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Université US : tampons hygiéniques dans les toilettes des hommes

Université US : tampons hygiéniques dans les toilettes des hommes.

L’Université de Clemson en Caroline du sud connaît quelques remous. L’an dernier des distributeurs gratuits de tampons hygiéniques avaient été placés dans les toilettes des femmes et aussi des hommes.

 

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Pourquoi des hommes? Bonne question. Interpellées par un groupe d’étudiants conservateurs (ouf, il y en a encore) les autorités de l’Université ont décidé de retirer ces distributeurs des toilettes pour hommes.

Je pense que les gens sont majoritairement d’accord avec ce retrait. Le responsable du groupe conservateur s’en est expliqué:

« Trevor Tiedeman, président du groupe conservateur, a déclaré à la WSPA : « Les hommes sont des hommes. Les femmes sont des femmes. Bien entendu, les hommes ne peuvent pas avoir leurs règles. Bien entendu, nous nous sommes prononcés contre cela. Bien sûr, ces gens pensent le contraire, et c’est pourquoi ils sont ici pour protester contre nous. Nous avons simplement défendu la réalité biologique. Ils rejettent ce que nous croyons et veulent donc que nous soyons expulsés du campus. »

Qui sont ces gens qui pensent le contraire? Une cinquantaine d’étudiants LGBT et associés. Ils ont organisé une marche du retour en arrière, pour exiger la réinstallation des appareils là où ils ont été retirés.

 

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Un des organisateurs de cette marche s’est exprimé:

« Les étudiants ne sont toujours pas en sécurité sur le campus », a déclaré Pan Tankersley, un organisateur étudiant du comité Take Back Pride March. « Ils subissent encore du harcèlement, de la haine et tout le reste. Au contraire, l’université doit intensifier ses efforts et protéger ses étudiants. »

Cinquante étudiants. Cette minorité veut imposer sa vision aux 17 000 autres étudiants de l’Université:

« Nous voulons être entendus et nous n’acceptons rien de moins. »

Quelques pancartes de la manif sont intéressantes. Par exemple: « Bonjour, c’est le 21e siècle. » Comme si cela suffisait à invalider la biologie. Slogan bête et inefficace.

Dans la courte vidéo ci-dessous une autre pancarte annonce: « L’amour est un droit humain. » En quoi la distribution de tampons hygiéniques dans les toilettes des hommes est-elle liée à l’amour? Mystère. C’est le grand gloubiboulga progressiste-wokiste. La confusion règne.

Mais cela leur permet de jouer les victimes.

 

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Évidemment, un homme trans (une femme devenue homme) pourrait se plaindre si elle n’a pas terminé une transformation physique totale. Tant qu’il/elle dispose d’organes génitaux féminins il/elle peut avoir ses règles. Quoique, sous testostérone ils/elles ne devraient plus avoir de menstruations.

Eh bien, cela ne doit pas faire nombre. Que l’on mette un distributeur de tampons dans un endroit accessible aux hommes trans en-dehors des toilettes hommes. Ou bien qu’on leur alloue une prime pour les acheter en magasin sans altérer leur budget personnel.

C’est une question de principe, de philosophie de l’humain. Il faut contrer ce qui est biologiquement et intellectuellement déraisonnable. Le choix des personnes trans n’est pas en cause, mais le discours qui l’accompagne et les croyances dont il relève.

Une troisième pancarte devrait nous alerter: celle qui représente la « Libération gay », à droite sur l’image 3. On y voit l’emblème anarchiste, les trois boules (de glace) de l’emblème trans et la faucille et le marteau chers aux cocos et cocus de l’ex-URSS.  On comprend mieux pourquoi leur marche est celle du Retour en arrière.

Et l’on sait qui est à la manoeuvre: une ultra-gauche clivante et intolérante. Heureusement, les autorités universitaires ont résisté à la pression des manifestants, comme nous devrions tous le faire. À noter qu’une université non-woke s’organise aux États-Unis. Cela permettra de remettre dans les instances de pouvoir de la société des personnalités non porteuses du wokisme.

 

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Précédente note ici: Le sein des saints dévoilé par les tentes rouges

 

 

Catégories : Féminisme, Science, société 1 commentaire

Commentaires

  • Méfions-nous ! Ce qui nous fait sourire aujourd'hui nous sera imposé demain. Comme le montre H.L., le progressisme n'a que faire de la biologie. La nature doit être contournée, modifiée, niée. Aujourd'hui, une femme Trans est une femme sans utérus et un homme peut être enceint. La volonté humaine suffit à changer l'apparence et donc la vérité. "Prendre ses désirs pour la réalité" était autrefois une moquerie. C'est devenu une obsession progressiste devant laquelle s'agenouille une classe politique soumise.

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