Un procès pouvait devenir une opportunité de diffusion des thèses nationalistes du tueur d’Oslo. Beaucoup le craignaient. Si Breivik avait été déclaré d’emblée irresponsable il aurait été interné sans procès. On n’en aurait plus parlé. Après un premier rapport d’experts qui recommandait cette solution en le déclarant sujet à des troubles psychiques délirants, un deuxième rapport concluait à l’absence de ces troubles et validait la mise en procès.