Francesco Serrano, juge à Séville, compare la situation espagnole à Gantanamo. La doyenne des juges de Barcelone, Maria Sanahuja, déclarait en 2006: «Il y a une sorte de folie dans la loi, qui génère de l’abus, l’élimination de l’administration de preuves pendant la procédure et l’absence de présomption d’innocence».