Une étude réalisée par des chercheurs de trois universités des Etats-Unis le dit: les hommes sont attirés par les femmes intelligentes mais ils en ont peur. Ciel! Où est passée la crâne audace masculine?
L’étude – réalisée sur 105 hommes seulement – est ainsi faite: on présente à ces hommes des femmes aux profils différents. Certaines ont des scores plus élevés que la moyenne des hommes, par exemple en maths ou en langues. D’autres ont des scores moins élevés.
Quelles femmes leur semblent les plus intéressantes? La majorité des hommes mentionnent celles qui obtiennent les meilleurs résultats. Par contre, pour un rendez-vous, les mêmes hommes préfère les femmes moins performantes.
Selon les auteurs, le sentiment de leur masculinité pourrait. chez ces hommes, être diminué par la fréquentation de femmes très performantes. Et nombre d’hommes craindraient qu’une femme plus performante qu’eux ne les rejette tôt ou tard.
Ouais, ouais, ouais… Encore un truc pour encourager les femmes à être bêtes. Ou à montrer que les hommes sont des colosses aux pieds d’argiles, ne tirant leur force que par comparaison avec la faiblesse d’autrui. Non, je blague.
Mais je me demande quel degré de pertinence accorder à une telle étude. Dans les archétypes de genre fondés sur la biologie, l’homme est protecteur et pourvoyeur, la femme est éducatrice et soignante. Elle compte donc en partie sur l’homme pour assurer sa mission. Question: les femmes acceptent-elles dès lors facilement un homme moins doué et moins riche qu’elles? Ne cherchent-elles pas au fond, toujours, un mâle qui représente la force, la sécurité et la prospérité?
Allez, des réponses vraies, pas convenues pour dire: non, non, cela m’est égal pourvu que l’on s’aime. Je ne crois pas que l’amour durable tombe du ciel sans certaines conditions, certaines visibles, d’autres inconscientes.
Pour ce qui est de moi, je sais. Evidemment il faut aussi voir les caractères, les personnalités, les goûts. Et l’alchimie. Mais je sais certaines choses. Je me fiche de la richesse. Je ne saurais de toutes façons pas rivaliser avec une femme PDG. J’aime les femmes intelligentes. J’aime aussi les femmes hypersensibles. J’aime les femmes sexy et tendres, et franchement féminines. Et j’aime les femmes qui me touchent.
Si elles ont tout cela à la fois c’est encore mieux. Mais c’est plus rare.
Commentaires
Mais je me demande quel degré de pertinence accorder à une telle étude. Dans les archétypes de genre fondés sur la biologie, l’homme est protecteur et pourvoyeur, la femme est éducatrice et soignante. Elle compte donc en partie sur l’homme pour assurer sa mission. Question: les femmes acceptent-elles dès lors facilement un homme moins doué et moins riche qu’elles? Ne cherchent-elles pas au fond, toujours, un mâle qui représente la force, la sécurité et la prospérité? "
Je trouve ta question et ta remarque très pertinente. Les féministes sont toujours très traditionnelles quand il s'agit du rôle des hommes, même si elles ne le sont pas DU TOUT en ce qui concerne les rôles des femmes; elles attendent des hommes qu'ils assurent la protection... et la sécurité de l'emploi.
Dans toutes les comédies romantiques, de Pretty Woman à 50 Nuances de Grey, en passant par les séries comme Urgences ou Grey's Anatomy, on se doute que le métier d'un homme -la stabilité financière- et le fait qu'il soit reconnu (ou célèbre) sont très importants...
Mais il suffit de regarder autour de vous, voyons.... Pas besoin d'études de l'université ceci ni cela. Vous connaissez beaucoup de couples où l'homme serait moins payé, moins élevé dans la hiérarchie sociale, moins éduqué, plus petit, plus jeune etc?
Non. C'est toujours le modèle médecin + infirmière ou patron + secrétaire qui prévaut. Ou alors, si la femme est chercheuse nucléaire, son mari/compagnon sera artiste ou carrément homme au foyer (j'en connais), c-à-d un choix délibéré de ne pas être en concurrence.
