Caroline Fourest a quelque chose d’un Tariq Ramadan au féminin. Elle est aux intégristes fuchsias ce que Tariq est aux Frères Musulmans: une publicité médiatique présentable. Elle a donné une interview au magazine Causeur dans laquelle elle s'exprime sur la GPA.
Entre la surenchère victimaire et les clips de harcèlement sexuel agressif par Beyoncé et Nicki Minaj, on avait presque oublié la GPA. La GPA n’est pas le Gros Python Amazonien bien que ce soit un serpent de mer. C’est la Grossesse Pour Autrui. Ou la Grande Prostitution Asiatique. Caroline Fourest y est favorable, comme elle le dit dans le dossier féminisme de Causeur de juillet:
« Cela permettrait peut-être à des femmes indiennes de sortir de la prostitution sans tomber dans une autre forme d’exploitation systématique. Si une femme peut toucher 100’000 dollars pour une seule GPA plutôt que de faire 100’000 passes dans sa vie, et rendre une famille heureuse, je ne vois pas au nom de quoi s’y opposer. »
Elle ne voit pas au nom de quoi s’y opposer. Elle ne voit pas que l’enfant devient une marchandise et la mère une prestataire de services sexuels bien payée. Elle ne voit pas qu’une telle mesure ne profitera qu’aux couples très aisés de la bourgeoisie occidentale, de préférence gay – les anciens opprimés ont vite changé de camp. Comme un bisounours elle est béate à la belle histoire qu'elle se raconte sur ces « familles heureuses » qui paient 100’000 dollars pour ressembler aux familles hétéros classiques. Ces familles que pourtant les féministes haïssent depuis Simone de Beauvoir. Ah, les indiennes, prolétaires sexuelles des temps modernes. Elle est pas belle la vie? Le Meilleur des Mondes version Caroline Fourest Gump, qui est pour l'abolition de la prostitution mais en encourage une autre.
A la lire on peut presque imaginer que les indiennes qui pratiquent la GPA sont toutes des prostituées ou n’ont d'autre choix que de l'être. En plus, où trouve-t-on que la femme indienne pourrait être payée 100'000 $ pour une GPA? Actuellement c’est entre 2'000 et 5’000 $ environ. Avec la loi du marché je suis sûr qu’on doit même en trouver pour moins cher. Et si je compte bien, 100'000 dollars pour 100'000 passes, ça fait 1 dollar la passe. Il va y avoir du tourisme en Inde... Merci Caro pour cet appel d’air!
Quant aux hommes indiens qui ne peuvent pas porter de produit commercial dans leur ventre, ils resteront pauvres et crèveront de faim à cultiver un lopin à peine plus grand que ma main pour tenter de nourrir leur famille. Ils devraient pouvoir vendre un oeil pour 100’000 dollars, non? Il n’y a pas que les femmes sur Terre et elles ne sont pas les seules à être pauvres.
100’000 dollars le produit « bébé »: les mères porteuses américaines vont se rebeller et exiger au moins 400’000 dollars. Parce que le rapport du prix de vente des bébés prêts-à-porter entre l’Asie et l’Amérique du nord est d’environ 1 à 4, selon quelques chiffres que j’ai trouvés sur le net. Voire plus parfois.
Nan, je critique, mais n’empêche c’est très bien la GPA. Parce qu’à partir du géniteur vous pouvez choisir votre bébé sur catalogue comme à l’épicerie ou à la Redoute (image 2, cliquer pour agrandir). Vous préférez quoi? Blanc, métis, amérindien, japonais? Cochez la bonne case. Si vous vous y connaissez un peu en biologie vous pouvez même choisir son facteur rhésus et son groupe sanguin. On ne sait jamais, ça peut servir.
Ah, les heureux couples comparant leurs progénitures en prenant le thé sur la terrasse, quel tableau touchant, quel bel éloge de la modernitude.
Mais que pense de la GPA une féministe lesbienne de la première heure?
