Il y a quelques temps l’AFP (Agence France Presse) diffusait un communiqué neutre, sans signature, comme cela arrive. Il a été repris par différents médias sous sa forme initiale ou de manière résumée. Dont RTL.
On attend de l’information neutre qu’elle soit vraiment neutre et descriptive, sans interprétation idéologique. Que l’on nous donne à connaître des faits ou des chiffres, sans les tirer dans un sens plutôt qu’un autre. C’est à l’informé de faire ensuite sa propre opinion.
Or ici un biais idéologique est installé dès le premier paragraphe. Le communiqué relaie une étude réalisée en 2014 sur la répartition des tâches ménagères. Il s’agit d’un sujet que je connais bien mais en l’occurrence le contenu est moins important que la manière de le dire.
Le premier paragraphe sur le site de RTL dit:
« L’égalité hommes-femmes dans les tâches ménagères est loin d’être acquise, selon un sondage Ipsos réalisé pour l’entreprise Sarenza. 68% des femmes interrogées estiment effectuer davantage de tâches ménagères que les hommes à la maison, et 44% des hommes reconnaissant en faire moins. »
Premier biais moral et idéologique implicite: les termes « …loin d’être acquise ». Parce qu’elle devrait l’être? Aucune loi n’impose quoi que ce soit dans ce domaine. C’est de l’ordre du privé. Les couples s’organisent librement selon leurs besoins. Or ces termes: « …loin d’être acquise », posent cet objectif comme indiscutable, comme une injonction qui n’a plus à être contestée. Comme si c’était le produit d’un consensus général. Ce qui est faux.
Ensuite: « …et 44% des hommes reconnaissent en faire moins ». Reconnaissent? Comme si c’était un péché? Donc avouent leur faute? Donc seraient en tort? Donc presque coupables?
L’injonction morale n’est pas explicite et pourtant elle écrase tout le texte.
Plus loin un autre paragraphe dit:
« Les excuses les plus souvent utilisées par les hommes pour éviter une tâche domestique sont, selon les femmes : « je le ferai, mais plus tard », « je fais d’autres choses dans la maison », « je n’ai pas le temps » ou encore « je le fais moins bien que toi ».
Autre biais: la culpabilisation moralisatrice. Encore en faute, les hommes! Les réponses citées ici montrent surtout leur malaise devant une injonction qu’ils n’ont pas eux-mêmes décidée. Entre loyauté au couple, goût de la collaboration, bonne image de soi à donner, crainte du jugement moral négatif, beaucoup d’hommes ne savent plus – ou n’osent plus – plus se déterminer par eux-mêmes.
Dans cet exemple, l’information est posée comme neutre alors que tout y est moralisé et sous-tendu en filigrane par les notions de Bien et de Mal. Or la répartition des activités domestiques au sein d’un couple dépend de multiples facteurs: disponibilité, temps de travail de chacun à l’extérieur, pénibilité des tâches, types de tâches, souhaits personnels, entre autres. Elle ne dépend pas du Bien et du Mal.
L’égalitarisme est une forme d’oppression morale et idéologique. Mais le sort actuel de la masculinité en occident est largement le produit d’une faiblesse masculine. Une faiblesse – parfois une lâcheté – quand il s’agit de poser ses limites, de dire non, d’affirmer sa propre réalité, de se faire respecter, d’exprimer ses besoins comme naturels.
Ce qui suppose une discussion ouverte, et non fermée comme ce communiqué l’impose. Mais la presse occidentale est largement inféodée aux diktats féministes. Rares sont les journalistes qui assument les nécessaires confrontations. Dès lors l’information est à sens unique.
J’ai pris cet exemple en lisant le livre d’Ingrid Riocreux, La langue des Médias (Editions L’Artilleur, pages 61 et suivantes). Elle en fait une analyse plus longue et plus détaillée qui mérite lecture. Le sous-titre de son livre est: Destruction du langage et fabrication du consentement.