Vous pourrez dire que c'est la faute des femmes, qui veulent un homme fort pour les protéger. Mais "it takes two to tango". Je connais plein de femmes intelligentes qui jouent aux gourdes pour sauver leur couple. C'est triste, mais c'est vrai.
"Je connais plein de femmes intelligentes qui jouent aux gourdes pour sauver leur couple. C'est triste, mais c'est vrai."
La réciproque est vraie aussi, Arnica...
"Les hommes craindraient les femmes intelligentes", John, si t'en connais une, présente la moi de toute urgence ...
Victor, vous allez être privé de dessert...
Arnica, j'ai traité le sujet avec légèreté. Je n'accuse pas, mais il me semble qu'il y a un fond à creuser et que l'étude ne va pas assez loin dans la réflexion proposée.
En effet les choses ne sont pas symétriques. Et à mon avis elles ne vont pas l'être prochainement. Il y a probablement quelque chose de plus profond qui a modelé les rapports de sexe à l'intérieur de l'espèce. Je ne crois pas à une origine purement culturelle et fabriquée des stéréotypes. D'ailleurs, si c'était le cas, pourquoi aurait-ils été fabriqués selon ce modèle, sinon parce qu'il trouvait un possible ancrage dans la matière?
La situation des femmes plus riches ou plus intelligentes doit être plus inconfortable qu'on n'imagine, car rien ne permet de prévoir une solution à cette forme de "transgression" (je le dis avec des pincettes). La symétrie ne va pas fonctionner de manière généralisée, il n'y aura que quelques couples dont chaque membre trouvera ses bénéfices pour des raisons en partie insondables.
Une raison de l'asymétrie est l'âge et la capacité de procréation. A mon avis beaucoup de choses se sont construites sur les différences biologiques, bien qu'elles soient peu nombreuses car les femmes font la plupart des choses que font les hommes avec le même talent, et inversement. Peu nombreuses mais décisives.
Victor, vous allez être privé de dessert...
Écrit par : hommelibre | 23 octobre 2015
Non, je ne crois pas ...
En général, on recherche des rencontres avec des personnes ayant un niveau d'instruction et social proche du sien. Ce qui aurait été intéressant, c'est de savoir comment ils ont recruté leur pannel...
"ou carrément homme au foyer (j'en connais)"
J'en connais un aussi. Sa femme est ingénieure dans un domaine militaire. (elle est tenue au secret je n'en sais donc pas plus) Il s'agit juste d'une décision logique. Ils ont deux enfants, et comme un salaire suffit à faire vivre la famille, il est bon pour tout le monde qu'un des parents reste à la maison. C'est tout naturellement celui qui a un revenu inférieur qui laisse tomber sa carrière. Ca devrait toujours être ainsi, mais c'est vrai que c'est assez rare pour l'instant. Je connais aussi des hommes qui ont forcé leur femme à abandonner une carrière prometteuse alors que la leur était sans intérêt. C'est vrai que chez certains les stéréotypes ont encore la vie dure. C'est l'homme qui nourrit la famille...
Kad: sur le panel d'hommes interrogé, je n'ai pas trouvé de détails. Et, oui, la proximité de niveau social fait partie des conditions invisibles qui participent à la formation des couples. L'amour en tant que sentiment n'est pas seul moteur dans le couple.
Sur le fait que l'homme reste à la maison, je suis moins convaincu. Homme ou femme, aujourd'hui les lois permettent de garantir que celui ou celle qui a laissé son travail ne sera pas lésé en cas de rupture. Mais en tant qu'homme je n'aurais pas voulu rester à la maison, même si je me suis beaucoup occupé de notre fille et avec un réel bonheur.
Les hommes ne portent pas la vie et n'accouchent pas, ce qui est en soi un marqueur d'une place sociale indiscutable. Alors quelle place indiscutable pour les hommes? Avant c'était de protéger famille et clan et de pourvoir. Maintenant, pouponner? Je ne suis pas convaincu.
