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Violence conjugale: le rapport tendancieux validé par le Conseil Fédéral

Diffusé hier, la presse en parle ce matin. Le rapport sur la violence conjugale réalisé par le Bureau Fédéral de l’Egalité sert désormais de base à la politique fédérale. Pourtant ce rapport est gravement biaisé et anti-scientifique.

VioConj081.jpgStatistiques fédérale suisses

Prenons d’abord les statistiques fédérales, principal collecteur d’informations sur le sujet. 15’000 consultations pour des situations de violence conjugale dont les 3/4 sont des femmes. Donc 11’600 femmes environ. Moins de 50% donnent lieu à des poursuites judiciaires, soit un peu moins de 6’000. Les autres? Non fondées, car si elles l’étaient elles donneraient lieu à des poursuites (les violences conjugales sont poursuivies d’office dès qu’elles sont connues). 6’000 sur environ 3 millions 800’000 femmes: 1 cas sur 633 femmes, ou 0,15%. Admettons que tous les cas ne sont pas dénoncés. Mais alors par combien faut-il multiplier? Toute supposition est aléatoire. Par 3, comme le laissent entendre de nombreux chercheurs? Par 10? Rien de scientifique dans ces extrapolations, qui permettent de gonfler les chiffres sans avoir besoin de prouver leur réalité. Par 3 (si cela était confirmé) cela ferait 0,45% par année.

L’astuce de ce rapport est de dire qu’il s’agit de femmes victimes sur la durée de leur vie, entre 18 et 74 ans. En effet, en multipliant 0,45% par cinquante ans, on arrive environ à 20%. Mais rien ne permet d’affirmer que ce sont toutes des femmes différentes. Rien ne précise s’il s’agit de coups ou de simple critiques et reproches. Rien non plus sur les fausses accusations en vue d’obtenir des avantages matériels.


Base scientifique

Selon les auteures du rapport: “Le BFEG a été chargé de l'établissement du rapport dont la présente étude en constitue la base scientifique. “ En quoi est-il scientifique? Je cherche encore. Ce rapport est formé d’une compilations d’études, dont celle de Lucienne Gillioz dans les années 90. Etude consistant en sondages de femmes sur la base de questions souvent tendancieuses et réalisées sans la méthodologie admise dans le cas des échelles de conflits. Il est à remarquer que toutes les méthodes - il en existe beaucoup - sont contestées à tour de rôle par les uns et les autres.

Selon le rapport, “10 à 20% des femmes subissent des actes de violence physique et/ou sexuelle de leur (ex-) partenaire au cours de leur vie et 4 à 10% de la violence psychique. “ Pourquoi ne pas avoir distingué la violence physique et le viol? Tout mélanger, c’est intentionnel.

Je constate que les quotidiens romands n’ont repris que le chiffre de 10%, pas celui de 20%. Pourquoi? 20% est si peu crédible? Pourtant c’est ce qu’affirme le Conseil fédéral sur la base du rapport.

La lecture des quotidiens est intéressante. La Tribune de Genève précise: “Selon d’anciennes études, une femme sur 10 serait violentée en Suisse”. Le conditionnel est de rigueur. Dans Le Matin, c’est une affirmation: “Une femme sur 10 est victime…”

Le rapport va plus loin, citant Madame Gillioz: “Les résultats du sondage réalisé par Gillioz, De Puy & Ducret14 en 1993 indiquent qu’une femme interrogée sur cinq15 (20,7 %) a subi de la violence physique et/ou sexuelle par son partenaire au cours de sa vie. En y ajoutant la violence psychique, le pourcentage des femmes victimes de violences s’élève à 40,3 %.” 40%! Sur la base d’un “sondage”. La question de la méthodologie se pose sérieusement, ainsi que les intentions des auteures.

On est ici dans l’idée que près d’un homme sur deux est un terroriste conjugal...


Les critères

Qu’est-ce que la violence conjugale? Le rapport de le précise pas de manière détaillée et différenciée. En général, les enquêtes mélangent reproches, critiques, et coups. C’est inacceptable. Dans ce cas, combien d’hommes subissent de la violence sous forme de reproches et de critiques?

L’enquête de l’Enveff, en 2000 en France, donnait aussi un résultat de 10%. Mais le pourcentage de la violence avec passage à l’acte était d’environ 3%.


L’absence d’études sur les hommes

Il n’est pas acceptable que rien n’ait été fait pour examiner la situation des hommes violentés. Ils sont tout simplement évacués.

Il existe pourtant une étude, parue dans une enquête fédérale sur le bien-être de la famille. Pourquoi a-t-elle été écartée? En voici les chiffres:

“ 8% des femmes et 7 % des hommes reconnaissent bousculer, pousser ou secouer leur partenaire sous l’effet de la colère. 1,6 % des femmes comme des hommes disent frapper leur partenaire, que ce soit à coups de pied ou de poing ; 0,6 % des femmes et 0,7 % des hommes admettent régulièrement rouer de coups leur partenaire, le maltraiter avec des objets voire l’étrangler. En ce qui concerne la violence psychique, 9 % des femmes contre 5 % des hommes déclarent menacer leur partenaire ; 11 % des femmes contre 5 % des hommes avouent rabaisser volontairement leur partenaire en le dénigrant, en le vexant ou en trahissant sa confiance ; 1 % des femmes et 2 % des hommes endommagent ou détruisent, dans un conflit, des objets auxquels le partenaire tient particulièrement.”

Les statistiques du Canada, très élaborées et prenant en compte de nombreux paramètres et études, montrent que les hommes sont autant victimes que les femmes.


Le but de cette étude biaisée

La stratégie de ces féministes n’apparaît pas tout de suite, puisqu’elles semblent agir pour le bien d’une partie de la population. Mais devant la fausseté des chiffres on est en droit de se poser des question: quel est l’objectif de celles qui établissent de tels rapports? Et pourquoi cette curieuse concordance sur l’amplification des chiffres avec d’autres pays?

Le texte du rapport fournit une partie de la réponse: “les théories des ressources et du pouvoir et les théories féministes, celles du contrôle social, “.

La question du pouvoir est un facteur primordial. La criminalisation des hommes - car c’est bien cela que fait ce rapport, en filigrane - conduit à faire des lois pour contrôler les hommes. Contrôle économique, quand un homme est privé de ses ressources au profit de sa compagne supposée victime; contrôle judiciaire; contrôle culturel.

De plus les associations féministes s’enrichissent des subventions versées par les collectivités

Enfin, on sait qu’un homme accusé - à tort ou à raison - est généralement emprisonné sans autre forme de procès. Il faut maintenir les hommes dans la peur. La Faucheuse d’hommes - la Justice genevoise, si vous préférez - s’est fait une spécialité de casser de l’homme a priori, souvent sans aucune enquête préliminaire. Puisque les chiffres annoncent jusqu’à de 40% de femmes victimes, les hommes sont forcément presque tous des salauds.

On va me dire que 22 femmes sont tuées par année, donc les hommes sont plus violents. Je réponds que certaines violences sont plus masculines, comme frapper avec ses poings ou l’homicide. D’autres plus féminines: frapper avec un objet, accuser faussement (ce qui est un viol moral, même un meurtre psychologique).


Conclusion

Aucune violence n’est excusable. Le couple ne doit pas devenir le théâtre de la violence. Mais la violence est souvent partagée, et il est très regrettable que l’on reste sur le biais de l’homme-bourreau et la femme-victime.

Quand aux bureaux de l’égalité, il faut de toute urgence établir une parité d’employés: moitié hommes, moitié femmes, et avec des hommes qui connaissent les problématiques masculines et ne se laisseront pas manipuler.


Les documents officiels en pdf peuvent être obtenus ici. D’autres billets sur le thèmes (liste non exhaustive):

http://leshommeslibres.blogspirit.com/archive/2008/10/06/violence-conjugale-le-mensonge-incroyable-des-chiffres-conti.html

http://leshommeslibres.blogspirit.com/archive/2008/11/20/violence-conjugale-les-nouveaux-chiffres-confirment-les-mens.html

Catégories : société 230 commentaires

Commentaires

  • Cyniquement, notons tout de même une "amélioration" de la situation: on parle aussi dans ce rapport du nombre d'hommes victimes/tués (54 hommes pour 250 femmes). Ce qui nous donne quand même 1 mort violente masculine pour 5 féminines. Au moins pour une fois les hommes apparaissent dans le rapport, c'est déjà un mieux.

    On y voit aussi que "Les trois quarts des victimes qui consultent sont de sexe féminin", bien sûr on aurait pu dire que pour 3 femmes qui consultent on a un homme. C'est un biais.

    A part ça, tout-à-fait d'accord, quand on écrit dans le rapport: "Des difficultés méthodologiques empêchent une comparaison pertinente des taux de violence fournis par les différentes études de prévalence.", on en déduit que ces études ne sont pas fiables.
    Alors, pourquoi enchaîner avec : "Les résultats démontrent cependant clairement que la violence est un phénomène extrêmement répandu." ? ça revient à dire qu'on se fiche de la rigueur scientifique et qu'on préfère répandre des idées préconçues, si ces études ne sont pas fiables !!

    Et puis, sur un rapport de 42 pages, les 2 "chercheuses" mandatées, fournissent pour tout résultat chiffré, une trentaine de lignes composées en bonne partie de résultats extraits d'autes études "pas fiables", le reste n'est que considération méthodologique, voici à nouveau un rapport élaboré sur la base d'études, synthèse de synthèse!

  • HL, tu éludes une fois de plus les chiffres des meurtres conjugaux, qui eux ne sont pas subjectifs. Plus de 80% dus aux hommes. Oui, la violence est davantage masculine que féminine.

    Après, on peut élaborer toutes les théories que l'on veut pour expliquer cela (les méchantes féministes qui provoquent les hommes qui ne supportent pas que les femmes ne soient plus les "soumises" d'autrefois et pètent les plombs (les hommes) de par leur plus grande sensibilité, etc...)

    Mais que les FAITS restent une base de dialogue, sinon à quoi bon ce blabla?

    Amicalement

    Ark

  • Analyse rapide et superficielle : les hommes se suicident quatre fois plus que les femmes. C'est valable aussi pour ceux qui vivent en couple, ou ont divorcé et sont privés de leurs enfants. Il est vraisemblable que ceux qui vivent avec des conjointes violentes (psychiquement ou physiquement)choisissent cette solution beaucoup plus souvent que les femmes qui sont dans le même cas. Ils sont en fait "tués" par leur conjointe, mais cela n'apparaît pas dans le décompte des meurtres. C'est là l'explication de la différence.

  • S'agit-il d'une stratégie élaborée dans une vaste supercherie supranationale?

    Voilà que Statistique Canada vient tout juste de mettre en ligne
    "Les résidents des refuges pour femmes violentées au Canada, 2008"
    http://www.statcan.gc.ca/pub/85-002-x/2009002/article/10845-fra.htm#n4

    Seuls les intervenantes des refuges ont été questionné. Merci pour la diversité de l'échantillon. Il y en aurait 569 dans tout le Canada pour accueillir ces "femmes violentées" et aucun endroit, aucun service, aucun crédit pour les hommes abusés.

    Voici l'égalité moderne, à la George Orwell. Il faut assimiler tous les faits que le Parti nous jette, et surtout oublier qu'il en a été autrement. Et de plus, il faut oublier le fait d'avoir oublié.

  • Dans ce cas là, pourquoi ne pas rajouter aussi les auto-mutilations, tentatives de suicide, troubles alimentaires, dépression, insomnies, etc.? Et puis les cancers pendant qu'on y est?

    Ceci pour prouver l'absurdité de commencer à faire des extrapolations sur les suicides comme venant établir un similarité entre les morts femmes de la violence conjugale et les morts hommes. Par définition les causes d'un suicide sont éminement difficiles à établir et ne peuvent donc en aucun cas donner lieu à une explication statistique. D'autant plus qu'on est ici dans un ressenti de la violence, le suicide provenant d'une détresse subjective qui ne permet pas de référentiel objectif. Surtout, les études montrent bien qu'il n'y a proportionnellement pas plus de suicide chez les hommes aujourd'hui qu'il y a cinquante ans, alors même que la société était encore loin d'être "féministe". La comparaison que vous établissez Antisthene (me fait penser à caméra café tiens) et donc non seulement ridicule, mais aussi malhonnête.

    Tout à fait d'accord avec arkencielle qui a le mérite de reposer clairement le débat. Votre biais selon lequel toute dénonciation d'une violence effectuée par un homme lambda serait une mise en accusation de tous les hommes vous égare. Au train où certaines revendications "anti-misandrie" semblent être portées au Québec, je crains qu'on arrive un jour à une situation où la présentation par sexe des morts de la violence conjugale sera interdite pour incitation à la haine "misandre". Je suis désolée pour la comparaison, mais ça ressemble un peu aux revendications de certains groupes "identitaires" qui voient dans la dénonciation du racisme une forme de racisme anti-blanc.


    Pourquoi ne pas adopter une démarche qui sorte du pôle négatif (minimiser la violence conjugale vécue par les femmes) en procédant vous-mêmes à des études sur les violences faites aux hommes? Ce serait beaucoup plus constructif et je suis sûre que vous auriez une audience médiatique. Vous présentez une situation où les institutions ne s'intéressent qu'aux femmes, mais il ne faut pas oublier que les féministes ont procédé à des années de combat avant que d'obtenir la reconnaissance institutionnelles de la violence conjugale, ça n'est de loin pas tombé du ciel, et continue d'être combattu. Au lieu de critiquer, il serait donc peut-être bon de suivre leur exemple et non de dénoncer leur action.

