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Chiffres de la violence conjugale: Précisions sur le délire féministe et ses motivations

4 femmes en couple sur 5 autour de vous semblent-elles souffrir le martyr, portent des traces de coups sous le maquillage, se plaignent d’être dénigrées, rabrouées, sans argent, totalement dominées, contrôlées toutes les 5 minutes, traumatisées? Avez-vous vraiment le sentiment d’être dans ce monde-là? Comptez autour de vous vos amies, vos proches, vos collègues en couple: 4 sur 5 sembleraient-elles n’être plus que l’ombre d’elles-mêmes?

Rappel de chiffres

Mon billet d’hier proposait un calcul un peu compliqué. Je le simplifie.

StatsOFS-LAVI2.jpgJe prends comme base de calcul la statistique fédérale suisse de l’Aide aux victimes. Pourquoi ce chiffre? Parce que c’est le plus élevé disponible, on ne pourra donc me suspecter de vouloir minimiser la réalité. Le tableau ci-joint indique les chiffres sur 5 ans (cliquer dessus pour l’agrandir, ou voir le site http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/19/03/01/key/beratungsfaelle/01.html).


- En 2007, sur 29’311 consultations, 15’543 supposaient une relation familiale auteur-victime, donc pouvant inclure la violence conjugale subie par les femmes.

- On sait par ailleurs que 26% des consultants sont des hommes. Il reste 11’657 femmes, chiffre arrondi à 12’000.

- Il y a en Suisse 1’714’000 femmes vivant en couple (les mineures, veuves et célibataires sont décomptées).

- Rapporté à ce dernier chiffre le pourcentage des consultations pour violence conjugale subies par des femmes représente: 0,7% des femmes en couple.

- Si l’on admet comme le disent sans le prouver les féministes, que seulement 30% des femmes dénoncent la violence conjugale, on arriverait à 2,2% de femmes battues parmi les femmes vivant en couple, soit 1,1% du total des femmes.


Note: les centres d’aide aux victimes ne vérifient rien des affirmations de leurs consultantes et les prennent pour argent comptant. On ne peut donc savoir de combien le chiffre est exagéré (fausses accusations, violence mutuelle, troubles psychiatriques décompensés, etc).


Ce que disent les féministes

Sur la base d’une enquête de 1997 relayée par l’Unifem (organisme de l’ONU) et par Amnesty International, une femme sur 5 âgée de 20 à 60 ans (ce que les féministes ne précisent jamais dans leurs interviews, laissant chacun croire que c'est sur l'ensemble de la population féminine) dit avoir subi de la violence conjugale. Or seulement une femme sur deux dans cet tranche d’âge vit en couple est donc concernée par la violence conjugale.

Cela voudrait dire que 40% des femmes de 20 à 60 ans en couple vivent de la violence conjugale grave. Et pour la violence grave + psychologique, le chiffre annoncé étant de 40% dans cette tranche d’âge, 80% des femmes en couple vivraient dans l’enfer de la violence conjugale, soit 4 femmes en couple sur 5.

(http://www.amnesty.ch/fr/campagnes/halte-violence/quelques-statistiques-sur-la-violence-contre-les-femmes).

On nage en plein délire!


Pourquoi ces mensonges sur les chiffres?
VioDom4.jpg
- Les premières études ont été faites sans méthode rigoureuse par des féministes anti-hommes. Les autres ont suivi de bonne foi et se sont ancrées dans cette psychose collective de la femme battue à chaque coin de rue.

- Les méthodes d’enquête, le type de questions, la manière de les poser, ont souvent été biaisées et amplifient la réalité. Une dispute peut facilement devenir une menace violente selon comment la question est posée.

- Le féminisme radical a entrepris la déconstruction du masculin. Il faut donc faire passer les hommes pour des salauds violents.

- L’idéologie féministe radicale est fondée sur la théorie marxiste selon laquelle la femme est le prolétaire et l’homme l’oppresseur. Dire que les hommes sont des prédateurs et les femmes des proies est habituel chez ces féministes. Ainsi tous les hommes sont culpabilisés et renoncent à leur identité masculine. Le but est une prise de pouvoir progressive sur la société par les féministes radicales.

- La victimisation rapporte. Psychologiquement, les femmes étant présentées comme forcément victimes, elles ont la sympathie des tribunaux, des médias, des services sociaux, etc. Juridiquement: vote de lois discriminatoires favorables aux femmes contre les hommes. Financièrement, les associations féministes perçoivent des subventions qui les nourrissent et font vivre leurs leaders. Le chiffre le mieux connu est celui du Québec: 500 millions de francs suisses par années, toutes attributions confondues.


Donc la diffusion de faux chiffres de la violence contre les femmes est une stratégie délibérée. En entretenant une psychose collective les RadFém tirent les marrons du feu, et les hommes paient collectivement une culpabilité ancestrale.