Etude pertinente mais que devient l'amour dans tout cela ... un accessoire ?
Pour avoir travaillé dans un milieu très bourgeois, fortuné et très fermé, pendant 3 ans, je puis vous assurer que ... l'héritier devait épouser une femme du même milieu que lui, ce qui donnait quelque adultère et qui faisait sourire toute la ville !!!
A propos de celui / celle qui abandonne le travail rémunéré, pour s'occuper des enfants :
Cela a des incidences sur la retraite, et en particulier le "deuxième pilier". Le couple devrait penser à organiser des cotisations dans une caisse pour indépendants.
Je ne suis pas experte en la matière, mais j'ai vu une fois un sujet dans le JT français, au sujet des femmes ayant travaillé dans l'entreprise familiale, sans statut officiel.
Dans le cas, où il y a divorce, elles sont dans une situation financière déplorable, si l'ex-mari et patron n'admet pas qu'elles ont travaillé. Il n'y a pas de cotisations, donc pas de preuves.
Le reportage avait pour but de sensibiliser les femmes travaillant pour leur mari (l'inverse étant également valable, mais probablement encore assez rare). Elles doivent anticiper. Quand on est jeune, ça semble très loin et il est difficile de s'y intéresser, surtout si le couple va bien. Il y a comme un procès d'intention et en plus, les cotisations représentent des frais pour l'entreprise familiale. Les femmes interviewées s'étaient réunies en association, pour essayer de rattraper cette imprévoyance de leur jeunesse.
Calendula, c'est un point important et très concret. Il faut anticiper, et si possible verser un salaire aux deux, ou au moins des cotisations. En France les charges sont décourageantes pour une petite entreprise.
Amusant. L étude ne précise pas si la femme "intelligente" jugerait par sa carrière. Il serait drôle de vérifier le taux de testostérone des non désirées.
Parce que mon épouse est une femme intelligente et pourtant elle a de la féminité
Autre chose les pete secs "intello", les mêmes qui militent pour plus d égalité celles qui puent la mort a des kilomètres sont elles pris en compte.
M est d avis que l auteur de l étude a une définition bien a lui de l intelligence féminine ou de l intelligence tout court.
@spartakus,
Votre commentaire soulève un problème vraiment intéressant : qu'est-ce que l'on appelle " intelligence" et comment la mesurer ?
Dans le billet, il est question de scores élevés et de performances. L'étude se basait sur des hypothèses, puisqu'on présentait ces femmes comme étant intelligentes et performantes. C'est une étude portant sur un petit échantillon d'hommes et se basant sur des femmes, dont on ne connaît pas les autres caractéristiques. Combien de photos ? Quel aspect physique ? etc.
Et puis, il s'agit de "dating" = sortir avec, ce qui est un projet potentiellement juste éphémère et axé sur le fun. Et plus, si entente. ;-))
Si on élargit le panel, en réfléchissant à ce que l'on observe autour de soi, ça devient plus intéressant.
Je propose comme critères d'intelligence une sorte de mesure de la "performance", c'est à dire la réussite professionnelle, que ce soit au niveau du salaire ou du succès et de la reconnaissance par l'entourage professionnel. Comme dans l'étude, qui exclut l'intelligence plus vaste ( capacité à faire face à des problèmes, à s'adapter, à faire des liens) , car c'est quasi impossible à mesurer. Et puis, je peux trouver quelqu'un très intelligent, alors qu'il est perçu comme insignifiant par d'autres !
Mon échantillon dans la vraie vie tend à prouver qu'il y a plutôt une égalité hommes / femmes dans les couples. Sur 12 couples de longue durée, 10 sont composés de partenaires ayant une formation et/ou un job équivalents. Un couple est "déséquilibré" en faveur de l'homme, un en faveur de la femme. Je devrais bien sûr penser à tous les couples que je connais, aussi ceux qui se sont séparés...