  • @ Audrey

    Je n'ai jamais perçu que les propos d'Homme libre tendent à vouloir minimiser la violence faîtes aux femmes, mais plutôt débusquer le fait que les informations qui se veulent objectives sont tendancieuses et que cela obéit à des idées entretenues. Quant à étudier de manière constructive (sic)la violence faîtes aux hommes; il a mentionné précisément qu'une telle étude a été écartée !

    Bien oui, pourquoi ne pas inclure des suites comme le suicide ou le cancer dans les chiffres ? Parce que c'est trop difficile d'établir des liens de causes à effets. Mais si précisément le mode d'agression féminine avait des effets plus insidieux jouant sur la sauvegarde des apparences; ce qu'un homme est bien moins armé à faire, cela aurait-il moins d'importance ? C'est justement ce genre de biais qu'homme libre cherche à traquer.
    L'enjeu n'est pas de savoir qui est le plus méchant, mais bel et bien de faire éclater des idées toutes faîtes qui ont une telle importance dans l'exercice de la justice.

  • "6’000 sur environ 3 millions 800’000 femmes: 1 cas sur 633 femmes, ou 0,15%."

    Tss, tss, c'est pas bien de biaiser les chiffres dans l'autre sens. On parle ici de violence CONJUGALE! Parmi les 3'800'000 êtres humains féminins qui vivent en Suisse, il y a les bébés, les adolescentes, les célibataires, les mères célibataires, les veuves, les divorcées (pour cause de violence conjugale?)... mais combien vivent en couple?

    Merci de redresser les chiffres.

    Et 26 morts dont 4 hommes, ce sont 26 morts de trop, et les femmes sont plus victimes que les hommes à 22 "contre" 4.

  • Vous êtes bien gentil aoki, mais pour vous poster ici en gendarme il serait mieux de connaître les faits. Ce que vous appelez "débusquer" est en fait ici un procédé qui vise à établir des contre-vérités telles que celles attribuant à ces rapports un amalgame entre tous les types de violence. C'est absolument faux, le rapport, et tous les autres que j'ai pu consulter sur le sujet séparent clairement violence physique et psychique, quant aux agressions sexuelles ce sont par essence des violences physiques (attouchements, pénétrations).

    Le fait est que les associations "hoministes" prêtent à critiquer toute étude institutionnelle ou non sur le sujet, ne semblent pas prêtes à entamer elles-mêmes des recherches sur le sujet. En ce sens on est bien plus dans un processus de déconstruction, de cassage en règle qui sous couvert de critiquer les "féministes tendancieuses", finissent par occulter ou tenter de trouver des explications frauduleuses tel antisthene, au différentiel clairement observé entre le sexe des morts de la violence conjugale. Pour que les institutions reconnaissent une nécessité publique, il faut que la thématique de la violence contre les hommes soient préalablement publicisées, et que les enjeux soient clairement démontrés par des études. Les féministes ont du faire elles-même ce travail, au lieu que d'attaquer ce travail, les mouvements "hoministes" devraient en faire de même, rien ne tombe du ciel, pas même pour les femmes.

    "Mais si précisément le mode d'agression féminine avait des effets plus insidieux jouant sur la sauvegarde des apparences"

    Oui c'est vrai, la "perversité féminine" j'avais oublié...bienvenu au 19e siècle!

    "ce qu'un homme est bien moins armé à faire"

    Une histoire de gène? C'est sûrement pour cela que l'entourage ne se rend jamais compte de rien...Votre argumentaire ne repose ici sur aucune donnée scientifique, et montre clairement le type de pure affabulation que l'on peut trouver sur certains sites québécois qui ne savent plus quoi trouver pour tenter de rendre les chiffres symétriques.

    "C'est justement ce genre de biais qu'homme libre cherche à traquer."

    Ecoutez jusqu'à preuve du contraire il n'a pas commencé à nous expliquer les drames d'un hominicide mondial perpétré par la violence des femmes. Encore heureux.

    "mais bel et bien de faire éclater des idées toutes faîtes qui ont une telle importance dans l'exercice de la justice"

    comme la violence incidieuse des femmes et les hommes mal armés par exemple? L'enjeu n'est effectivement pas de savoir qui est le plus méchant, pas plus que l'OFS n'a pour enjeu de présenter les femmes comme des victimes. On hystérise ici à propos de chiffres qui visent à permettre l'action publique. Si l'enjeu n'est donc pas de montrer qui est le plus méchant, au lieu de dénoncer les subventions et enquêtes soit-disant tendancieuses effectuées sur les femmes peut-être serait-il bon que les "hoministes" mènent leur combat de leur côté plutôt que d'adopter une position "réactionnelle", totalement stérile sur le long terme.

  • "Et 26 morts dont 4 hommes, ce sont 26 morts de trop, et les femmes sont plus victimes que les hommes à 22 "contre" 4."

    Encore une fois bien d'accord. Mais ...
    Que sait on de ces 22 cas de décès, quel origines, quel statut, quel cultures ethnique ? On sait que des cultures nourrissent encore des pratiques barbares.
    Si parmi ces 22 cas il y avait une certaine proportion qui impliquaient ce genre de cas, on imputerait ceci à de la violence typiquement masculine, alors que d'autre paramètre seraient impliqués !

    D'accord aussi pour la remarque sur les bébés, mais il ne faut pas exagérer non plus. Être veuves , célibataires ou divorcées ne signifie pas l'absence de relation.

  • « Les statistiques du Canada, très élaborées et prenant en compte de nombreux paramètres et études, montrent que les hommes sont autant victimes que les femmes. » C’est très important de le rappeler.

    Cette étude Suisse (enquête fédérale) écartée, me fait penser à la situation de la « violence conjugale canadienne ». En effet, nous savons bien que les mouvements féministes (déviants) canadiens ont bien manœuvré pour occulter les vérités sur la violence conjugale, dans le but de diaboliser les hommes, de victimiser les femmes et d’obtenir des subsides importants.
    Nous connaissons tous les raisons de cette idéologie. Il n’y a que les ignorants et les pervers qui affirmeront que la violence provient principalement des hommes.
    Je ne vois pas la raison qu’en Suisse, les hommes sont plus violents qu’au Canada, qu’en France… où il existe une réelle possibilité /volonté de travailler sur le sujet. Il est bien connu que les hommes n’osent pas se plaindre et qu’ils ne portent pas plainte de la violence commise par leurs compagnes. Il est donc indispensable de les conseiller de porter plainte à la suite des violences à leurs égards. Plus il y aura d’hommes qui porteront plainte, plus la balance pèsera le poids réels de la violence conjugale.
    Il est bien connu que les enquêtes (sur la violence) portent uniquement / principalement sur des femmes, en raison des objectifs des mouvements féministes. En fait, on ne questionne pas les hommes s’ils subissent la violence de leurs conjoints. Dans l’étude (enquête fédérale) écartée, il semble que l’échantillon prospecté / étudié soit mieux équilibré. En effet, statistiquement parlant pour approcher la réalité (parfois les statistiques ne veulent dire « que ce que l’on veut bien dire ») il faut étudier le même « échantillon » en nombre égal de femmes et d’hommes.

    L’étude fédérale, écartée, me semble donc plus près de la réalité (par rapport aux études canadiennes) que cette étude présentée officiellement et datant de 1990, vieille de 19 ans, à une époque où l’on connaissait moins le phénomène de la violence conjugale, qu’aujourd’hui.

    La Suisse subit donc les mêmes effets de campagnes de mensonges que le Canada. Sauf qu’au Canada, des mouvements se sont créés pour dénoncer ces mensonges. C’est grâce à des travaux de recherches sur des enquêtes, restées dans un tiroir, indiquant que les femmes étaient aussi violentes que les hommes dans leurs rapports conjugaux. On retrouve la réciprocité et la symétrie tant en Amérique qu’au Canada. En réalité, il y avait moins de ½ pourcent de violences conjugales des hommes envers les femmes !

    Je pense qu’en Suisse, comme en France, il n’y aurait pas plus de ½ pourcent de violences conjugales des hommes envers les femmes. Maintenant, les chiffres peuvent être différents en fonction des mariages mixtes, où l’homme réagit selon des traditions brutales « genre bat ta femme, même si elle ne sait pas pourquoi… elle, le sait ». Et l’on sait que certains pays on la palme des mariages mixtes, où les hommes ont encore à apprendre de notre civilisation.

    En 15 ans d’études et de recherches, moi aussi je me pose la question : comment expliquer que la réalité a pu dériver en mensonges par des groupements féministes ?

    Comment expliquer qu’il fut possible de détourner l’opinion publique sur des mensonges proférés par des féministes ?

    Comment et pourquoi ce féminisme qui se voulait sensé et bien intentionné s’est égaré ? En majeure partie en cause de la recrudescence de gens bienveillants désireux de corriger les injustices. Par contre, en cours de route, la notion d’égalité chez les femmes a été malmenée et déformée en faveur des femmes au détriment des hommes. Le tout largement déformé par l’hypothèse que le bien est féminin et le mal est masculin.

    Comment expliquer comment le féminisme a pu dériver de la réalité à ce point ?

    Comment expliquer que des informations officielles sont restées dans un tiroir…

    Pour ce sexisme (forme de racisme de genre) il est grand temps d’y remédier et de remettre les pendules à l’heure pour l’avenir de l’Humanité !!!...

    Enfin, des études sur la violence psychologique démontrent que cette forme de violence est à situer à l’échelon supérieur de l’échelle d’intensité de la violence. Alors qu’elle est située, actuellement, tout en bas de cette échelle de violence.
    La violence psychologique peut détruire un être humain. Cette violence psychologique est à situer juste en dessous du crime de sang. Bien sûr, des gens viendront encore polémiquer sur ce sujet… et insinuer que des hommes se suicident… parce qu’ils sont fragiles… L’article scientifique sera prochainement publié dans des revues médicales. Avis aux amateurs qui voudraient s’informer. J’en ferai part à Homme libre qui le publiera s’il le juge utile.

  • Ca c'est typique, renvoyer la "barbarie" aux autres, histoire d'ethniciser le problème, pour mieux le passer sous silence dans nos contrées. Les études montrent très clairement que la violence conjugale n'a rien à voir avec l'origine ethnique, pas plus qu'avec la classe sociale. Donc, avant de "débusquer" ce qui a déjà été montré, il serait bon que vous lisiez quelques études. Je n'ai pas le temps pour l'instant de rassembler les références, mais je m'y mets dès demain.

  • De retour d'une longue journée de cours, j'ai du pain sur la planche. Le temps de manger un morceau et je m'y mets.

  • Nous ne vivons effectivement pas dans le même monde. Les données scientifiques ne m'ont jamais impressionné, c'est vrai. Car je ne crois pas que la science soit capable d'appréhender la complexité des situations en respectant tous les paramètres.
    "Bienvenue au 19eme siècle" Non je parle bien d'expériences vécues dans ce 21ème siècle, sur le terrain, bien loin des tabels établis par la science.
    Quant à ma remarque sur la violence féminine ne se réclame pas forcément des gènes mais effectivement de comportements ataviques trouvant racines dans les siècles passés.

    "On hystérise ici à propos de chiffres qui visent à permettre l'action publique"
    Justement cette action publique se base sur ces chiffres. L'expérience d'homme libre, parmi d'autres, montre que ceci permet des actions tendancieuses au niveau de la justice.
    Et si vous même vous acceptiez que les remarques d'HL viennent non pas à produire des contre vérités, mais à nuancer l'impression primaire que l'on peut avoir avec ces chiffres ? ;-)

    Et pourquoi diable me prêtez vous un rôle de gendarme ?
    Cordialement

  • "De retour d'une longue journée de cours, j'ai du pain sur la planche. Le temps de manger un morceau et je m'y mets."

    Alors avant tout une petite correction en guise de dessert, svp.

    t-E-n-d-a-n-c-i-e-u-x dans le titre.

    ;-)

  • « En ce sens on est bien plus dans un processus de déconstruction, de cassage en règle qui sous couvert de critiquer les "féministes tendancieuses", finissent par occulter ou tenter de trouver des explications frauduleuses tel antisthene… »

    Je rappellerai, ici, que Antisthène est quand même un philosophe grec, fondateur de l'école des Cyniques, l'une des petites écoles socratiques, les plus recommandables, et qui distinguait avec soin l'opinion de la science, deux choses que le scepticisme confond volontiers, s'attachant bien plus à la connaissance de l'humain qu'à celle du monde, sa marche, en substituant la philosophie pratique à de vaines spéculations; sa méthode, remplaça l'affirmation hardie et dénuée de preuves des premiers philosophes et les déductions sophistiques par l'observation, l'analyse et l'induction.
    Alors, chère Audrey, me contredirez-vous si je dis qu’il est plus difficile de briser un préjugé… qu’un atome ? Et un dogme alors ? Surtout les dogmes des pseudo féministes qu’elles soient « doctrinaire », « extrémiste », « intégriste » ou « exacerbé ». C’est donc un honneur d’être assimilé à « antisthene ». Cordialement

  • "Comment expliquer qu’il fut possible de détourner l’opinion publique sur des mensonges proférés par des féministes ?"