Problème: le consentement fabriqué n’est pas une adhésion lucide et réfléchie mais une oppression-soumission. Ce qui est entré dans la société de cette manière pourrait bien s’en trouver expulsé un jour, pour n’avoir pas respecté les résistances naturelles, les ajustements progressifs et la liberté d’opinion.
La morale ménagère est une oppression, que nombre de journalistes ont déjà intériorisée par crainte d’être catalogué dans le mauvais camp. La liberté de pensée régresse.
Commentaires
@Hommelibre excellent article ! c'est peut-être une nouvelle forme d'instruction religieuse allez savoir /rire
On vit dans un monde qui adore mélanger les genres comme prendre des images de films pour en faire des infos catastrophes
Flanquer la trouille ,faire la morale inciter à ceci ou cela n'est pas le rôle des médias et vous faite bien de le souligner
Ok on est au mois des trouilles et des citrouilles mais fo po exagérer dirait Titeuf
Les super féministes en remettraient elles une couche grâce à certains médias !
@hommelibre,
Comment voulez vous que l Agence France Press (AFP) puisse être une agence d information morale quand elle n est qu une agence qui s appelle l AFP(ute)? Avec mes excuses d avance aux Putes de les avoir comparées à l AFP.
" l’AFP (Agence France Presse)"
L'AFP (Agence France "Palestine") hommelibre
- « L'AFP (Agence France "Palestine") hommelibre »
Ah ben, moi je Like! bien parce que je Like! Patoucha
D'ailleurs j'ai écrit un petit poème format "Manchette de journaux", pour le souffler très souvent avec mon sifflet dans les oreilles à tout le monde, comme ça, chaque fois qu'on lira "AFP", on se souviendra que Chuck-Chuck Like!-Like! rotfl Patoucha-Patoucha beaucoup-beaucoup.
... L'AFP (Agence France "Patoucha")
Roo-roooo Likkkkke!
ROTFL Je vous adore Chuck Jones! Un rayon de soleil dans ce ciel grisâtre et "mouillé"
Bon dimanche je Like...
"La morale ménagère est une oppression, que nombre de journalistes ont déjà intériorisée par crainte d’être catalogué dans le mauvais camp. La liberté de pensée régresse."
une oppression et du mensonge éhonté.
mais les journalistes n'en sont pas à un mensonge prés, lire la tyrannie médiatique.
http://www.polemia.com/la-tyrannie-mediatique-de-jean-yves-le-gallou-2/
Cher hommelibre,
- « Naufrage du Titanic : les hommes ont été délibérément sacrifiés »
- « Émilie Tran Nguyen est une femme charmante. Et elle n’aime pas le sexisme. ... Elle l’a dit ... qu’il faut en parler. Eh bien, Émilie, parlons-en du sexisme. ... ici sur ce blog. »
Un excellent terrain de parlottage, ce blog. Excellent choix, hommelibre.
Donc Emilie n'aime pas le sexisme, donc elle est anti-sexiste. Rottgeur ! Bien Compris ! 5 sur 5 !
- « Elle citait une expérience lors de laquelle un présentateur avait porté le même costume pendant une année. Personne n’avait trouvé à redire.
- « Par contre la présentatrice femme avait été régulièrement commentée voire critiquée pour ses tenues. »
"Par contre" ? "Contre" ? Comme le match PSG contre l'OM ?
Donc, alors, c'est ... quoi "contre" quoi ?
Ce que Émilie Tran Nguyen dit, c'est que dans le cas du Monsieur, on "n’avait trouvé à redire", tandis que dans le cas de la Madame, on a trouvé très bien de "redire" à répétition des tas de critiques sur les tenues de la Madame.
C'est ça l'affiche du match de "contre".
Le cas du Monsieur ... contre ... le cas de la Madame.
On ne dit rien sur la tenue du Monsieur, ... contre ... on dit beaucoup, très souvent des choses sur la tenue de la Madame.
- « Sexisme? »
Excellente question. Vraiment excellente !
Alors, ... qu'est-ce que le "sexisme" ?
Pour être certain de ce qu'il ne faut pas dire, pour parlotter tout en essayant d'être bien compris ...
