Comment le gagnant d’il y a cinq ans, qui avait su emmener avec lui une partie de l’électorat populaire, des ouvriers, des enseignants, qui avait tout, a pu ainsi tout perdre? Si au début de l’été, quelque embellie avait pu faire illusion, le constat dure et se répète: une telle côte de désamour n’est pas porteuse de bonnes nouvelles pour le locataire de l’Elysée.