Des chercheurs américains ont mis en évidence la possibilité de stimuler électriquement certaines zones du cerveau pour provoquer des orgasmes. Est-ce la fin de la frigidité e l’impuissance? (Article dans Le Matin de ce jour)
On sait que la sexualité et le plaisir sont phénomènes complexes. Pourquoi sommes-nous attirés par certaines personnes et pas par d’autres? Il y a plus que la libido, la pulsion animale, ou l’expression d’un manque.
Cette complexité met parfois en évidence des paradoxes. Deux personnes peuvent avoir de profonds sentiments mutuels, sans avoir de désir sexuel. D’autres entrent dans une relation physique torride mais celle-ci n’est pas accompagnée de sentiments.
La méconnaissance mutuelle dans un couple, ou l’habitude, peuvent diminuer la sensation de plaisir et le nombre ou la qualité des orgasmes. Faut-il y remédier par l’électronique? Personnellement je n’en voudrais pas.
Le plaisir sexuel est fonction de nombreux paramètres dans un couple. L’alchimie sensorielle, les émotions partagées, la préparation mutuelle par l’ambiance, les caresses, jouent un grand rôle. Le niveau de stress d’un ou des deux partenaires également. Même la pudeur ou les résistances d’un des partenaires peuvent faire monter une tension érotique et provoquer une extase intense.
Qu’un couple joue parfois avec des objets, des sextoys, des fantasmes pour varier les plaisirs, pourquoi pas. Les fantaisies d’adultes consentants font partie de leur liberté. Mais qu’une stimulation artificielle prenne la place de la dimension relationnelle me paraît être de nature à appauvrir la relation. Un couple c’est deux personnes en interaction. La qualité des orgasmes comme des échanges intellectuels est liée à la qualité globale des échanges.
La qualité d’un couple ne saurait être réduite au nombre et à l’intensité des orgasmes. Et la qualité de l’orgasme ne saurait être limitée à une stimulation électrique. Pas besoin de puce dans le cerveau si les partenaires d’un couple prennent le temps de se chercher, s’attendre, s’accepter, et s’ils désirent le plaisir de l’autre avec autant de puissance qu’ils cherchent leur propre plaisir.
Commentaires
Bonjour hommelibre !
Nietzsche revue et corrigé:
"Quand tu vas chez les femmes, n'oublie pas les piles !"
:o)
Tout à fait d'accord, en tant que grand sentimental, admirateur de la poésie amoureuse et victime consentante durant une longue période de ma vie de coups de foudre délicieux aux conséquences parfois affreuses, mais, comme le dit bien, dans un autre contexte et avec d'autres présupposés politiques que les miens, Me Bonnant (je cite de mémoire) "l'amour se passe d'abord dans la tête et non dans la tuyauterie du corps". Quant à moi je dirais que l'amour se passe essentiellement dans la tête, et que c'est là que les éléments de tuyauterie (j'y inclue tous les organes sensoriels, ainsi que les glandes endocrines et leurs sécrétions hormonales) font leur oeuvre, avant d'en ré-excréter les résultats alchimiques dans les différents parties du corps impliqués dans les transports amoureux.
Il est donc fort possible et même fort probable qu'une intervention directe dans le cerveau (qui devrait dans l'avenir devenir de plus en plus précise et raffinée) puisse produire les mêmes effets que l'ensemble des manoeuvres corporelles impliquées dans notre expérience habituelle de l'amour, à moins que le résultat ne puisse être que ce que nous vivons sous forme de rêves ou d'hallucinations: à chacun de juger en quoi ces deux formes d'actions cérébrales sont de qualité inférieure. Franchement j'aurais tendance à penser que c'est le cas, mais je n'en suis pas totalement certain.
de Ours Debout @ hommelibre:
bonobo, va!