    Parce que le balancier a été pendant trop de siècle uniquement de l'autre côté?

    Parce que nous ne sommes pas encore une nation civilisée où tout se passe pour le mieux pour tout le monde?

    Et en matière de détournement de l'opinion public, disons de manipulation de l'opinion publique, il y a bien d'autres domaines encore plus graves, qui justifient des guerres par exemple.

    Le "débat" est tellement passionnel. Difficile d'être objectif.

    Je suis d'accord avec ça:

    "Aucune violence n’est excusable. Le couple ne doit pas devenir le théâtre de la violence."

    Mais pas avec la suite: les femmes sont toujours davantage victimes que les hommes, même si elles ne sont pas les seules.

    Et pour ce qui concerne les trop nombreux "théâtres de la violences" (accidents, guerres, etc.), si on s'occupait aussi de les éliminer avec la violence en même temps? Vaste programme.

  • Voici une liste assez volumineuse de références concernant des études sur les agressions entre femmes et hommes: http://www.csulb.edu/~mfiebert/assault.htm

  • "Et en matière de détournement de l'opinion public, disons de manipulation de l'opinion publique, il y a bien d'autres domaines encore plus graves, qui justifient des guerres par exemple"
    "Et pour ce qui concerne les trop nombreux "théâtres de la violences" (accidents, guerres, etc.), si on s'occupait aussi de les éliminer avec la violence en même temps? Vaste programme"


    Là, j'approuve sans réserve

  • @ Audrey

    "Surtout, les études montrent bien qu'il n'y a proportionnellement pas plus de suicide chez les hommes aujourd'hui qu'il y a cinquante ans, alors même que la société était encore loin d'être "féministe". La comparaison que vous établissez Antisthene (me fait penser à caméra café tiens) et donc non seulement ridicule, mais aussi malhonnête."

    C'est votre propos qui est ridicule ! Croyez-vous que la violence conjugale féminine soit une conséquence du "féminisme" ? Elle a existé de tous temps : c'est la suite logique de la domination psychique d'une femme sur un homme dans un couple, ce qui n'a rien à voir avec le type de société dans lequel se situe ce couple.

    Puisque vous vous autoproclamez bien informée, je vous propose de nous citer une seule enquête sur la violence conjugale concernant les deux sexes qui ne conclue pas à l'équivalence quantitative des victimes masculines et féminines. UNE SEULE.

    En attendant, voici le lien (qui n'a pas encore été donné) avec l'étude suisse censurée par le rapport :

    http://www.bsv.admin.ch/dokumentation/publikationen/00101/index.html ?lang=fr
    n° 2/04 "Le bien-être des couples suisses" p.48-50

  • On a bien vu comment Cléopâtre a traité César et Antoine... et les autres femmes telles que Georges Sand... Une petite histoire (vraie) sur elle? Avis aux amateures... Mes meilleures salutions.

  • Chère Audrey, "Puisque vous vous autoproclamez bien informée, je vous propose de nous citer une seule enquête sur la violence conjugale concernant les deux sexes qui ne conclue pas à l'équivalence quantitative des victimes masculines et féminines. UNE SEULE." Bien cordialement

  • @ Audrey

    "Surtout, les études montrent bien qu'il n'y a proportionnellement pas plus de suicide chez les hommes aujourd'hui qu'il y a cinquante ans, alors même que la société était encore loin d'être "féministe". La comparaison que vous établissez Antisthene (me fait penser à caméra café tiens) et donc non seulement ridicule, mais aussi malhonnête."C'est votre propos qui est ridicule ! Croyez-vous que la violence conjugale féminine soit une conséquence du "féminisme" ? Elle a existé de tous temps : c'est la suite logique de la domination psychique d'une femme sur un homme dans un couple, ce qui n'a rien à voir avec le type de société dans lequel se situe ce couple.

    Puisque vous vous autoproclamez bien informée, je vous propose de nous citer une seule enquête sur la violence conjugale concernant les deux sexes qui ne conclue pas à l'équivalence quantitative des victimes masculines et féminines. UNE SEULE.

    En attendant, voici le lien (qui n'a pas encore été donné) avec l'étude suisse censurée par le rapport :

    http://www.bsv.admin.ch/dokumentation/publikationen/00101/index.html ?lang=frn° 2/04 "Le bien-être des couples suisses" p.48-50

  • Boln, une chose à la fois.

    Concernant les homicides dans le couple, j'ai bien écrit que certaines violences sont plus le fait des hommes, comme l'homicide. On ne peux donc me taxer de malhonnêteté sur ce point.

    Pourtant les chiffres cités (22-4) me posent un très, très sérieux problème. Il y a eu un bidouillage quelque part, me semble-t-il. En effet, il y a 2-3 ans, la presse, Tribune de Genève en premier, ont cité un tout autre chiffre: sur 5 ans, 142 femme et 64 HOMMES tués par homicide conjugale. Soit un homme pour 2 femmes. Comment se fait-il que l'on ne retrouve pas aujourd'hui le nombre d'hommes tués? Le chiffre de 64 hommes existe pourtant. J'ai passé une heure à faire des recherches, mais je ne le retrouve pas. Pourtant il était dans un article faisant entre autre la une de la Tribune. Je n'invente rien.

    J'ai retrouvé une lettre de lecteur que j'ai envoyé à la Tribune, où je cite ce chiffre. Le voici avec le lien qui le cite:

    "TRIBUNE DE GENEVE

    Monsieur le Rédacteur en Chef,

    Ci-dessous je propose un courrier des lecteurs, suite à l'article de la TdG
    du 13 octobre sur la violence conjugale.

    "Violence conjugale, les hommes aussi.

    142 femmes tuées en 5 ans en Suisse, décès dus à la violence conjugale.
    C'est une triste réalité, et il est juste de la prendre en compte pour tenter de la prévenir. Toutefois, la proportion d'hommes tués dans le cadre domestique est d'un tiers, soit un homme pour deux femmes (64 hommes). La Suisse a dépassé la France (un homme pour quatre femmes) et s'approche des USA, où les statistiques judiciaires montrent qu'il y a autant de victimes masculines que féminines dans les meurtres conjugaux.

    Ces chiffres suisses démontrent donc que dans les décès dus à la violence
    conjugale, les femmes sont plus touchées que les hommes. Ils démontrent
    toutefois que les hommes en sont également victimes, et pas de façon
    anecdotique comme cela fut longtemps prétendu.

    ..."

    http://www.hommedaujourdhui.ca/votre_opinion.htm

    Il y a donc un très grave problème de vérité des chiffres! On passe de 4 hommes par année à plus de 12, et de 22 femmes à 29. Ce chiffre que je cite existe forcément, dans les archives de la Tribune. Si quelqu'un peut en donner l'archive, ce serait bienvenu. Toujours est-il que cela pose question, et poser question est un euphémisme...

  • Oups... sorry pour les fautes...

    Je précise qu'un seul homicide d'un côté ou de l'autre est déjà de trop. Je précise, au cas où...

    Autre exemple de mensonge sur les chiffres. Le Québec a surfé pendant 15 ans sur l'idée qu'il y avait 300'000 (Trois cent mille) femmes battues par années dans la belle province. Le gouvernement avait aussi repris ce chiffre dans ses publication officielles. Cela voulait dire qu'en un peu plus de 10 ans toutes les femmes québequoises avaient été tabassées! Ce chiffre ne reposait que sur une extrapolation, pas sur une enquête. Lire à ce sujet le démontage de ce mensonge fait sur ce lien, sous l'image du complexe de Tarzan:

    http://www.lapresrupture.qc.ca/

    Qui déforme les chiffres, qui déconstruit la réalité, ou plutôt l'invente? C'est entre autres grâce à ce mensonge que les hommes du Québec peuvent être emprisonnés, privés de leur maison, de leurs comptes, de tout, sur simple dénonciation téléphonique de leur compagne qui dira au juge par téléphone, sans apporter aucun élément de preuve, qu'elle se sent menacée par son compagnon. Ce sont les lois d'exception de type totalitaire mises en place sous l'impulsion de groupes féministes et de leurs mensonges (comme les 300'000 mille).

    Il faut savoir ce qui se passe avant de chipoter sur les questions de genre. le genrisme féministe me fait penser à une malheureuse étoile jaune...

    J'ai plusieurs pages (Titres: Société et Hommes) sur mon site www.hommecible.com qui traitent du sujet. Je cite juste celle-ci, où aux baléares les fausses accusations de viol ont explosé, parce que les anglaises touchaient une prime d'assurance si elle fournissaient une simple copie de leur déclaration à la police. Pas folles les guêpes, l'argent n'a pas d'odeur...

    http://www.hommecible.com/www.hommecible.com/divers_homme_cible.html

    Au Québec, un homme est brisé toutes les 52 minutes suite à une fausse accusation:

    http://www.hommecible.com/www.hommecible.com/fausses_accusations.html

    Ce n'est qu'un petit florilège...

  • La méthodologie des études est un point crucial pour leur donner du crédit.

    Le passage (page 10) du rapport fédéral en dit long: "Des difficultés méthodologiques empêchent une comparaison pertinente des taux de violence fournis par les différentes études de prévalence. Les résultats démontrent cependant clairement que la violence est un phénomène extrêmement répandu."

    Stef l'a bien soulevé plus haut, et ces deux phrases résument clairement la décrédibilisation de ce rapport etr la légèreté du Conseil Fédéral inféodé à l'idéologie féministe et prêt à mettre en place plus de lois à la demande de ce lobby.

    Comment peut-on aussi naïvement laisser passer ces phrases, qui nient toute valeur scientifique à ce rapport? C'est assez ahurissant... Et que penser des auteures de ce rapport, payées avec notre argent pour dire de telle inepties en se prenant très au sérieux...

    Bureaux de l'égalité = propagande féministe et noyautage de l'Etat.

    En Amérique du Nord, des rapports de ce genre ont fait l'objet d'une critique rigoureuse et vigoureuse de divers chercheurs dans le domaine de la violence conjugale, principalement les articles de Donald G. Dutton au cours des cinq dernières années, mais aussi de divers chercheurs, parmi lesquels il faut mentionner Murray A Straus, Richard G. Gelles, Tonia Nicholls, Miriam Ehrensaft. Il serait possible d'ajouter plusieurs noms à cette courte liste.

    Malheureusement, il semble que les résultats de la recherche scientifique conduite en Amérique du Nord demeurent largement méconnus dans les pays européens. Il semble que ce soit particulièrement vrai en ce qui a trait aux débats méthodologiques très vigoureux qui ont eu lieu en Amérique du Nord au cours des 30 dernières années, menés principalement par le Dr Murray A. Straus, spécialiste en méthodologie, et dont toutes les études sont accessibles sur Internet (http://pubpages.unh.edu/~mas2/).

    Le site ifeministe.net présente plusieurs articles de femmes américaines féministes qui dénoncent les excès et les mensonges d'un certain féminisme radical.

    A propos de chiffres, merci à Johann d'avoir rectifié. en place de 0,15%, on peut mettre 0,18%...

    A propos de chiffres d'homicides dans le cadre de la famille, les infanticides sont presque deux fois plus le fait des mères que des pères.

    Ceci non pas pour charger les femmes, mais pour rétablir un peu l'équilibre.

    Johann: les 150 ans de Code Napoléon a exclu les femmes, je l'ai dit et je le redis: cela devait être corrigé, et une part du combat féministe est juste et j'y adhère. Pour la relecture de l'Histoire, comme quoi les femmes ont été de tous temps les esclaves des hommes, vous repasserez...

  • @ benpal: merci d'avoir cité la liste des études. Edifiantes. Je remets le lien pour celles et ceux qui ne l'auraient pas capté:
    http://www.csulb.edu/~mfiebert/assault.htm

  • C'est quoi ce débat? Une surenchère de sexe sur les victimes ?

  • "A propos de chiffres, merci à Johann d'avoir rectifié. en place de 0,15%, on peut mettre 0,18%..."

    0,50% serait une meilleure rectification. Car on passe de 3'800'000 à un peu plus à 2'000'000... en incluant les veuves et les divorcées.

    Ne tenir compte que des cas qui donnent lieu à une poursuite judiciaire, il faut oser. Moi, non.

  • Mais non Johann. Même en divisant la population féminine par 2, cela devrait faire 0,30%. A supposer que les mineurs et les veuves fassent 50% de cette population, ce qui n'est pas vraiment réaliste. Mais notez bien que mon chiffre initial est juste, puisqu'on parle des femmes sur toute leur vie, donc toutes les femmes. Cette extrapolation ne dit pas entre quels âges, ni si une même femme connaît plusieurs épisodes avec des hommes différents, et il présuppose que le taux de violence conjugale masculine est le même à toutes les époques pendant une cinquantaine d'années... Encore une extrapolation "scientifique"?... (:o)

  • Et on ne parle pas des femmes subissant de la violence vivant en couples lesbiens, où la violence est plus importante que dans les couples hétérosexuels...

  • Moi je n'y comprend plus rien avec tout ces chiffres.

    J'ai retenu que ce rapport semble injuste. Mais toute personne qui subit une violence quelconque trouve cela injuste.

