Les crimes sexuels ou assimilés font le bonheur des moralistes. Ceux-là mêmes qui descendent des générations libertaires du XXe siècle. Celles-là même dont les mères s’allongeaient par plaisir quand un homme les séduisait. Je reviens donc sur ce sujet très à la mode.
Combien d’hommes?
Le comportement masculin n’est pas neutre. L’enjeu de la reproduction, mécanisme vital pour toute espèce, est sous-jacent même dans une époque où la contraception est répandue. C’est inscrit en nous depuis des millions d’années. Il n’y a aucune raison que cela change. Le désir est une tension.
Le harcèlement et l’agression sexuelle sont des actes définis par la loi. Un regard même appuyé, une invitation verbale, un sifflement admiratif, ne sont ni des crimes ni des délits. Les hommes ont une histoire, ils ne sont pas nés par simple construction culturelle. Ils peuvent être insistants: c’est à leurs yeux une qualité. Cela peut plaire ou déplaire et je regrette que certains hommes n’aient pas plus de tact parfois. Cependant je relativise et même je doute de ce que l’on me dit. J’ai appris depuis des années qu’il faut douter des chiffres officiels. Le mensonge est généralisé. Tout est devenu suspect. Les paroles sont contaminées par un discours victimaire intensif et permanent, au-delà de toute raison et du moindre respect des femmes.
Si l’on considère un regard insistant comme du harcèlement, alors on devrait intervenir sur ce qui peut contribuer à éveiller ce regard chez les hommes: l’habillement et/ou le comportement provocateur de nombreuses filles et femmes. Les habits ne sont pas innocents. Moi j’aime et je n’ai pas de souci avec cela. Mais ce n’est peut-être pas le cas de tout le monde. Il n’y a pas de raison de faire porter l’effort sur les seuls hommes. Il est normal de regarder celles qui font tout pour être vues. Si elles ne le veulent pas elles agissent en conséquence. Tout le monde doit s’adapter à son environnement. Et si l’on croit qu’il est simple pour un homme de détourner son regard de certaines femmes très sexy, il faut se réveiller et revenir au réel.
Je maintiens la question posée précédemment dans un commentaire: combien y a-t-il précisément d’hommes harceleurs au sens de la loi? Les hommes ne se reconnaissent pas comme des harceleurs. Quand le gouvernement dit: 100% de femmes victimes, les hommes disent: peut-être 1 ou 2% de harceleurs dans leurs rangs. Il y a donc un bug quelque part. Une dissociation majeure. Les faits sont-ils démontrés où s’agit-il uniquement de témoignages, et quelle est la valeur de ces témoignages? Je mets en doute la parole.
Réfuter le discours
Voici par exemple le résultat d’une enquête du groupe pro-gouvernemental français Osez le féminisme, publiée en novembre dernier:
«Selon une enquête réalisée par Osez le Féminisme (OLF) dans le métro parisien, 94% des 150 femmes interrogées indiquent avoir déjà subi des comportements sexistes intimidants, du sifflement à l’agression sexuelle. Par peur d’agression, près des trois quart d’entre elles adaptent leur comportement ou leurs tenues vestimentaires lorsqu’elles sont dans le métro.»
D’abord demandez aux hommes combien ont déjà fait l’objet de regards féminins insistants ou invitants (même si dans ce domaine les femmes sont souvent plus discrètes que les hommes). Est-ce du harcèlement? Aucun homme digne de ce nom ne le prétendrait. Aucun ne se complairait dans un statut de victime. Autre détail: les patronnes d’OLF aiment se faire peur. Elles parlent du danger du métro, grand mythe victimaire. Sauf que le rapport diffusé par le HCE dit que ce sont surtout les femmes jeunes, voire de moins de 18 ans, dans des bus scolaires et non pas dans le métro, qui seraient les plus importunées. OLF devrait updater son logiciel victimaire.
Toujours selon Osez le féminisme les signes de harcèlement sont presque illimités puisque les regards et sifflements sont mélangés aux injures et attouchements. Je réfute une telle définition extensive malhonnête:
«Il est grand temps d’arrêter de détourner le regard face au harcèlement sexiste et violences sexuelles ! A Paris et dans toute la France, les regards, sifflements, injures et attouchements font partie du quotidien des femmes, et tout particulièrement dans les transports en commun.»
Fils de migrants?
Autre démonstration de la déraison d'Etat. Le HCEfh déclare, en accompagnement à son rapport précédemment cité et en vue d’une campagne cet automne: «Définir et mesurer le harcèlement sexiste et les violences sexuelles dans l’espace public, en particulier dans les transports en commun. La connaissance tant quantitative que qualitative du phénomène est encore trop partielle».
Trop partielle? Ce qui signifie en clair que le HCE ne sait rien du sujet mais recommande déjà des mesures politiques.