@ Ours Debout:
mdr! (:o)
@ Mère:
On peut imaginer qu'en effet cela marche, d'ailleurs cette technique a été expérimentée. Donc certainement que la stimulation électronique provoque cela. Mais, en bon bonobo comme le dit Ours Debout, je ne peux me passer de cette émotion si précieuse du toucher, du contact, de la rencontre, de la découverte, de l'abandon des corps et de ce que cela représente dans la relation globale. L'émotion des regards qui se montrent quand la montée se fait, quand la mise en attente est complice, quand l'intensité éclate. Irremplaçable.
@ Blondesen: j'allais rajouter à votre dernière phrase: -ation... Mais là je sors du sujet (si j'ose dire... hum hum...)
(:o)
"je ne peux me passer de cette émotion si précieuse du toucher, du contact, de la rencontre, de la découverte, de l'abandon des corps et de ce que cela représente dans la relation globale"
Je ne veux pas gâcher votre plaisir, mais vous savez que j'aime la controverse, donc je me demande si vous n'avez pas fait qu'ajouter des mots avec les concepts appropriés à ce dont nous parlons: car le fait reste que tout cela est décodé par et dans le cerveau. Mais ne vous croyez pas obligé de répondre à cette interrogation.
Bien à vous,
Salutations,
Il y a quelques années, une expérience en laboratoire m'a spécialement marquée.
Une puce provoquant la jouissance par impulsion électrique avait été placé dans le cerveau d'un rat. L'animal en question fut ensuite enfermé dans un espace clos avec pour seul objet le bouton d'activation de la puce. Savez-vous ce qu'il advint quand il découvrit enfin le bouton exutoire?
Il appuya dessus, frénétiquement, jusqu'à ce que mort s'en suive...
Étonnant, non?
Sincèrement,
Q.
@ Mère: Oui certainement c'est décodé par le cerveau, mais la puce fera-t-elle qu'à la fois je sentirai les bras, la peau, que je verrai le regard, que je sentirai l'émotion partagée, les souffles? ... pas si sûr... Et puis laissera-t-elle ces pauses par moments, fera-t-elle parler de tout ou de rien après, fera-t-elle que l'autre si proche redevient autre après? Ah ah, Mère, vous voyez: la puce ne remplacera pas la 3D!! (:o)
@ Quentin: assez hallucinant cette expérience... d'où l'importance du rythme, des phases, des montées et descentes, des intervalles, des éloignements et rapprochements...
Stimuler électriquement certaines zones du cerveau pour provoquer des orgasmes est une technique comme une autre. À chacun ses spécialités, si besoin est.
L'essentiel de la question reste l'émergence du désir: quel que soit "l'outil" utilisé, rien ne prédispose à savoir comment éprouver du désir. Il arrive parfois que l'être humain recherche à se procurer du plaisir en espérant connaître du désir aussi. La déception ne se fait pas attendre si tel est le cas. Statistiquement, il est prouvé que ce genre de frustration serait dramatiquement la cause de beaucoup de cas de renconcement à la sexualité chez des femmes.
Maintenant, revenons à nos moutons: il est question de l'orgasme féminin. Est-ce à dire que pour les hommes, c'est plus simple? La technique et la finalité se rejoignent-elle de manière si évidente?
En ce qui concerne l'orgasme féminin, un livre très intéressant vient de paraître. "L'Orgasme, on s'en fout" rend compte de cette dynamique. «Parce que le sexe n’est pas une performance à enregistrer, mais un lâcher prise sur son corps», l'auteure prétend avec raison que ces carcans imposés par la société (avec leurs modes d'emploi) en matière de sexualité font souvent que les femmes finissent par s'en détourner!
La chosification d'une part importante de la vie donnerait ainsi un effet contraire ... Pourquoi? Peut-être parce que justement, si l'on peut artificiellement provoquer le plaisir, on ne peut pas décider d'avoir envie, de désirer (je ne parle pas ici de sentiments éventuels tels que l'amour ou le respect).
