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Le thermomètre mouillé, nouvelle angoisse climatique

Le thermomètre mouillé, nouvelle angoisse climatique.

L’expression gagne en visibilité. Non raccourcie elle se dit: thermomètre à globe mouillé. Elle désigne une méthode pour évaluer la dangerosité des hautes températures.

 

rechauffement,humidité,thermometre mouilléLa chaleur interne du corps est limitée. Une augmentation par l’effort ou par les conditions atmosphériques est rapidement freinée par la respiration et la transpiration qui agissent comme des rétroactions négatives.

Si la température interne augmente sans pouvoir être éliminée il y a menace de ce que l’on nomme couramment un coup de chaleur avec organes défaillants et risque de mort.

Or il y a une condition où l’on ne peut plus éliminer la chaleur: c’est l’humidité de l’air. Quand l’air est sec notre corps peut transpirer et grâce à cela se refroidir. Quand l’air est humide on ne transpire plus et l’on reste trop chaud.

Pour connaître le seuil à partir duquel on est en risque, les soldats américains ont mis au point cette méthode dans les années 1950. Cela fonctionne ainsi

« … lorsque l’on applique un chiffon humide sur le bulbe d’un thermomètre, l’évaporation de l’eau va le refroidir. La température ainsi mesurée ne sera jamais plus élevée que la température dite “sèche”, celle que l’on utilise dans la vie de tous les jours. En revanche, lorsque l’air devient saturé en humidité, il n’y a plus de phénomène d’évaporation, et le bulbe du thermomètre n’est plus refroidi : la température humide s’approche alors de la température sèche. En théorie, ce cas précis est extrêmement rare, mais dans les rares cas où il survient, il peut devenir dangereux pour l’être humain. »

rechauffement,humidité,thermometre mouilléC’est donc, en simple, l’humidité de l’air et sa saturation qui sont mesurés. On ne fera pas de gros efforts physiques à 35° dans un air quasiment saturé d’humidité.

« Quand l’humidité s’approche des 100 %, c’est-à-dire lorsqu’il ne peut plus y avoir de vapeur d’eau supplémentaire dans l’air, la sueur ne s’évapore plus. Sans sudation efficace, et donc sans possibilité de régulation de sa température corporelle, le corps humain se détériore rapidement. »

Des chercheurs annoncent que cette saturation va gagner de nouveaux territoires et qu’en 2050 de nouvelles régions deviendront inhabitables.

Je ne serai plus de ce monde. Je recommande donc aux jeunes générations de se souvenir de cette affirmation et de la comparer à la réalité dans 26 ans.

 

 

Catégories : Environnement-Climat, Météo 6 commentaires

Commentaires

  • Quand on a inventé la bombe atomique, on a prédit l'extinction prochaine de l'humanité. Après un accident et des morts dans une centrale nucléaire, on a voulu supprimer cette énergie, sous peine d'hécatombes. Et maintenant on nous promet le rétrécissement des terres habitables pour les années 2050, sans que l'on puisse arrêter ce phénomène. Curieusement toutes les catastrophes planétaires se situent aujourd'hui, dans un laps de temps minuscule comparé à la durée de vie de notre Terre et de l'Univers. Dieu aurait-il créé l'Homme pour détruire son œuvre ?

  • Que ce soit au Sahara ou dans les tropiques on boit du thé chaud pour élever la chaleur du corps et ainsi réduire l'écart eentre la température extérieure et celle du corps.. Depuis toujours, même en l'absence de connaissances 'scientifiques'.

  • Bonjour John, bonjour lecteurs-commentateurs;

    Concernant l'humidité dans l'air: ce sont des masses d'eau qui sont déplacées par les courants que provoquent les effets de pression de la force centrifuge de la terre. Heureusement que le chaud à la rencontre du froid produise le mouvement d'une circulation incessante. Il y a toujours, quelque part des zones saturées à 100% qui tombent en pluies verticales d'où l'un des phénomène (pas unique) d' innondation. La conjonction de plusieurs courants peut la confiner sur une localité terrestre et on en parle dans les "divers" parce qu'elle est habitée; autrement on l'ignore si elle est située sur un endroit de l'océan, sur une ile, sur une forêt amazonienne ou dans le désert de la Sibérie.

    J'ose réaffirmer que nous ne pouvons rien contre la hausse des températures sur terre, si au moins c'était vrai qu'il y a hausse. Il n'y a pas de réchauffement anthropique. Nous ne pouvons rien contre les effets de l'activité solaire qui est elle aussi cyclique et en régime lent.
    Et puis, le CO2 est absolument indispensable pour la végétation. ABE, les Verdistes! Heureusement que les océans et les volcans nous en fournissent une utile bonne partie.