Dernier point apparu suite à la diffusion de ce rapport: les harceleurs ont un profil d'immigrés. On l’a déjà vu avec le film biaisé de Sofie Peeters. dans le quartier de Bruxelles où elle s’est mise en scène: les supposés agresseurs sont tous d’origine arabo-musulmane. Dans le clip bidon sur le harcèlement de rue à New York les agresseurs sont profilés plutôt noirs. Et en France un rapport pointe les jeunes hommes d’origine maghrébine ou africaine, déclassés par la plus grande réussite scolaire des filles:
«L'échec scolaire masculin massif des garçons issus de l'immigration maghrébine ou africaine amène certains d'entre eux à se sentir humiliés par la réussite des filles et à manifester leur masculinité par la force, l'injure systématique, voire à se laisser séduire par des idéologies, des croyances radicales rabaissant le rôle de la femme. Ils ont quelquefois tendance à vouloir montrer aux filles qu'ils sont quand même les plus forts en les bousculant, les agressant physiquement et même parfois sexuellement. Cette violence masculine que toutes les enquêtes montrent en fort accroissement dans les collèges de certains quartiers est aussi alimentée par le rejet par les garçons du modèle féminin et de l'homosexualité.»
On entrevoit le débat que ce chiffre de 100% de victimes va occulter. What a wonderful world...
Lire aussi: 100% de femmes harcelées....
Commentaires
les harceleurs ont un profil d'immigrés.
cette réalité montre l'échec d'un mode d'intégration basé sur des valeurs féminines, sur du maternage.
et les féministes ne vont pas j'usqu'a réfléchir du pourquoi du comportement de ces harceleurs, les statistiques ethniques sont interdites en France, il ne faut pas stigmatiser. donc elles accusent globalement tous les hommes.
à méditer
http://www.etatdedroit.fr/%E9cole.php
http://www.etatdedroit.fr/Education/les-10-pires-BO-de-l-Education-nationale.php
Le problème est visiblement culturel.
J'ai grandi dans une ambiance très culpabilisante de la virilité démonstrative. J'ai entendu toute mon enfance que les hommes étaient majoritairement des salauds, des sales cochons d'obsédés.
Et puis dans ma vie d'adulte, j'ai croisé des femmes de bon niveau éducatif, mais qui avaient grandi dans une culture méditerranéenne (Espagne, Italie)dans les années 60-70, pour qui les machos insistants, faisaient partie de leurs environnement naturel. Ils reflétaient leurs degrés de séductions, leur pouvoirs, grâce à leurs capacités de créer le désir chez autrui.
Je leurs dois mes 1eres amères expériences d'être cocu, car j'étais bien trop civilisé pour qu'elles reconnaissent l'image rassurante de leur féminité séductrice, dans mon regard bien trop sentimental.
Ces femmes m'ont ouvert les yeux sur un fait; qu'elles soient féministes ou féminines je me faisaient balader ... :-)
On est plus très loin du racisme social ! ah ce qu'on est mieux en ne regardant plus les infos ce que font de nombreux citoyens qui préfèrent ne pas se laisser intimider voire intoxiquer par les médias
De toutes manières si c'est pas les Roms ce sont les Musulmans et si ce n'est pas l'alimentation dénoncée par des publicités pour permettre de mieux vendre un produit tombé en jachère ,ce sera ou le tabac et l'alcool
On se croirait presque revenu au temps ou certains pasteurs prussiens passaient leur temps à faire la morale assorties de peurs imaginaires à leurs ouailles
Lesquels tous comme les catholiques une fois absouts par le curé recommençaient ce qui était interdit pour voir jusqu'ou ils pouvaient aller avant de brûler en enfer
Aoki, nous sommes deux:
"Je leurs dois mes 1eres amères expériences d'être cocu, car j'étais bien trop civilisé pour qu'elles reconnaissent l'image rassurante de leur féminité séductrice, dans mon regard bien trop sentimental."
:-))
Un article paru dans le Matin d'hier confirme ce goût de certaines femmes pour des hommes qui assurent avec fermeté et sens du leadership dans la sexualité. J'en parlerai bientôt.
@ Lovejoie:
Oui, d'accord avec vous, on peut parler d'une forme de racisme social.
Oui un racisme social...
Et que dire des hommes latins ? ma copine m a encore rappelé la débilité d'un homme qui mettait enceinte sa femme chaque année afin qu'elle ne le trompe pas. Ce profil est 100% made in europa.
Ou alors ce groupe de dame que j'ai entendu parler dans le bus. D'environ 50 ans (donc plus des enfants) qui sortent tous les dimanche au thé dansant. Rien de méchant. Voilà que j'entends l'une d'elle dire que le mari de celle qui est descendu n'aime pas et la laisse pas y aller.
Sur ces deux cas réels...il n'y avait pas de voile... les prisons peuvent être en tissus ou juste psychique.
Je ne peux être d'accord avec l'affirmation de Leclercq: ce n'est pas un problème d'immigration: lisez Maupassant, à cette époque, les hommes ne se gênaient pas pour coucher avec les bonnes ou les servantes....l'inceste était semble-t-il beaucoup plus fréquent que de nos jours aussi....
La façon de voir ces choses a évolué....ce que les femmes d'aujourd'hui portent aurait été considéré comme indécent avant 1968.
Mais le fait est qu'une femme devrait même pouvoir se promener à poil sans que les hommes considèrent cela comme une invitation (du genre, elles les cherchent) Chez les Indiens d'Amazonie, ou chez les Papous, les femmes sont en permanence au 3/4 nues sans que cela soit une demande sexuelle de leur part.Dans les camps de nudistes aussi.
