Retour de la chienlit dans l’hexagone? Moins de six mois après son élection Emmanuel Macron doit faire face à la rue, et à la route. La rue c’est le Spice Boy Mel E., alias Jean-Luc Mélenchon. La route ce sont les routiers.
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Retour de la chienlit dans l’hexagone? Moins de six mois après son élection Emmanuel Macron doit faire face à la rue, et à la route. La rue c’est le Spice Boy Mel E., alias Jean-Luc Mélenchon. La route ce sont les routiers.
L’annonce faite ce matin confirme les intentions du candidat devenu président. Elles concernent d’abord la loi travail. Cette loi qui avait suscité tant de résistances et miné la fin du quinquennat de François Hollande ira plus loin que l’actuelle loi El Khomri.
On le disait déprimé. Trop atteint par sa défaite. Pétri d’une amertume indicible. On se demandait par où il allait resurgir, et si même il allait resurgir. Le revoilou, pimpant comme un diable à ressort qui ressort de sa boîte.
Surprise hier soir sur France 2. L’invité, Jean-Luc Mélenchon, débattait avec journalistes et autres invités. JLM était pareil qu’en lui-même: la moindre mise en question de ses positions vaut en réponse une envolée généraliste qui permet d’éviter de rendre des comptes précis.
Si la période actuelle est riche en postures morales en tous genres, la rapidité avec laquelle ces postures sont démasquées est fulgurante. Ainsi Fanfrelande, autoproclamé chevalier blanc de la politique française, est tombé dans le trou de la manipulation de masse.
Des représentants du mouvement Nuit debout ont insulté le philosophe Alain Finkielkraut ce week-end à Paris. Il s’était rendu sur place pour entendre les débats et les idées. Il a été pour le moins mal reçu et traité de fasciste.
Le projet de loi du Travail soutenu par la ministre Myriam El Khomri commence par un étrange article. Un article qui aurait été inspiré par Robert Badinter. Il valide l’expression des convictions religieuses dans l’entreprise.