Personne ne nie que la violence contre les femmes existe. Chaque violence est un crime, un crime de trop. Mais la réalité des chiffres n’en fait en aucune façon un phénomène de société de l’ampleur revendiquée, ni de l’homme un salaud universel. Et l’on oublie toujours que la violence contre les hommes existe, qu’elle est très importante. Mais là on touche un tabou.

Les campagnes sur la violence faite aux femmes sont parmi les grandes manipulations intellectuelles et sociales de notre époque. Les RadFém perdent tout crédit à relancer en boucle des chiffres délirants. Ces campagnes mensongères sont une violence permanente, systémique et institutionnelle contre les hommes dans leur ensemble.


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Catégories : société 35 commentaires

Commentaires

  • Extraits choisis de : Roch Côté, Manifeste d'un salaud, Éditions du Portique, Bibliothèque nationale du Québec, © 1990. Les Éditions du Portique c.p. 234 Terrebonne, Québec, J6W 3L5.

    Fabrication d’une statistique

    Les statistiques sont les tartes à la crème de l'information. On se les lance comme ça à la figure, l'important n'étant pas la qualité de la crème mais l'effet recherché. De la mousse à raser peut très bien faire office de crème.

    Et c'est ce qui arrive. Les statistiques citées précédemment constituent un joli paquet de contradictions. Et de faussetés. C'est clair : à peu près aucun journaliste ne vérifie la source et la valeur des statistiques qu'il emploie. Les femmes agressées y passent de une sur deux à une sur trois, une sur quatre, une sur huit, une sur dix.

    Peut-être y a-t-il une source quelque part mais on ne nous le dit généralement pas. La statistique se présente comme une sorte de contenu révélé incontestable, avec l'effet magique du nombre. Les chiffres sont imbus d'un pouvoir d'objectivité absolue… jusqu'à ce qu'ils se contredisent.

    En fait, le journaliste a généralement puisé sa statistique… dans l'article d'un collègue. Et ainsi, des chiffres se baladent libres comme des ballons soufflés à l'hélium, errant dans l'air sans trace de leur origine.

    Et puis un jour, on retrouve une origine : là où les ballons sont soufflés.

    Dans La connaissance inutile, Jean-François Revel a crevé un de ces mystérieux ballons. Des esprits bien intentionnés (?) avançaient constamment la statistique affreuse de 50 millions de morts de faim dans le monde par année. Le but recherché était la plupart du temps idéologique : culpabiliser le monde occidental vis-à-vis du tiers monde. Or, il meurt par année dans le monde, en tout, environ… 50 millions de personnes. La famine fait probablement entre 1 et 2 millions de morts… la plupart du temps en pays « socialiste » du tiers monde. C'était un beau ballon.

    Comment voir clair maintenant dans tout ce bric-à-brac statistique sur la fameuse « violence faite aux femmes », comme dit la langue de bois, et sur la violence en général dans notre société?

    Il y a en fait un petit nombre de sources d'où l'on peut obtenir des statistiques fiables sur la violence, sous toutes ses formes, déclarée et non déclarée. Ces sources sont généralement gouvernementales. Des ministères, comme ceux de la Protection publique au Québec, du Solliciteur général à Ottawa, et des organismes publics comme le Conseil consultatif canadien sur la situation de la femme émettent des statistiques sur la violence. Et encore là, il faut être vigilants car on peut toujours nous gonfler des «ballounes».

    Et c'est justement ce qu'a fait en 1987 le Conseil consultatif canadien sur la situation de la femme (CCCSF).

    Regardons bien comment on peut fignoler une statistique.

    Le CCCSF fait officiellement savoir en juin 1987[3] qu'il y a au Canada environ un million de femmes battues. Tous les journaux reprennent l’effarante statistique. Enfin on a mesuré « la violence faite aux femmes »! Le chiffre magique fait son tour de presse et entame une brillante carrière. Il va se promener partout. Je l'ai encore vu dans le numéro de février 1990 de la revue « Femmes Suisses » qui commentait la tuerie de Polytechnique. Depuis trois ans, le chiffre du CCCSF est LA référence et c'est de lui qu'on s'inspire quand on avance le chiffre d'environ 300,000 femmes battues au Québec.

    Comment en est-on arrivé au chiffre de un million de femmes battues?

    Voici d'abord comment le CCCSF a défini une « femme battue » :

    « La femme battue, c'est celle qui a perdu sa dignité, son autonomie et sa sécurité, qui se sent prisonnière et sans défense parce qu'elle subit directement et constamment ou de façon répétée des violences physiques, psychologiques, économique, sexuelles ou verbales. C'est celle qui doit essuyer des menaces continuelles et qui voit son amoureux, mari, conjoint, ex-mari ou ex-amoureux – homme ou femme – se livrer à des actes violents sur ses enfants, ses proches, ses amis, ses animaux familiers ou les biens auxquels elle tient. Aussi l'expression « femme battue » englobera-t-elle toutes les répercussions des violences infligées à la femme elle-même, à ses enfants, à ses amis et parents et à la société dans son ensemble.»