Le problème est bien dans le comportement de ceux qui pensent qu'une femme est provocatrice (et cela peut chercher loin, voyez les musulmans qui considèrent les cheveux défaits comme le signe d'un manque de pudeur) conception qui change selon les cultures dans le temps et dans l'espace....pour certains, montrer ses seins est une provocation, pour d'autres, c'est les chevilles, pour d'autres les fesses, etc...
Et même vous, Monsieur Homme Libre, mettez des photos assez dérangeantes....oui, les femmes ont le droit de s'habiller comme cela....vous semblez penser que cela "excite" les hommes, et que c'est une invitation au harcèlement/sifflements/remarques, etc
C'est avec cette mentalité (il faut éviter d'exciter les hommes pour éviter les ennuis) qu'on fini avec des femmes voilées.
Le problème est en vous, Messieurs...
Je sens que je vais me faire incendier.
Plume Noire:
Les exemples que vous citez ne me paraissent pas faire partie d'une vision collective des femmes mais d'une problématique individuelle classique de peur et de jalousie.
L'inverse existe tout autant: femmes qui interdisent à leur homme de sortir sans elles, qui contrôlent son horaire, qui le suivent, qui fouillent son portable pour contrôler les échanges, etc.
Je me demande pourquoi on ne cite que les hommes qui contrôleraient leur partenaire, alors que les deux sexes se partagent le job.
....voilà un exemple...https://fr.news.yahoo.com/nouvelle-z%C3%A9lande-serveuse-sest-fait-tirer-cheveux-premier-062053955.html
@ Femme:
Non je ne vais pas vous incendier: vous pensez différemment et vous l'exprimez, c'est ok pour moi.
C'est plutôt moi qui m'expose avec mes propos, et vous y réagissez comme souvent: ce n'est pas aux femmes de se limiter, c'est aux hommes de faire taire leur nature.
La question est bien celle-ci, en effet: il faut éviter d'énerver quelqu'un si on le redoute. Ou assumer les risques. C'est aussi simple. Hommes et femmes n'ont pas la même stratégie à cause de leur dimorphisme. Vous pouvez refuser ce fait mais cela ne vous avancera pas.
Il y a des gens que l'on redoute et l'on ne va pas les fâcher, sauf si l'on peut s'en tirer sans mal. C'est comme cela que les choses marchent. Voudriez-vous éduquer les hommes et les changer? Les femmes ont le pouvoir sur l'éducation depuis des millénaires, que voulez-vous de plus? Les hommes sont collectivement votre oeuvre... :-))
On peut éduquer quelqu'un, cela n'empêchera pas qu'il se tourne éventuellement vers la délinquance.
Je ne me prends pas la tête pour les habits: je m'adapte selon là où je suis, où je vais, qui je vois. C'est aussi simple. Je n'irai pas me promener dans un coupe-gorge avec une Rolex au poignet sous un costume Prada (encore faudrait-il que je les possède!... :-). C'est ma propre préservation qui est en cause. Cela n'a rien à voir avec du sexisme ou quoi que ce soit.
Si votre préservation ne vous tient pas à coeur, vous pouvez aussi aller à poil au travail. Mais il faut savoir que si les femmes ont le droit de montrer leur fesses en transparence (je regrette qu'on ne voie pas leur clito) les hommes ne sont pas de marbre. Et heureusement sans quoi l'espèce n'aurait pas survécu.
Si vous ne comprenez pas cela, ni qu'il faut un modus vivendi et une adaptation, alors je crains pour la sécurité des femmes. Ne demandez pas aux hommes de se castrer eux-mêmes (je parle ici de leur comportement masculin normal: solliciter, rechercher, insister, proposer, etc), adaptez-vous, comme les hommes s'adaptent à vous dans de nombreux domaines.
@ Femme, nous aussi, filles et garçons, on a blagué avec des cheveux tirés, des pouêts sur les seins, et bien d'autres choses, allant jusqu'à des sorties de griffes.
On n'en faisait pas une agression sexiste pour autant. Il faut arrêter avec cette paranoïa.
En relisant encore la mésaventure du premier ministre néo-zélandais, je me demande dans quel monde on en est arrivé. Non mais elle qui prétend qu'elle doit la vérité (à qui?) par "obligation morale".
On délire. Et lui, traité de puéril et bizarre, montrant une attitude "indigne d'un premier ministre". Pfff...
Non, non et non. J'abhorre ce monde-là: liberticide, puéril, puritain, hypocrite, jugeant chaque geste, ne voyant que le mal partout.
Et cet homme est stupide. Encore un mou. Il n'avait pas à s'excuser. Il assume, c'est tout. Il n'avait pas à s'humilier devant elle.
Hommelibre merci de votre réponse
perso j'aime bien comparer les humains qu'ils féminins ou masculins à une pièce de monnaie,coté pile ils font voir leur plus mauvais profil et face c'est l'inverse
Cependant pour en revenir à l'habillement provocateur de certaines femmes La drague est un jeu qui existe depuis la nuit des temps
Le monde est ce qu'il est il faut faire avec cependant une chose est plus que certaine si le sexe est bon pour la santé les sites pornos regardés trop souvent par des hommes souvent coincés par des épouses trop religieuse transformeront ces maris en bêtes de sexe qu'il vaut mieux ne pas fréquenter ,de vrais obsédés
Pour eux seule compte leur jouissance personnelle ,ils jouent avec les émotions de leurs soi disant conquêtes amoureuses du moment et ne cesseront de les harceler jusqu'au jour ou elles comprennent qui ils sont vraiment
De vrais vampires qui ont le gout du sang et par là même l'envie de lécher n'importe quoi
Et ils ne sont ni Islamistes ,ni musulmans ni basanés
très belle soirée
"(je parle ici de leur comportement masculin normal: solliciter, rechercher, insister, proposer, etc)" tout est dit.....
bof....voilà ce que vous appelez normal....
c'est le "insister" qui me gêne, là.
