RRS1 proposait ce matin une émission sur la violence conjugale. Je n’ai pas pu tout entendre, mais j’ai relevé cette information, que je développe ici avec la démonstration de la fausseté de cette information.
Ce chiffre est répété en boucle depuis 1997. Il est le résultat d’une étude réalisée par Mmes Gillioz, De Puy, Ducret. Il est basé sur une enquête auprès de 1’500 femmes. La méthode d’enquête, le type de questions posées et la manière dont les questions ont été posées fait défaut. De plus aucun homme n’a été interrogé.
Les statistiques fédérales de l’aide aux victimes citent 29’311 consultations au total en 2007, dont 73% avec victimes de sexe féminin et 53% avec relation familiale auteur-victime. En admettant le chiffre maximum de 73%, cela fait 21’397 femmes victimes.
En prenant les condamnations pour infractions au code pénal (dont les lésions corporelles font partie) on est à 31% de 97’911, soit 30’352 condamnés, dont 26’103 hommes, bon nombre étant également condamnés pour des lésions corporelles non domestiques. Quand aux chiffres de dénonciations à la police (sans spécification de violence conjugale) il est de 9’644 en 2007.
Prenons le chiffre le plus plausible, celui de l’aide aux victimes, soit 21’000 femmes. Il est dit souvent que seuls 30% (1/3) des actes de violence conjugale sont déclarés par les femmes (et seulement quelques pourcents par les hommes). Sur environ 7’000’000 d’habitants en Suisse, 21’000 femmes font 0,3% de la population entière. Si 0,3% est 1/3, la totallité est 0,9%! Si même seulement 10% des victimes se déclaraient, la totalité ferait 3%!. Il est impossible d’atteindre le chiffre d’une femme sur 5, soit 20% de femmes battues.
Ces chiffres peuvent être trouvé sur: http://www.equality.ch/f/facts_gewalt.htm.
Dans une enquête fédérale de 2004, voici que que l’on pouvait lire:
“Dans le dernier numéro de Questions familiales publié par l’Office fédérale des affaires sociales, on pouvait lire un article du professeur Guy Bodenmann et de Barbara Gabriel de l’Institut de recherche et de conseil dans le domaine de la famille de l’Université de Fribourg intitulé : « Le bien-être des couples suisses ». Cette étude est le fruit d’une enquête faite auprès de 1150 femmes et de 707 hommes provenant des 3 régions linguistiques de la Suisse.
Au chapitre de la violence entre les partenaires, les auteurs écrivent :
8% des femmes et 7 % des hommes reconnaissent bousculer, pousser ou secouer leur partenaire sous l’effet de la colère. 1,6 % des femmes comme des hommes disent frapper leur partenaire, que ce soit à coups de pied ou de poing ; 0,6 % des femmes et 0,7 % des hommes admettent régulièrement rouer de coups leur partenaire, le maltraiter avec des objets voire l’étrangler. En ce qui concerne la violence psychique, 9 % des femmes contre 5 % des hommes déclarent menacer leur partenaire ; 11 % des femmes contre 5 % des hommes avouent rabaisser volontairement leur partenaire en le dénigrant, en le vexant ou en trahissant sa confiance ; 1 % des femmes et 2 % des hommes endommagent ou détruisent, dans un conflit, des objets auxquels le partenaire tient particulièrement.
Il se trouve que depuis un certain temps la page d’origine a disparu du site de l’administration fédérale (http://www.bsv.admin.ch/publikat/familien/d/ff0402.pdf). Pourquoi?