    Cet article dont j'avais déjà donné le lien

    https://report24.news/astrophysikerin-aenderung-der-sonnenaktivitaet-neue-kleine-eiszeit-hat-bereits-begonnen/

    met en lumière cette activité solaire si peu ou jamais mentionnée par les endoctrinés du climatisme du WEF. L'ont il volontairement omis ou ignoré?
    Le climat, c'est une notion commodément abstraite, confuse et incapturable comme le Dahu noctambule et on peut en dire n'importe quoi sans être mis à demeure de démontrer la fumisterie des ses théories absconses. On diffuse cette anxiété métaphysique à dessein manipulatoire.
    Par contre la guerre contre les pollutions chimiques mériterait plus de soutien aux candidats-miliciens qui bravent actuellement nos industries tueuses, mais dit-on, pourvoyeuses d'emplois et de salaires.
    Pour l'instant, aucun bataillon de miliciens n'est de taille, en Europe, pour déloger les lobbies de la pollution génétique de nos cultures et de nos élevages. Après les OGM, voici d'autres manipulations phylogénétiques et recombinaisons des ARN, où les laboratoires sont devenus des bacs à sable pour biologistes négligeants jouant aux savants enfiévrés de recherche, en pleine déréliction (pour ne pas dire obscurs et irresponsables). Ils se prennent pour "Dieu" et la "Nature" elle-même.

    Personnellement j'aimerais qu'ils étudient le mécanisme des croisements naturels et l'intelligence sélective.

    Nos scientifiques, aujourd'hui, ont la célébrité du bruit de l'applaudimètre. Alors, il est logique de soigner l'applaudimètre et le bruit pour obtenir les résultats escomptés. Peu importe la réalité des faits en eux-même. Il semble qu'on veut des scientifiques qui collent aux plans politico-économique de l'élite globaliste et eugéniste. Nos petits états semblent y concourir avec ferveur quitte à patauger et à faire plonger tout le monde dans le marécage toxique.

    Vivement que la chaleur revienne, car lissé sur une année entière, le nombre de jours humides et froids est beaucoup plus grand que dans le passé.

  • La modification encadrée du génome n'est pas, me semble-t-il, une pollution chimique. Les plantes OGM, comme les croisements naturels entre diverses espèces, ne produisent pas forcément des éléments nocifs. Elles sont testées et celles qui sont autorisées par les organismes de santé peuvent être consommées sans danger. C'est ainsi que l'Académie des sciences regrette "le blocage systématique des cultures OGM et celui maintenant réclamé par les détracteurs de l'édition génétique". D'ailleurs, près de quarante récipiendaires du prix Nobel, aux côtés de nombreux scientifiques et citoyens, ont pris l'initiative de s'adresser au Parlement européen en vue de l'examen à venir de la réglementation concernant les nouvelles techniques génomiques. Cette opposition aux OGM me fait penser à celle subie par l'énergie nucléaire, et dont on voit le résultat catastrophique sur le climat.

  • En effet les OGM ne sont pas forcément nocifs à ma connaissance. Je ne suis pas spécialiste mais je constate que la nature et les humains ont hybridé et fait évoluer de nombreuses plantes. Le but est de les doter de défenses contre certaines maladies et de les adapter aux différents climats.

    Le blé est un exemple de l’évolution d’une graminée (devenue essentielle( par les croisements naturels et forcés.

    https://www.semencemag.fr/ble-selection-genetique.html#:~:text=Cette%20gramin%C3%A9e%20poss%C3%A8de%207%20paires,amidonnier%20donnera%20le%20bl%C3%A9%20dur.

    « Les rendements du blé tendre ont plus que triplé en France en cinquante ans. La sélection a largement contribué à ce progrès. Aujourd’hui, les agriculteurs français disposent de plus de 350 variétés de blé tendre. La tendance à la diversification variétale est croissante et le renouvellement des variétés cultivées est rapide. Les agriculteurs sont très attentifs chaque année aux progrès apportés par les nouvelles variétés et leurs attentes sont nombreuses : variétés encore plus résistantes aux maladies et accidents climatiques, variétés permettant de répondre aux différentes utilisations, variétés économes en produits et en fertilisation dans le cadre d’une agriculture durable. »


    Autre article sur les étapes de l’évolution génétique du blé tendre.

    https://www.semencesdefrance.com/actualite-semences-de-france/levolution-genetique-du-ble-tendre-en-quatre-actes/

  • Organismes génétiquement modifiés, pour les plantes et les animaux peut-être mais pas pour l'homme ! Non aux apprentis sorciers !

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