Souvent, les gens font connaissance sur le lieu de travail et il est vrai que dans ce cas, il est plus rare que la patronne sorte avec un employé ou une chirurgienne avec un infirmier, mais les couples se forment facilement entre pairs.
Dans la vraie vie, même les critères objectifs sont difficiles à mesurer.
Est-ce qu'une architecte est plus intelligente qu'un psychologue ? Et si le psychologue gagne davantage que l'architecte ? Est-il difficile pour un informaticien de supporter de vivre avec une gestionnaire financière qui gagne davantage que lui ? On a envie de répondre : ça dépend, car l'intelligence et la performance professionnelle ne sont que des critères parmi d'autres.
L'intelligence présupposerait que l'on sache choisir son partenaire selon des critères allant au-delà de la dimension purement performative.
On pourrait se demander si une proportion significative de femmes supporte de vivre avec un homme qui gagne moins ou qui a un job socialement moins valorisé.
Comme on vit dans une société, dans laquelle le paraître est si important, on peut imaginer que le critère de la beauté et de la réussite financière peuvent être primordiaux, pour les deux sexes.
Mon hypothèse: le nombre élevé des divorces peut s'expliquer, en partie, par le choix du partenaire basé sur des critères superficiels ou trop utilitaristes.
" J’aime aussi les femmes hypersensibles."
Vous êtes une exception H.L.! Rares sont les hommes qui les aiment : ce sont des hommes doux, bons et généreux. C'est cela leur richesse.
Bonjour Ambre,
Plaisir de vous lire!... ;-)
Cette sensibilité, hyper, est précieuse pour moi. Cela m'ouvre et me touche.
C'est très gentil ce que vous dites, et je m'y reconnais, sans egomanie particulière.
Mais je peux aussi être chiant, désagréable, provocateur, blessant, stressé, doutant, etc... Avec le temps cela s'apaise.
Décidément, rien n'est parfait!
⎛▴⫫▴⎠
Oui, il est bon de prendre l'air quand il devient irrespirable...
Bigre, il va falloir que j'invente un smiley du tonnerre!
(^][^) Mmm! Pas terrible (mon prochain ordi sera un Mac;-))
Si si, Ambre, je le trouve bien et original! Vous avez exploré une forme que je n'avais pas imaginée.
Le mien est supposé représenter un renard, en rapport avec la phrase qui le précède. C'est de l'art abstrait...
:-)
Femmes ou hommes intelligents.
Selon Erich Fromm, psychanalyste, on vit selon deux modes l'un l'avoir, l'autre l'être.
L'avoir accumule sans jamais être satisfait.
De même que le plaisir n'étant que passager ne satisfait jamais une fois pour toutes.
Un peu comme le toxico. A peine terminé avec une "dope" il cherche à voir où et comment se procurer la suivante.
Il y a un temps pour tout mais être "doux et humble de cœur" reviendrait à savoir se laisser guider ou entraîner par plus intelligent ou doué que soi sans référence au sexe.
J'eus, dans mon enfance, le privilège de rencontrer dans sa propriété le grand-père de Bertrand Piccard,le célèbre professeur Tournesol de Tintin. Homme de haute intelligence tout rayonnant, souriant, bienveillant.
En la présence d'êtres intelligents plus que nous n'en sommes-nous pas comme éclairés nous-mêmes non seulement, en aucun cas, avec le sentiment d'être rabaissés en leur présence mais, quelque part, comme rétablis, enrichis "pour de bon", cette fois?!
Je l'avais loupé celui-là...
Il me cause d'autant plus que Géo nous assimile à "une belle paire d'égomanes narcissiques à renvoi d'ascenseur contre coups de brosse à reluire" sur le blog de Gilbert Salem.
Je sais, le parallèle n'est pas évident. Si chaque intervenant sur les blogs pouvait traduire tous les cheminements de sa pensée pour en arriver là, ça deviendrait vraiment lourd. Alors je skip ce détail. Pour le moment.
Et je reviens au thème du billet.
