La critique est habituelle depuis des années. Quand le résultat d’une votation ne va pas dans le sens d’une ouverture tous azimuts, il serait l’expression d’un égoïsme national et d’une xénophobie récurrente.
C’est court. Et peu honnête.
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La critique est habituelle depuis des années. Quand le résultat d’une votation ne va pas dans le sens d’une ouverture tous azimuts, il serait l’expression d’un égoïsme national et d’une xénophobie récurrente.
C’est court. Et peu honnête.
Ce parti propose donc d’afficher le pourcentage d’employés étrangers dans les entreprises publiques du canton de Genève. Il entend ainsi faire appliquer sa politique de préférence nationale et/ou régionale. Autour de ce principe de préférence, deux visions s’opposent.
Ah ça, mais si on veut représenter des personnes précises d’origine précise, par le prénom, par le look, il faut aussi présenter le suisse typique. Je propose trois versions. Sur la troisième vous pouvez imaginer ce qui vous plaît. (Hum: toutefois je ne laisserai pas mettre n'importe quoi par écrit sur mon blog).
Sur un plan analogique, le terme “parquer” est presque correct. On le verra ci-dessous. Sur le plan de l’usage courant, il est pour le moins discutable.
La conférence-débat organisée par le Cercle diplomatique de Genève, hier soir à Uni II, m’a laissé de curieux sentiments. Et surtout l’impression d’être passé à côté du sujet.