(Voir aussi le site de Pères pour toujours: http://www.perepourtoujours.ch/chroniques.php?themechro=9)
Autre enquête de 2002: le Violence against Women Survey privilégie aussi ce chiffre de 20% de femmes battues. On ne sait dans quels pays, sur quelles bases. Pourtant un document australien, en relation avec cette étude, dit ceci (traduction Google):
“Le plus récent crime et enquête sur la sécurité des 2002 (APA 2003) a demandé à la fois les hommes et les femmes si elles avaient été victimes de voies de fait dans les 12 mois précédant l'enquête. Les résultats indiquent une rétorsions taux de prévalence de cinq pour cent pour voies de fait, ce qui signifie que cinq pour cent des personnes interrogées ont déclaré avoir été victimes de voies de fait au moins une fois au cours des 12 mois précédents. Plus de la moitié des victimes d'agression rapporté avoir eu plus d'un incident (51%). Un peu moins de la moitié (45%) des victimes d'agression étaient des femmes. Les hommes et les femmes âgés de 25 à 34 ans avaient le taux d'incidence plus élevé, avec 22 pour cent des victimes de sexe masculin et 28 pour cent des femmes victimes de ce groupe d'âge. La majorité des incidents impliquant des femmes victimes n'ont pas de blessures à la victime (73%). Environ 47 pour cent des agressions impliquant des femmes victimes a eu lieu dans la maison. Bien que la proportion d'hommes et de femmes victimes qui avaient connu un ou deux incidents de voies de fait dans les douze mois précédant l'enquête étaient assez similaires, un pourcentage plus élevé de femmes (34%) que d'hommes (31%) ont connu trois ou plus d'incidents de voies de fait au cours de la même période.”
Une autre enquête canadienne de 1993 dit:
“Cette enquête, basée sur la Commission canadienne la violence contre les femmes Survey (Statistique Canada, 1993), a interrogé un total de 6300 femmes âgées de 18 ans et plus à la fois les zones urbaines et rurales au sujet de leurs expériences de la violence. Un incident de violence, réelle ou menacée, a été expérimenté par sept pour cent des femmes dans la période de 12 mois qui ont précédé l'enquête (ABS 1996), ce qui équivaut à environ 490.400 femmes qui ont subi une forme de violence physique ou sexuelle au cours de la période de 12 mois précédant l'enquête (ABS 1996). “
On est donc entre 5% et 7% de victimes, autant d’hommes que de femmes, et selon des estimations subjectives et maximales.
http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.aic.gov.au/research/projects/0029.html&sa=X&oi=translate&resnum=6&ct=result&prev=/search%3Fq%3DInternational%2BViolence%2Bagainst%2Bwomen%2Bsurvey%26hl%3Dfr%26lr%3Dlang_fr%26sa%3DG
Les enquêtes canadiennes plus récentes affirment l’égalité des victimes hommes et femmes dans la violence domestique, avec des conséquences physiques plus graves pour les femmes. La violence envers les hommes y est analysée: http://www.phac-aspc.gc.ca/ncfv-cnivf/violencefamiliale/html/mlintima_f.html.
Quand à l’autre chiffre cité: 40% de femmes subiraient de la violence psychologique, il est tout aussi fantaisiste, puisque l’on inclut la critique sur l’autre, la manipulation des enfants (domaine où certaines femmes excellent aussi), le silence de l’homme. Oui, quand l’homme se renferme dans le silence, c’est inclus dans les statistiques! Le document pdf ci-après donne la liste de tout ce qui est considéré comme violence. Le texte dit “il” comme si c’était exclusivement l’homme le fautif. Remplacez le “il” par “il-elle” et vous aurez une vision plus objective de la réalité.
VioDom1-1.pdf
Les meurtres conjugaux
Les femmes en sont plus victimes. Toutefois 1/3 des victimes sont des hommes. La statistique est fédérale:
Les hommes sont donc aussi victime de ces meurtres, dans une proportion qui est tout sauf anecdotique. Mais quelqu’un s’est-il levé pour dénoncer cela? Non.
Pourquoi ces mensonges?
J’y reviendrai, en analysant les bases idéologiques, les bénéfices des mensonges, la judiciarisation croissante des relations privées, et les biais que cela engendre pour les hommes.
Commentaires
"Prenons le chiffre le plus plausible, celui de l’aide aux victimes, soit 21’000 femmes. Il est dit souvent que seuls 30% (1/3) des actes de violence conjugale sont déclarés par les femmes (et seulement quelques pourcents par les hommes). Sur environ 7’000’000 d’habitants en Suisse, 21’000 femmes font 0,3% de la population entière. Si 0,3% est 1/3, la totallité est 0,9%! Si même seulement 10% des victimes se déclaraient, la totalité ferait 3%!. Il est impossible d’atteindre le chiffre d’une femme sur 5, soit 20% de femmes battues."
Dans votre aveuglement, vous comptez même les bébés pour calculer votre pourcent. Bravo!