Bref, vous ne sortez pas du lot....
Les féministes des années 70, le MLF, pour être claire, estimaient devoir pouvoir s'habiller comme elles le souhaitaient y compris de manière provocante jusqu'à seules, tard dans la nuit!
D'autres femmes ne partageaient pas cet avis et, de mon point de vue, sans être puritaine, deux premières photos que vous nous présentez en début de votre article sont déplacéee (non pour l'article qu'elles illustrent, bien sûr) extrêmement "parlantes" au premier être (homme ou femme, désormais) frustré/e venu.
La troisième photo? à mon sens, non.
Il ne faut pas exagérer...
sans quoi habits qui descendent jusqu'aux chevilles avec gants et visages voilés.
Préférence nette bien que démodée pour les ravissants chapeaux à fines voilettes de nos aïeules.
@ femme
"Je ne peux être d'accord avec l'affirmation de Leclercq: ce n'est pas un problème d'immigration:
"j'ai eu un collègue de travail sa fille n'avait aucune animosité contre les petits jeunes de banlieues lyonnaise, elle a pris les transports en commun après elle a changé d'avis."
dans les collèges et lycées de France, ce sont les enfants d'immigrés les principaux harceleurs, ce sont aussi eux qui ont pousser Marion au suicide, lire le billet d'homme libre à ce sujet.
lire le livre de Tarek Yildiz
http://livre.fnac.com/a3409020/Tarik-Yildiz-Le-racisme-anti-blanc-ne-pas-en-parler
lire les Livres de Michéle Tribalat.
http://www.amazon.fr/yeux-grands-ferm%C3%A9s-Limmigration-France/dp/2207261778
oui il y a du racisme social envers les Français de souche.
". Évoquer sans cesse une haine dont feraient l'objet certaines communautés, loin de les aider, les maintient, par la crispation que cela crée chez elles, dans une marginalité qui leur nuit
je ne l'ai pas entendu dire, comme certains observateurs, que l'antisémitisme était devenu un "code culturel" dans certains quartiers sensibles en France. Je ne l'ai pas entendu dénoncer non plus la haine dont la France et les Français font l'objet de la part de certains de leurs compatriotes qui rejettent ce pays et ses valeurs, la liberté d'expression et la liberté de la femme en tête."
" chez les Papous, les femmes sont en permanence au 3/4 nues sans que cela soit une demande sexuelle de leur part"
il ne faut pas tout mélanger, ce sont d'autres cultures !!!
la première chose à faire face aux enfants d'immigrés c'est d'abroger tous ces décrets débiles, et redonner une vrai autorité aux professeurs des écoles.
un jeune qui manque de respect à un prof il prend une baffe que ça plaise où non aux parents "méres"
que les profs soit soutenus par la hiérarchie et la force publique.
ça il faut stopper.
"Osez reprocher quoi que ce soit à un "jeune défavorisé", vous aurez la famille au complet en bas de chez vous avec des cris et des menaces. Osez verbaliser un "jeune défavorisé" et vous aurez le quartier à vos trousses, une émeute et des magasins pillés. Osez condamner un "jeune défavorisé" à une peine, une vraie, et vous renforcez la haine de toute autorité, de tout ordre républicain. Alors on laisse faire, on laisse insulter, frapper, estropier les enseignants. On laisse dealer, voler, frauder pour ne pas froisser une population incontrôlable, armée, vindicative. Il se passe des choses graves et notre société se fragmente de plus en plus parce qu'on (l'Etat) ne veut pas mettre un coup de pied dans la fourmilière. Impossible de gérer des centaines d'émeutes et des hordes de casseurs déchainés partout en France, vous comprenez !... Alors on baisse les yeux, on a peur mais on ne dit rien. Eviter l'embrasement, oui mais jusqu'à quand ?"
L'habillement, le choix vestimentaire est un sujet qui dépasse de loin la superficialité apparente du sujet.
Les femmes qui se promènent dans la rue en collant translucide avec un string apparent font le choix de se montrer comme des personnes impudiques et exhibitionnistes. Je ne porte pas de jugement moral en disant cela, ce n'est pas "mal" à mes yeux, c'est plutôt "bête" ou un peu pathétique.
A mes yeux de femme, cette façon de donner autant d'importance à ses fesses démontre une attitude non seulement ridicule, mais aussi un peu tristement incohérente. Comme si on avait peur de ne pas être remarquée à sa juste valeur en ayant un pantalon, un short ou une jupe. Est-ce vraiment important de montrer ses fesses de façon théâtrale ? Elles répondront par l'affirmative, moi par la négative.
Elles sont bien sûr libres de s'exhiber, mais incohérentes, si elles se plaignaient d'être l'objet de risée ou de remarques salaces ou outrées.