Mon modèle vient de ma mère. Elle a vécu toute sa vie au service de son mari qui lui rappelait de temps à autre les voeux de mariage de l'époque qui sacralisaient ce don de soi.
Au final, elle a eu la finesse, l'intelligence, le bon sens, de laisser la gloire à son vieux alors qu'elle a non seulement initié, mais assuré le suivi de, toutes les aventures qui ont vraiment compté dans leur vie de couple.
Pour moi, c'est presque le rêve. Vivre sa vie comme on l'entend, pour l'un et pour l'autre, en étant persuadé que c'est ce qui doit être, ce qui doit être fait.
J'écrirai un jour cette histoire modèle. Elle relègue bien loin les questions de genre pour mettre l'accent sur le potentiel de chaque individu. Et pour optimiser ce potentiel, il est impératif de connaitre ses atouts. Les hommes et les femmes ne disposent pas des mêmes outils.
Merci Pierre.
Un peu pareil dans ma famille. De plus les difficultés éventuelles des enfants n'étaient pas évaluées par rapport au sexe mais à la personnalité.
Pour Géo... pfff... Ta réponse est parfaite.
Quand je lis ce genre d'études, qu'elle confirme ma perception empirique des choses ou pas, mon premier mouvement est toujours de répondre "Et alors?". Au-delà de l'intérêt scientifique, (qui me semble assez faible dans le cas présent), je ne vois pas quelles conclusions pratiques on peut en tirer ?
Prendre conscience de ce qui nous conditionne pour mieux le dépasser ? Sauf que des individus parfaitement autonomes, c'est à dire vierges de tout conditionnement, historique, culturel, religieux, esthétique, moral, anthropologique, ça n'existe pas.
La rencontre avec l'autre se fait forcément selon des modalités balisées. Le physique compte beaucoup de toute évidence. Chaque fois que je vois une jolie femme accompagnée dans la rue, dans 95% des cas, l'homme est plutôt séduisant physiquement. (je ne fréquente guère la haute bourgeoisie ou le showbizz, où j'imagine qu'on retrouve plus souvent le couple "vieux riche"/ "jeune belle")
Le milieu social est sans doute le critère dominant. Sans parler de l'origine, du niveau de diplômes, etc.
L'intelligence... Comme le dit Calendula, on peut mettre tellement de choses derrière ce mot.... L'étude assimile la capacité de performance à l'intelligence, c'est fortement contestable. On peut ne pas avoir envie de fréquenter quelqu'un d'un niveau social trop supérieur au sien, tout en ayant envie d'avoir un(e) partenaire qui ait du répondant sur le plan intellectuel.
A la limite, ce qui compte, ce n'est pas tant la raison pour laquelle on est attiré par quelqu'un. Parce que tomber amoureux, c'est toujours plus ou moins une rencontre entre deux névroses, où l'on perçoit l'autre à travers le prisme de son propre regard, de ses propres manques.
Ce qui compte, c'est la qualité de la relation, l'attention qu'on lui accorde, les sacrifices qu'on est prêt à lui faire.
En ce sens, bâtir un couple, c'est aussi un choix.
@ Felix le chat:-) clarté, simplicité, pertinence de votre commentaire. Bravo.
J'aime #le prisme de votre regard# de chat.
(>!
J'aime aussi cette conclusion, F-Cat.
Me too ! Mais ça ouvre la discussion du choix...
@~Ambre:
Félix le Chat, mais aussi Fritz the Cat...
www.pop-culture.us/imgs/Fritz.jpg
Et celui-ci n'a pas de F, mais c'est mon préféré: Krazy Kat:
tegneseriesiden.dk.s3.amazonaws.com/images/21-krazykat39.gif
Krazy Kat ça a l'air chouette en effet; je ne connaissais pas. Je n'étais pas née. Hi! (Pour une fois que je peux dire sans mentir que je n'étais pas née)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Krazy_Kat
"Le sexe de Krazy n'est jamais clairement défini. Herriman préfère laisser planer l'ambiguïté"
L'autre photo de Fritz est gratinée;-) mais faut rigoler (*_*). Et "la rencontre entre deux névroses" on peut la voir sous différents styles n'est-ce pas! Ah ah!
