Les Gérards de la télévision sont aux Césars du cinéma ce que Coluche était à la littérature: une caricature destinée à rire un bon coup en tapant là où on a laissé traîné les doigts. Avec le même mauvais goût qui caractérise parfois l’humour français. Et avec des saillies déjantées que ne renierait pas un taureau en rut faisant connaissance de la vache Milka.
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Les Gérards de la télévision: quelques-uns des nominés
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Pas de fumée sans feu...
Tout le monde connaît le jeu du «téléphone arabe»: dans une chaîne de personnes, la première dit une phrase à la seconde, qui la redit à la troisième, et ainsi de suite. Après quelques personnes la phrase finale est souvent assez éloignée de la phrase originelle.