Les Gérards de la télévision sont aux Césars du cinéma ce que Coluche était à la littérature: une caricature destinée à rire un bon coup en tapant là où on a laissé traîné les doigts. Avec le même mauvais goût qui caractérise parfois l’humour français. Et avec des saillies déjantées que ne renierait pas un taureau en rut faisant connaissance de la vache Milka.