Consultons donc notre dictionnaire preféré ...
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SEXISME, subst. masc.
Péj. [Gén. dans le lang. des féministes] Attitude discriminatoire adoptée à l'encontre du sexe opposé (principalement par les hommes qui s'attribuent le meilleur rôle dans le couple et la société, aux dépens des femmes reléguées au second plan, exploitées comme objet de plaisir, etc.).
( http://cnrtl.fr/definition/sexisme )
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Ainsi, le mot "sexisme" est un mot féministe avec un sens codé-caché utilisé par et parmi les ... féministes. (C'est marqué par l'académie française, la plus haute académie de la langue française).
Ca veut dire que, si on est "féministe", dans ce cas, ça veut dire quelque chose de bien précis que toutes et tous les féministes du monde entier (où on parle français en tout cas) comprennent, même s'ils sont unis ou désunis. Et que si on n'est pas féministe, comme y'a pas de définition du mot "sexisme" dans le dictionnaire pour les contre-féministes, et les anti-féministes, et les onépaféministes, alors ces paféministes là, à chaque fois qu'ils veulent dire "sexisme", ben ... ils doivent réinventer leur propre définition à eux pour dire qu'ils n'aiment pas les idées des femmes, surtout celles qui sont féministes, comme le "sexisme".
Parce que comme le sexisme c'est une _attitude_, comme le dit le dictionnaire (l'attitude c'est la même chose que la _pose_ en photo quand le photographe dit au mannequin ... "Prenez cette pose là."), alors ce qui est important c'est pas seulement les raisons pour lesquelles les femmes prennent cette pose là, mais aussi les raisons de ceux qui n'aiment pas que les femmes prennent cette pose là.
Bref, le sexisme, c'est vraiment une question de ... _pose_, ... et de comment les femmes posent, et de comment on voit la pose que prennent les femmes, surtout les féministes. Mais on en a perdu l'habitude avec les videocam et les webcam et les iphones en tous genres qui permettent de faire un tas de photos mais sans pause entre deux pour bien étudier la pose.
http://cnrtl.fr/definition/attitude
http://cnrtl.fr/definition/pose
Ce qui explique beaucoup de malentendus, surtout entre nous.
Par exemple pourquoi je me ducros-me-décarcasse pour comprendre pourquoi les femmes vous embêtent tant. C'est parce que, ce que vous ne semblez pas aimer chez les femmes, c'est la pose-position que vous leur donnez, pas celles qu'elles ont toutes (ou la majorité pour pas généraliser), vu que quand vous parlez des femmes, je crois toujours que ce sont des martiennes, des femmes pas du tout comme celles que je connais.
- « Ou simple différence d’identification entre les sexes? »
Ben, non. Voyez ? Vous cherchez un problème d'identification, alors que c'est un problème de pose. Alors des fois, selon la pose, on voit mal les détails, parce que par exemple ils sont cachés, ou la lumière n'est pas assez bonne, ou qu'on a des mauvais yeux, ou que les détails sont tout petits-petits, alors ça rend l'identification difficile.
- « Simple tradition? »
Ah! Ben ... peut-être. Ptet ben que c'est effectivement une question de culture. Comment on aime bien donner la pose-position aux femmes. Ou comment on aime seulement certaines poses que les femmes prennent elles-mêmes, par exemple quand elles sont bien inspirées et prennent des bonnes initiatives, naturellement, sans s'en rendre compte, sans qu'on ait besoin de leur dire quelle pose prendre, sans qu'on ait besoin de se prendre pour Superman, ou Rocco-la-Loco, ou un roi très riche, ou même Dieu, le père de tous les hommes et même de la Mère La Terre nourricière, et de la Lune cette idiote.
