Qui a eu cette idée folle? Le temps, les écrivains, la population entière. Ils ont placé la barre haut. Très haut. La preuve? Le nombre d’élèves qui, une fois adultes, ne peuvent écrire un CV sans y glisser douze fautes.
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Qui a eu cette idée folle? Le temps, les écrivains, la population entière. Ils ont placé la barre haut. Très haut. La preuve? Le nombre d’élèves qui, une fois adultes, ne peuvent écrire un CV sans y glisser douze fautes.
La nouvelle attaque politique contre la France se met en place pour la rentrée. Le gouvernement de Manuel Valls a décidé de modifier l’enseignement de l’Histoire dans les collèges. On tombe sur le cul. La volonté de déconnecter le pays de son passé, de manipuler le passé, s’exprime avec une violence rare.
Comment le gagnant d’il y a cinq ans, qui avait su emmener avec lui une partie de l’électorat populaire, des ouvriers, des enseignants, qui avait tout, a pu ainsi tout perdre? Si au début de l’été, quelque embellie avait pu faire illusion, le constat dure et se répète: une telle côte de désamour n’est pas porteuse de bonnes nouvelles pour le locataire de l’Elysée.
Les députés genevois vont plancher aujourd’hui sur la suppression du jury populaire. Un article de la Tribune, sous la plume de Catherine Focas, récapitule les arguments pour et contre.
La Justice genevoise n’est guère appréciée des citoyens. L’étude de satisfaction de l’hiver dernier le démontrait encore. Et les affaires mal gérées, les fautes suspectes, les partialités flagrantes, la durée de certaines affaires, l’auto-défense clanique de cette justice, mine les fondement du respect de nos institutions. Le marteau a assez cogné sur les citoyens, il est temps qu’il change de mains.
La Constitution actuelle ne donne que très peu d’encadrement au pouvoir judiciaire. Celui-ci est comme laissé à lui-même, sans réel contrôle de ses dysfonctionnements. Le citoyen étant souverain, il doit disposer du pouvoir de contrôler cette institution qui est censée être la gardienne des valeurs et règles de la société.