    Voilà la définition sur laquelle est basée la statistique du million de femmes « battues ». Ce million comprend donc des femmes « battues » économiquement, psychologiquement ou verbalement, qui éprouvent une perte de dignité ou de contrôle, qui ont vu leur batteur de mari s'en prendre au chien de la maison ou à une potiche chinoise. Il faut relire la définition du CCCSF, c'est exactement ce qu'elle dit. Il n'y manque que le sentiment d'être regardée de travers, ce qui nous ferait des femmes « battues visuellement ». Combien de pays pourraient en dire autant?

    Mais ce n'est pas tout! Comment à partir de cette définition « extra-large » a-t-on trouvé un million de femmes battues?

    Suivez le guide!

    Les auteurs du rapport ont constaté qu'en 1985, 15,730 femmes à travers le Canada s'étaient retrouvées dans 110 refuges pour femmes, « battues » de la façon décrite plus haut.

    On a extrapolé ces chiffres pour les 230 refuges existant alors au pays, ce qui donne le total d'environ 33,000 femmes « battues » pour l'ensemble du pays. Mais comme ces refuges ne répondent pas à la demande et qu'une femme sur deux y est refusée, on double le chiffre, disons à 65,000.

    Encore un petit effort! Les auteurs du rapport se servent alors d'une étude faite dans la ville de London, en Ontario, qui montre que 89 p. cent des femmes « battues » ont demandé de l'aide ailleurs que dans un refuge. Cela autorise donc à multiplier par 9 le total de 65,000 obtenu plus tôt. Nous voilà donc à 580,000 femmes battues, disons 600,000. Dernière étape : comme on estime qu'une femme « battue » sur trois ne demande de l'aide nulle part, on grossit les 600,000 à 900,000. Disons un million!

    Voilà! Une statistique nous est née. Les manchettes ont ensuite suivi dans les journaux. On a lu partout, en grosses lettres noires, sur la foi de cette « statistique », qu'il y avait un million de femmes « battues » au Canada.

    À quoi ressemble une opération semblable? À de la fabrication de preuves. Il « fallait » que la statistique sur la « violence faite aux femmes » fût stupéfiante, car le discours l'avait toujours soutenu. Imaginez si on était arrivé avec des chiffres démobilisateurs!

    Si on prend au sérieux ce chiffre, il y aurait au Québec environ 250,000 femmes « battues ». Or, on voit dans les chiffres que j'ai étalés à la section 3, que l'évaluation se promène de 800,000 (premier prix à The Gazette, bravo!) à 65,000 (le chiffre de la police – 6,500 – multiplié par 10). On remarque aussi dans ces citations que le mot « battues », étiré au-delà de tout bon sens par le CCCSF, revient souvent à son vrai sens : violence physique. Le message lancé en 1987 par le CCCSF revenait à dire, dans l'esprit des gens, qu'il y avait au Canada un million de femmes qui recevaient des coups. C'est bien ainsi que l'interprète Armande Saint-Jean, en caractères gras, pour ne pas que cela nous échappe : « Une Canadienne sur dix se fait battre régulièrement par son mari »[5]. II n'est plus question d'être « battue » économiquement, psychologiquement ou verbalement.

    Mme Saint-Jean utilisait une statistique du CCCSF remontant à 1980 et qui aboutissait aux mêmes résultats que le rapport de 1987 … comme si on s'arrangeait pour arriver à un certain résultat.

    Voilà donc comment, par la voie d'un organisme officiel et grâce à la manipulation des chiffres et des mots, nous sommes devenus une nation de batteurs de femmes.

    Un déficit grave

    Mais avant de clore ce chapitre sur l'art de la statistique, faisons un dernier exercice, pour garder la main.

    Le 23 août 1990, le Regroupement provincial des maisons d'hébergement et de transition pour femmes victimes de violence conjugale (ne pourraient-elles pas se trouver un sigle!) annonçait que ses 46 maisons avaient accueilli 100,000 femmes, victimes de violence conjugale.

    Faisons donc un petit calcul en utilisant la méthode du CCCSF, telle qu'exposée plus haut.

    Cet organisme partait du chiffre suivant : 15,730 femmes « battues » dans 110 maisons refuges. Notons au départ, quelque chose d'étrange : chaque maison accueille au Québec, en moyenne, plus de 2000 femmes annuellement. Au Canada, cette moyenne serait de 140, selon les chiffres du CCCSF. Il y a quelque chose qui cloche là-dedans. Quelqu'un nous triche quelque part … Mais comme ce sont les chiffres que l'on nous fournit, utilisons-les!

    Voici les étapes du calcul, méthode CCCSF :

    1. Parmi les femmes qui se présentent au refuge, la moitié sont refusées faute de places : il faut multiplier par deux.

    Nous en avions 100,000, nous en avons donc maintenant 200,000 ;

    2. 89 pour cent des femmes battues demandent de l'aide ailleurs que dans un refuge. Donc : multiplier par 9.

    200,000 x 9 = 1,800,000 ;

    3. Pour deux femmes battues, une troisième ne demande d'aide nulle part. Il faut donc ajouter 50 pour cent au total précédent.