L'alchimie sensorielle ne se commande pas et si des gens trouvent une solution à leur problème de jouissance en recourant à telle ou telle technique, tant mieux pour eux; il n'y a pas lieu de ridiculiser une telle demande, légitime au demeurant. Une copine m'a pourtant avoué entre la poire et le fromage que si le partenaire était moins rapide ou moins égoïste, ne sachant éjaculer que s'il n'a pas de sentiment envers elle, etc, etc, elle n'aurait pas eu appel à ce type d' "instrumentalisation du plaisir", d'autant que c'est souvent même pour éviter de simuler - et donc de provoquer ce foutu orgasme - qu'elle accepte de s'exciter pareillement. Triste, non? Aucune créativité ne se dégage visiblement de ce genre de recherche effrénée mais ne rajoutons pas de problème aux frustrations que vivent certains.
Merci à Hommelibre d'avoir remis sur le tapis ce vaste sujet, inépuisable, qui fera surement encore couler beaucoup d'encre ...
Bordel tendresse, oui cela se passe dans la tête
Libre à vous de choisir, mon choix est fait et hommelibre, j'aurais pu parier que tu releveras le sujet. Oui, on a sympathisé sur la grande place des Nations, en attendant le PONT DES NATIONS !), en disant tout le "bien" avec un autre pote du Nord, Blondie et Micheline (pas Calmy) sur le fils de pute du désert libyen. Encore une fois, je dois m'incliner devant Mère et les autres. Bientôt, je ne saurais plus comment faire pour tirer ma révérence.
Bonne soirée et si cela vous dit, le bien-être est dans le pré et pour les curieuses sur mon blog. Oui, on dit que les femmes sont plus curieuses que les hommes, voici un sujet qui pourrait passionner mon ami John.
Bonne soirée, je dois vous quitter pour ne pas attirer les foudres de guerre de ma chère petite épouse qui s'est donnée un mal de chien pour me confectionner un repas délicieux. Est-ce le printemps ?
Mathis du Cressy et Bruno pour les intimes
PS. Les blogs se bousculent. Posté ce matin, il a déjà disparou sous invité-e-s. Hommelibre est trop actif, je n'arrive plus à suivre. Hubble hubble hubble
Bientôt on pourra laisser tomber les sex toys et autres objets précieux, nommés désir (Woody Allen) et les hommes seront bientôt bannis pour remplir les machines à laver, porter le linge sale dans les magasins spécialisés et emmener les enfants à la crêche, sans parler de les élever sur le droit chemin, tandis que Madame ... à part le sex il y a encore le tennis, le golf, le jogging et promener son petit chien.
A quand les pillules rouges, jaunes, vertes et bleues pour remplacer les repas. Ainsi on aura gagné des minutes précieuses pour nous consacrer à nos "hobbies" ou à nos "phobies. Cela s'appelle automatisation de nos désirs !
Ouahhh, je vois venir la vague de protestations des mamis MLF (bienque pas toutes ne sont des mamies, avec leurs jupes à ras les paquerettes), qui roulent en 4x4 pour apprendre à se garer, tandis que le compagnon ou mari se contente de la modeste deuschhhh, à moins qu'il soit téméraire et emploie son VTT ou vélo électrique. Là aussi, il peut appuyer sur le bouton. Bon, j'aime bien aussi me rincer ... pour chercher l'appétit. Mais où manger, si le Mac Do et les autres grandes surfaces sont complets ? Dans les restos spécialisés ? En principe, les prix, dessert compris, sont surfaits. Des Boissons, on en parle pas, mais c'est vrai, là dessus les restaurateurs-trices gagnent leur vie.
Bon, fini de ... déconnectons, bueñas noces señioritas et señiores
Aie, ma femme vient me tirer les oreilles, mais pas encore les vers du nez; quel poison - adorable. Bon appétit
Un mot encore! Le sexe, c'est dans la tête ou ailleurs? C'est un fait empririque : Environ 100 milliards de neurones instaurent chacun près de 60 000 contacts propageant des signaux életriques dans tous les sens! Mais rien n'explique comment se tissent les liens entre les neurones ni ce qui fait bouger nos synapses.
