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Solidarité à Compostelle

L’accident est terrible. Un wagon monté à 10 mètres sur un pont. Un autre en feu. Plus de 80 morts. Le pays est en deuil.

train,déraillement,espagne,compostelle,Spontanément les habitant proches se sont portés au secours des survivants. Ils ont commencé à sortir les blessés et les ont posés sur des brancards de fortune. Ils se sont mis au service des secouristes dès leur arrivée et ont donné leur nuit et leur énergie.

Cette solidarité n’allège pas la douleur des blessés ni des familles. Ni la colère à venir contre un conducteur qui s’était déjà vanté sur Facebook de ses excès de vitesse.

Mais elle rappelle que, parfois, l’humain est capable du meilleur.

 

Luar na Lubre, «Chove en Santiago» - Il pleut à Santiago, paroles de Federico Garcia Llorca:


Catégories : société 2 commentaires

Commentaires

  • Magnifique vidéo de solidarité, merci.

    Le conducteur, très expérimenté, a-t-il freiné trop tard, y a-t-il eu un problème technique? On n'en sait encore rien dit El País.

    Rain and tears.

  • en espagne il y a de la solidarité et en france des voyous dépouillent les victimes !!!

    Madame Monsieur,
    OUI, des voyous sans foi ni loi ont bien cherché à dépouiller les victimes encore ensanglantées de la catastrophe SNCF de Brétigny-sur-Orge.
    OUI, des jeunes ont bien agressé des secouristes, forçant la préfecture de police à envoyer des CRS pour leur permettre de sauver les blessés graves.
    Et oui, hélas, le premier réflexe du gouvernement, relayé par de nombreux médias, a été de minimiser, et même de camoufler la réalité.
    Le Ministre du Transport a d'abord nié tout pillage des victimes, puis expliqué que les forces de l'ordre, caillassées, avaient simplement été accueillies « de façon un peu rude ». Harlem Désir, sur Europe 1, a pour sa part qualifié ces exactions de « rumeurs » et a préféré saluer la solidarité exceptionnelle (sic) des habitants de Brétigny.
    Ceci, alors que les policiers ont trouvé ce SMS, retrouvé dans le téléphone d'un des suspects : « T'as trouvé quoi dans les bagages ? ». Christophe Crépin, porte-parole du syndicat UNSA, qui était sur place, l'a d'ailleurs affirmé de manière formelle : « Il y avait des gens qui étaient en train de perdre leur bras ou leur jambe, et d'autres sont venus voler leur montre ou leur portable ».

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