Si on fait semblant que ça doit passer sans autre dans le domaine public, on est aussi paradoxal que la femme en burqa intégrale, qui espère passer inaperçue et qui crève l'écran.
L'attitude la plus adéquate et drôle serait de les ignorer. Ou de les complimenter sur leur décolleté ou leur coiffure.
@ Myriam:
La troisième photo est en effet plus cool, je l'ai mise pour montrer qu'on peut avoir envie de regarder assez longuement une femme qui se montre sous son meilleur jour.
Sur le désir de s'habiller comme on l'entend, je le comprends, mais il ne me semble pas réaliste dans certaines circonstances. Et les années 70 étaient plus gaies qu'aujourd'hui... Peut-être qu'une telle liberté et joie de vivre comme à l'époque ne se rencontrent pas souvent dans l'Histoire humaine.
@ Calendula:
J'aime bien votre conclusion. Il faudra que j'essaie quand l'occasion se présentera. Merci d'apporter un peu d'humour!
:-)
@ Femme: oui, tout est dit, et je n'ai aucune intention de sortir du lot. Je ne me laisserai pas prendre par ça. Je suis comme je suis. Et c'est très bien.
Insister... malheureuse. Si les premiers inventeurs n'avaient pas insisté nous n'aurions pas encore l'électricité ni la roue.
Les hommes insistent, et c'est une qualité superbe que d'être capable d'insister. Je suis quelqu'un de très écoutant et accueillant. Mais je récupère une dose supplémentaire de masculin, et j'en suis ravi et fier. Homme et fier de l'être.
Osez le féminisme ... je me demande si elles ne vont pas oser également la sharia et la burqa, au vu du nombre de mariages mixtes.
L'attraction de la femme blanche, occidentale, pour des hommes ... exotiques ... venus d'un ailleurs idéalisé est tout de même bizarre, non ?
Je me rappelle que lors de mes premières discussions (1991) avec mon père adoptif, suisse de Thoune, il me disait de faire attention aux femmes ... si vous les abordez, elles vont vous traiter d'obsédé sexuel, mais si vous ne le faites pas, elles vont vous faire passer pour un homosexuel.
C'est exactement ce qui m'est arrivé, à la plage de Genève, lorsque j'ai reconnue une collègue de l'école de laquelle je me suis approché pour la saluer.
Un groupe de quatre filles m'est tombé dessus en m'agressant verbalement, me traitant de tous les noms d'oiseaux.
Ce groupe de filles ne nous connaissait pas, ni moi, ni ma collègue, mais elles ont cru bon de m'agresser.
La mise en garde de mon père n'était donc pas inutile.
La burqa, en fin de compte, est la meilleure des solutions.
Julian Assange est poursuivi en Suède, pour un crime non prouvé.
Est-ce l'influence des U.S.A. qui force la main des supposées victimes à se déclarer comme telles ou alors celle des féministes castratrices ?
Le doute est permis, en lisant les archives ...
"Le 21 août 2010, il est accusé de viol par la justice suédoise, une seconde femme l'accusant d'agression. Les deux accusations ayant été effectuées le même jour. Quelques heures plus tard le Parquet lève l'avis de recherche « estimant qu'en fait M. Assange "n'était pas suspect de viol". En revanche, l'enquête pour agression se poursuit. »"
Hommelibres vous avez raison de rester tel que vous êtes on a rien à changer à notre personnalité dans l'unique but de faire plaisir à quelqu'un d'autre.c'est personnel et ça doit le rester
On peut même se demander si ces migrations humaines ne sont pas le fruit de changements de mentalités par là même culturelle dues au Féminisme qui a pris de l'ampleur dans les pays Africains
Ces hommes qui avaient les pleins pouvoirs dans de nombreux domaines désormais doiient obéir au doigt et à l'œil à beaucoup de femmes
Je me suis remémorée les années 60 ou chez nous aussi beaucoup de femmes ont commencé à se retourner pour montrer qui commandait et comment et chez nous ce sont beaucoup d'hommes mariés qui se sont mis à draguer les jeunettes qu'on nommait* les Bonnes pâtes *
Car soumises et aux hommes et au monde du travail on pouvait leur demander ce qu'on voulait pas une ne rechignait le matriarcat les ayant étouffée dès leur plus jeune âge
Belle journée
J'ai réfléchi à cette histoire de coutumes vestimentaires chez les Papous et d'autres peuples ayant vécu en-dehors de systèmes monothéistes. La nudité était l'état normal, cela ne posait effectivement pas problème avant l'arrivée des étrangers. Ces sociétés avaient des règles de vie très normatives par ailleurs et les interdits se plaçaient pas forcément là, où ils se placent chez nous.
Chez nous, en ce moment, tout est remis en question, le cadre bouge de tous les côtés et la liberté individuelle est une sorte de totem. Ca pose des problèmes en cascade, parce que la liberté quasi totale est plus compliquée à gérer que des règles sociétales claires.
Je crois que dans les années 70-80, on était tellement heureux d'être sorti des carcans stricts, qu'on appréciait des choses relativement simples, on n'avait pas besoin d'en faire des caisses. Ne pas être obligée de mettre un soutien-gorge était le top de la libération ! ( à l'époque, les matières étaient moins confortables qu'à présent). Bien des femmes se sont ensuite rendu compte que cet objet était davantage un ami qu'un ennemi, car un certain soutien n'est pas forcément désagréable...
