Ayisha Siddiqa : l’union du climatisme et du racisme.
Cette jeune activiste pakistano-américaine de 25 ans vient d’être honorée par le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. Elle a également été élue femme de l’année 2023 par le magazine Times.
Monsieur Guterres est l’homme qui affirme, paniqué à l’excès, que la planète est entrée en « ébullition ».
Il vient donc de nommer Ayisha Siddiqa « … membre du Groupe consultatif de la jeunesse des Nations-Unies, un “mécanisme” pour “accélérer l’action climatique mondiale… ».
Cela ne promet rien de bon. Car à qui a-t-on affaire? Ayisha Siddiqa se revendique ouvertement socialiste et marxiste, comme l’indique Wikipedia. Par automatisme idéologique elle accuse forcément le capitalisme.
Et qui accuse le capitalisme met en cause implicitement l’homme blanc, dans la doxa moderniste. Madame Siddiqa l’assume plus qu’implicitement:
« Le réchauffement climatique est fait par l’homme, et plus particulièrement par l’homme blanc » (mis en gras par mes soins). Elle ajoute le capitalisme, le colonialisme, l’oppression. Et elle porte évidemment une attention privilégiées aux blacks, aux trans, aux femmes et aux peuples indigènes.
Elle récite un catéchisme woke avec conviction et étale ce racisme anti-blanc devenu un marqueur progressiste que personne n’interroge. Elle oublie de rappeler que les rois noirs étaient les premiers vendeurs d’esclaves africains.Peu importe: Ayisha Siddiqa va participer la grande punition de l’occident grâce à l’ONU.
Dans son université elle a fondé une section de Génération Extinction, groupe extràmiste. Son compte X a servi à diffuser des propos outrageants. Elle a retiré les tweets trop violents mais d’autres les ont gardés. Exemples:
« Ayisha Siddiqa a à plusieurs reprises “appelé à la destruction du capitalisme”, a affirmé que le mot “terrorisme” est simplement une “diffamation occidentale pour justifier son impérialisme” et que les “Blancs” sont les seuls à blâmer pour la prétendue tendance de l’humanité à “l’extinction” parce que la “crise climatique” est de leur faute ».
Le Hamas la remercie…
Et ici:
« L’homme blanc est assis au plus haut niveau de pouvoir dans le monde, de la même manière qu’il a tué, pillé et abusé des noirs et des bruns pour le profit, il a fait de même avec la terre. »
Sa simplification fait douter de son niveau intellectuel. Et encore:
« … pourquoi j’ai commencé à militer pour le climat ? Ce n’est pas parce que je voulais protéger l’environnement (même si c’est une raison tout à fait valable). Je me suis engagée [parce que] l’Occident a massacré, bombardé et affamé mon peuple au nom du pétrole. »
Elle a également déploré les inondations majeures au Pakistan en 2023, pour lesquelles elle invoque le réchauffement global. « Un monde a pris fin », dit-elle. Elle affirme qu’elles ont commencé par une vague de chaleur jamais vue et par endroits des températures de plus de 50°.
Ce n’est pas si exceptionnel pour ce pays très chaud. Ce site liste les records atteints depuis une soixantaine d’années.
Je suis surpris que dans son énumération catastrophique elle ne parle ni de l’histoire météorologique de ce pays, ni de la déforestation malheureuse qui a préparé ces graves inondations. Connaît-elle vraiment son sujet? On dirait qu’elle appris quelques discours tout faits, imprenables si l’on creuse un peu mais néanmoins terrorisants.
Avant de se muer en procureure mondiale elle ferait bien de balayer chez elle. Le Pakistan n’est pas un paradis. Par exemple la condition des femmes pakistanaises n’a rien à voir avec l’occident, qui n’a pas inventé la culture tribale.
Des montagnes de déchets en plastique sont abandonnés dans la nature par une population sans respect pour leur milie vital et il y aurait besoin d’une personne courageuse pour éduquer ces gens. Que font ces populations pour leur environnement? Rien?
Ensuite il faut y replanter des arbres, et beaucoup d’autres choses. Enfin je pense à toutes ces personnes pakistanaises en voiture à essence, qui utilisent le pétrole sans état d’âme, et aux autres, innombrables, qui consomment quotidiennement d’importantes quantités de charbon de bois (ce qui aggrave la déforestation).
Selon Géo:
« Le cadre de montagnes pré-himalayennes est sublime, mais à y regarder de plus près, la jolie rivière qui serpente dans la vallée est jonchée de plastique. A l'heure où le monde se réveille aux dangers du suremballage, le Pakistan fait figure de cancre. En cause: des institutions faibles, mal armées pour faire face à des problèmes environnementaux complexes, et un public mal aiguillé, qui ne suit pas. »
On accepterait mieux les leçons de vertu de Ayjisha Siddiqa si les « indigènes » étaient eux-mêmes vertueux. En tous les cas je pense que madame Siddiqa n’est pas crédible, et c’est une aberration qu’elle soit placée à un tel poste.
Voici un discours victimaire/accusateur typique, dans la veine d'une Greta.
À cause de l'homme blanc (avec applaudissements):
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Commentaires
En effet, pour les islamo-gauchistes de couleur, l'homme blanc, à l'instar d'Israël, est coupable de tous les maux…
Comme c'est facile de ne pas se remettre en question et d'accuser l'autre !
Décidément, il n'en rate pas une, le Secrétaire général de l'ONU! Bien à vous!
L'ONU ? Devenue championne du wokisme présidée par un blanc ! Le ridicule ne tue pas dit-on . . .
L'Homme blanc (la femme étant incluse) serait la cause du réchauffement climatique ? Au départ, certainement. Mais cette "femme de l'année" ne sait-elle pas que la Chine et l'Inde produisent déjà Plus de 38 % des gaz à effet de serre et que le continent africain est en train de les rejoindre. Ce sont justement les occidentaux, et l'Europe en particulier, qui font les plus gros efforts en matière de réduction des GES (gaz à effet de serre). La consommation d'énergie dans le monde devrait augmenter de plus de 50 % jusqu'à 2050 malgré une diminution déjà commencée dans les pays "blancs". La population blanche est donc en pointe dans cette lutte, quand la population africaine, qui augmente, aura une consommation plus difficile à maîtriser. Mais il est plus facile d'accuser les autres que de balayer devant sa porte.