En philosophie, on a toujours reconnu deux courants: les neurobiologistes et les spiritualistes (ou personnalistes). Force est de constater que la question essentielle reste indécidable ...
Dernièrement, une chercheuse américaine au nom prédestiné, Beverly Whippie, a démontré que les femmes sont cérébrales, dans le sens qu'une simple pensée peut provoquer en elle un orgasme. Bon, jusque là, rien de révolutionnaire ... Ne dit-on pas "la même chose" concernant l'homme, si l'on en croit Frédéric Dard?
@ Etoile des Neiges : bon appétit dans tous les sens du terme! Partager un bon plat constitue déjà un prélude à un autre plaisir ...
* Merci Micheline pour votre compassion. Oui, cela fait partie de la vie; il ne manquait plus que le laquais pour nous tenir une bougie ! Je n'ai pas trouvé un bouton, mais deux; quant au reste, "da schweigt des Sängers Höflichkeit" !
Une histoire drôle:
Une femme d'un âge certain se fait raffermir la peau et les seins. Après le premier traitement, la femme constate 2 boutons sur la joue. "C'est quoi docteur" ? Et lui de répondre, ce n'est pas grave, ce sont seulement les 2 mamelons, parce que j'ai dû étirer la peau un peu trop vers le haut. Catastrophée, la femme dit: "stoppez toute suite tout traitement, car je n'aimerais pas me retrouver avec une barbe" !
Bonne journée, avec ou sans orgasme commandé, pourvu qu'on soit bien dans sa peau (et dans sa tête; non non cette fois pas la chercheuse)
Une autre question me vient à l'esprit. Est-ce la fin du rôle de l'homme, puisque avec tous ces artifices les femmes peuvent aisément s'en passer !? Ainsi, nous hommes forts et libérés de nombreuses tâches n'aurions plus que le rôle de procréateur à remplir, rejoignant ainsi la volonté de Dieu du Vatican, qui prêche pour l'abstinence ! Je crois que je vais m'approcher de la gent masculine pour ne pas être en manque, car faire la petite lessive tout seul n'est pas marrant non plus. Quo vadis ? Où va le monde actuel ? Cherche-t-il le bouton du plaisir sur commande à tout prix ?
Franchement, mère, qu'est faire l'amour sans amour, sans sentiment, sans tendresse ? Moi, j'ai besoin de sentir que je puis donner pour prendre, lire plaisir. Donc un implant pour stimuler n'est qu'artifice, un sex toys en plus.
Pauvres Hommes et Femmes, je vous plains si vous avancez dans cette érection, ah je voulais dire direction
*Quentin, intéressant l'exemple de l'exagération que vous citez: prendre du plaisir jusqu'à mort s'ensuive. N'est-ce pas un peu le cas avec nos drogués purs et durs ? Donc, aussi le sexe pourrait être parfois assimilé une drogue, une de plus. Moralité: User, sans en abuser !
@Etoile de Neige
Ai-je jamais prôné les vertus du sexe sans amour? Encore faudrait-il s'entendre plus précisément sur les termes utilisés; mais ce n'est pas le lieu de se lancer dans une telle histoire et philosophie de l'amour et de la sexualité. Comme je l'ai écrit à l'adresse d'homme libre, mon histoire personnelle témoigne de ma propension à traiter l'amour d'un pont de vue poétique et romantique, avec une fascination pour l'état amoureux, dont je connais bien les limites et une admiration pour l'état d'amour qui lui succède parfois et que j'ai le privilège de vivre.
Cependant, je considère ces blogs plus comme des lieux d'information et de réflexion que comme des des occasions d'étaler nos états d'âmes et nos vies personnelles, à moins que leur contenu contribue réellement à cette réflexion.