Je suis sûre que F-Cat a meilleur goût si je me fie à la façon dont il s'exprime.
(Rires)
(C'est bien chez vous, on a la météo suisse et là vous êtes chanceux).
Pas né non lus mais il a été édité en gros livre et un ami me l'avait offert, traduit en français. ⁄a gardait toute sa saveur. Et le visuel me plaît particulièrement.
Pour Fritz il y a encore plus gratiné, peut-être êtes-vous allé voir...
:-)))
Mmmvoui! Suis alléE voir la bande annonce de Fritz the cat (que je ne connaissais pas). Gratinée? MDR!
Je préfère aussi le dessin de Krazy Kat...
Ce n'est pas un chat mais il est délicieux celui qu'on m'a offert (vous ne deviez pas être né non plus;-))
Max (le hamster)
http://ekladata.com/MG58TRJvU_nqdp69frHtPOFOOD8.jpg
C'est un livre pour les enfants (0_0) et je m'éclate avec quand je n'ai pas le moral:
http://laclassedecorinne.eklablog.com/max-un-enorme-coup-de-coeur-a5233727
Ambre:
Bien vu votre lapin chez Salem!!!
:-))
J'adore.
Le centrage pose toujours ce genre de problème, je ne pense pas que j'aurais fait mieux. Et les oreilles, vous avez été audacieuse, le résultat est cool, il est dans le vent!
:-)
Oh merci John!
A vrai dire, il vous était adressé. It's a joke entre nous;-) et c'est gentil d'avoir répondu ici.
Pour les oreilles, c'est bizarre que la moitié disparaisse à la publication du commentaire. Je tente ici pour vérifier les oreilles : (_/)
Ah ben non, ça ne marche pas non plus. En fait il y a normalement deux barres obliques mais la première, celle qui normalement est après le début de la parenthèse et qui disparaît je la fais avec Alt Gr+8 alors que la seconde je la fais avec Majuscule+barre oblique (au-dessus des deux points).
Bouhhhh! Vous ne devez rien comprendre. Hi hi! De toute façon, c'est vous le roi des smileys!
Bonne soirée
"Ce qui compte, c'est la qualité de la relation, l'attention qu'on lui accorde, les sacrifices qu'on est prêt à lui faire.
En ce sens, bâtir un couple, c'est aussi un choix."
C'est cela l'intelligence! Mais aussi, faudrait-il que cela soit partagé. Il suffit qu'un seul partenaire fasse plus de concessions que l'autre pour qu'il y ai profit et domination! C'est oublier l'égoïsme chez l'être humain!
"John, si t'en connais une, présente la moi de toute urgence ..."
"ce sont des hommes doux, bons et généreux." (pour reprendre Ambre)
Victor, si vous en connaissez un, présentez-le moi de toute urgence....
:-P
Je ne fais que ça, Patoucha ...
Il ne serait peut-être pas à votre goût, Patoucha ...
Ambre: La connivence du joke a fonctionné! Je m'étais douté.
Merci!
Certains signes de ponctuation passent mal. Des séries ne se reproduisent pas comme nous les tapons au clavier. J'ai aussi eu cela. Il faudrait faire des tonnes d'essais sur un billet fait pour!
Le roi, je ne sais pas, en tous cas j'aime vraiment votre lapin.
Bonne soirée.
Mais il n'y a aucune logique entre les arguments de cet article...
"Ouais, ouais, ouais… Encore un truc pour encourager les femmes à être bêtes. Ou à montrer que les hommes sont des colosses aux pieds d’argiles, ne tirant leur force que par comparaison avec la faiblesse d’autrui. Non, je blague."
Une féministe ne dirait pas ça ! Cette ironie n'a aucun sens. Avez-vous compris ce que l'on revendique ?