Je pense de plus en plus que la communication maximale, la culture du buzz-internet n'amène pas un supplément de bonheur. Devoir en faire toujours plus pour se faire remarquer ( et tant de gens ont ce besoin d'être vus !), ça déteint sur la société entière, surtout sur les jeunes. On arrivera, je l'espère, à intégrer ce média progressivement dans nos vies de telle sorte que ça n'amène pas des comportements addictifs et en définitive masochistes.
Avec ses collants translucides + strings portés dans la rue, on se trouve quelque part sur le terrain de Kim Kardashian et consorts, donc aussi de la Venus callipyge. Sans à aucun moment vouloir contester la liberté de s'afficher ainsi, je persiste à penser que ces femmes envoient un signal qui va directement dans notre cerveau reptilien, celui des réflexes simples. Sous couvert de liberté, elles se mettent dans la situation la plus simple qui soit, la plus basique.
La liberté est difficile à gérer, ça demande de la subtilité, de la jugeote et une lucidité sur ce qu'on veut vraiment.
Si on veut montrer ses fesses sous un jour favorable, eh bien on prend tout ce qui vient avec. Après tout, qu'en savons-nous ? Ces femmes callipyges assument peut-être parfaitement les conséquences de leur beauté et se sentent honorées par le buzz suscité.
et pour clore le débat mon aspi refusant de démarrer tout seul,on en a plus que marre des moralistes et comportementalistes
La drague est une qualité humaine et le mariage c'est pour le pire et le meilleur et ces paroles disent exactement tout ce qui semble remis en cause dans notre monde actuellement
c'est à dire qu'en épousant un homme ou une femme il faut savoir aussi respecter ses défauts qui peuvent être jugés comme qualité quand on ne vit pas avec
Serait-ce cette robotisation à tout crin qui oblige certains humains à rechercher le parfait petit Robot humain qui espérons.- le fonctionnera plus de 25 ans sans lâcher prise comme nos vieux robots ménagers qui utilisés chaque jour répondent encore présents pour satisfaire à nos désirs,allez savoir
et bien....est-ce la réponse qu'il faut apporter aux femmes enquiquinées dans le métro ou ailleurs? Les hommes sont comme ça, ils ne changeront pas et ne veulent pas changer....les femmes devraient les accepter comme ils sont...
Mesdames, à vos burkas....
La burqa est devenue inévitable, à ce stade ... parce qu'elles le valent bien ...
Je suis abasourdi de voir avec quelle facilité les femmes seraient prêtes à se laisser emprisonnées dans un bout de tissu, rien que pour ne plus se faire ... siffler ?
J'aimerais dire aux femmes, toutes les femmes, mamans ou pas encore, qu'elles ont tout comme nous, les hommes, une mère.
Serait-ce de la faute des mères de ces hommes en question, que l'éducation n'a pas porté ses fruits ?
Les mamans de ces hommes n'auraient-elles pas prévu d'enseigner le respect à leurs progénitures ?
...ben, Homme Libre l'a dit....il estime que c'est de son droit de mâle de courser les femelles et d'insister, et surtout qu'il ne veut pas changer...
Bon, mis à part ça, siffler c'est mufle, mais je ne pense pas que ce soit ce dont les femmes se plaignent dans les transports publics....
Je pense que la limite est claire entre être intéressé par une femme et lui témoigner de la sollicitude appuyée, et draguer une "femelle" qu'on estime pouvoir conquérir facilement en tirant des conclusions sur la longueur de ses jupes (ou pour d'autres, le décolleté, ou pour d'autres des tenues soi-disant provocantes comme montrer ses chevilles/cheveux/mains)
Pourquoi devoir choisir entre la burqa et la quasi-nudité !?
Il me semble qu'il y a mille possibilités (je n'ose dire "nuances" ;-))) entre ces deux extrêmes.
J'ai remarqué que mes filles, âgées de 21 ans, sont assez philosophes rapport aux regards masculins. En route avec elles, je constate que c'est un peu permanent et il n'est pas possible d'en être consciente tout le temps. Ca ne semble pas les perturber, c'est le cours normal des choses. J'ai passé par là et ça ne me manque pas vraiment, je me sens plus libre à présent, en étant visiblement hors-concours.
Mes filles s'habillent sans ostentation particulière et ne choisissent pas entre la burqa et le collant translucide. Il y a bien assez d'offre "normale".
Elles n'ont jamais été touchées ou palpées, mais draguées de façon parfois effrayante, oui. Heureusement, ça s'est bien terminé, parce qu'elles n'étaient pas seules ou pas en face d'une personne trop déterminée.
On peut se retrouver au terminus du bus à minuit et en campagne, parce qu'il y a eu un imprévu et ce n'est effectivement pas normal d'être suivie. Ma fille a probablement été assez maligne, pour donner l'impression d'être très sûre d'elle et a réussi à affirmer qu'elle était sur son territoire (au sens propre). J'aurais préféré qu'elle me téléphone, pour que j'aille à sa rencontre, mais elle a évalué sa situation "comme une grande".
Les mères sont-elles donc responsables de tout ? De la sécurité de leurs filles et du comportement de leurs fils adultes ?