    Les malades, ceux qui crèvent de faim, ceux qui se font battre, les enfants soldats, les angoissés, les moches, les timides, ceux qui ratent leur suicide, ...

    Je pense que toute personne peut ressentir la détresse de certains hommes, à qui on dénie socialement le fait d'être violentés. C'est contre cela que vous devriez vous insurger, hommelibre, afin que l'on reconnaisse leur état, leur statut en quelque sorte. La reconnaissance, c'est la clé.

    Là, vous démontez des rapports, qui, justes ou faux, ont au moins le mérite de dénoncer la violence et d'attirer l'attention sur le sujet.
    Sans doute les pourcentages ne sont pas fidèles à la réalité, mais avant de viser l'exactitude des chiffres, n'est-il pas plus urgent de parler des hommes violentés avec les difficultés rencontrées pour s'accepter et se faire accepter, le manque d'espace d'encadrement ou d'écoute?

    Ceci fait, attaquez-vous aux chiffres...

    Ceci n'est que mon avis bien sûr!

    :-B

  • Genève (comme d’autres juridictions européennes et mondiales) dispose d’une loi spéciale destinée à éloigner les auteurs des violences conjugales.
    Les juges prennent régulièrement ce genre de mesure (à éloigner les auteurs présumés ou coupables des violences conjugales) à l’encontre des conjoints à la main lourde. La tribune de Genève l’a bien écrit dans son article.

    Nous avons bien la preuve que les mesures prises, par la justice, à l’égard des hommes en situations de séparations / divorce conflictuels, sont bien prises par des juges adeptes de cette idéologie indécente (en majorité des féministes). Idéologie criminelle et destructrice d’humanité faisant penser à l’idéologie du nazisme qui a causé un génocide de 6 millions de juifs.
    Dans le monde occidental, il y a bien plus de 6 millions de victimes de cette idéologie du féminisme, délétère, létale, causant des exclusions socioéconomiques, des souffrances psychologiques incommensurables, des actes désespérés (crimes, suicides) aux familles en situations de ruptures conjugales. Les dégâts collatéraux causés par une industrie mercantile du divorce sont sous-estimés. Cette industrie du divorce exploitant les familles en détresse comme jadis l’on exploitait les familles (hommes, femmes, enfants) travaillant dans les mines.

    Il est donc de la plus haute importance de briser le dogme du pseudo féminisme dont l’idéologie est aussi destructrice d’humanité comme jadis le nazisme détruisit une grande partie de l’humanité. Regardons bien les choses en face et ne soyons pas naïfs : nous les hommes, en situations de ruptures conjugales, depuis des années, nous sommes victimes d’un génocide socioéconomique ! Nous sommes diabolisés aux yeux du grand public, aux yeux des magistrats ainsi qu’aux yeux des élus de nos pays. Et nous avons comme adversaires, nos ex compagnes qui sont présentées comme des victimes. Maintenant, ça suffit !

    N’attendons pas que la vague déferlante mensongère du pseudo féminisme s’abatte sur les autres pays européens !

    En tant que médecin, l’on n’est pas très inquiet au sujet d'une épidémie de grippe qui tente de survenir au printemps. Mais l’on est effondré par la catastrophe humanitaire dont personne ne semble avoir conscience chez nos épidémiologistes et journalistes habituels, tous plus ou moins agréés par l'idéologie en cours et les appareils d'ajustice (au sens de amoral) qui l'imposent.
    Le déni des affres judiciaires endurées par les patients sous prétexte de séparation est révélateur de l'idéologie ambiante.

  • Une étude pilote de l'Allemagne: "Violence contre des hommes" analyse la violence subite par des hommes dans différents contextes sociaux, tels que la jeunesse, le couple, les services militaire et sociaux, au travail.

    En anglais: http://snipurl.com/i48h6

    - 1 homme sur 4 a subit un acte d'agression physique de la part de sa (son?) partenaire au moins une fois. Il faut ajouter que sont inclus aussi des actes mineurs qui ne peuvent pas être classifiés comme violence proprement dite.
    - 1 homme sur 6 rapportent qu'ils ont été poussés une ou plusieurs fois par leur dernière (dernier?) partenaire
    - sur 196 hommes: 18 ont été frappés légèrement, 13 mordus ou griffés, 10 rués de coups de pieds

  • @ Pascale: je partage votre sentiment et position, à savoir que c'est dans tous les secteurs que la violence, l'exclusion, la discrimination doit être prise en compte.

    Les batailles de chiffres ne sont qu'un aspect, et certes pas le plus importants pour ceux et celles qui souffrent. Mais avec ce rapport, il est difficile de ne pas faire état de cette bataille, car c'est le chiffrage du rapport qui lui donne son impact. Bien obligé d'y passer...

    Dans mon billet d'aujourd'hui je fais une proposition.

    Bien à vous.

  • D'acccord, Teufel, le commentaire type Wiki... frisait le kode, désolé si j'ai heurté une voire des sensibilités, sérieux! J'ajouterais juste qu'un copain inscrit dans une école privée, déclencha les rires et les railleries (la classe était-elle mixte? cerveaugruyère)lorsqu'il annonça le sujet de son exposé sur le sujet présent, il faut dire que c'était le début des 80's... Mais il n'est jamais trop tard... Vous connaisez la suite...
    Ce qui serait "drôle", c'est qu'il se soit exprimé ici, sous pseudo, alors au cas ou, Salut "Marc le Punk"... So, anonymat respekté.
    Bien à vous komentaturenen unt Nachste

  • Bonjour, je viens de retrouver ceci au sujet de la violence conjugale sur les femmes, en France :
    L'Observatoire national de la délinquance a observé, en 2007, à cet égard que le taux de violences conjugales était inférieur à 10 pour 10.000 dans treize départements.

    Soit 0,1 pour 100 de violence sur les femmes

    Pouvons-nous faire confiance en cet Observatoire national de la délinquance (OND) ? Lequel est un département de l'institut national des hautes études de sécurité (INHES) ? L’INHES étant un Etablissement public conçu pour prévenir, anticiper les nouvelles menaces criminelles, mieux connaître la réalité de la délinquance et ses mutations,

    À mon sens, oui !

    Je m’étonne que les hommes Suisses soient 400 fois plus violents que les Français à tel point de battre (selon l’enquête) 40 % de femmes ( !?!).

    Mes meilleures salutations, Will


    VIOLENCES CONJUGALES EN FRANCE : LA PAIX DEMENAGE
    http://www.bondamanjak.com/a-la-une/5128-violences-conjugales-en-france--la-paix-demenage.html
    Mardi, 08 Juillet 2008 04:44

    Selon une étude de l'Observatoire national de la délinquance (1) (OND), les violences conjugales sur les femmes, ont représenté à elles seules en 2007 le quart des violences volontaires en France (y compris l'outre-mer). Il observe à cet égard que le taux de violences conjugales est inférieur à 10 pour 10.000 dans treize départements dont la Creuse (6,1). Il avoisine 50 pour 10.000 en Seine-Saint-Denis (50,1) et en Guyane (49,1).
    Dans la moitié des départements, soit une zone centrale allant de la Franche-Comté à la Bretagne via l'Auvergne, toujours selon l'OND, le nombre de faits constatés est inférieur à 15 pour 10.000.

    Au nord de Paris, il est de 20 pour 10.000 comme par exemple dans l'Eure ou le Pas-de-Calais. Ailleurs, il "varie". Il est par exemple de 25,3 dans les Bouches-du-Rhône.

    La fort taux relevé dans le "93" est sans doute dû, observe l'OND, a une "politique active de lutte contre les violences conjugales" avec une "incitation à déposer plainte".

    "C'est moins par son ampleur que par son accélération" que cette hausse des violences conjugales "se distingue de celle des autres faits de violences", a écrit l'OND dans son étude.

    (1) http://lannuaire.service-public.fr/services_nationaux/service-national_169606.html
    (2) http://www.inhes.interieur.gouv.fr/index.php?inhes=bienvenue

  • Reçu de Yvon Dallaire une liste de liens sur la violence conjugale. je le poste pour lui car il n'est pas arrivé à passer.

    Il y a là de nombreuses informations sous différents angles de vue: des statistiques, des commentaires, etc. A lire et télécharger ici:

    http://optionsante.com/comm/violence.doc

  • Exemples:

    http://www.tdg.ch/actu/monde/ecrabouille-epouse-evite-prison-2009-05-18

    http://www.tdg.ch/actu/monde/agressee-tarascon-suicidee-trucidee-mari-2009-05-18

    Les problème est: où commence la violence conjugale? Des cris? Une humiliation? Une insulte? Une manipulation? Une menace? Une gifle? Des coups?

  • Oui en effet, il faudrait une définition qui fasse unanimité. A mon avis elle doit être précise et non extensive. J'y réfléchis depuis un moment et j'écrirai ma réflexion quand elle sera prête.

  • Et voici une autre forme de violence totalement inadmissible faite aux femmes:

    http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/05/19/la-selection-prenatale-des-garcons-se-developpe_1195193_3244.html#ens_id=1195291

  • hommelibre, il n'y a pas de définition qui fasse l'unanimité, en tout cas je ne le crois pas. En revanche, je penche plus spécialement sur le sadisme, la violence, les personnes autoritaires, colériques qui ne savent s'exprimer autrement qu'avec les coups sur leur conjoint et/ou enfants.

    J'ai lu un article paru dans "LE MATIN Bleu" sur ce sujet: Deux femmes par mois meurent sous les coups:

    Chaque année, 22 femmes meurent en Suisse sous les coups de leur compagnon.
    (....) On ignore combien de personnes sont touchées car la grande majorité n'ose pas en parler, par honte souvent, et crainte de représailles. Les migrantes, dit le spécialiste, préfèrent rester sous le joug d'un conjoint maltraitant de peur de perdre leur permis de séjour en le quittant.

    L'étude fédérale confirme que c'est dans les couples binationaux ou étrangers qu'on recense le plus de cas de violence. Mais, sur le terrain, on constate que les maris abusifs se trouvent dans toutes ls catégories socioculturelles et toutes les tranches d'âge. Pour Martine Schär, coordinatrice du rapport de la Confédération, il n'existe d'ailleurs "pas qu'une seule cause" à la violence mais plutôt diverses situations à risque: alcool, précarité, enfance maltraitée, etc. Il n'y a pas non plus de fatalité.

    Je n'ai pas retranscrit l'article sur l'étude du Bureau fédéral de l'égalité dans son entier, Mais les professionnels de l'entraide jugent peu représentatif le pourcentage de 10 à 20% des habitants de la Suisse frappés par cette violence."C'est certainement très en dessous de la réalité estime Christophe Dubrit, du Centre d'aide aux victimes LAVI, à Lausanne." L'étude ne mentionne pas les hommes maltraités(?) Un avocat maltraité a fait la une des journaux un temps. Il venait à l'Etude le visage tuméfié des coups assénés par sa femme ? Cela a fini devant les Tribunaux!

  • @ Patoucha
    « L'étude fédérale confirme que c'est dans les couples binationaux ou étrangers qu'on recense le plus de cas de violence. »

    En 16 ans d’observations, de recherches, je serais plutôt d’accord avec vous, Patoucha. Peut-être, aussi, en vertu du concept : « bat ta femme même si elle ne sait pas pourquoi, elle le sait » ? Concept barbare et intolérable dans une société civilisée et dans un Etat de droits.

    Par contre, à propos de « Chaque année, 22 femmes meurent en Suisse sous les coups de leur compagnon. » si cette information est fiable, elle est diffusée par un mouvement de femmes. C’est tout à leur honneur ! Car elles ont le mérite de dénoncer cette violence intolérable, comme toute forme de violence où, pour un MP3 ou pour une cigarette, on tue ! Malheureusement, en ce qui concerne le nombre d’hommes mourant en Suisse sous les « coups » de leurs compagnes… il n’y a pratiquement pas (ou bien je me trompe) en Suisse, une ONG reconnue officiellement par le gouvernement qui puisse être entendue sur les maltraitances par les femmes et sur les souffrances des hommes en situations de séparations / divorces conflictuels. C’est en raison du silence des hommes, qui est bien connue, à savoir qu’ils ont tendance à ne pas vouloir se plaindre. Donc, pour dénoncer les violences des femmes sur les hommes, il faut inciter les hommes à déposer plainte contre leurs compagnes.

    Mais n’est-il pas plus intelligent, humain,… (et pour éviter les destructions de millions de familles en Europe) de procéder autrement (en cas de violences conjugales) que de porter plainte au commissariat de police, chez les juges de paix, au tribunal de 1ère instance où, chaque fois, le but final est toujours d’écarter l’homme diabolisé et ce, dans une dynamique judiciaire de conflits ? Alors qu’il serait plus salutaire, pour les couples en crise, de suivre les bons conseils de résolutions des conflits ? Il y a tant d’organismes spécialisés qui pourraient venir en aide aux couples en difficulté !

    En effet, quiconque rencontre un problème de santé ne consulte ni un architecte ni une couturière. S’il le faisait, son comportement évoquerait un désordre mental.

    Pourtant, dans la très grande majorité des cas, qui rencontre un problème de famille (en l’occurrence la violence conjugale) se retrouve précipité dans le monde judiciaire.