« Je dénonce la propagande pro-GPA qui stigmatise les opposants sous des qualificatifs de droite ridicules. (…) On encourage des mères à abandonner leur enfant, ce dernier devient un produit, une chose. (…) Nous assistons à l'émergence d'un nouveau prolétariat reproductif. (…) C'est une partie du mouvement gay, tendance LGBT, qui a pris tout le monde en otage au nom de la lutte contre l’homophobie. (…) Interdire la GPA ? Pourquoi pas ? On a bien réussi à abolir l'esclavage ! »
(Marie-Josèphe Bonnet, membre du MLF, des Gouines Rouges et du Front Homosexuel d'Action Révolutionnaire, mentionnée par David L'Epée sur sa page Facebook).
Par contre si l'on est pour la GPA il faut impérativement faire des filles. Parce que les garçons font du mal à leurs mamans et aux dames en général. Si, si, c’est Andrea Dworkin qui le dit. Andrea Dworkin, célèbre féministe lesbienne américaine grosse comme deux baleines. Elle disait, pour résumer sa haine des hommes (image 3):
« Le fils de chaque femme est un traître potentiel et aussi l’inévitable violeur ou exploiteur des autres femmes. »
Ah ben que, ça alors, et à l’insu de notre plein gré, à nous les hommes qui bossions douze heures à la mine et y crevions de silicose ou dans une explosion pour que notre épouse puisse manger des glaces et s’habiller mode au magasin du Bon Marché! Girl power is bullshit.
Andrea Baleine, Fourest Gump, Nicki Phallus, etc: les monstres ont pris le pouvoir médiatique, soit; mais, non, ces femmes ne sont pas l’avenir de l’Homme.
Commentaires
Non mais, c'est pas bientôt fini c'est antiféminisme de bas étage, Monsieur ?
Les Hommes en couple font strictement la même chose.
Et pour le même prix, en plus !
"Christophe et Bruno vivent ensemble depuis des années et ils rêvaient d'avoir un enfant. Ce couple gay, interdit de GPA (gestation pour autrui) en France, est allé aux États-Unis pour recourir à une mère porteuse. Ces deux hommes se sont battus avec énergie pour pouvoir construire leur famille. Ils sont aujourd'hui des papas comblés."
http://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/13h15/
Je rigole, je ris, j'applaudis ...
;-)
100 000.- Le prix du danger ?
Mise à part, le film du même qui nom dénonçait avant l'heure des dérives de la société; il est probable que la GPA ne soit pas sans danger du tout.
Par exemple, j'ai lu l'exemple d'une mère porteuse indienne forcée à le faire à coup de poêle à frire, par son mari vénal. C'est le genre de pays où ces transactions pourraient générer des dérives incontrôlables, probablement très loin des visions de Caroline Fourest.
Mais il y a surtout autre chose qui m'intrigue. Celle de croire qu'une femme prête son ventre et hop après accouchement elle touche son dû et tout va bien dans le meilleurs des mondes !
On ne peut pas nier que dans la grossesse le lien est plutôt étroit entre le fœtus et la personne qui le porte. Ses goûts, ses humeurs, son alimentation, etc. interagissent avec le bébé qu'elle porte. Pire ou mieux cela contribue à structurer ses prémisses de comportements. Du moins c'est ce que nous rapporte Boris Cyrulnik.
En plus, le liquide céphalorachidien, n'est rien d'autre au départ que du liquide amniotique fabriqué par une transsudatuion des fluides de la mère. Le lien ne se situe pas dans une appartenance génétique,certes, mais dans un rapport intime neurobiolgique.
Croire qu'aucunes interactions ne subsistent car il n'y a pas de causalités génétiques est une erreur courante.
L'épigénétique n'a pas fini de nous apprendre combien l'influence extérieure compte dans l'expression de nos gênes par effet de méthylation.
C'est une première chose.
Il y a aussi ce que l'on appelle le "microchimérisme"; un processus d'échanges cellulaires entre mère portante et le fœtus. Ces cellules subsistent pour certaines la vie entière chez l'hôte.
