suggérer de laisser de côté la forme qui semble vous heurter. Il apporte sa vision, ses développements, et sur ce coup je vous trouve excluante à son égard. Les femmes ont leur style, elles ont des exigences, elles sont aussi parfois tranchées, les hommes peuvent aussi l'être à leur manière.
...on peut essayer d'être courtois et poli...
Ce monsieur est grossier, moqueur, et ne sait pas lire...c'est bête, hein, de vouloir provoquer les gens sans avoir lu ce qu'ils ont écrit...
Quand je parle poliment d'être "importunée" j'ai écrit très explicitement qu'il s'agissait de gestes (plotter les fesses où les seins avec une quelconque partie de son corps) et de paroles crues sexuellement parlant.
Si ce monsieur trouve ça normal, et que vous le défendez, ma foi, je pense que vous faites aussi partie du lot des gens qui pensent que ce n'est pas si grave d'emm... les femmes simplement de part leur sexe....
Z'êtes graves, les mecs, z'êtes graves...je risque de finir féministe aussi, lol...
PS: dire à quelqu'un qu'il/elle a un beau cul(ou autre compliment), c'est mal élevé mais pas grave..... d'autres paroles par contre peuvent être aussi choquantes qu'une menace...
Au revoir
@ turêves: des nombreuses incohérences que vous nous sortez, voici peut-être la plus étrange: 'aucune dame ne s'étant présenté pour me contredire, je suppose que je peux affirmer qu'il y a au moins 30% des femmes qui se font "emmerder" par de parfaits inconnus simplement parce qu'elles sont femmes'.
Premièrement, ce site, excellent au demeurant, a peu de commentateurs, occasionnels ou réguliers, pour ce débat il y a eu 8 intervenants. Deuxièmement, hormis vous et calendula, il me semble qu'il n'y ait eu que des hommes pour intervenir(leclercq, moi, hommelibre, Didier); je peux me tromper mais c'est ainsi que je le ressens.
Troisièmement, le fait que ces supposées internautes ne réagissent pas à une affirmation aussi grave ne signifie pas forcément qu'elles ont ressenti la même chose, il est possible qu'elles n'aient pas lu; si elles étaient d'accord je me demande pourquoi elles n'ont pas intervenu.
Quatrièmement, nous vivons dans des sociétés officiellement misandriques (qui se concentre sur les fautes des hommes), je peux très bien imaginer que par solidarité les femmes se plaignent sans réel fondement des hommes alors que les hommes ne peuvent pas faire de même sous peine d'être taxés de misogynie. Cinquièmement, vous avez lancé plusieurs attaques gratuites sans réagir quand nous pointions le doigt sur vos erreurs.
En conclusion, je dirais ceci: je pense depuis quelques semaines que le coeur du féminisme est mauvais, et que ses précédentes avancées pour les droits des femmes (droit de vote ou accès au marché du travail) était humanisme. Vous provoquez la haine, et vous ne vous en rendez même pas compte. Je suis triste pour vous, et je vous plains.
'
@ Calendula: je vous remercie, justement je me méfie des a priori, j'ai trop vécu pour m'y fier. J'ignorais qu'un responsable des Ressources Humaines pouvait utiliser la graphologie pour choisir dans entretien, ou des difficultés d'une personne affectée au service militaire de trouver un emploi.
Cela me dérange concernant les militaires ou les femmes au foyer car ils sont considérés comme un coût. Mais ils apportent tellement plus: les militaires défendent leur pays, les femmes au foyer s'occupent de leurs enfants. Ces deux catégories assurent en particulier le futur.
Concernant les femmes au pouvoir, dans les postes à haute responsabilité, ou présentes dans des domaines traditionnellement masculins, cela ne me dérange pas. Ce qui me dérange, c'est la parité, qui dévoie l'égalité, et le népotisme (piston): hommes comme femmes ils peuvent être incompétents; ce qui me dérange c'est quand on influence sur la réalité par ses a priori (les hommes battus ne sont pas pris en compte par le système juridique français).
@ hommelibre: effectivement, un homme au pouvoir n'est pas forcément bon parce que c'est un homme: il me semble que les dictateurs sont en grande majorité des hommes, ils oppressent leur peuple.
Un homme élu démocratiquement peut transformer son pays en dictature, comme Hitler.
Concernant Napoléon, j'ignore quoi penser de lui: d'un côté il a exporté les idéaux de la Révolution à d'autres pays (en les envahissant), et il a fait un premier pas vers l'égalité avec son Code civil, tout comme il a fait la synthèse de la Révolution pour en faire un ensemble cohérent; d'un autre côté il a épuisé la France, elle ne s'en serait toujours pas remise en 1870, et il a voulu créer un véritable empire.
Concernant les femmes, je pense que c'est pour contrer les religieux qu'elles ont mise sous coupe réglée, et c'est à partir de 1905, entrée en vigueur de la loi portant sur la séparation de l'Eglise et de l'Etat, que cette situation absurde a évolué.