    C’est donc toute la société qui marche sur la tête. Car aussi vrai qu’un parent n’est pas un délinquant (la violence est banalisée et pas assez réprimée) la vie de famille ne devrait qu’en bien peu de cas se retrouver d’emblée dans les affres des conflits judiciaires et dans les serres des hommes d’affaires que sont les avocats.
    On peut se demander, à juste titre, si quelques lobbies opportunistes exploitent à ce point les violences conjugales (difficultés humaines) comme jadis on exploitait les mines. Alors là, nous devons agir si nous sommes humains ! C’est une escroquerie intolérable !

    Enfin, selon des enquêtes (officielles et non biaisées) au Canada, en Amérique, en France, il est constaté que la violence n’a pas de sexe, qu’il y a autant de violence de part et d’autres, que les hommes ne sont pas plus violents que les femmes. Et à ce propos, je vous invite à lire le commentaire écrit par : CLVDP en date du 15 mai 2009, où il est bien précisé « On retrouve la réciprocité et la symétrie tant en Amérique qu’au Canada (et en France). En réalité, il y avait moins de ½ pourcent de violences conjugales des hommes envers les femmes ! Mes meilleures salutations.

  • "Mais n’est-il pas plus intelligent, humain,… (et pour éviter les destructions de millions de familles en Europe) de procéder autrement (en cas de violences conjugales)"

    AHAHAHAHAHAHAHHAHAHAH

    Moi je propose d'attendre de se faire tuer par son coinjoint au lieu de vouloir défendre son intégrité morale et physique bêtement (vraiment un caprice de femme ça...)!!! Mais oui que diable!! Préservons la famille et surtout les apparences!!!

  • @CLVDP: Donc, pour dénoncer les violences des femmes sur les hommes, il faut inciter les hommes à déposer plainte contre leurs compagnes.

    Les "battus" devraient tout simplement se rendre chez le procureur général et se faire remettre un "avis de protection" je ne suis pas sûre du nom.... et appeler tout de suite la police dès que l'"autre" devient menaçant et là la police intervient rapidement. En général ça marche avec la peur de l'autorité!

    "Par contre, à propos de « Chaque année, 22 femmes meurent en Suisse sous les coups de leur compagnon. » si cette information est fiable, elle est diffusée par un mouvement de femmes."

    C'est ce qui ressort de l'étude du Bureau fédéral de l'égalité.Si cela n'est pas fiable le Bureau fédéral de l'égalité perd là toute crédibilité. C'est grave!

    @Boo: Moi je propose d'attendre de se faire tuer par son coinjoint au lieu de vouloir défendre son intégrité morale et physique bêtement.....

    Ben... il y a quelques années la police ne pouvait intervenir pour sanctionner le conjoint violent que dans les cas graves.....

    " Préservons la famille et surtout les apparences!!!"

    Il y a des personnes qui par faiblesse vont jusqu'à cette extrême!

  • clvdp

    "En 16 ans d’observations, de recherches, je serais plutôt d’accord avec vous, Patoucha. Peut-être, aussi, en vertu du concept : « bat ta femme même si elle ne sait pas pourquoi, elle le sait » ? Concept barbare et intolérable dans une société civilisée et dans un Etat de droits. "

    oula oui,ça ça sent le vécu d'expert, le préjugé à plein nez...excusez-moi d'avoir un petit fou rire... Vous savez CLVDP étranger en suisse ça peut être italien, espagnole, français, allemand.....votre remarque est ridicule, et laisse assez présager ce qu'est votre terrain, encore plus incroyable si vous pensez que la violence conjugale, généralement le fait de gens psychiquement atteint, se résoud avec une thérapie conjugale. Vous voudriez pas proposer la même chose pour les cas d'inceste? Non parce que c'est vrai que séparer une famille, juste pour quelques attouchements...Ca fait peut-être mal de constater que cette "barbarie" se retrouve chez des gens "bien de chez nous"....

    D'ailleurs votre expertise très poussée du domaine aurait du vous amener depuis longtemps à savoir que le chiffres des crimes et morts conjugaux n'était en rien le fait d'une "association féminine", pas plus que celle du bureau de l'égalité, mais celle du service en charge des statistiques sur les homicides et qui se base sur les jugements de police...Apparemment votre expertise a des biais...

    Méconnaître les coups et blessures parce qu'ils se passeraient dans la famille, ça c'est indigne d'une société civilisée et d'un etat de droit. Mais au moins ça montre bien ce que certains "masculinistes" espèrent créer...à encadrer sur ce blog

  • @audrey - Aux vus de vos propos je suis resté perplexe ! Est-ce cela que vous recherchez après de vos interlocuteurs masculin ? Est-ce la lutte /contradiction /polémique de l’esprit féminin contre l’esprit masculin qui vous anime ? Ceci dit sans préjugé, mais par constat, car nous sommes un peu plus nombreux, chaque jour, à savoir que les vaginocrates nous emmerdent : voir photo à l’appui sur le commentaire n° 23 de la page http://laviedeperes.over-blog.com/article-16967115-6.html#anchorComment

    « oula oui,ça ça sent le vécu d'expert, le préjugé à plein nez...excusez-moi d'avoir un petit fou rire... »

    Oui, et je lis bien, et sans préjugé, que vous confondez bien des choses. Vos passe-temps favoris sont-ils la contradiction, la polémique, le procès d’intention ? Puisque cela vous donne le « fou rire ». Vous semblez (ce n’est pas un préjugé) ne pas connaître le terme d’expert puisque, pour vous, un expert « c’est du préjugé à plein nez ». C’est bien vous qui le dite ! Pour moi, il s’agit du comble du non sens. Vous transformez (ou confondez) mes propose. En effet, j’ai écrit : « ne serait-il pas plus salutaire, pour les couples en crise, de suivre les bons conseils de résolutions des conflits ? Il y a tant d’organismes spécialisés qui pourraient venir en aide aux couples en difficulté ! » et vous me critiquez par un autre concept, le vôtre : « votre remarque est ridicule, et laisse assez présager ce qu'est votre terrain, encore plus incroyable si vous pensez que la violence conjugale, généralement le fait de gens psychiquement atteint, se résoud avec une thérapie conjugale ». Pour votre gouverne, la gestion des conflits c’est encore autre que la thérapie conjugale. Ce n’est vraiment pas sérieux, Audrey ! Refusez-vous donc ce que la loi applique le principe du suivi psychologique aux hommes violents ? Et que fait-elle (la justice) à l'encontre des femmes violentes? A part, les tueuses de maris et d'enfants? Comment traiter autrement ces formes de violences conjugales ?

    En plus de votre confusion/ polémique / procès d’intention, vous marquez votre mépris pour le CLVDP qui a les tripes de s’occuper, depuis 1994, des graves problèmes de la détresse humaine ! Et qui plus est, vous prenez le vécu d’un expert, pour du préjugé à plein nez ? Si pour vous, « expert = préjugés » alors, devant de telles inepties les discussions avec vous sont définitivement closes. Et moi qui vous avais pris pour une intellectuelle motivée sur la question. C’est bien ici mon seul préjugé, je vous l’avoue très honnêtement. Ce n’est pas en polémiquant ni en débattant sur des « queues de cerises » ni en rabaissant les gens, ni en faisant des procès d’intentions que l’on pourra promouvoir plus d'égalité entre les femmes et les hommes, ni changer les mentalités pour l’éradication de la violence conjugale, ni tirer la société vers le haut,… Vous faites la démonstration que vous ne pouvez rien apporter de positif, à la société, pour que les gens puissent vivre un peu plus en harmonie. Mais vous me semblez une militante choc pour entretenir la guerre des sexes. Vous avez le profil pour cette mission. Et ce n’est pas un préjugé, savez-vous. Il s’agit tout simplement de « feeling ». Dans ma longue carrière j’ai recruté et formé bon nombre de gens. Pour cela, il faut acquérir des qualités et il ne faut surtout pas avoir de préjugés. Autrement c’est la faillite assurée. Quant à votre tirade sur « masculinistes" espèrent créer...à encadrer sur ce blog » c’est encore « du n’importe quoi ». Les problématiques autour des violences intrafamiliales, conjugales, commises autant par les femmes que par les hommes, sont connues comme étant complexes et multifactorielles. L’objectif est donc d’orienter de la façon la plus pertinente possible la personne victime vers les structures et les professionnels adéquats, en fonction de ses besoins. Cela existe en bon nombre pour les femmes. Mais, à ma connaissance, rien n’existe pour les hommes. C’est pour cette raison que nous œuvrons pour promouvoir des enquêtes (sérieuses, non biaisées, officielles) afin de déterminer le nombre d’hommes violés, spoliés, paupérisés, désintégrés socialement (à l’inverse de l’intégration sociale) pour pouvoir créer de nouvelles lois au Code Civil (matières familiales en séparations / divorces) et de créer des structures d’aides pour ces hommes en situations de danger et d’exclusions. Car, après tout ce que j’ai vu et entendu, depuis 1994, et que je lis, et que je vois, et que j’entend sur la problématique... et sur ce que nos élus politiques font à la suite des campagnes de violences faites aux femmes (par les hommes) en omettant de parler des violences faites aux hommes (par les femmes) je constate (comme tant d’autres) qu’il s’agit d’un déni indécent et intolérable. On peut être effondré par la catastrophe humanitaire dont personne ne semble avoir conscience chez nos épidémiologistes et journalistes habituels, tous plus ou moins agréés par l'idéologie en cours et les appareils d'ajustice (au sens de amoral) qui l'imposent... alors, qu’en tant que médecin, on n’est pas très inquiet au sujet d'une épidémie de grippe qui tente de survenir au printemps. Mes meilleures salutations,

  • Clvpd

    Ne sachant pas ce qu'est un esprit "féminin", pas plus qu'un esprit "masculin" je ne sais vous répondre. Il n'y a d'ailleurs aucun procès d'intention dans mes propos. Je remarquais donc que votre statut d'expert depuis 15 ans:

    - ne vous avait apparemment pas permis de prendre connaissance des statistiques officielles des homicides, pourtant accessibles d'un simple clic de souris, ce qui vous aurait permis de vous rendre compte que ces statistiques ne venaient pas d'un des bureau de l'égalité par exemple...

    - semblait ne pas vous avoir permis de savoir que la violence conjugale est présente dans toutes les origines ethniques, dans toutes les couches de la société, et pas seulement parmi quelque culture barbare, musulmane de préférence selon vos propos, comme votre si belle citation semblait le laissait aisément penser. Lorsque vous déduisez d'un chiffre sur les étrangers et les bi-nationaux ce genre de citations éculées cela s'appelle un préjugé, désolée de vous l'apprendre, et ne fait de loin pas honneur à votre statut "d'expert de terrain".

    - les actions en justice n'ont jamais empêché le suivi psychologique, ce sont même elles qui en dernier cas les permettent lorsque l'accusé n'est pas volontaire. Pour invoquer ce genre d'arguments, vous devez vraiment être bien au courant...

    - Vous disiez également: "Alors qu’il serait plus salutaire, pour les couples en crise, de suivre les bons conseils de résolutions des conflits ". Vous ne semblez néanmoins pas comprendre que la violence conjugale est rarement une petite "crise de couple". Elle est généralement répétitive, se retrouve d'une relation à l'autre que le violent ou la violente entretiendra. C'est un problème généralement intrinsèque à la personne qui use de violence, pas un conflit de couple. Notre société puni les infractions, frapper quelqu'un en est une. La médiation est d'autant plus dangereuse dans les cas de violence conjugale que tous les experts se prêtent à dénoncer son cycle, qui conduit la victime, quelque soit son sexe, à se sentir coupable de la violence de l'autre et donc être dans une état de destruction psychologique qui ne permet plus cette médiation. Les plaintes pénales, la poursuite d'office, permettent aussi de protéger les personnes en situation de détresse mentale, il est étonnant qu'ayant eu affaire à tant d'hommes violentés vous n'ayez pu vous en rendre compte. C'est en cela que je mets fortement en doute votre statut d'expert, et votre capacité à protéger efficacement les conjoints violentés.

    - Ce qui est drôle dans vos propos de la "guerre des sexes" (non bien sûr pas un préjugé! juste le dernier argument quand on a plus rien à dire) c'est que vous remarquerez que mon précédant message ne contenait aucune affirmation pour les femmes, ou contre les hommes. Ma seule dénonciation se porte à l'égard de quelques masculinistes comme vous, qui sous couvert de protéger la sainte famille seraient prêts à dépénaliser (vous dénoncez la possibilité de porter plainte) la violence conjugale, non seulement portée aux femmes, mais aussi aux hommes. Pourquoi? Effectivement on se le demande bien... A mon sens les masculinistes ne représentent pas un sexe, et votre proposition de dépénalisation est dangereuse pour les hommes victimes eux-mêmes.

    - Enfin, pour la forme, je vous ferais remarquer qu'il n'y a, à mon sens, peu de personnes souffrant d'alzheimer sur ce blog, dès lors cette tirade "On peut être effondré par la catastrophe humanitaire dont personne ne semble avoir conscience chez nos épidémiologistes et journalistes habituels, tous plus ou moins agréés par l'idéologie en cours et les appareils d'ajustice (au sens de amoral) qui l'imposent... alors, qu’en tant que médecin, on n’est pas très inquiet au sujet d'une épidémie de grippe qui tente de survenir au printemps." n'a pas besoin d'apparaître ici cinquante fois...