    1,800,000 x 1.50 = 2,700,000.

    Résultat ahurissant! Car selon le recensement de 1986, il y a 2,542,040 femmes de plus de 18 ans au Québec. Nous avons donc tellement de femmes battues que nous enregistrons un déficit de femmes tout court. Il ne reste qu'une solution: puiser chez les mineures. C'est écœurant!

  • Oui Hermil, et partout les officines d'Etat relaient ces chiffres: les gouvernements, le Conseil de l'Europe, l'ONU. A croire qu'il n'y a personne qui sait lire les chiffres ou actionner une calculette, ou simplement qui vérifie sur des sources, avant d'engager la responsabilité de son ministère. Les féministes ont ceci en commun avec l'administration Bush et avec les systèmes soviétiques: la vérité ne compte pas, seul compte l'effet émotionnel et psychologique. Il n'y avait pas d'ADM en Irak? Quelle importance, Powell a présenté la photo floue d'un camion dans le désert...

  • Un autre chiffre intéressant dans le rapport d'activité du centre LAVI (aide aux victime) de Genève. En 2006, il y a eu 2133 situations nouvelles. Sur ce nombre, près de la moitié ont été traitées par téléphone (810) ou par lettre (197). Ces consultations pour lesquelles aucune vérification n'est possible sont pourtant comptabilisées dans les cas de violence familiale/conjugale. Qui vérifie quoi? Comment peut-on affirmer qu'il s'agit de vraies situations juste par téléphone? (voir le rapport d'activité 2006 de la Lavi: http://www.centrelavi-ge.ch/index.php?id_page=7&ncat=17 ).

    Peu importe, cela gonfle les chiffres.

  • ...et quand on pense que tout ça a commencé avec une jolie pomme!

    Tentatrices et menteuses! Ah, ben, c'est pas joli joli!

  • M'ouais... Manger 5 fruits 5 légumes par jour, qu'ils disent...

    Si on était tout de suite devenus carnivores, rien de tout cela ne serait arrivé, nous serions en train de gazouiller gaiement dans le jardin d'Eden (parce que là on en est plutôt à l'ouest...)
    :o)

  • Oui enfin en même temps on vous a rien demandé avec notre pomme....c'est vous qui êtes pas foutus de garder votre engin dans votre pantalon.... (ou sous la feuille de vigne...c'est selon...)

    Mais d'accord avec hommelibre.... on est loin (très loin) du jardin d'Eden

  • Boo.... on parle de la pomme... enfin à quoi pensez-vous? Une pomme dans un pantalon? pas pratique ça... Et puis dites-moi, c'est pas votre arrière-arrière grand-mère toute nue près du serpent? Hum hum... on a des photos... si si...

    .... :-)

  • Pour rétablir l'équilibre et certaines verités, voici une petite liste d'actes desagréables assimilés a de la violence conjugale, dont les femmes usent frequement a l'encontre de l'homme.

    Elle:

    - crie, vous injurie, vous accuse
    - vous humilie, vous jette des insultes à la figure
    - fait des remarques dévalorisantes
    - fait pression sur vous en vous culpabilisant
    - vous force à prendre des décisions contre votre gré
    - vous dicte ce que vous devez faire
    - manipule les enfants
    - veut avoir toujours raison
    - vous reproche vos dépenses
    - menace de se suicider ou de se faire du mal
    - menace de dire ou de faire des choses qui auraient des conséquences fâcheuses
    - vous empêche de rendre visite à des ami-e-s ou vous rend la chose difficile
    - Il contrôle vos appels téléphoniques
    - Vous devez avoir son autorisation pour vous rendre dans certains endroits, il vous en interdit d'autres
    - vous appelle sans cesse au téléphone
    - vous contrôle
    - s'attaque à des choses auxquelles vous tenez

    Je suppose qu'il n'y a la rien de très extraodrinaire et que chacun a deja vecu ou vu chez des proches une de ces situations.

    Maintenant le detail marrant: Je n'ai pas inventé cette liste, c'est du copié-collé du site http://www.prevention.ch/haltealaviolence.htm sauf que chez eux il y a un "il" avant chaque phrase (IL vous insulte etc...). En somme la liste de ce que l'homme moyen ne devrait pas commettre envers sa partenaire.

    Nota bene que je suis tout a fait d'accord avec ça, et que je serai extrèmement content si par soucis d'égalité les femmes pouvaient aussi eviter ce genre de pratiques !!! Mais la elle vous diront "c'est pas la même chose..."

    Je serais sincèrement interessé par quelques points de vue feminins sur le sujet.

    AF

  • @ Alain: Oui, c'est la liste classique avec toujours "il". Je l'avais mise en pdf sur le précédent billet, en proposant de mettre: il-elle". Car si c'est de la violence conjugale, en effet, les hommes en subissent beaucoup. Mais si les deux partenaire d'un couple pouvaient tous les deux abandonner ces attitudes, ce serait un sacré pas vers plus d'harmonie et de respect.

