L’été brûlant a fini de brûler. La saison finissante a prolongé sa moiteur sous des feuillages encore verts. La sécheresse semble ne pas les avoir trop éprouvés ici.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
L’été brûlant a fini de brûler. La saison finissante a prolongé sa moiteur sous des feuillages encore verts. La sécheresse semble ne pas les avoir trop éprouvés ici.
Pas de panique. Think different. Imaginez une immense autoroute aérienne. Un ruban de vents forts du Québec à l’Oural. C’est le courant jet – le jet stream. Coincé entre le grand froid polaire et les remontées chaudes il file à grande vitesse, trop horizontal pour alterner le froid et le chaud. C’est ce que l’on nomme un flux zonal à courbure dépressionnaire, « donnant un temps venté, assez doux et très humide ».
C’est le peuple d’en-dessous. Personne ne les entend. Pas même les ouïes fines. Ils sont d’une discrétion muette. Par exemple ils ne se risquent jamais à vous faire un regard appuyé. Encore moins à vous suivre. Ils sont pourtant si nombreux, si nombreux!
Je parlais hier des insectes susceptibles de finir dans notre assiette. Mais le ver de terre? Qui en parle? Qui lui rend hommage? Le Matin de dimanche dernier! Toute une page pour cet obscur travailleur de l’ombre. Petite incursion dans le monde des ténèbres.