  • Je rajouterais que pour une personne qui défend le droit des pères, il est très étrange que le congé paternité et la contraception masculine n'apparaisse jamais dans vos revendications. Mais c'est vrai j'oubliais, ça c'est déjà un terrain occupé pour les hommes par les "vaginocrates"...

  • et bien et bien ......autant de réactions (plus la mienne!) le sujet fache t-il donc?
    bon bien dans des termes moins savants que tout ce que j'ai ou lire, je ne dirai que ceci : la violence faite aux femmes est une évidence et il serait absurde de vouloir la quantifier et surtout de la mesurer à la violence faite aux hommes dans le même contexte de violence conjugale.
    Les chiffres, la statistiques sont toujours discutables mais ce qui ne l'est pas c'est l'absolue réalité du nombre de femmes qui meurent chaque jour sous les coups de leurs conjoints. C'est ainsi on ne peut le nier....la domination des hommes sur les femmes passent malheureusement aussi par la violence c'est un fait certain.
    Je ne suis personnellemnt pas pour "l'égalité des sexes" d'abord parce que cela ne veut pas dire grand chose et puis parce que je pense très sincèrement que la femme est nettement supérieure à l'homme à bien des niveaux....malheureusement en ce qui concerne la force physique il est évident que là nous ne faison pas toujours le poids face à une agression masculine....bon heureusement nous avons d'autres armes.......arrêtons donc de dire oui mais il y aussi des hommes battus....oui il y en a.....mais si le rapport en question fait état des violences dont sont victimes les femmes, c'est que là il s'agit véritablement d'un fléau quantifiable selon les décès constatés chaque jour.

  • "Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même falsifiées.
    Citations de sir Winston Leonard Spencer Churchill"

    ... ou lorsque je les ai moi-même interprêtées.


    Voici les statistiques officielles pour la Suisse:
    ----
    70% des victimes connaissaient le suspect avant les faits. Mais il y a des différences sensibles entre les hommes et les femmes. La part des victimes qui connaissaient leur agresseur est de 85% chez les femmes et de 60% chez les hommes.
    45% des victimes fréquentaient le suspect dans le cadre domestique. La proportion est particulièrement élevée chez les femmes (74%). Quand la victime est une femme, le suspect est, dans 57% des cas, le partenaire ou l'ex-partenaire de la victime.
    Les victimes de moins de 18 ans se font agresser le plus souvent dans le cadre domestique (73%).
    http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/19/03/02/dos/02/02.html
    ----
    Les femmes sont beaucoup plus souvent victimes de leur partenaire que les hommes. Chaque année, 22 femmes et 4 hommes meurent des suites d'une agression commise dans un contexte de couple. A cela s'ajoutent 28 femmes et 7 hommes victimes d'une tentative d'homicide. Aucune tendance à la hausse n'a été décelée pour la période des années sous revue.
    Par rapport à la population résidente permanente, les victimes de nationalité étrangère sont surreprésentées.
    http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/19/03/02/dos/02/04.html
    ----
    Le taux de suicides est particulièrement élevé chez les personnes soupçonnées d'homicide dans le couple, le risque étant le plus élevé chez les hommes suisses dont 54% des suspects ont mis fin à leurs jours.
    En tenant compte de la population résidante permanente, les hommes étrangers sont surreprésentés parmi les personnes suspectées.
    http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/19/03/02/dos/02/05.html

  • @vali
    « et il serait absurde de vouloir la quantifier et surtout de la mesurer à la violence faite aux hommes dans le même contexte de violence conjugale. »

    C’est votre avis ! Il ne s’agit nullement d’une affirmation émanant d’un scientifique. Bien au contraire, nous sommes très nombreux (spécialistes, experts,…) à considérer qu’il faut commander une étude tenant compte des spécificités propres à chaque sexe. Et cela s’impose sur les causes de la violence émanant des femmes… n’en déplaise aux vaginocrates qui refusent toutes les vérités sur les violences commises par les femmes sur les hommes ! Nous attendons cette étude en Suisse, laquelle sortira prochainement. Car il s’agit d’une lacune au niveau de la recherche officielle (et non pas des nôtres) sur la violence domestique. Bien à vous.

    @ benpal
    « En tenant compte de la population résidante permanente, les hommes étrangers sont surreprésentés parmi les personnes suspectées. »

    Vous voulez dire que l’étude a pris en considération plus d’hommes violents étrangers que d’hommes violents Suisses ? Je n’ai pas eu l’occasion de lire le lien.
    Bien à vous,

  • CLVDP : Oui, et je lis bien, et sans préjugé, que vous confondez bien des choses. Vos passe-temps favoris sont-ils la contradiction, la polémique, le procès d’intention ? Puisque cela vous donne le « fou rire ». Vous semblez (ce n’est pas un préjugé) ne pas connaître le terme d’expert puisque, pour vous, un expert « c’est du préjugé à plein nez ». C’est bien vous qui le dite ! Pour moi, il s’agit du comble du non sens.

    Elle sert souvent cette expression ".excusez-moi d'avoir un petit fou rire..." Mais faut l'excuser c'est une gauchiste militante féministe. C'est tout dire! Sachez aussi que mon pseudo lui donne de l'urticaire sous fond de ........... Mais chapeau vous avez bien cerné le personnage!

    Bien à vous

  • Merci! CLVDP et cela vaut la peine que je passe ce message:



    Faut l’entendre… et faut le voir… pour le croire !!!...



    Ce dimanche 7 décembre 08, j’ai rencontré Madame Albine Quisenaire, psychologue, responsable */ de la Coordination pour la Province du Hainaut de la Lutte contre les Violences.



    Après lui avoir fait part que l’on ne parlait jamais de la violence faite aux hommes… elle me répondit qu’il n’y avait aucune plainte faite par des hommes au sujet de cette violence. Qu’elle se basait sur les Parquets qui enregistrent les plaintes des femmes, ainsi que sur les statistiques canadiennes. Elle prétendit qu’en Belgique 90 % des femmes subissaient les violences des hommes.



    Cette responsable provinciale ne pouvant ignorer les mensonges et les fausses statistiques sur la violence des femmes au Canada, elle se fait donc l’écho des mensonges de ces féministes, « doctrinaire », « extrémiste », « intégriste » ou « exacerbé » et vaginocrates de surcroît !



    Comment peut-on lutter contre les violences, et comment peut-on prôner l’égalité entre les femmes et les hommes, avec une telle mauvaise foi ?



    Poursuivant mes doléances concernant les pénibilités des ruptures conjugales conflictualisées, et des souffrances des parents violés, spoliés,… de la destruction des familles, surtout de l’avenir des enfants privés de pères… bref, lui présentant ce pour quoi nous agissons en demandant l’aide officielle d’une Institution… cette personnalité officielle m’a traité de Masculiniste, de Chien de Garde devant les personnes présentes sur le stand. Puis, s’adressant au groupe, elle leur demanda de m’ignorer et de ne plus écouter ce que je disais, estimant que j’étais un homme dangereux.



    En tant que porte parole d’un collectif de pères séparés, j’ai donc été mis au pilori, une fois de plus, depuis 1994, subissant l’opprobre, la honte, le déshonneur, de la part de ces personnes faisant leur publicité contre les violences, sur leur stand des Jeunes Socialistes de Charleroi, érigé lors du Marché Dominical de la Place des Jets d’Eaux de Charleroi.

    À vous de juger… Qu’en pensez-vous ? Cordiales salutations, Michel Willekens

    Je pense que ces féministes sont castratrices! Cela me rappelle un message laissé sur un blog:

    "Mais j'y pense, ces femmes sont comme les féministes un tue l'amour! lolllllll

    Ecrit par : Patoucha | 21.05.2009

    Bien à vous

  • Merci Patoucha. Si vous avez pu la cerner (comme moi) c’est que nous ne sont pas aussi à côté de nos pompes comme elle veut nous montrer aux yeux des autres ! En fait, elle sème le doute à l’attention des milliers de lecteurs de ce blog. En effet, les lecteurs ne vont pas étudier les dossiers, ni cliquer sur des liens ! (ça demande une fraction de seconde) mais ça donne un mal de tête pour les chiffres et les lettres des rapports, biaisés. Sur des rapports uniquement demandé sur la violence commise par des hommes sur des femmes. Ce n’est pas une bagatelle, cette violence. Mais nous demandons des enquêtes sur la violence commise par des femmes sur des hommes. Et je vous certifie que les violences commises par des femmes sont bien plus graves : tous les jours des hommes sortent des tribunaux brisés ou se suicident par la violence commise par leurs femmes. Les plus graves violences ne sont-elles pas d’expulser des hommes de leurs foyers, sous prétexte de leur violence envers leurs femmes, sans que la justice ne s’inquiète du bien-fondé des accusations de l’épouse, ni du désarroi des jeunes enfants, privés d’un père attentionné ? Et priver les enfants de voir leurs pères, ou bien seulement 2 heures par mois, dans un « Centre fermé »… n’est-ce pas là une des plus graves formes de violence ? Et diaboliser les pères aux yeux de leurs enfants, au point que ces enfants aliénés tuent mentalement leurs pères ? Et la plus grande forme de violence n’est-elle pas de priver les pères des liens familiaux avec leurs enfants ? Ces souffrances causées à ces pères sont les plus grandes formes de violences ! Elles poussent des hommes à se suicider, ou bien à tuer leurs partenaires. C’est là où se situe notre combat, c’est d’obtenir des lois adaptées et des bonnes pratiques pour les conflits conjugaux, n’en déplaise aux vaginocrates. C’est réalisable. Il suffit d’une bonne volonté politique et citoyenne. Ce qui compte pour la plupart des lecteurs, en situations critiques ou non, c’est d’obtenir des informations honnêtes, non biaisées et non manipulées. Cette extrémiste me qualifie d’expert, alors que je n’ai pas fait allusion à cette qualification. Je suis un expert, dit-elle, et puis elle me discrédite en tant qu’expert, aux yeux des visiteurs (f/h) du blog. Je vous écrit ça à vous, Patoucha, mais ce sera lu par des milliers d’autres lecteurs (f/h). Vous savez, elle veut casser le mouvement des hommes qui, légitimement, luttent contre l’inquisition de ces pseudo féministes, intégristes. Elle ne parviendra pas à me déstabiliser. Mais ce qui m’inquiète le plus, c’est l’impression des milliers de visiteurs de ce blog qui risquent de ne pas pouvoir se faire une opinion sur le sujet. Mais bientôt nous arriverons à faire éclater les vérités sur les mensonges de ces pseudo féministes pour obtenir encore plus de privilèges. Si je m’exprime sous le nom du CLVDP, et non pas sous un pseudo, c’est parce que je n’ai rien à cacher, ni à détruire. En cliquant sur CLVDP, l’on se retrouve en quelques secondes dans un autre monde inconnu de la plupart des citoyens et citoyennes ! Le monde de l’ajustice (au sens d’amoral) et de l’inquisition féministe. Mes meilleures salutations.

  • Petit commentaire:

    Les juges ne sont pas tous des féministes, et les services sociaux qui font des enquêtes non plus. A moins de soupçonner un complot international contre les hommes (dont les juges et les travailleurs sociaux font partiellement partie) il faut bien en conclure que c'est la société qui juge ainsi, et non pas seulement les "féministes". Qu'il y ait manifestement manipulation partielle d'opinion publique me paraît évident, mais n'explique pas tout.
    Et en véhiculant des termes comme "féministes" avec sous-entendu des femmes chiantes, procédurières, tue-l'amour et anti-homme, etje ne sais quelle autre tare, on est tout autant dans le cliché.

    Que vaut alors ces interminables discussions?

    Dans l'opinion publique, selon vous, les hommes sont les coupables.
    Dans ce blog, les femmes sont les coupables.

    Bonne journée!

    @ Homme Libre j'avais déjà entendu et apprécié ENOLA, et le clip amène une dimension supplémentaire! Bravo!Continue!

    Ark

  • @Ark - « Les juges ne sont pas tous des féministes, et les services sociaux qui font des enquêtes non plus. A moins de soupçonner un complot international contre les hommes…)

    Alors, comment expliquer qu’il y a autant de pères (et leurs enfants) violés, spoliés par une justice qui octroie tout aux femmes et écarte définitivement autant de pères de leurs enfants ? Plus de 10.000 cas recensés en 15 ans rien que dans deux associations de notre réseau international. Si ne n’est pas ça du féminisme… qu’est-ce donc alors ? La réalité est bien différente ! Avec un cliché tel que 90 % des femmes Belges sont battues par leurs conjoints… Avec 300.000 femmes Canadiennes battues par leurs conjoints… Avec 10 ou 20 % (c’est selon) de femmes Suisses battues par leurs conjoints… il ne faut pas s’étonner que les juges expulsent les conjoints, sans qu’ils s’inquiètent du bien fondé des accusations de la femme, et écartent définitivement les pères de leurs enfants, voire en les condamnant à des déplacements de centaines de kilomètres pour voir leurs enfants seulement 2 heures par mois dans un « Centre fermé ». Et sanction supplémentaire pour ces pères diabolisés ces juges les condamnent en leur enlevant plus du tiers, voire 60 % et plus, de leurs revenus, pour payer des pensions alimentaires (véritables rentes de situations) qui serviront surtout à payer des avocats aux tarif de 75, 100, 250 € de l’heure (c’est selon) pour des conflits qui perdureront des années (jusque 15 ans et plus) industrie du divorce oblige. Ça, c’est la réalité. S’agit-il d’un complot international ? Non ! Il s’agit tout simplement d’une industrie du « Divorce » qui exploite les familles en détresses, comme jadis l’on exploitait les familles pour exploiter les mines. Dès que nous aurons les chiffres officiels, dès que les juges ne pourront plus nier les réalités… nous espérons qu’ils ne pourront plus expulser des pères sous les fausses allégations des femmes. Nous espérons que les décisions de justice à l’égard de ces pères seront motivées. Car des études sérieuses font mention que la violence conjugale n’a pas de sexe et que les femmes sont autant violentes que les hommes dans leurs couples.
    Sur la violence conjugale, vous pouvez consulter le page http://laviedeperes.over-blog.com/article-16967115-6.html#anchorComment (53 commentaires)
    Sur l’égalité entre les femmes et les hommes, vous pouvez consulter la page http://laviedeperes.over-blog.com/article-27417688-6.html#anchorComment (39 commentaires). Cordiales salutations

  • ô qu'en voilà un beau lapsus...:

    "Mais bientôt nous arriverons à faire éclater les vérités sur les mensonges de ces pseudo féministes pour obtenir encore plus de privilèges."