  • Oui, excusez moi je n'avais pas opuvert le lien.

    Reste qu'il est dommage qu'aucune femme n'ait daigné commenter sur ce point precis.

    Point qui est non seulement un exemple caricatural du "faite ce que je dis pas ce que je fait" mais en plus certaine des "violences psychologiques" citées me semble typiquement, si ce n'est exclusivement, feminine (vous apelle sans cesse au telephone, menace de se suicider...)

    AF

  • Bonjour John et Alain,

    A la lecture de ses phrases, je dois dire que personnellement je les ai spontanément associées au féminin. Loin de moi l'idée d'aller dans les extrêmes, cela dit il est vrai que dans mon entourage, ce sont plutôt les femmes qui harcèlent leurs conjoints au téléphone, se ruent vers les natels pour en contrôler les appels..rien de très très méchant somme toute :-)
    Un mec est harcelé de coups de téléphones intempestifs par sa conjointe..simple : il suffit de ne pas-plus lui répondre pour avoir la paix ! « Beni ouioui » à tort et à travers ne laisse rien présager de bon à terme..

    La violence psychologique pratiquée par le biais de ces illustrations tel que vous les mentionnez ne devrait être tolérée ni par un homme ni par une femme. Il convient d'y mettre un terme si c'est là la définition de la vie à deux pour le-la conjoint-e qui pratique le harcèlement tel un sport. Le début du respect commence lorsque l'on se respecte soi-même, non ?!

  • Hé oui, l'alarmisme est une formule qui fonctionne bien ! C'est aussi le principe de l'UDC en employant les étrangers, les musulmans ou autres boucs émissaires... Mais rassurez-vous messieurs, la majorité des femmes ne sont pas anti-hommes et ne se laissent pas berner par ces sottises. Restez des hommes que nous puissions rester des femmes. Je ne crois de toute manière pas tellement au dualisme boureau-victime. Simplement, le problème de notre société, c'est de manquer de médiateurs neutres...

  • AF, par rapport à la liste, et le fait que "ce n'est pas la même chose" : c'est parce que la femme est "faible", contrairement à l'homme. Mais attention s'il la frappe ! Là, il sera un monstre... Que de contradictions... Il est fort, il peut se défendre donc on peut l'attaquer... mais il ne doit pas se défendre car sinon c'est lui le méchant qui porte tous les torts... Ironie.

    Oui, le bon comportement devrait être des deux côtés. Ce n'est que comme ça que ça fonctionne, avec de la bienveillance de part et d'autre. Et les disputes ne sont pas graves, on ne peut pas être toujours d'accord, il faut juste s'écouter un peu...

    Partir dans un schéma bourreau-victime, c'est perdu d'avance.

  • A travers LE MONDE et à travers LES AGES, et encore aujourd'hui en dehors de notre culture occidentale, les femmes sont déconsidérées.
    Comme elles l'ont pu être dans les écrits de Nietsche, dans les questionnement moyenâgeux sur l'hypothétique âme de la femme, comme la mise sous tutelle de toute la gente féminine dans les pays arabes aujourd'hui.
    Sans aller aussi loin, le père était le chef de famille jusqu'à récemment en Suisse, et les femmes n'avaient pas le droit de vote en pays appenzellois jusqu'à TRES récemment.
    Bien sûr que les femmes ont été dominées et le sont encore de par le monde par les hommes depuis des lustres, et qu'il fallait remettre de l'ordre dans tout ça!
    Et que le temps où l'on considérait normal de battre sa femme ou de coucher avec sa bonne n'est pas si loin!

    Sans pour autant être d'accord avec l'exagération des faits, je pense néanmoins qu'il est clair que la lutte devait être menée.

    Ce soi-disant complot occidental anti-homme par les "méchantes féministes" est une abérration et un mépris total de toutes les luttes que les femmes doivent encore mener de par le monde aujourd'hui pour être traitées à égalité avec les hommes. Parfois au péril de leur vie.



    Fam

  • Nietzsche et aberration bien sûr.

  • @ Une femme:

    "Ce n'est que comme ça que ça fonctionne, avec de la bienveillance de part et d'autre. Et les disputes ne sont pas graves, on ne peut pas être toujours d'accord, il faut juste s'écouter un peu..."

    Je vous rejoins entièrement.

  • @ Fam

    ton billet est un beau mélange de clichés féministes !!!

    "A travers LE MONDE et à travers LES AGES, et encore aujourd'hui en dehors de notre culture occidentale, les femmes sont déconsidérées."

    Ah des exemples concrets s'il te plait ?

    http://www.editions-jclattes.fr/livre/jc-lattes-239773-L-homme-est-l-avenir-de-la-femme-hachette.html

    http://www.passereve.com/journal/PDF/machos.pdf

    "comme la mise sous tutelle de toute la gente féminine dans les pays arabes aujourd'hui."

    je ne vois pas le rapport entre ce qui se passe dans les pays arabes et le délire féministe dans les pays occidentaux. il va falloir m'expliquer !!!

    suite

  • @ Fam

    "Ce soi-disant complot occidental anti-homme par les "méchantes féministes" est une abérration"

    une abérattion tu te fout du monde !!!