31 décembre 2007 : personnes mariés: 3 428 579 (bizarre ce nombre impair!)
Soit : 1 714 289.5 femmes mariées...
Bien, on n'arrive pas à 20%, mais les chiffres sont entre les deux extême...istes.
On ne rétablit pas une vérité par un second mensonge.
Un crime au nom de la tradition
Article publié le 26 Septembre 2008
Par Frédéric Bobin
Source : LE MONDE
Extrait :
Victimes d'un « crime d'honneur », cinq femmes ont été ensevelies vivantes dans une fosse commune, dans la province pakistanaise du Baloutchistan. Un acte qui soulève les consciences. Elles étaient trois soeurs, âgées de 16 à 18 ans. Hameeda, Ruqqaya et Raheena vivaient à Baba Kot, village du Baloutchistan, une province aride du sud-ouest du Pakistan aux confins de l'Iran et de l'Afghanistan, là où la terre n'est que sable, cailloux et rocs ciselés par le vent. Elles sont mortes, ensevelies vivantes dans une fosse commune. Victimes d'un « crime d'honneur » qui, par sa sauvagerie inédite, soulève les consciences depuis plusieurs semaines au Pakistan, où l'on s'accommode d'ordinaire de ces meurtres coutumiers.
La propagande au niveau de la violence domestique est un phénomène d'ampleur planétaire émanant en tout premier lieu de l'ONU. De plus, même après avoir fait la démonstration de la fausseté de ces affirmations, la machine répressive érigée sur cette base douteuse continue à s'acharner de plus belle sur les pères de familles expédiés en prison dès le moment où une femme vindicative compose le 911 pour se plaindre de sévices réels ou imaginaires, sans qu'il ne soit requis de mener la moindre enquête à ce propos. En ce qui concerne le sacro-saint principe de la présomption d'innocence, il faudra vous adresser ailleurs. C'est ainsi que les juifs étaient expédiés en enfer, il n'y a pas si longtemps. En outre, les auteurs de la propagande mensongère ne sont jamais inquiétés, même après que leur petit manège est révélé au grand jour.
Si la chose peut vous consoler, je vous invite à prendre connaissance de cette page intitulé : "Petite histoire d'un gros mensonge" pour vous rendre compte que les Helvètes ne possèdent malheureusement pas le monopole de la connerie en semblable matière!
http://bisbille101.blogspot.com/2007/09/petite-histoire-dun-gros-mensonge.html#links
En effet Johann j'ai volontairement pris toute la population pour simplifier mon propos, j'espère que tout le monde l'a vu et compris. Parce que le chiffre de 20% de femmes supposées battues fait également une généralité, parce l'enquête de 1997 ne précise rien quand aux 1'500 femmes questionnées, comment elles ont été choisies, ni sur les questions, ni sur la manière dont elles ont été posées.
Il faut bien faire sortir le loup du bois. Et demander sur quelle comptabilité on estime que 30% des femmes ne dénoncent pas cette violence. De plus les chiffres de l'aide aux victimes est le plus haut, mais il ne prouve rien, j'en sais quelque chose. Si l'on prend le chiffre des condamnations d'hommes, 26'000, c'est toutes violences confondues. Les violences conjugales sont selon les études qu'au maximum 30% de l'ensemble des violences sur la personne (je prends des chiffres hauts). Donc seuls 10'000 hommes (chiffre arrondi) serait coupables de violences conjugales. Ce qui est augmenté d'un côté est diminué de l'autre.
Les sondages prennent le pourcentage sur la globalité des femmes: 20%, c'est avec ou sans les mineurs des 2 sexes, cela ne change donc rien car un pourcentage n'est pas un nombre.
Au final les statistiques et études chiffrées depuis quelques années montrent 2-3% de femmes victimes de violence physique grave, pour 1-2% d'hommes. Jamais 20% de femmes.
Au fait, Johann, vous qui semblez motivé ou concerné par la violence conjugale, vous avez vu ces chiffres: jusqu'à 7% d'hommes battus, maltraités, et 30 hommes tués chaque année par leur conjointe? C'est incroyable, n'est-ce pas? Cela mérite des campagnes de sensibilisation, n'est-ce pas? Je suis content que vous soyez d'accord avec moi sur ce sujet sensible de la violence faite aux hommes et aux femmes.