  • Mdrrrrrr elle ne comprend que ce qu'elle écrit!

  • @Patoucha : Au sujet d’Audrey : « ô qu'en voilà un beau lapsus...: ». Des millions de gens commencent à comprendre que les mensonges des pseudo féministes ont pour but d’obtenir plus de privilèges pour les femmes. C’est contraire aux principes d’égalités entre les femmes et les hommes.
    Bein, oui… c’est à mourir de rire… faute de ne plus avoir de larmes pour pleurer. Bein oui qu’elle ne comprend que ce qu’elle écrit. Et pour une intello, elle omet de préciser de quel lapsus il s’agit. S’agit-il d’un lapsus calami ? Ou bien d’un lapsus clavis ? Ou encore un Lapsus de mémoire ? Ses mémoires limbiques semblent lui créer quelques problèmes. Son hypothalamus a-t-il été agressé et mis à mal au cours de son existence ? La pauvre ! Si je pouvais faire quelque chose pour elle… je le ferais.
    D’autre part, j’ai l’avantage de vous citer que « C'est dans les mots que nous pensons. ». Et que je pense que le langage ne nous est pas totalement acquis car on ne peut pas tout dire avec les mots. L’on ne peut (parfois pas) clairement expliquer un sentiment aux autres. C'est là notre seul problème.

  • Patoucha, je n'aurais qu'une dernière intervention à votre égard avant que de vous laisser à vos petits jeux stériles qui laissent assez présager de votre niveau mentale.

    Vous dites que vous avez eu beaucoup d'enfants...mais quel âge avez-vous?!! Je remarque en effet que votre déversage de fiel incessant ad hominem, niveau cour de récréation première enfantine, devient une véritable plaie pour un blog qui, tout en suscitant la polémique, permettait jusqu'alors qu'elle se passe entre gens adultes, argumentant leur point de vue, et ne venant pas juste ici pour se procurer leur petite jouissance de la journée en pissant un coup sur les autres...

    Je remarque également que si vous ne voulez pas me "donner de tribune", il serait bon que ce petit harcèlement cesse. Résolument, vous pourrissez tout débat puisque vous n'avez apparemment rien à dire qui sorte du niveau pipi-caca-boudin-mdr-mdrrrr. Quant à votre persécution diffamatoire à coup de "débusquer l'antisémite que vous êtes", bave calomnieuse que vous n'avez de cesse de répandre partout où vous allez, sachez qu'ayant ma conscience pour moi, et les écrits qui le prouvent, je ne tolérerai plus ce genre de propos. Je vous ai laissé vous amuser un moment, parce que j'ai quelque pitié pour la vie qui doit être la vôtre pour que votre seul plaisir de la journée soit celui d'harceler virtuellement des gens que vous n'avez jamais rencontré, mais mon empathie a des limites, et il y a des principes trop importants pour qu'on les laisse ainsi salir par quelques individus abjects.


    Tenez-vous le pour dit, et trouver une autre victime sur laquelle soulager les frustrations de votre vie.

  • Hello à tou-te-s, Je n'ai pas accès permanent à l'adsl ce week-end, et je suis plongé dans ma musique, donc moins de suivi du débat. Je viens de lire les derniers commentaires, voici mon sentiment:

    - il ne faut pas chercher des coupables par principe ni en général. La violence est le fait de gens perturbés, maladifs, sans éducation, et quelques autoritaire qui estiment que l'autre est sa chose. Autant du côté hommes que femmes.

    - Cela dit il y a des tendances d'époque qui criminalisent davantage les hommes, comme ce fut davantage les femmes à d'autres époques.

    - Le chiffrage de la violence faite aux femmes dans le cadre domestique est largement surévalué selon toutes les enquêtes faites avec un peu plus de rigueur. De même celle faite aux hommes dans ce même cadre est largement sous-évaluée.

    Que des fonctionnaires laissent entendre des chiffres erronés et improuvable est une faute déontologique et un biais intellectuel aux conséquences juridiques graves. Car sous prétexte de protéger les victimes on bafoue la présomption d'innocence, on ne fait aucune enquête. La personne accusée est coupable et jetée hors de chez elle avant d'avoir pu dire ouf. Cela laisse place à toutes les manipulations. Un fonctionnaire prétend qu'il y a beaucoup plus que 10 à 20% de femmes battues, et 20% de plus pour le terrorisme psychologique? Que chacun regarde autour de soi: y a-t-il près d'une femme sur deux montrant des signes de maquillage excessif? De terreur psychologique? Les vraies victimes donnent des signes tant soit peu visibles.

    - Les contentieux hommes-femmes existent, et la violence conjugale est un thème qui les cristallise. Essayons toutefois de ne pas nous insulter mutuellement, car cela ne fait que contribuer à la cristallisation.

    - Parlant des hommes, ceux-ci ne déposent pas plainte, en effet. Beaucoup de leurs tentatives sont vouées à l'échec. D'autres ont peur du ridicule. D'autres considèrent cela comme normal que l'on tape sur les hommes, ont le fait depuis toujours (rixes, guerres, etc). La violence psychologique, ils ne la voient pas forcément. Mais à lire et entendre de nombreux hommes, on peut quand-même admettre que nombre d'entre eux ont un vrai problème pour eux. Des femmes aussi, mais là on parle des hommes pour faire émerger les non-dits, trop nombreux.

    Voilà pour l'instant, à la suite.

  • @CLVDP:"Cette extrémiste me qualifie d’expert, alors que je n’ai pas fait allusion à cette qualification. Je suis un expert, dit-elle, et puis elle me discrédite en tant qu’expert, aux yeux des visiteurs (f/h) du blog. Je vous écrit ça à vous, Patoucha, mais ce sera lu par des milliers d’autres lecteurs (f/h). Vous savez, elle veut casser le mouvement des hommes qui, légitimement, luttent contre l’inquisition de ces pseudo féministes, intégristes. Elle ne parviendra pas à me déstabiliser."

    Elle croit détenir "LA VERITE" sur tous les sujets lollll et ne s'attaque qu'à des blogueurs qui lui font de "l'ombre". Elle est connue comme un loup blanc! Ces pavés à répétition sont dignes d'une mégère polémiste. Elle ne cherche qu’à défendre son opinion de féministe et surtout à avoir le dernier mot...qu'elle croit! :))) Le débat en devient stérile. Cela ne mérite pas qu'on s'y attarde.

    Continuez votre combat! Un enfant n'a pas à être pris en otage par une mère revancharde! Il faut être deux pour faire un enfant et ce dernier a besoin de ses deux parents!

  • @ Patoucha –
    Au contraire, ces diatribes (d’Audrey et d’autres) prouvent bien les réalités des conflits / polémiques à l’endroit de gens qui ont le courage de lutter contre cette guerre de sexes. D’un côté des hommes et des femmes lutant pour une vie plus décente et d’un autre côté des vaginocrates luttant pour obtenir plus de privilèges. Elle fait davantage de démonstrations de sa haine envers les gens qui ne pensent pas comme elle au lieu de débattre sur le sujet principal. Ce qui est le plus important. Peut-elle encore être crédible aux yeux des autres, après tout ce qu’elle a écrit sur cette page? Oui, elle est bien crédible… mais seulement pour les autres adeptes du même dogme. Le sien.

    Vous savez, Patoucha, que de nombreuses femmes (et des féministes qui ont le cœur à la bonne place sans haine des hommes) sont présentes dans nos réseaux de lutte pour l’égalité entre les femmes et les hommes et pour le bien-être des familles et pour une justice décente, motivée. Surtout pour l’avenir de nos enfants. J’ai bien observé qu’elle a utilisé votre statut de mère d’une famille nombreuse pour vous rabaisser en affirmant, par ses écrits: « puisque vous n'avez apparemment rien à dire qui sorte du niveau pipi-caca-boudin-mdr-mdrrrr ». Alors que vous aussi, comme des millions de parents, vous défendez le principe d’égalité parentale pour les enfants. C’est notre combat, aussi. Et bien que je représente le Collectif LVDP, je n’ai que la possibilité de m’exprimer en fonction de tout ce qui fut dit et approuvé dans ce collectif. Je ne vais pas reporter, sur ce Blog, les commentaires que j’ai reçus de toute part. Cette pseudo féministe, pour encore mieux me rabaisser (aux yeux des autres) ose me faire un procès d’intention en écrivant ceci : «il est très étrange que le congé paternité et la contraception masculine n'apparaisse jamais dans vos revendications ». Je précise que cette revendication n’entre pas dans le cadre de notre mission. En Belgique, il y a des institutions et des élus politiques qui s’en chargent. Enfin, bravo Patoucha pour votre courage d’écrire ce que d’autres n’osent pas. Et merci pour la diffusion du Commentaire n° 3 de la page http://laviedeperes.over-blog.com/article-16967115-6.html#anchorComment « Faut l’entendre… et faut le voir… pour le croire !!!... » (53 commentaires – recherches - études - infos internationaux sur la violence des femmes à l’égard des hommes). Mes cordiales salutations

  • @ CLVDP et Patoucha: j'ai parfois des discussions très animée avec Audrey sur ce blog. Je lui ai parfois dit que je la trouvais dogmatique. mais je lui reconnais des qualités importantes: elle ne lâche pas, tient un discours qui à bien des points de vue à du sens pour moi même si souvent je le contre. Je regrette un peu qu'elle soit déconsidérée ici, car je préfère les arguments aux attaques trop personnelles.

    Elle a ses points de vue, et je les respecte. Je n'adhère pas à diverses thèses proposées par des féministes, et je pense que les hommes ont aussi beaucoup de choses à dire, vous le savez. mais Audrey est la première interlocutrice féministe avec laquelle j'ai des différents nets et qui ne m'ait pas dit d'aller me faire voir à la fin d'un débat, comme d'autres l'ont déjà fait. C'est pourquoi j'apprécie de reste dans les argumentaires plutôt que dans les attaques personnelles.

  • Alors… malgré les rythmes fous… dansons joue contre joue… dansons… :-)))))

  • @ CLVDP: !!!!!...

    (:o))))

  • @ Audrey: à part le fait que j'estime, avec beaucoup, que les chiffres sont manipulés à des fins que j'ai décrites plus haut (d'où la nécessité de mettre à plat une définition claire de la violence conjugale, admise par toutes et tout, avec des études englobant les 2 genres, et refaites et recoupées) et que les problématiques et discriminations masculines sont souvent ignorées, il faut dire que ce que beaucoup entendent du féminisme est le ton et la manière: il y a souvent un fond d'agressivité, plus des choses que l'on veut imposer aux hommes, plus parfois un mode moralisateur et jugeant sur les hommes.

    Je pense que cela colore trop les débats. De plus, très souvent le fait de parler des problématiques masculines est perçu comme une minimisation voire un refus des problématiques féminines, d'où une tension et un enjeu, voire un pugilat, qui remplit de vacarme les débats d'idées.

  • @ homme libre

    Tout à fait d'accord avec vous sur le fait que les problématiques touchant les hommes ne doivent pas être évincées. Je suis tout à fait ouverte en ce sens, tant qu'on ne les présente pas l'une contre l'autre, mais dans une vision parallèle: pour l'un et pour l'autre.

    Après je suis sensible comme je vous l'avais déjà dit à replacer les idées avancées par tel ou tel dans son contexte d'émission. Je veux dire par là qu'une proposition n'est pas que bonne ou mauvaise en soi, que pour la juger il faut aussi voir ce qu'il y a derrière. J'adhère assez à l'idée que ceux qui pensent comme moi ne sont pas forcément mes "amis", et que ceux qui pensent différemment ne sont pas mes "ennemis". J'essaye de percevoir l'intention, et si je peux reconnaître que certain-e-s militant-e-s féministes n'ont peut être pas toujours des intentions louables, reste que j'ai rencontré le même phénomène chez beaucoup de "masculinistes". Si je ne vous ai jamais envoyé balader, c'est aussi précisément parce que j'estime vos intentions sincères et en cela je vous respecte forcément.