    HTTP://WWW.LEXPRESS.FR/ACTUALITE/SOCIETE/FAMILLE/LA-VERITE-SUR-LES-VIOLENCES-CONJUGALES_485479.HTML

    http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article119

    élisabeth décrit clairement ce complot anti-hommes.

    "un mépris total de toutes les luttes que les femmes"
    tu devrais réfléchir un peu pour comprendre de quel coté est le mépris !!!!

    " et les femmes n'avaient pas le droit de vote en pays appenzellois jusqu'à TRES récemment."

    je ne vois pas où il y a domination là dedans !!!

    "Bien sûr que les femmes ont été dominées" et quelles ai été dominées, ne justifie nullement le délire féministe actuel. les hommes n'onts pas à avoir une attitude de repentance.


    "et un mépris total de toutes les luttes que les femmes doivent encore mener de par le monde aujourd'hui pour être traitées à égalité avec les hommes."

    que les femmes doivent encore mener des luttes par le monde c'est un fait, mais ça n'empêche nullement un complot anti-homme dans les pays occidentaux, et n'autorise nullement les féministes à leur délire actuel. franchement je ne vois pas non plus le rapport entre les deux, ça se voit que tes arguments sonts tout droit sortis d'un site féministes.

    "Sans aller aussi loin, le père était le chef de famille jusqu'à récemment en Suisse" donc les femmes étaient sois disants dominées !!!!

    maintenant ce sonts les méres qui sonts toutes puissantes dans les familles, avec la catastrophe éducative des enfants actuellement, ah elles peuvent être fiéres les féministes !!!

    http://www.catherine-francois.be/combats/feminisme/fem_moralisatrice.htm

    https://www.quebec-politique.com/index/viewtopic.php?f=3&t=12282

    http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article92

    http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article203 Homo mulieri lupus ? Marcela Iacub, Hervé Le Bras. Les temps modernes, n° 623, février 2003

  • Étrangement c'est un homme qui parle de "délire féministe", bien entendue vous n'avez aucun problème de sexisme, votre compagne ne vous bat pas, vous avez un salaire supérieure à votre collègue à un poste égal, et bien entendue aucun problème lié à la contraception ou à l'avortement... Par conséquent vous vous foutez littéralement du monde là. Forcément pour vous la vie est facile, mais allez dire ça aux femmes battues qui ne peuvent se défendre, à celles qui avortent dans des conditions déplorables parce que la loi Veil est menacé de disparaitre, à celles qui gagnent 20% de moins que vous à poste égal. Alors vous n'avez aucune raison de vous plaindre !

  • @ cendra

    "mais allez dire ça aux femmes battues qui ne peuvent se défendre"

    je ne nie nullement qu'il existe des femmes battues qui ne peuvent se défendre
    mais elles sonts une minorité parmi celles victimes de violences physiques, la grande majorité est corresponsable de la violence dans le couple, les femmes que tu cite sonts victimes entre autres de PN, homme en manque éducatif,en manque de péres, remerçie, la société actuelle qui ne soutient plus les péres, remerçie leur mére qui a divorcer parce qu'il n'y avait pas assez de romance dans le couple, bel égoisme de leur part.

    http://www.lien-social.com/spip.php?article212&id_groupe=5

    "Que peut-on faire pour lutter contre cette violence, comment tenter de la prévenir ?
    L’éducation peut jouer un rôle très important, en permettant aux individus de prendre une mesure des effets dramatiques que la violence peut avoir. De ce point de vue, il faudrait peut-être commencer par faire comprendre aux jeunes l’existence de limites, et leur montrer comment ces limites font partie de la condition humaine."

    http://www.lepoint.fr/actualites-societe/2008-08-22/violences-conjugales-a-qui-la-faute/1597/0/268422

    "à celles qui avortent dans des conditions déplorables parce que la loi Veil est menacé de disparaitre"

    là je comprends pas tout donc une loi serait sois disant menacée de disparaitre et ça créerait déjà des incidences sur l'avortement !!!!

    " à celles qui gagnent 20% de moins que vous à poste égal."

    faux stritement rien ne prouve cette affirmation.
    ce qui est appelé inégalité est la différence entre le salaire brut global des hommes et des femmes !!!!!

    http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article298&var_mode=calcul

  • @ Cendra:

    Je suis indépendant, alors je bosse sans compter pour au final avoir moins que la plupart des femmes salariées;
    Je vis le sexisme anti-hommes tous les jours, je le connais bien;
    Ma compagne ne me bat pas, mais je connais des hommes qu'elles battent, dénigrent, salissent;
    Et si je n'ai jamais été un homme battu, j'ai été victime d'une fausse accusation soutenue par la horde féministe et parce que que les hommes sont forcément coupables dans l'iconographie féministe;

    Alors vous, vous vous foutez du monde avec vos petits schémas et votre féminisme pathologique (j'ai regardé votre blog...) ...

