J’emprunte ce titre à Georges Bogey, qui préface un recueil de poèmes: «Du Japon et de Chine». Ce court ouvrage est comme la caresse du vent un soir d’été, ou comme la trace fugace de la lune quand un nuage déchiré la révèle quelques instants.
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J’emprunte ce titre à Georges Bogey, qui préface un recueil de poèmes: «Du Japon et de Chine». Ce court ouvrage est comme la caresse du vent un soir d’été, ou comme la trace fugace de la lune quand un nuage déchiré la révèle quelques instants.