La revue féministe anglophone Gender, Place, and Culture a publié et porté au pinacle une étude intitulée: « Réactions humaines à la culture du viol et performativité queer au sein des parcs à chiens de Portland, Oregon ».
Auto-pénétration
Sel0n des chercheurs il existe une culture canine du viol, et une oppression systémique frappe certaines races. Comme le révèle le magazine Marianne, la revue féministe décrit un mémoire « incroyablement innovant, riche en analyse, extrêmement bien écrit et organisé ». Au point de le placer parmi les 12 meilleures contributions de 2018.
L’auteur du mémoire explique qu’elle a « délicatement inspecté les parties génitales d’un peu moins de 10.000 chiens tout en interrogeant leurs propriétaires sur leur sexualité", mais également avoir "constaté un viol de chien par heure au parc à chiens urbain de Portland ».
Sauf que c’est faux. C’est un canular de grande ampleur lancé contre les revues dites scientifiques ou de référence, revues avec comité de lecture. Toutes les thématiques concernent le genre.
Est-ce la raison pour laquelle les universitaires chargés de valider les publication n’y ont rien vu? Quasiment tous les mémoires ont été validés sans qu’une remarque soit émise. La revue a cependant retiré l’article après ces révélations (image 2).
Autres exemples cités par Marianne:
« Dans un article intitulé "Passer par la porte de derrière : défier l'homo-hystérie masculine et la transphobie à travers l'usage de sex-toys pénétratifs", les chercheurs expliquent que si les hommes utilisent rarement des sex-toys pour "s'auto-pénétrer par voie anale", c'est parce qu'ils ont peur d'être pris pour des homosexuels ou par hostilité aux transsexuels.
Conclusion : encourager cette pratique engendrerait, à coup sûr, une baisse de la transphobie et un progrès de valeurs féministes. Ce texte a été publié dans la revue Sexuality and Culture, et qualifié de "contribution incroyablement riche et excitante à l'étude de la sexualité et de la culture" par un universitaire chargé de l’analyser ».
Délabrement
Et encore:
« L’Intelligence artificielle est intrinsèquement dangereuse car elle est programmée avec des données masculinistes, impérialistes et rationalistes ».
Ou encore :
« L’astronomie est et sera toujours intrinsèquement sexiste et occidentale, ce biais masculiniste et occidental peut être corrigé en incluant une astrologie féministe, queer et indigène (par exemple, des horoscopes) à la science astronomique ».
Enfin ces mémoires proposant implicitement de faire taire les étudiants blancs:
« Les éducateurs devraient discriminer selon l’identité et calculer le statut de leurs étudiants en fonction de leurs privilèges (...), pénalisant les plus privilégiés en refusant d’écouter leurs contributions, ridiculisant leurs efforts, en parlant plus fort qu’eux et en les forçant à s’asseoir enchaînés sur le sol », ou cet autre qui reprend des textes de Mein Kampf en remplaçant juif par blanc. Si ce mémoire a été refusé il a cependant été chaudement applaudi par un éminent professeur.
Que ces mémoires bidons aient étés validés pour publication est sidérant. Ce qui touche au genre est applaudi des deux mains, sans plus de réflexion critique sérieuse. Les décideurs, les kadors féministes, les profs de socio et autres progressistes montrent l’étendue de leur stupidité.
Pour le premier exemple, la culture canine du viol a sans doute ravi les intellects délabrés de gens sans jugement ni discrimination. Des gens de « l’élite » pourtant prisonniers de l’idéologie féministe, trop heureux de lier hommes et chiens par cette expression habituellement réservée aux premiers.
Qu’ils puissent valider ces mémoires délirants montre que ce délabrement est avancé. Eviv la sociologie!
Commentaires
On sent bien que cela se délabre à toute vitesse autour de nous. Même et surtout dans cette radio un peu poussive intellectuellement qui est la nôtre. On y tente désespérément de suivre les intellos parisiens et jamais le provincialisme romand n'a été aussi franchement ridicule depuis qu'il n'y a que des femmes - des pétasses ? - qui causent dans le poste... (les rares hommes sont encore pires, lécheurs d'escarpins de pétasses...).
le plus typique : on invite une dame qui a réussi (par ex. Olivia de Weck, Fanny Chollet, etc...) et on veut absolument lui faire dire comment elle a souffert pour arriver puisqu'elle est une femmes. Et voilà qu'elles disent toutes le contraire, qu'elles ont été très bien accueillies, etc, etc...
Mais où va-t-on c'est vraiment du n'importe quoi. J'en profite pour dire ici le fond de ma pensée quant à ce besoin de certaines femmes de se porter au pinacle, de vouloir l'équivalence, de se sentir -violée- au moindre regard, alors que ces mêmes femmes prônent la différence, la diversité pour les autres mais pas pour elles bien évidemment.
Faites comme je dis mais pas comme je fais. Elles ne font que dénigrer les femmes, les renier dans leur différence, leur Etre et leur place dans la société. Et dès lors que l'on va vers -les genres- bonjour l'étendue des dégâts sociétaux.
Devinez qui a dit cette immense, gigantesque et incommensurable connerie : "L'émancipation des femmes, la reconnaissance de leur place dans la société est la clé de voûte qui assurera la survie de la planète"*
Géraldine Savary, tête pensante et grande intellectuelle du parti socialiste vaudois. Ben on avoue qu'on est soulagé, dans le Canton de Vaud, qu'elle ait renoncé à sa carrière pour cause de corruption, la Savary.
J'ai un message de la planète pour elle : la Terre lui fait dire qu'elle l'emmerde et qu'elle se portera beaucoup mieux quand cette engeance dite humanité aura disparu. Ce qui à l'échelle géologique ne saurait tarder...
* Le matin-dimanche d'aujourd'hui
Pas encore lu Le Matin dim, mais je ne suis pas surpris d'une telle saillie verbale. On se demande comment on a survécu jusque là.
"immense, gigantesque et incommensurable connerie". Yes. D'autant plus, on le sait, que c'est grâce à l'immense, à l'incommensurable, à la presque divine magnanimité masculine qu'une Géraldine peut se la péter comme ça...
... :-D
@Géo
Vous avez Géraldine et Ada, nous Sandrine et Lisa, plutôt que de se perdre en vaines et picrocholines chicanes, nous devrions fusionner et placer ce quatuor de choc à la tête d’un directoire, renforcé par quelques autres talentueuses des media, je crois que vous avez d'autres postulantes à proposer. Toutes ces belles consciences réunies, cela vous rendrait tout euphorique…