  • Bonjour HommeLibre,

    "Je vis le sexisme anti-hommes tous les jours, je le connais bien;"

    Pourriez-vous donner un ou deux exemples de ce que vous vivez "tous les jours" ? Ceci afin de comprendre le sexisme subi par un homme à Genève.

    D'avance merci

    (o_o)

  • Je pense que certains devraient vivre 1mois à la place d'une femme pour comprendre les mots : harcèlement et sexisme...

  • Loredana:

    Par exemple la suspicion à l'égard des hommes: parce que c'est un homme, il a forcément des intentions cachées (dominatrices, etc). Ou bien le fait qu'un homme on le remet en question facilement et pas forcément sur des arguments, alors que la critique envers une femme est rapidement suspectée. Ou bien des clichés sur les hommes (autant que sur les femmes). Sans parler de la charge de la violence, de la domination, de l'agressivité, forcément mise a priori et de manière récurrente sur les hommes, qui doivent du coup développer une parano pour naviguer entre les suspicions.

    Ce sont parfois de petits détails, ce n'est pas forcément quotidien, mais en écoutant quelques hommes, c'est bien fréquent. En disant "Je" je m'identifie aux hommes en général, car je ne vis pas cela d'une manière tendue ni quotidienne. Mais dans la mesure à cette Cendra de cendre envoie la purée avec la violence conjugale comme si c'était habituel et généralisé, pas de raison que je lui fasse de cadeau... Et encore je suis resté réservé...

    ⎣⍼⏅⍼⎤

  • Boo:

    Harcèlement, je connais... Hé oui, un homme peut aussi être harcelé. Exemple parmi d'autres: une vendeuse de fleurs avec laquelle j'ai simplement discuté de manière sympathique (comme c'est mon habitude) qui me suit pour un jour frapper à ma porte alors que j'ai une soirée avec des amis et ma compagne...

    Les "aventures" de couloir que nombre de mes étudiantes me prêtent, par jalousie et envie, car étant le prof je suis forcément un bon parti pour elles: puissant, riche, etc... (si elles savaient)... Et au point où ces bruits de couloir ont pesé dans l'accusation dont j'ai été la cible.

    Des propositions régulières à peine déguisées, des regards ou des poignées de main collant-e-s, bref, je crois connaître un peu. Au début je ne le voyais pas, je ne croyais même pas cela possible. Moi je suis naturel, en général sympa et plutôt cool, je ne cultivais pas ce genre d'idées. Mais on m'a ouvert les yeux.

    Maintenant je le vois plus vite et je mets beaucoup plus de distance. J'envoie promener, d'abord gentiment, puis sèchement, quand je constate un harcèlement (et cela arrive encore).

  • Boo, en complément, et pour Loredana aussi, quand je décris à d'autres un harcèlement dont je suis l'objet, on ne dit en premier: "Qu'as-tu dit ou fait pour cela?" comme si j'en portais la responsabilité parce que je suis un homme. Et souvent on reste avec une suspicion à mon égard: je suis homme donc je l'ai forcément cherché... Alors qu'une femme qui se plaint de harcèlement, on la croit très vite et on la plaint.

    Exemple de sexisme...

  • Ouais c'est bien ce que je me disais .... encore des généralités. Si vous en êtes réduits à développer des paranos pour naviguer entre les suspicions ... z'êtes pas sorti de l'auberge et pas tout à fait "libre" et j'en suis navrée pour vous.
    Etre en confiance et faire confiance, c'est pas facile mais cela aide à se sentir bien.

    Quant à votre dernier commentaire .... bin j'préfère ne rien dire !

    Amicalement

    (o_o)

  • Hommelibre... à part votre histoire de bruit de couloir franchement désagréable... (et encore on ne vous a pas prêté des tournantes dans les toilettes d'une boite de nuit dans laquelle vous n'avez jamais mis les pieds) je trouve que vos histoires frisent un peu la paranoia...
    Les sifflements dans la rue, les posts its sur sa place de travail pour dire qu'on vous trouve "charmante aujourd'hui" ... les insultes dénigrantes quand on est pas d'humeur à se retourner aux "hey madmoiselle t bonne"... le fait de se faire coincer par des individus en sortant des toilettes d'un restaurant ou bar parce que ceux-ci trouvent que l'endroit est approprié pour engager une discussion... ETC... pour moi c'est bien plus proche du harcèlement que vos anecdotes... et les remarques sexistes... j'en parle même pas!

    "quand je décris à d'autres un harcèlement dont je suis l'objet, on ne dit en premier: "Qu'as-tu dit ou fait pour cela?" comme si j'en portais la responsabilité parce que je suis un homme. Et souvent on reste avec une suspicion à mon égard: je suis homme donc je l'ai forcément cherché... Alors qu'une femme qui se plaint de harcèlement, on la croit très vite et on la plaint. "

    Ah bon? Je connais des hommes qui pensent qu'un femme qui se fait violer si elle était ivre ou en mini-jupe elle l'a bien cherché... et une femme qui se plaint de harcèlement... si elle est moche on va dire qu'elle ment, si elle est jolie on va dire que c'est de sa faute parce qu'elle se met trop en avant...

