Une petite phrase, un mot incertain, une blague scabreuse, et les voilà cloués au pilori numérique. Jetés en pâture dans l’arène médiatique. Normalisés parfois, s’ils se soumettent. Car certains se plient à la phrase rituelle d’excuses, comme l’humoriste Tex. Ce faisant ils donnent le pouvoir à la foule justicière.