Hormis le fait que je doute, à cause de cela, que psychologiquement il ne subsiste aucunes traces longtemps plus tard, c'est un fait que ces migrations cellulaires peuvent activer des années plus tard une maladie auto-immune chez la mère, en particulier quand le fœtus ne comprend aucun de ses gênes.
Sans blague aucune, il y a des orphelinats pleins d'enfants de toutes âges, qui pourraient bénéficier de l'amour et de la tendresse de parents, peu importe la situation.
Seulement voila, on préfère dépenser 100'000 ($,£,€), pour avoir son bébé, bien à soi.
"une maladie auto-immune chez la mère, en particulier quand le fœtus ne comprend aucun de ses gênes." N'est-ce pas apporter de l'eau au moulin de "Andrea Dworkin, célèbre féministe lesbienne américaine"? Porter dans son ventre un petit mâle peut nuire à la porteuse, il existe des théories sur ce sujet...
Il existe en Occident un processus général de destruction des sociétés du passé, ceci sur tous les plans. Le célèbre slogan de nos ennemis qui prônent le métissage à tous crins. Il ne doit plus y avoir d'homme blanc, d'homme noir, de Français ou de Suisse, d'Européen ou d'Africain, d'homme et de femme non plus d'ailleurs. Enfin si, des femmes mais pas d'hommes, sauf si hyper-féminisés, tous des Conchita Wurst. Il est donc tout-à-fait logique que nos ennemis - les ennemis de notre civilisation - recherchent à détacher de plus en plus la création d'homo sapiens du processus naturel, les Indiennes étant le stade avant les installations de laboratoire de 1984...
Cela dit, ceci n'est valable que pour l'Occident. Les sociétés qui nous sont hostiles se virilisent le plus possible et les jeunes d'ici qui n'ont pas envie de devenir des Conchita Wurst les rejoignent. Pas besoin de vous dire à qui je pense.
Remarque : cela fait depuis longtemps que cela dure et la kalach existait déjà (AK 47...)du temps des Brigate rosse ou des guevaristes (j'ai vu celle du Che au musée de Luanda...). La brandir à bout de bras, c'est le geste qui compte.
Le Che comme directeur de prison a fait fusiller à tour de bras des "ennemis du peuple" et on continue de voir de joyeux drilles porter des T-shirt à son effigie. Nul doute que d'ici peu, on verra des T-shirt dans le 9-3 dédiés aux héros coupeurs de tête de l'EI...
C'est vrai que Fourest dérange les pédophiles de la blogosphère helvétique !
Nadia
Hier soir, il y a justement eu un reportage au JT de France 2 au sujet des mères porteuses en Inde et d'une femme-médecin, qui construit sa deuxième clinique "de fertilité".
J'aurais aimé regarder ça avec Caroline Fourest ! Les inégalités entre les pays occidentaux et l'Inde devraient donc profiter aux personnes ne pouvant pas avoir d'enfants par eux-mêmes ... Comme si on pouvait laisser tomber toute rigueur intellectuelle, du moment que l'on se sent solidaire d'un groupe social potentiellement intéressé par une combine éthiquement très limite.
Dans le reportage, on voit des mères porteuses pleines de gratitude pour la doctoresse, qui leur fournit un pactole de 7000 euros, qui serait l'équivalent d'une année de salaire dans cette région.
On voit une Occidentale, qui dit venir chercher une mère porteuse en Inde, car c'est tellement moins cher qu'aux Etats-Unis et en plus, en Inde les mères porteuses ont moins de droits qu'aux USA !!! Elle dit tout ça face caméra, comme s'il ne s'agissait pas d'êtres humains, mais seulement d'un arrangement commercial comme un autre, où il est normal de chercher l'offre la plus avantageuse pour le consommateur.
On en reste bouche bée.
Pour voir là-dedans un moindre mal, il faut faire preuve de beaucoup d'abnégation.