  • Ps... Je ne me suis pas aventurée comme vous à parler des : poignées de main avec le regard figé sur la poitrine; des propostions ABSOLUMENT PAS déguisée de la part de collègues ou chefs directs; des gros lourds qui arrivent à trouver votre numéro sans même que vous sachiez qui c'est et qui vous bombarbe de sms pour avoir un rencard; des gens qui inventent des histoires sur vous par dépit; des gens qui passent dans la rue et qui vous matent le cul avaint de regarder votre tête et de réaliser que vous êtes la fille de leur ami d'enfance... ETC

    Pour moi les anectodes ci-dessus sont tellement courantes qu'elles font partie des choses de la vie ;) on s'y fait...

  • Loredana: des généralité en vue d'ensemble, mais du vécu pour de nombreux hommes, et il y a des généralités qui sont de nature à faire des dégâts (comme mère ou prostituée pour les femmes).

    Je pourrais en rajouter dans le vécu: une discussion anodine, devant témoin, et la femme (mariée) qui fait briller ses yeux comme un feu de forêt chaque fois qu'elle me regarde, et qui touche mon bras en s'attardant un peu, bref...

    L'homme est plus direct: une "chance" pour les femmes car elles peuvent le rembarrer aussi sec. La femme contourne plus, et son harcèlement est moins visible (sauf le coup de débarquer chez moi alors qu'elle ignorait mon adresse, ça mesdames je ne sais pas si vous avez déjà eu...).

    Du coup, dénoncer ce comportement de la femme paraît comme une exagération de l'homme, et la femme redevient victime. Quand je vous dis qu'un peu de parano n'est pas de trop...

  • Je dois sortir et n'ai pas le temps de poursuivre ce débat.

    Mais d'un côté cela m'arrange, parce que j'ai beaucoup de peine à vous comprendre aujourd'hui

    (@_@)

  • Bah, Loredana, je ne faisais que répondre aux généralités de Cendra. En donnant des précisions que je ne donne pas d'habitude. Les hommes se plaignent moins et sont plus pudiques sur ces choses là d'habitude. Alors on croit que cela n'existe pas. Mais cela existe.

  • Pour reprendre le fil au niveau des femmes battues, la définition utilisée par les gourous des statistiques est tellement étriquée qu'elle permettrait d'inclure les femmes battues aux élections cantonales !

    Nouvelles victimes de cette forme pernicieuse de violence démocratique, les candidates ainsi déchues au Québec aboutissent tout de même dans les officines du pouvoir. La situation devient à ce point absurde que l'actuel gouvernement s'est engagé à n'avoir que des conseils d'administrations paritaires ( 50% hommes / 50% femmes ) et ce dès 2011, sans égard à la compétence...

    À trop ignorer les dégâts d'une certaine idéologie, nous en sommes réduits collectivement à s'accommoder de la médiocrité.

  • HommeLibre, je préfère en restez là.

    Bonne soirée

    (o_o)

  • @ Boo

    "Ah bon? Je connais des hommes qui pensent qu'un femme qui se fait violer si elle était ivre ou en mini-jupe elle l'a bien cherché... et une femme qui se plaint de harcèlement... si elle est moche on va dire qu'elle ment, si elle est jolie on va dire que c'est de sa faute parce qu'elle se met trop en avant..."

    tes hommes qui fonctionnent comme ça ne sonts qu'une infimme minorité, donc de là à généraliser là dessus.

    "Je pense que certains devraient vivre 1mois à la place d'une femme pour comprendre les mots : harcèlement et sexisme..."

    trés douée dans l'exagération !!!

    d'ailleurs il y a déjà eu un forum sur ce sujet il y a quelques temps à te croire tu est contamment harcelée, on se demande où tu vis, où tu croise effectivement beaucoup de mouveaux machos comme dit jean Gabard
    des jeunes en manque éducatif en manque de péres.

    "En effet, le nouveau machisme
    qui se développe dans tous les milieux sociaux n'est pas dû, comme certains
    voudraient le penser, à la subsistance d'une idéologie patriarcale qui
    s'entretiendrait par imitation. Dans notre société de plus en plus
    féminisée, le « futur nouveau macho », maintenu dans la fusion maternelle,
    ne souffre pas d'une « overdose » d'ordre masculin mais d'absence de
    « père » et de repères. Tout autant incapable de sortir de l'enfance, il n'a
    pas acquis une identité d'homme suffisamment solide pour pouvoir accepter la
    différence. Arrivé à l'âge où il devrait commencer à assumer la castration,
    il est encore en plein refoulement et a toujours besoin d'inférioriser les
    femmes pour pouvoir exister. Alors qu'il devrait être en mesure de « tuer le
    père », "

    http://www.hommedaujourdhui.ca/jean_gabard.htm

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