Ou bien c'est un problème de _ventriloquie_, quand par exemple les femmes disent des choses qu'on aime pas et qu'on prèfère qu'elles disent des choses qu'on aime, ou quand on sait qu'on peut pas leur faire confiance pour dire des choses vraies, et qu'on préfère alors parler, pour elles, dans leur ventre, pendant qu'elles sourient.
http://cnrtl.fr/definition/ventriloquie
- « En parlant de sexisme et en ne mentionnant que les femmes, »
Ben oui, elle ne mentionne que les femmes, parce que le sexisme est une idée des femmes fémninistes ! C'est tout normal-normal. C'est tout la même chose.
Alors ceux qui aiment pas cette idée, faut soit qu'ils crééent un nouveau sens au mot "sexisme", juste pour eux, comme "le sexisme-hoministe", soit créer un nouveau mot pour dire "je suis anti-sexiste".
Comme par exemple "l'angélisme".
Pour pouvoir adhérer au parti du front intergenre, ou transgenre, si on ne sait pas trop si on Like! vraiment ou pas l'angélisme, pour militer en faveur du mélange des sexes, au lieu de laisser les femmes féministes rester des femmes, et les hommes anti-féministes rester des hommes. Pour la liberté de conscience (pour les idées libres), et pour la liberté d'expression (pour les paroles libres), et pour la liberté de se mélanger dedans et dehors (pour la circulation libre). Bref pour des choses très humaines, très physiques, très naturelles quoi !
C'est comme la gauche et la droite. Ou tout à commencé à la révolution française, quand, je cite ...
... "les députés partisans du veto royal (majoritairement ceux de l'aristocratie et du clergé) se regroupèrent à droite du président de l'assemblée constituante"
Parce que avant, au bon vieux temps, y'avait pas de gauche et de droite. Tout le monde était mélangé (question sexes, pas question les classes, vu que, les classes c'est différent en sexologie et en sociologie). Mais y'en a qui ont trouvé malin de s'auto-exclure parce qu'ils aimaient pas se mélanger, comme certains hommes n'aiment pas se mélanger avec les femmes. Voyez vous-même !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gauche_et_droite_en_politique#Tableaux_et_filiations_historiques_des_gauches_et_des_droites
- « Émilie Tran Nguyen a montré son inféodation à l’idéologie dominante. »
Ben oui. Faut croire que c'est l'idéologie qui fait vendre. C'est ptet parce qu'il ya sûrement plein d'argent à gagner parmi les dominants. Ou que ca rend riche et célèbre de dire qu'on a ces idées là.
- « Celle de l’auto-censure, quand elle dit: « On doit faire attention à ce que l’on dit ». Émilie ne pense pas: elle répète. »
Ben oui. Elle a peur de trop en faire et de lancer le parti intergenre (ou transgenre) des anti-sexistes sans s'en rendre compte. Alors elle fait gaffe!
- « On pourrait habiller tous les présentateurs et toutes les présentatrices de JT de la même manière: un bleu de travail à la Mao et une coiffure très courte de garçon. On ne les distinguerait plus. Tous pareils et le sexisme sera éradiqué. »
Alors, CA, c'est une super idée pour faire des économies, surtout des économies d'énergie, pour éviter d'user les piles de la télécommande de la TéVé, même si pour changer de chaine il faut cliquer sur le bouton de l'écran du PC. Tous déguisés en schtroumpfs et Emilie en schoumpfette.
- « Titanic »
- « D’ailleurs Émilie Tran Nguyen devrait balayer devant sa porte: pourquoi son maquillage? Pourquoi ces cheveux longs si féminins? »
Ptet parce que c'est qu'elle y croit pas trop au féminisme. Ptet parce qu'après avoir vu Titanic, elle préfère se mélanger avec les pafémninistes.
- « Elle alimente elle-même ce qu’elle critique. »
Ben oui. Ya une jolie expression en anglais qui dit ... "On est ce qu'on mange".
http://doctorwellgood.com/healthy-eating/we-are-what-we-eat.html
Elle critique parce qu'elle aime. Je veux dire, elle aime assez pour connaître, et elle connaît assez pour trouver des différences, et pour faire des différences, et pour pouvoir dire les différences qu'elle aime, et les différences qu'elle aime pas, dans ce qu'elle aime.