Les pères n'ont-ils donc aucun rôle ?
Je n'ai pas eu la chance d'avoir des fils, mais j'imagine que leur père aurait eu beaucoup à leur apprendre, entre autres sur la façon d'être un homme dans notre monde compliqué.
Souvent, il suffit de donner l'exemple.
En tant qu'enseignante, je dirais que les jeunes en général gagneraient à passer plus de temps avec des adultes, des vrais. Des personnes qui ont une petite idée de la transmission du savoir, du savoir-vivre au sens large. Si on compte uniquement sur l'école, c'est mal parti ! En 32 heures par semaine, on ne peut faire le tour des défis auxquels les enfants et les jeunes sont confrontés. D'autant plus, s'il n'y a pas de vraie présence à la maison.
Il y a des jeunes filles et garçons qui supportent mal les "suggestions" (qui se risquerait à plus?) de leurs parents. Le dialogue ne va pas de soi.
Le père comme la mère n'étant pas forcément médiateurs professionnels!
Sans oublier, notamment dans les familles "raidement strictes", s'il en existe encore, l'aspect possible provocateur des manifestations juvéniles...
Un brin d'humour?
Certes, mais plus facile à écrire, après coup, longues années passées, qu'à vivre "sur le moment"!
Hommelibre notre génération a eut de la veine car elle a pu profiter des enseignements de la célèbre Docteur Ruth à ne pas confondre avec la Conseillère Fédérale Ruth Dreyfuss émérite dans l'art du tricot/rire
très belle soirée
Voila de quoi méditer ... 70 % !!!
"... 70% des passants ont en effet décliné l'offre de la jeune femme ..."
http://www.20min.ch/ro/news/insolite/story/-Salut--je-suis-Andrea--Tu-veux-coucher-avec-moi---31707258
Merci pour ce lien Victor-Liviu. Je m'en suis inspiré pour un nouveau billet.
Si je peut rendre service ...
@ Calendula:
la notion de pudeur étant très différente d'une région à l'autre du monde, et ce qui est considéré "impudique" semblant donner aux hommes l'impression que c'est "à prendre"; les hommes semblant incapables de contrôler leurs pulsions et semblant penser qu'une femme qui ne s'habille pas de manière "pudique" est une femme facile, donc...à prendre; faut-il s'étonner de la burka?
En fait, les femmes sont-elles condamnées à s'habiller selon les notions de pudeur des hommes, ou à se faire enquiquiner?
Ceci, chez nous et ailleurs dans le monde....?
@ femme…
... un autre lien... :
www.youtube.com/watch?v=Ns5kwk7Fmto
:-)
Pour la pudeur, hommes et femmes en font preuve un minimum les uns envers les autres. Il n'y a pas de victime, il y a un agrément. Pour moi c'est bien plus un langage tacite. C'est social et interactif - sans quoi on serait tous habillés pareils. Cet agrément permet de se sentir bien ensemble. Chaque lieu, chaque groupe peut accepter des sous-codes.
Ou alors on fait reculer la notion d'exhibitionnisme. Le tout est d'être d'accord et de ne pas faire deux poids et deux mesures. Ici l'égalité de traitement et devant la loi prime.
Tout cela est sujet à controverse, j'en conviens, et je pense pour ma part que cela ne va pas de soi.
@femme,
Je vois bien ce que vous voulez dire et ne suis bien sûr pas d'accord avec l'idée que la femme est la seule responsable dans la situation, où " l'impudeur" pourrait être en cause. S'il est décrété que la vision des cheveux d'une femme est déjà too much, je ne peux que m'insurger, d'autant plus si ça se passe en Europe.
Toute la difficulté se trouve dans la position du curseur : à quel moment a-t-on dépassé la limite, la norme ? Elles sont variables selon les lieux et les époques. Quelles sont exactement les normes chez nous actuellement ?
Difficile de répondre en une phrase, puisqu'il n'y a pas de code fixe.
Dans une école ? Sur un lieu de travail ? Dans une église ? Dans la rue ?
Une femme devrait être en sécurité partout 24h/24, habillée en string visible à travers un collant moulant. Oui bien sûr. Si elle tombe sur un violeur, elle a pas de chance. Elle peut tout aussi bien en gros manteau et avec des moon-boots et tomber sur un violeur. Je suppose que c'est injuste de trouver le collant translucide un peu provocant, mais je persiste à penser que cet accoutrement transmet un message paradoxal.
C'est un sujet de réflexion qui me préoccupe depuis très très longtemps et
je voudrais vous soumette la situation, qui m'a amenée à me poser tant de questions à ce sujet :
En 1975 ou 76, je me trouvais en Grèce, à voyager sac à dos, deux filles et un garçon. Nous avions une vingtaine d'années. Nous, les filles, nous étions habillées de façon standard à nos yeux, avec des habits d'été normaux. Nous nous faisons beaucoup draguer et les Grecs avaient le souci de savoir qui de nous deux n'était pas en couple, afin d'optimiser leurs chances. Ca nous faisait beaucoup rire, car la configuration de notre équipée était une énigme pour eux.
Par ailleurs, nous observions des Allemandes se promenant en mini-bikinis dans des villages ou se bronzant seins nus sur la plage, ce qui causait beaucoup de remous, de regards ahuris, bien sûr également de la part des femmes du pays.