Le lecteur de l'Amour et l'Occident, de notre compatriote Denis de Rougemont, de la Sexualité en Océanie de Margaret Mead, des divers Rapports Hite, pour ne prendre que ces exemples dans la littérature (d'un autre temps déjà je l'admets), des articles pertinents d'un bon dictionnaire des Idées ou Enyclopédie (éventuellement pour les plus courageux, un catalogue illustré de tous les moyens mécaniques utilisés dans les siècles passés pour empêcher les garçons à s'adonner aux plaisirs de l'onanisme), n'aura plus qu'à puiser dans sa propre existence (pour autant qu'elle ait déjà une certaine durée), de celle de ses amis, puis dans l'actualité relatée par les médias (complétée par une visite dans un Sex Shop) pour voir que la réalité de la sexualité ordinaire et des diverses conceptions de l'amour, sont loin de ces conceptions touchantes.
Je ne vais pas prendre la peine d'un catalogue et d'une énumération, il suffira je pense, de faire référence aux prescriptions de l'Islam, récemment renouvelées ou rappelées, selon lesquelles l'épouse ne peut se soustraire au "devoir conjugal" que si elle est malade. Mais soyons juste, car il est toujours plus facile d'émouvoir et de convaincre en prenant des exemples de ce genre: vous reconnaissez-vous dans la conception papale catholique de la sexualité, pensez-vous que toutes les femmes qui s'aident d'un sex toy pour atteindre l'orgasme soient dépourvues de la capacité d'aimer, comme tous les hommes fascinés par les images ou les films pornographiques?
Il y a l'idéal, souvent mis en scène dans les oeuvres d'art d'antan, qui varie selon les temps et les cultures, et il y a la réalité de la vie des gens, à laquelle sont confrontés les psychiatres et les tribunaux. Il serait tout aussi néfaste de n'envisager que le premier, que de nier l'autre parce qu'elle nous embarrasse ou risque de détruire certaines illusions.
@ EdeN: j'ai été trop pris pour passer aujourd'hui, là je fais juste un petit saut. Je reviens plus tard.
L’homme à qua sert t’il ? bientôt tout se fera par impulsions électriques,et
le merveilleux orgasme prélude de l’amour viendra sans sexe.
Nous voulons défier la nature avec des inventions des chercheurs, si ridicules
que pour finir les sexe shop remplaceront soit l’homme soit la femme.
Les souvenir du premier baiser qu’il nous remplisse de joie sont si loin,
aujourd’hui tout va trop vite,un acte d’amour froid ,sans enthousiasme,
sans une caresse,sans un petit mot gentil,il est remplace par une stimulation
électrique qui va donner l’orgasme sans amour et sans sexe.
Même le viagra compagnon d’aventures va disparaître !¨
Demain, dans mon lit froid ,seule et désespère,je me toucherai le point
qui va déclencher l’orgasme électrique,et je dirai que malgré tout l’homme
c’est une autre chose !!!
L’homme à qua sert t’il ? bientôt tout se fera par impulsions électriques,et
le merveilleux orgasme prélude de l’amour viendra sans sexe.
Nous voulons défier la nature avec des inventions des chercheurs, si ridicules
que pour finir les sexe shop remplaceront soit l’homme soit la femme.
Les souvenir du premier baiser qu’il nous remplisse de joie sont si loin,
aujourd’hui tout va trop vite,un acte d’amour froid ,sans enthousiasme,
sans une caresse,sans un petit mot gentil,il est remplace par une stimulation
électrique qui va donner l’orgasme sans amour et sans sexe.
Même le viagra compagnon d’aventures va disparaître !¨
Demain dans mon lit froid ,seule et désespère,je me toucherai le point
qui va déclencher l’orgasme électrique,et je dirai que malgré tout l’homme
c’est une autre chose !!!
Oui Danilo, bien d'accord, et moi aussi je me dis que la femme, une vraie femme qui vit, qui ressent, pour partager, c'est bien autre chose.
@ Hommelibre. Mon Dieu, y a-t-il une « vraie femme » ? J'ai l'impression de n'avoir connu que des clones…