Reçu un courriel de Belgique ce matin. Du bord de la Mer du nord. Un courriel dans lequel est cité ce bout d’article de la Tribune:
«Quand Juan Luis de Góngora, poète espagnol du XVIIe, dit: «Laisse-moi pleurer, bord de la mer», le fait de ne pas se situer géographiquement et de demander à la mer de le laisser pleurer, ça donne une dimension incommensurable. C’est un grand voyage dans l’infini. C’est ça, la poésie. Des mots les uns à côté des autres qui partent pour le tour du monde.»
L’article du 2 septembre dernier est une interview de Paco Ibanez réalisée par Fabrice Gottraux.