Oui Calendula, et il est étonnant que Caroline Fourest évacue totalement cet aspect de la réalité: les différences et inégalités entre les pays.
Quant à la femme qui touche 7'000 dollars, salaire d'une année, que fera-t-elle l'année suivante?
Le calcul est vite fait, à ses propres risques sanitaires, psychologiques et moraux.
@Géo
Andrea Dworkin s'appuie probablement sur le processus du microchimerisme. Ce qu'elle oublie, c'est que les cellules mâles, dans le corps de la mère est simplement une des manière de l'objectiver. Mais le processus se passe également de fille à mère ... Une déviation usuelle des exégètes féministes radicales.
Cela dit dans l'article suivant on retrouve autant de points positifs que négatifs avec ces cellules migrantes :
http://www.soc-nephrologie.org/PDF/epart/industries/gambro/2011/13-albano.pdf
A part cela, "Les sociétés qui nous sont hostiles se virilisent le plus possible et les jeunes d'ici qui n'ont pas envie de devenir des Conchita Wurst les rejoignent. Pas besoin de vous dire à qui je pense."
Je trouve cela plutôt pertinent comme observation.
@Calendula
On peut dire aujourd'hui les plus grosses énormités, pourvu que cela reste dans les formes de l'art de communiquer et que cela surfe sur le mainstream habituel. A partir de là tout est permis ou presque.
Les aspects les plus choquants sont souvent présentés à travers un discours clinique ou technique aseptisé afin de diluer les réactions indignées ou effrayées.
Facile ;-)
Mais à l'inverse, parlez avec votre bons sens et votre cœur dans un média et vous verrez une vague de protestations indignées (des milieux autorisés dirait Coluche).
Tel est la dichotomie de notre monde
La baleine Andrea Dworkin oublie consciemment, par contre, d'évoquer la possibilité que la fille peut voler, piquer, l'Homme de sa maman ... et même s'enfuir avec ...
@aoki,
Bien d'accord, mais je pense qu'en France, il va se trouver des personnes pour contester les thèses de C. Fourest. Ce sera intéressant de voir, qui se lancera et si ces personnes arriveront à éviter de passer pour homophobe ou réac.
Prendre position sur plein de sujets condamne probablement à privilégier une ligne ( ici : les droits élargis des homosexuels) en faveur de ce que j'appellerais des valeurs supérieures (en l'occurrence la dignité humaine, le droit des enfants, la non-exploitation de la détresse d'autrui).
C. Fourest préconise 100.000 dollars par GPA. C'est mieux que 7000, mais ça crée des situations incroyables dans un pays comme l'Inde et multiplie les vocations. Non vraiment, je ne comprends pas en quoi le "droit à l'enfant" permettrait d'aller faire les pseudo-bienfaiteurs dans des pays pauvres.
@ Victor-Liviu Dumitrescu,
L'aspect physique de A. Dworkin doit être dissocié du contenu de son discours. Heureusement qu'il ne faut pas être belle, mince et jeune pour s'exprimer ! Si non, je me trouverais interdite de commentaires ;-)))
Calendula, pour ce qui est des anathèmes (réac, homophobe), je doute qu'on les évite avant un certain temps. Je pense qu'il faudra les affronter. Comment? par un argumentaire fort et répété. Ces anathèmes ne tiennent que par la force du nombre, l'affect qu'ils contiennent, le sous-entendu que l'on atteindrait à la liberté des gens et une sorte de droit "divin". Il faut répéter et ne pas craindre. A un moment je crois que la logique prévaudra.
Au passage, les valeurs supérieures ne sont pas simplement un moralisme mais ont un véritable fondement. Je pense que cela a toujours été le cas mais que la transmission de ces fondements a fait défaut. Et l'on voit aussi à travers cela la force des désirs individuels face à une société dénoncée comme seulement répressive (et elle l'a aussi été).
Nous sommes tous dans la situation de louer notre corps, notre esprit, notre force, pour gagner de quoi vivre. La différence est que dans ce cas nous n'engageons que nous, alors que dans une grossesse on engage un être qui n'est ni le père ni la mère.