C'est comme les pommes. On peut aimer les pommes, mais on aime pas forcément les peites graines à l'intérieur. C'est pas de la critique d'expert, c'est de la critique d'amoûûr pour les pommes.
- « Elle reste très formatée jolie présentatrice et elle endosse ce rôle librement. »
Oui. Moi aussi j'aime beaucoup son format, mais surtout ses formes, et surtout ses formes libres de devant. J'aimerai bien pourvoir aimer ses formes du dos mais on les voit pas parce qu'on dirait qu'elle s'est auto-censurée.
- « La cohérence n’habite pas le camp du Bien. »
Ben non. Mais c'est normal, ses formes du dos et ses formes de devant ne sont pas à la même hauteur. Mais je ne suis pas sûr que ça gagnerait en "Bien" si la hauteur de ses formes était plus cohérente, ou si la forme de ses formes était plus cohérente, surtout à l'image que je me fais de ses formes du dos et de devant, et surtout à l'image que je me fais de bonnes formes, comme je les aime bien. Ptet qu'en lui demandant de prendre une bonne pose, ou en penchant un peu la tête, on pourrait vérifier ...
- « Mais voyons de plus près la question du sexisme, à partir d’un exemple mondialement connu: le naufrage du Titanic. »
Oui. C'est un très bon exemple, puisque tout le monde connaît encore vraiment très bien Céline.
- « Pour son voyage inaugural le paquebot transportait 2’224 personnes. »
En anglais, "voyage inaugural" se dit "maiden voyage". Ca veut dire le voyage virginal. Ca a dû être une sacrée fête. ;-) ;-)
- « le naufrage ... ces chiffres. ... lecture sociologique de la société. »
- « Qui fut majoritairement sauvé? Les passagers en première classe.»
Faut croire alors que c'est parce qu'ils ont été démocratiquement élus par leur sauveur, le peuple du Titanic.
- « Aurait-on choisi de sauver d’abord les plus riches? »
Est-ce que c'est important pour la démonstration de la conclusion que vous allez faire ?
- « Mais il y a mieux et l’on en vient au sexisme. »
Ah ben non. C'était donc pas important
- « les hommes furent beaucoup plus nombreux à mourrir que les femmes et les enfants. »
Les enfants ? Un troisième sexe ?
- « 20% des hommes furent sauvés, contre 74% de femmes et 52% d’enfants. »
- « Première remarque: on a préféré sauver des femmes plutôt que des enfants. »
Ben oui, Dieu est ainsi. La chance. Pour pas trop se poser de question et pour faire vite dans ces moments difficiles, une façon de régler ce genre de problèmes, c'est à coup de dés.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Probabilit%C3%A9s_des_d%C3%A9s_en_jeu_de_r%C3%B4le#/media/File:Probabilite_nd6_fonction_masse.svg
Voyons, empiriquement (les dés de Dieu sont très vieux), avec 2 dés, pour les hommes, qu'est-ce qui donne 20% de tirage ? Ben voila, si en lançant deux dés, on obtient "2" (3%) ou "7" (17%), ça fait 20% de probabilité, donc de chance, Dieu il sauve un homme.
Sauver un enfant, c'est 52% de probabilité, donc il faut des tirages qui ajoutés ensemble font 52%. Ainsi, si on obtient "5" (12%), "6" (14%), "8" (14%), ou "9" (12%), ce qui fait un total de 52%, et parce que Dieu aime bien les chtizenfants et les zèbres et les singes et les lions, je rajoute le "12" qui offre 3% de chance supplémentaire au Titanic de résister au déluge, ce qui fait 55% au total.
Et les tirages restants, ça sauve une femme, si elles en ont envie bien sûr, parce qu'il n'y a rien de plus difficile que de sauver une femme qui ne veut absolument pas croire qu'elle doit être sauvée.
- « Deuxième remarque: comment justifier le nombre de morts masculines (80%) comparé à celui des femmes (25,65%)? »
Euh ... voyons. Donc il y aurait 2 sortes de mort différentes ... la mort masculine et la mort féminine ? Et bien sûr la mort enfantine ? Comme la mode ?