Pour être plus précis Johann, si l'on reporte le chiffre de 21'000 consultations d'aide aux victimes par rapport aux femmes mariées, cela fait 1'2%. Si l'on admet que seul 1/3 est dénoncé, cela ferait 3,6% de femmes réellement battues.
Mais puisque vous aimez les chiffres et que vous les regardez en détail, vous aurez remarqué que le chiffre de 21'000 consultations concerne toutes les victimes femmes, pas seulement celles de violence conjugale. Si l'on prend le nombre où il y a relation familiale auteur-victime (donc possible violence conjugale), le chiffre tombe à 15'500 du total hommes-femmes confondus, et comme il y a 25% d'hommes aux consultations, on peut enlever environ 3'500, et on arrive à 12'000. Rien ne précise que la relation familiale auteur-victime est un couple. On doit encore ôter un nombre difficile à évaluer précisément. Mais comme les relations où auteur-victime se connaissent font 2/3 du total sans que ce soit une relation familiale (donc couple inclus), on peut ôter 1/3 de 12'000. Reste 8'000 femmes peut-être battues. On ne sait pas si les plaintes sont véridiques puisque les centre LAVI ne vérifient rien et prennent pour argent comptant ce qui leur est dit.
Mais admettons 8'000, même si c'est probablement moins. 8'000 reporté à 1'714'000 femmes mariées cela fait 0,45%. En considérant à nouveau exact que seul 1/3 des violences sont dénoncées, cela fait 1,3% Vous voyez, mon calcul avait du sens. Et même si ce seuls 10% des cas étaient dénoncés, cela ferait 4,5% des femmes mariées, soit 2,25% de la gent féminine.
Est-ce vraiment une question de nombre?
Je serais bien curieux de connaître l'origine de cette fâcheuse habitude que nous avons acquise de comptabiliser les mornifles en fonction du sexe des pugilistes. On se croirait en pleine matinée enfantine. J'ai bien ma petite idée quand même. L'industrie de la taloche c'est sacrément payant. On n'a pas intérêt à ce que ça cesse alors on rajoute un peu de kérosène pour faire monter la température des ménages. Ce serait la fraternité des sapeurs qui fournirait le carburant que je ne serais pas surpris
La question est prise à l'envers si vous voulez mon avis. Il ne s'agit pas tant de bâtir des forteresses pour protéger les hommes des hures enjuponnées. La question est de réunir les conditions pour que l'industrie des noces d'or soit vouée à un brillant avenir.
"La question est de réunir les conditions pour que l'industrie des noces d'or soit vouée à un brillant avenir".
Ca serait cool, Yves, et bien d'accord avec toi.
@Yohann
Merci pour l'info sur les "crimes d'honneurs", tout a fait abominable.
Mais était ce une erreur de le poster sur ce blog ou suggereriez vous une similitude avec les formes de violences conjugales existantes en Suisse ?
CE
Il n'y a qu'un homme qui n'a pas de sensibilité vis-à-vis de la violence pour écrire de façon aussi légère.
Vous le dites vous même, ce sont des mensonges, des fantaisies, c'est à quel point vous êtes obtus, c'est à quel point vous êtes protégé de toute violence puisque vous ne la soupçonnez même pas, vous en doutez, elle est hors de votre réalité, vous ne la voyez pas.
Je ne vous souhaite pas d'être une femme car nous n'avons pas besoin de personnes comme vous pour agraver notre situation, je ne vous souhaite pas non plus d'être une femme pour expérimenter ce que nous vivons car nous ne voulons pas que cela continue et que cela se reproduise.
Faire de la désinformation comme vous le faites ne sert à qu'à servir les intérêts de pouvoir de certains hommes sur d'autres hommes. Il existe un déficit mondial de 160 millions de femmes, il existe 150 millions de femmes excisées. De la sorte les hommes puissants continuent par la repression sexuelle et émotionnelle à pomper leurs esclaves qui se croient tellement mal traités, comme ceux qui suivent ce blog.
