Le journaliste vedette de Canal+ est la cible d’une dénonciation publique par la journalistes Marie Portolano. Pierre Ménès est un personnage que l’on aime ou non. Mais pourquoi lui, et pas les autres?
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Le journaliste vedette de Canal+ est la cible d’une dénonciation publique par la journalistes Marie Portolano. Pierre Ménès est un personnage que l’on aime ou non. Mais pourquoi lui, et pas les autres?
Sous ce titre, France 2 diffusait il y a quelques jours une émission sur les personnes transsexuelles. Le concept fait poser des questions essentielles sur la nature humaine et la constitution de l’identité sexuelle.
C’est un délinquant ordinaire: délation, viol de la vie privée et mise en exécution médiatique, le tout sur un fond implicite de morale sexuelle d’avant-guerre. Mais il se dit artiste.
Le mot-dièse #balancetonporc s’est donc retourné contre son autrice. La justice a rappelé que les militantes sont soumises aux mêmes lois que les gens normaux. Sandra Muller a tenté l’esquive à l’annonce de cette condamnation. Elle n’a pas commenté le jugement qui lui donne tort.
Le feuilleton continue à la tête de MeToo. Les kadors, comme d’habitude, attirent toute la lumière sur eux. Nous étions restés à la menace de plainte pénale d’Asia Argento contre Rose McGowan. Sur ce front-là ça se calme, Rose ayant exprimé des excuses à l’actrice italienne.
Hier la RTS diffusait le documentaire « 68, année érotique ». À part les barricades parisiennes et les grandes manifs, de quoi était faite la vague libertaire des années post-68? Des témoignages ont illustré la quête de certains et certaines des acteurs et actrices de la révolution sexuelle.
Des deux il y a un menteur. Ou une menteuse. Qui dit vrai? On ne le saura pas. La prescription est passée. L’affaire ira aux oubliettes, après usage politique. Mais malgré le peu d’éléments de cette plainte, sa nuisance continue.
À quel moment une attitude naturelle devient-elle socialement ou pénalement répréhensible? Combien de fois une sollicitation doit-elle être répétée pour être requalifiée en harcèlement? Faut-il codifier l’entièreté des relations entre femmes et hommes, ou laisser une zone grise d’incertitude et d’ajustement?
Première manifestation de l’après Weinstein, les Golden Globes ont été hier une sorte de grande manifestation féministe et victimaire. Nombre de femmes présentes arboraient une robe noire, selon la consigne. Comme des veuves. Et leur parole s’est élevée haut dans la salle.
J’écrivais en juillet que selon une étude publiée en 2015, les hommes préfèrent les femmes minces. Une révision de cette enquête le confirme. C’est le blog américain Squawker qui relaie la nouvelle en août 2017.
Pourtant on n’en a pas parlé à l’époque. Ni l’ancienne ministre Najat Vallaud Belkacem, ni les députés d’alors. Silence radio. Il a fallu cette remorque publicitaire près d’une université pour qu’elles se rappellent à notre souvenir.
Le Canada vient d’autoriser la mention « X » pour désigner le sexe de personnes qui ne s’identifient ni comme femmes ni comme hommes. Mais existe-t-il vraiment un sexe neutre? Ou la vérité est-elle ailleurs comme dans la série X-Files?
Les comportements sexuels féminins n’ont pas fini de surprendre. C’est un constat, pas un jugement. On reconnaît habituellement aux femmes plus de réserve qu’aux hommes. L’affaire que j’évoque se passe aux États-Unis, dans la petite ville d’Evans, en périphérie d’Augusta en Géorgie.
La journaliste et écrivain Claude Sarraute se lâche. Cette fille d’écrivain (Nathalie Sarraute) et femme de journaliste (Jean-François Revel) fut journaliste au Monde et pensionnaire aux Grosses têtes.
Si les saints de glace remplissent leur contrat annuel en cette mi-mai, un grand froid tombe sur les seins de chair. L’affaire Baupin, étrange écran de fumée au moment du vote de la loi travail, est suivie d’un nouveau sondage. Un sondage édifiant.
On n’a rien inventé: le corps est un moyen d’échange. Et malgré les campagnes destinées à enfermer la sexualité dans un paquet ficelé et surveillé, certaines et certains se fichent des recommandations morales.
Quelques extraits d’un article – amusant ou intéressant, c’est selon – sur les hommes. Ce sont des paroles d’experts. Ceux-ci expliquent les hommes, en particulier ce que les hommes ne disent pas à leur compagne ou leur femme (ici en anglais).
Les garçons sont les garçons. Et qu’on le veuille ou non ils ont quelques spécificités. Dont un sexe différent de celui des filles. Un sexe qui leur assigne paraît-il une toute-puissance.
Le libre choix est roi. En particulier du côté des amours. Choix de la personne, choix de faire ou non l’amour. Le consentement est aujourd’hui largement admis comme marqueur fondamental des relations. Et tant mieux.
Pour la première fois depuis longtemps je trouve un réel fond à un discours féministe. Il s’agit du féminisme évolutionniste, défendu par Peggy Sastre dans sont récent livre « La domination masculine n’existe pas ».