Est-ce toujours à cause des formes de devant et de derrière, qui auraient pu contribuer à la création des rayons pour hommes, pour femmes, et pour enfants ?
- « Il n’y a qu’une seule explication: on a délibérément choisi de sacrifier les hommes parce qu’ils sont hommes. »
...
..o
o.o
o.O
O.O
.?.
+.+
Mince alors! Mais qui a fait ça ? Qui a sacrifié les hommes ?
- « Mais jamais personne n’a évoqué cette question, »
Ben non. C'est terrible. Mais ça fait une excellente démonstration de lecture sociologique et scientologique.
- « qui montre pourtant qu’au nom de « Les femmes et les enfants d’abord » on choisissait de sacrifier les hommes. »
Quand on pense qu'à l'époque où les femmes n'avaient même pas le droit de vote ! Déjà tout ce pouvoir !
- « Donc, chère Émilie, les hommes sont régulièrement victimes de sexisme dans notre société, »
...
0.0
?.?
#.#
Mais si le mot "sexisme" est un mot féministe comme l'indique l'Académie Française, est-ce que ça ne fait pas des hommes victimes de sexisme ... des féministes, ... aussi ????
- « probablement davantage que les femmes, mais on ne le voit pas, ou l’on s’en fiche. »
Pourtant les hommes font tout pour montrer que eux ils en ont un, et pas les femmes.
Mais ptet que j'ai une explication. Comme je l'ai expliqué plus haut avec le certificat de l'Académie Française, ptet ben que c'est ignoré parce que le mot "sexiste" c'est un mot féministe, fait exprès pour désigner les hommes, parce que les hommes en ont un gros qu'ils aiment bien montrer, et que les femmes en ont un qu'on ne voit pas, ou ptet même qu'elle n'en ont pas.
Alors y'a que les féministes qui en parlent, et quand les autres parlent de sexisme, on croit alors qu'ils sont féministes, alors que ce qu'ils veulent dire c'est qu'ils sont paféministes. C'est pour ça que les paféministes doivent trouver un mot nouveau spécialement pour parler du sexisme inversé, ou si vous préférez, le sexisme à l'envers, pour pas confondre avec le sexisme féministe.
- « Sauf que les hommes n’ont pas la culture de la victime. »
Ben non. Ils souffrent en silence eux, surtout les paféministes, vu que les féministes n'arrêtent jamais de se plaindre de sexisme. Mais ce que j'ai pas compris, c'est quelle culture les hommes ont alors ? Est-ce la culture du coupable ? Ou la culture de l'innocent ? Ou la culture du cépamoi ? Ou la culture du cépa-a-moi ? Bref, encore une autre question que personne n'a jamais évoquée, mais ptet une bonne idée pour un prochain billet ?
- « Ils assument que les femmes doivent être protégées en premier pour la survie de l’espèce. C’est comme ça. C’est ce qui les a fait accepter de se sacrifier à la guerre »
C'est très beau ça, le sacrifice. C'est ptet alors parce qu'ils ont alors la culture de l'Assomption.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Assomption_de_Marie
- « Alors, Émilie jolie, je vous suggère de laisser de côté votre discours anti-sexiste si convenu et bien dans les rails. »
Bon, ben là, je suis un peu perdu. Emilie ... elle est sexiste ?... ou elle est anti-sexiste ?????
- « Si vous voulez vraiment militer dans le détestable camp du Bien convenu, il faut plus que des paroles. Il faut des actes. »
Bon ben, reste plus à Emilie qu'à grimper le mat du Titanic et couler avec pour montrer qu'elle est ni sexiste, ni anti-sexiste, et qu'elle a le bon nombre de nouilles qu'il faut au bon endroit, ni une de plus, ni une de moins, et de la bonne taille.
"Oui. Moi aussi j'aime beaucoup son format, mais surtout ses formes, et surtout ses formes libres de devant."
Ohhhh! Le coquin! MDR MDRRRRR