Cela me fascine comment à travers l'histoire des hommes (oublions la femme!) tout se soit et se décline au masculin, comment les hommes sont capables de parler des femmes et de ce qu'elles subissent commes s'ils en étaient. Mais réveillez vous! C'est le monde que vous vous êtes forgés, malheureusement pour preuve, votre force n'existe qu'en comparaison à celle des femmes. Là j'ai l'impression de parler avec un homme qui s'est fait manipulé toute sa vie par des hommes et qui rejette la faute sur la femme comme il le ferrait avec sa maman n'ayant pas pris sa défense vis-à-vis de son papa, c'est la manipulation marche, elle a atteint son but, puisque vous ne vous rendez pas même compte de la réalité. Je suis désolée si je vous apprends quelque chose, et excusez moi de vous remettre les idées en place aussi bêtement et simplement, vous vous faites avoir par vos comparses, qu'un homme prenne un coup par un homme n'est pas la même chose qu'un coup pris par une femme de la part d'un homme, si vous croyez que la violence est inexistante dans ce dernier cas c'est que vous la jugée et vous l'associée, par votre raisonnement cognitif à comment vous subiriez cette violence si vous vous faisiez agresser par un homme, et la récurrence de la violence qu'un autre homme pourrait avoir vis-à-vis de vous. Mais vous n'êtes pas une femme. Comment pouvez vous juger de notre réalité quotidienne?
Vous devriez éduquer vos enfants et les enfants de votre patrie à respecter les femmes au lieu de les inciter à la violence par la minimization des faits et des conséquences. Regardez le monde autour de vous, tous les pays dont le niveau de vie est supérieur, dont l'économie se porte mieux, dont le système judiciaire est plus performant, dont le système médical et social est plus accessible, ou il fait meilleur vivre sont les pays ou la femme est plus au moins respectée.
Pourquoi ais-je écris à un mur, intellectuellement il m'aurait suffit de dire le droit de vote n'a été accordé aux femmes que depuis 1950 telle est l'ampleur des violences faites aux femmes depuis des millions d'années.
@ sara manuel
" il m'aurait suffit de dire le droit de vote n'a été accordé aux femmes que depuis 1950 telle est l'ampleur des violences faites aux femmes depuis des millions d'années."
où où redescendez sur terre ça vous fera du bien.
http://www.huffingtonpost.fr/nicolas-bersihand/lettre-de-george-sand-au-comite-central_b_5542939.html
"une tyrannie qui avilit son époux, que le moment est venu de reconnaître en principe ses droits à l'égalité civile et de les consacrer dans les développements que l'avenir donnera, prochainement peut-être, à la constitution sociale. Puisque les mœurs en sont arrivées à ce point que la femme règne dans le plus grand nombre des familles, et qu'il y a abus dans cette autorité conquise par l'adresse, la ténacité et la ruse, il n'y a pas à craindre que la loi se trouve en avant sur les mœurs. Au contraire, selon moi, elle est en arrière."
arrêtez de prendre les gens pour des cons ça sera un bon début
@ sara manuel
http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article80
http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?rubrique14
lis ces livres de femmes lucides et honnêtes ça te fera du bien.
@ sara manuel
"Vous devriez éduquer vos enfants et les enfants de votre patrie à respecter les femmes"
et le respect des hommes il est où
http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2014/11/17/dans-sept-ou-huit-cas-sur-dix-261878.html#more
le résultat du bourrage de crâne féministe c'est ça.
http://www.paris-normandie.fr/detail_article/articles/1750395/de-fausses-denonciations-de-viol#.VNOtJKb3TCb
"« Il y a une espèce d’inconscience de la réalité des choses » pour Jean-Claude Belot, qui précise que les plaignantes sont majoritairement des jeunes, « mais pas que ». « Je suis sûr que si elles réalisaient, elles ne le feraient pas. Quand vous leur rappelez la gravité de la situation, elles vous regardent avec de grands yeux, l’air de dire : « C’est quand même pas si grave de dire que quelqu’un m’a violée ». C’est presque vous qui passez pour un tortionnaire d’avoir le toupet de le leur reprocher. Il n’y a jamais un mot de regret ni de remords, c’est très rare ». « Celui qui remercie, par contre, c’est le mis en cause ! » relève un enquêteur."
réveillez vous sortez de votre bulle vous en avez bien besoin.
http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?rubrique51