Je reste aussi attaché à certains sens des mots, même si cela peut évoluer. Il y a quand-même des limites. Pour ma part, par exemple, je ne reconnais pas l'usage du mot mariage pour l'union homosexuelle. Le mariage a été instauré et perpétué pour désigner l'union d'une effe et d'une homme. Suis-je homophobe? Non, chacun sa vie. Mais je pense qu'Union civile aurait été approprié.
La procréation est un acte gratuit. Le rendre payant est contraire au bien de l'espèce car cela peut le freiner et mettre l'espèce en péril. Entre privilégier l'espèce ou quelques couples homos, j'ai fait mon choix: l'espèce prime. La survie de l'espèce est d'ailleurs aussi celle des homos. J'ajoute que si l'on devait s'interdire de critiquer des homos ou des noirs en raison de leur appartenance on ferait de la discrimination à l'envers et l'on mettrait en danger la liberté d'expression. D'ailleurs dans la mesure où ces communautés ne se privent à aucun moment de critiquer par exemple l'hétérosexualité blanche, la moindre des réciprocités (une condition de l'égalité) est de pouvoir faire de même. Devrais-je m'interdire de critiquer le style d'écriture d'un blogueur noir parce qu'il est noir, alors qu'en tant que journaliste il écrit mal? Non. Certains me diraient que je critique le noir. C'est évidemment faux et je les mettrais au défi de le démontrer. Je critique le journaliste.
L'avis de la féministe que je mentionne est intéressant car elle se fiche des anathèmes, et son parcours devrait l'exempter de ceux-ci. Mais non, probablement pas, sinon elle ne le mentionnerait pas.
Cela montre que nous avons besoin de nouveaux paradigmes sociétaux. Les clivages ne recouvrent plus le réel. Affronter les dogmes: au début on risque d'en prendre plein la figure, je connais. Mais il faut continuer, ne pas se soumettre. Et démonter ou dénoncer les mécanismes intellectuels ou affectifs qui permettent de faire passer des idées, comme le dit très bien Aoki.
Mon billet précédent sur les paternités imposées participe à la déconstruction d'un dogme au nom même de l'égalité. Ce dogme n'est en fait pas l'égalité mais il s'y réfère. Pa exemple la condamnation du viol au nom de ce que le corps de la femme lui appartient ne devrait pas être associé à l'égalité mais seulement au consentement et à une loi de société. Or le viol est utilisé pour démontrer une supposée culture masculine du viol et une inégalité systémique. C'est faux. L'inégalité par exemple de force, qui facilite le passage à l'acte des criminels, n'est pas un système culturel, c'est seulement une circonstance aggravante et une facilitation du crime par des circonstances objectives.
Je pense que nous devons prendre le droit de repenser beaucoup de choses très précisément pour jeter peu à peu les bases d'une nouvelle philosophie à venir. L'égalité en fera partie, j'y souscris autant pour moi-même que pour les autres car j'en bénéficie aussi (c'est la fameuse somme des intérêts individuels). Mais le féminisme n'en fera à mon avis pas partie car il ne coïncide pas avec une véritable égalité. Seul la répétition du message y fait croire, et la lâcheté la paresse intellectuelle ou le conformisme font le reste.
J'ai oublié de dire aussi que la procréation en tant que prestation payée induit une discrimination de fait à cause des moyens financiers différents des gens. Elle n'a donc rien à voir avec l'égalité. Mais on pourrait vouloir la défendre au nom de la liberté de contrat. Sauf qu'il s'agit d'un être humain qui en est la marchandise.
Pourquoi le féminisme ne fera pas partie de cette nouvelle philosophie? Parce qu'il s'agit à mon avis d'abord d'un mouvement opportuniste, dont quelques thèmes justes sont utilisés et noyés dans une masse qui se révèle diviseuse, communautariste, réductrice.