Mon amie et moi trouvions que ces Allemandes exagéraient et manquaient de respect envers les Grecs. Mon ami au contraire pensait qu'elles aidaient les mentalités à évoluer. Son argument massue étant que les Grecs auraient appris à se baigner dans la mer et à dépasser des superstitions concernant sa dangerosité grâce aux touristes étrangers qui avaient donné la preuve que la baignade était inoffensive.
Nous les filles, on n'avait pas l'impression que la nudité ou la quasi-nudité publique était un progrès ou une évolution du même type. Et on n'était absolument pas d'accord de jouer aux évangélistes de la prétendument bonne cause.
On passait pour des prudes et pour non-libérées aux yeux de notre compagnon de voyage. En quelque sorte, on ne tenait pas assez à la "libération de la femme". Ca nous a valu des joutes oratoires mémorables : je m'en souviens encore !
Que penser d'une telle situation, qui certes comporte une dimensions supplémentaire, qui est celle du tourisme et du petit choc des échelles de valeurs qui en découle ? Faut-il faire "comme chez les Romains" ou se montrer insouciant et vivre "comme à la maison" ?
Vous aurez compris que je n'ai pas beaucoup évolué sur la question, car je continue à penser que lorsque je visite un pays un peu éloigné, il faut que je m'adapte. Je n'ai pas à avoir de projet de faire évoluer les "autochtones", ma simple présence est déjà un facteur suffisamment perturbateur !
J'ai subi des attouchements à Genève, en plein après-midi, en étant habillée normalement, ayant eu le tort de me trouver dans une queue d'attente pour une glace sur les quais et d'avoir 15-16 ans.
Si j'avais dû me poser des questions, à postériori, sur mon habillement et ma probable responsabilité, j'aurais été encore plus secouée. Je crois que c'est un réflexe idiot de se sentir coupable, mais je n'ai jamais pris le risque de me promener dans un accoutrement ouvertement provocant. Bravo à celles qui ont ce courage. Même si je ne partage pas le besoin de me manifester dans une variante du costume d'Eve sur la place publique.
@ Lovejoie
"On est plus très loin du racisme social ! ah ce qu'on est mieux en ne regardant plus les infos ce que font de nombreux citoyens qui préfèrent ne pas se laisser intimider voire intoxiquer par les médias
De toutes manières si c'est pas les Roms ce sont les Musulmans"
racisme social !!!!
euh les Roms fonts ce qu'il faut pour se faire détester de la population, leur réputation était celle de voleurs et de profiteurs euh le constat c'est quelle n'est pas usurpée.
@Leclerq sans doute aujourd'hui tout comme hier pour les Jenishs accusés de tous les maux ,le passage des Roms doit profiter à de petites crapules pour commettre leurs forfaits afin qu'ils soient injustement regardés de travers
Ce qui se faisait dans les années 40-50 ou la faim donnait envie de voler,casser la figure à n'importe qui voire même battre des enfants
Mais pour le comprendre encore faut-il savoir ce que représente le mot faim
Remarquez avec toutes les données qui sont volées grâce aux nouvelles technologies les Roms n'ont bientôt plus à rougir des attaques perfides dont ils sont les vicitmes.A tort ou a travers peu m'importe mais d'autres sont encore bien plus malhoinnêtes car attirant les isolés à coups d'articles souvent réchauffé et transformés ou carrément inventés pour jouer avec leurs émotions et c'est pas mieux
@ leclerq ... si je peut me permettre ... de corriger votre commentaire ...
"leur réputation était celle de "...
La réputation des roms EST restée intacte.
http://www.zoomdici.fr/actualite/Un-collectif-pour-accueillir-les-demandeurs-d%E2%80%99asile-a-Boen-sur-Lignon-id136343.html#commentlist
bizarre dans les jours qui ont suivis importants vols de câbles enterrés !!! et comme par hasard les vols ont beaucoup augmenter autour de Bôen.
ces gens là sont nourris repas livrés par traiteur tous les jours, femme de ménage. plus 340 € par adulte. beaucoup de français il ne leur en reste pas autant une fois tout payé, il ne faudrait pas l'oublier.
Anonyme - le 21 avril 2014 - 23h00 Signaler un abus
Des français ne peuvent se payer aucun loisir, ont du mal à payer leur loyer, et pendant ce temps les demandeurs d'asiles (qui ne viennent même pas de pays en guerre) sont logés gratuitement, nourris gratuitement et on les emmène gratuitement faire de la luge gratuitement. C'est de la justice sociale ça ? Et bien je n'en veux pas de cette justice !
Leclerq, à Bucarest, les poteaux qui bordent une rivière ont aussi disparu.
Ceux qui décident de partir à l'étranger font murer toutes les ouvertures de leurs maisons, portes et fenêtres.
Pourquoi ? Parce que pour déloger légalement des squatteurs, il faut leur trouver un logement.
il y en a qui attirent les regards
Source : decollete.centerblog.net sur centerblog.
http://decollete.d.e.pic.centerblog.net/o/5c637775.jpg
Je ne sais pas vous, mais je me demande vraiment où est la frontière entre "insistance" et "persévérance" ?
Bonne question Victor-Liviu. La frontière semble mouvante et semble dépendre du ressenti de la personne. Le malentendu croît.