Pour moi les deux guerres mondiales, le développement de l'économie et la technologie sont les raisons majeures des transformations sociales.
Madame Calendula, Andrea Dworkin devrait être interdite de parole à ce sujet précisément.
Qui voudrait "coucher" avec elle, même si elle serait consentante ?
Que vous soyez dans son cas aussi, peu importe, pour autant que vous ne preniez la parole en public, surtout si c'est pour raconter des salades, tout comme elle.
Si jamais, vous n'êtes pas convaincue par mon idée, mon commentaire, faites une recherche et regarder le nombre de photos d'elle.
Pas une seule photo d'elle maigre, avant ... pour faire comprendre son état actuel.
Elle déclare : « Le fils de chaque femme est un traître potentiel et aussi l’inévitable violeur ou exploiteur des autres femmes. »
Même dans une action de punition, qui pourrait vraiment vraiment ... lui faire à elle ... du mal ?
Elle est tellement grosse, qu'il faudrait avoir un pénis de quoi ... un éléphant pour la pénétrer ?
Qu'elle se rassure donc.
@ Victor @ Calendula:
C'est moi le responsable! J'ai commencé! Hoooouuu... Hooouuu... (◉▼◉) fait le hibou.
C'est juste une petite pique, et chez elle cela se voit avant tout le reste. S'il fallait la décrire je dirais: Elle est très grosse, très très grosse, le visage mou, inexpressif.
Cela n'a pas de valeur en soi. Cela fait partie de certains textes où je mets une dose de second degré...
J'ai usé de ce cette pique deux ou trois fois dernièrement, comme pour dire "En plus de tout le reste, elle est énorme, vraiment énorme...".
C'est un signe distinctif majeur chez elle. Après, peut-être qu'elle aime les baleines, qui sont d'intéressants animaux...
:-D
Oui, hommelibre, il y a même des hommes qui aiment les grosses ! A une époque pas si reculée, c'était même le top du top d'être bien en chair.
Victor-Liviu D. , vous n'avez peut-être pas compris mon second degré ...
Une femme laide et grosse , qui dit des bêtises ou carrément des conneries, est et sera peut-être mal vue.
Au fond, ce que j'essayais de dire, c'est que c'est plus simple d'écrire ou de parler, si notre physique n'est pas en jeu. Un commentateur ou une commentatrice de blogs ne peut être jugé sur son aspect physique - ce qui est un net avantage.
Il doit exister de belles femmes qui sont d'accord avec A.Dworkin et qui répètent ses propos. Tout existe.
Pourquoi avoir besoin de s'imaginer avoir des rapports avec A. Dworkin ?!? Lorsque je vois un gros monsieur, qui dit des âneries ou même des choses brillantes, ça ne me vient pas à l'esprit !
Bien sûr, elle parle de viol etc, c'est visiblement son sujet, mais je trouve son positionnement intéressant: elle est certainement en-dehors de tout danger, même s'il arrive que même de très vieilles dames se fassent violer. Parfois, c'est l'opportunité qui fait le larron.
Cette femme suinte l'envie de domination.
Que ce cache t'il derrière son 100 000$, tous simplement l'exploitation financière des hommes seuls, en couple hétéro/gay, rien de plus.
Sachant qu'il est a l'heure actuel impossible d’arrêter la GPA, elle en prend parti et veut faire payer le prix fort.
ET pourquoi pas 100 000 $ pour les FIV pour les femmes seul ou en couple non remboursé par la sécu bien-sur :) Ha non la c'est domination masculine et tutti quanti.
Bref domination et encore domination, voyant que la domination féminine sur la grossesse est en train de tomber et qu'un homme seul peut avoir un enfant en bonne santé avec ses propos gènes pour 8000$, je comprend que ça mette en rogne.
Tellement en rogne que sa part sur des chiffres extravagant.
Je pense qu'il faudrait un programme neutre avec des algortihmes qui ne font pas des doubles standars pour régles les problèmes d'égalités hommes-femmes.