    Comme ceci est très bien illustré par ce qui précède, il faut aussi remarquer que certains ne voient du féminisme, ou des féministes, que leurs propres pré-conçus sur la question. Je veux bien que nos expériences passées nous influencent, mais des faits comme ceux-ci me font douter du caractère, à croire si répandu, d'un féminisme hargneux et vitupérant. C'est aussi parce que le combat pour la reconnaissance de la violence faite aux hommes est portée en grande partie par des sites peu louables (ici apologie du bienfait du code napoléon par exemple...ce qui n'est pas rien tout de même, et un lapsus plus que douteux), que cette cause a du mal à passer, alors même qu'elle est importante, comme je n'ai jamais cessé de le mentionner.

    La suite demain peut-être, en tous les cas bonne soirée!

  • @CLVDP J'apprécie la justesse de beaucoup de vos termes, qui en disent long sur la qualité de vos précieuses analyses.
    Les violences faites aux hommes ne sont pas prêtes d'être dénoncées, puisque ce sont précisément ceux qui les commettent en se servant des femmes qui nient leur culpabilité...
    Avez-vous vu un inquisiteur se battre la coulpe en s'accusant des violences commises contre les "sorcières"? Cordialement

  • "un fond d'agressivité,"

    Allez, dites-le, de violence non conjugale...

  • @ CLVDP "J’ai bien observé qu’elle a utilisé votre statut de mère d’une famille nombreuse pour vous rabaisser en affirmant, par ses écrits: « puisque vous n'avez apparemment rien à dire qui sorte du niveau pipi-caca-boudin-mdr-mdrrrr ». Alors que vous aussi, comme des millions de parents, vous défendez le principe d’égalité parentale pour les enfants".

    Elle interprète surtout grossièrement ce qu'on écrit:

    oups, Patoucha, j'ai des enfants, et probablement plus que vous n'en aurez jamais...

    Ecrit par : arkencielle | 21 mai 2009

    Oui? lol plus que je n'en aurais jamais?? Qu'est-ce à dire?

    Vous ne croyez pas que si j'ai abordé ce sujet c'est que j'en connais un bout?
    Soit vous élevez vos enfants avec amour, soit vous y voyez des contraintes! Là est la différence!

    Ecrit par : Patoucha | 21 mai 2009

    Pour avoir dit: "j'en connais un bout" J'ai "enfanté" l'orchestre philharmonique de Vienne! Lollllllll

    Je peux vous assurer que je ne suis pas concernée par le sujet mais que je suis pour la justice et contre toutes sortes d'extrémisme quelles qu'elles soient.

    J'ai vu pas mal de documentaires à ce propos. J'ai trouvé choquant et inadmissible qu'un père ne soit bon qu'à verser une pension et qu'on lui ferme la porte au nez quand il veut voir son bébé? Qu'on le lui arrache des bras Ou encore qu'il soit accusé d'"attouchements" sur son gamin par une mère sans scrupules, et qu'il doive attendre des années de procédure pour être "blanchi"? Et je ne parle pas des enfants kidnappés par leur père ou mère étrangers! C'est dramatique et inacceptable. On ne peut rester impassible devant cette souffrance de part et d'autre.


    Bien à vous

  • et/ou toutes sortes d'extrémisme quel qu'il soit!

  • @Patoucha – En tant que mères, si nous avons la chance de compter sur nos maris pour donner le meilleur pour nos enfants et pour nous-mêmes, c’est bien. Je n’ai jamais vu ma mère dominer mon père. Je n’ai jamais vu mes grands-mères dominer leurs maris. Mes tantes et cousines non plus. Mais dès 1970, j’ai connu des mères qui étaient honteuses d’être mères, par les discours de féministes intégristes. J’ai souvent entendu que ces féministes – vaginocrates méprisaient les mamans, en les comparant à des « poules pondeuses ». « Et les contraceptifs, ça sert à quoi » disaient-elles. J’ai aussi remarqué, depuis des années, que ces vaginocrates n’avaient pas d’enfants. J’ai aussi remarqué qu’elles prônaient pour les hommes : à la vaisselle, à torcher les culs des gosses, à faire la cuisine,… Et même à leur imposer la contraception masculine. « Pourquoi ça doit toujours êtres les femmes à prendre la pilule » disaient-elles. J’ai aussi remarqué que ces femmes là n’avaient pas besoin des hommes. Elles les remplacent par des accessoires disponibles en sex-shops ou vendus en home-party (mode Tupperware) sous couvert d’acheter de la lingerie sexy. La femme libérée, c’est ça aussi ! La libération sexuelle ! Le dogme féministe parasite la société. Il pollue les familles du monde occidental. Combien d’enfants vivent sans leurs pères ? Et parfois aussi sans leurs mères ? Les enfants du divorce, nés dans les années 70, 80, sont adultes maintenant. Qu’ont-ils comme image de la société qui traite leurs pères de cette manière ? Comment jugent-ils une « Justice » qui les prive de leurs pères, parce que les juges les ont éradiqués de leurs vies ? A 40, 50 ans on reste toujours l’enfant vivant-orphelin de son père vivant, lui-même orphelin d’enfant vivant. Les familles sont désintégrées parce que les juges sanctionnent ces pères prétendument violents, que confirment des rapports biaisés. Le jour où la vérité éclatera sur les réalités de la violence conjugale, où les femmes sont aussi violentes que les hommes, il est à espérer que les juges regarderont à deux fois, plutôt qu’une, pour expulser des pères de familles soi-disant violents. Il est bien là le problème ! Car chaque homme marié ne s’inquiète pas de son sort… puisqu’il pense, comme nous tous, que ça n’arrive qu’aux autres… Jusqu’au jour, où à la suite d’une dispute conjugale, les policiers viennent pour menotter le mari. Alors que c’est la femme qui a commencé la dispute, a cassé de la vaisselle, a crié comme une hystérique, a lancé un fer à repasser à la tête du mari,… Et c’est le mari qui est embarqué. S’il avoue qu’il a été violent, il ne sera pas sanctionné mais il devra suivre une thérapie psychologique (industrie supplémentaire). S’il nie le fait de violence de sa part, il sera arrêté sur le champ et incarcéré, en prison. Dans certains pays, les coups et blessures sont sanctionnés de 6 mois de prison. Enfin, le lobby féministe attisé par les vaginocrates nie les faits de violence des femmes sur les hommes. Il est difficile à croire que les hommes Suisses sont plus violents que les Français, les Italiens, les Canadiens,…
    Malheureusement, il y a un grand risque d’ampleur de la violence sur les femmes, par des hommes. Car en situations de conflits conjugaux, la justice donne tout aux femmes mais elle paupérise les hommes et ruine même leurs vies. Dans ces cas de figures, il faut s’attendre à des réactions violentes de la part de ces hommes victimes d’injustices, de discriminations, et interdits de vivre avec leurs enfants. Les actions barbares de la société déclencheront des actions barbares des citoyens.

  • Le tabou de la violence envers les hommes ???…

    Et si l’on abordait la problématique autrement : la discrimination !!!...

    Est-ce discriminatoire d’ignorer la violence envers un homme? Même si c’est envers un seul homme ?

    L’État Européen, comme en Suisse et ailleurs… ne tolère pas la discrimination ! Alors, pourquoi ignorer le fait? Et pourquoi ne pas en parler ? Et le dénoncer ?

    Aborder la problématique de la violence conjugale en dénonçant le féminisme dans son dogme, c’est alors avancer sur un terrain où elles sont bien plus fortes que le mouvement de défense pour les hommes. Que doit-on utiliser en premier lieu? Le respect de l’égalité? Ou corriger une situation discriminatoire?

    Au Québec, nos féministes ont déjà répondu à ce genre d’argument : les hommes ne vivent pas de discrimination systémique. La dessus en commission parlementaire, j’avais rétorqué : on a toujours envoyé des hommes faire la guerre et mourir. Dans les chantiers où la force physique est exigée, se sont les hommes qu’on utilise. Ça c’est aussi systémique. En matière juridique, la justice a toujours été plus complaisance envers les femmes et plus exigeant envers les hommes, cela aussi est systémique.

    Alors! Que ce soit de la discrimination ou de l’inégalité, tant que c’est utilisé comme des vertus enchâssées dans un dogme d’un mouvement social, nous iront tout droit vers l’individualisme et lorsque qu’un nouveau Titanic coulera, les hommes diront chacun pour soi, les femmes et les hommes sont maintenant égaux.

    En appliquant le dogme féministe, les plus grands perdants, ne sont pas les hommes, mais bien les femmes.

  • Une mère tue son enfant par désespoir et par haine du père

    Un procès pour infanticide s'est ouvert devant le Tribunal criminel de Lausanne. Une mère gravement dépressive est accusée d'avoir noyé son fils de six ans et demi dans sa baignoire, en novembre 2007. Le drame a pour toile de fond un conflit de couple.

    La suite sur
    http://www.romandie.com/infos/ats/display.asp?page=20090525131306310172019048000_brf033.xml&associate=phf1391

  • Je crois qu'il faut s'en tenir aux FAITS, et il est juste inexact d'affirmer que la justice donne tout aux femmes. En fait dans de nombreux cas que je connais, dont le mien, ce sont certainement femmes et enfants qui ont trinqués, avec un père démissionnaire.

    Faut s'en tenir aux fait. Pas aux théories de tous bords.

    Il faut réparer les injustices, qu'elles soient faites aux hommes ou aux femmes. Pour cela, les faits suffisent.

    Bonne soirée.

    Ark
    http://arkencielle.over-blog.com

  • Malheureux hommes !

    Deux critiques sérieuses des deux assises du féminisme au Québec

    Longtemps professeur de science politique à L’Université de Laval (Canada) André Gélinas a beaucoup réfléchit et beaucoup écrit sur le rapport entre les hommes et les femmes dans la société québécoise. Ses deux livres « L’égalité de fait entre les hommes et les femmes » et « La discrimination positive » publiés en compte d’auteur.

    La thèse développée dans ses livres ? Dans le premier tome : la politique d’égalité entre les hommes et les femmes du gouvernement québécois est un piège à con (sic) et une arnaque (resic) parce qu’elle est le résultat des pressions féministes, en exploitant leur poids électoral, ont convaincu Québec et Ottawa qu’elles étaient victimes de discriminations positive pour corriger cette injustice. Aujourd’hui, par un vicieux effet de balançoire, ce sont les hommes qui sont victimes de discrimination. Deux livres à caractère scientifique, pointus et abondamment documenté. Deux livres qui, normalement, auraient dû alimenter le débat mais qui est censuré par tous les éditeurs sollicités. Le livre est disponible en compte d’auteur.

    "L'auteur s'en est bien tenu aux faits. Pas aux théories de tous bords."

    Pour information, on peut consulter www.hommedaujourdhui.ca - Par courriel: info@hommedaujourdhui.ca

    La question : pensez-vous qu’en Suisse, en France, en Allemagne, en Italie,… ces deux critiques ne s’appliquent-elles aussi ? Avons-nous la chance d’avoir, nous aussi, un professeur de science politique qui consacre autant de temps pour étudier cette question et de publier de tels ouvrages scientifiques?
    Il faut avoir une forte dose d’humanisme pour une telle mission.

  • Et oui CVLPD, cette critique s'applique aussi en Suisse:

    Vous avez raison, il est proprement scandaleux que les femmes gardent cette main mise sur le travail domestique, le chômage, le sous-emploi et les temps partiels qui vont avec. Cette discrimination positive (;-)) est infâme!

  • Une expression contestée : Discrimination positive

    Si certains y voient un exemple du politiquement correct, le mot « discrimination » conserve cependant une connotation extrêmement négative. On trouve souvent l'expression « égalité des chances » pour désigner cette politique. D'autres personnes estiment que l'on devrait plutôt employer l'expression « action positive », traduction littérale de l'expression américaine « affirmative action».

    La polémique fait notamment rage entre les partisans de la démocratie et les partisans d'une justice partiale. :-)))

  • @Mimi

    Non mais vous poussez le bouchon là...

    "Et même à leur imposer la contraception masculine. « Pourquoi ça doit toujours êtres les femmes à prendre la pilule » disaient-elles. "

    Pauvres hommes vraiment! C'est vrai, tout le monde le sait, la pilule n'a aucune conséquence et pourquoi ces pauvres chéris devraient-ils se soucier de ne pas engrosser à tout va?

    Et pour le reste, bonjour les clichés...

    @hommelibre
    Difficile de défendre une juste cause sans casser, injurier des féministes apparemment.
    Et tomber dans le masculinisme...

    :-B

  • Pauvres hommes........que vous êtes malmenés par les femmes! hommes battus, hommes injustement accusés d'abuser sexuellement d'enfants (surtout en cas de divorce! ben voyons) hommes dont les droits élémentaires sont bafoués en justice (suffit de tomber sur une Juge femme!!!) bref vous êtes des victimes innocentes d'un sytème qui privilégie les femmes...ben oui ca c connu....les femmes ont nettement plus de droit que les hommes, sont mieux estimées, sont des manipulatrices qui utilisent l'arme de l'abus sexuel cobntre leur ex conjoint.... cognent leurs hommes à chaque fois qu'elles rentrent énervées du boulot ou après un apéro copines et que le repas n'est pas prêt.....oui il est grand temps en effet de rendre justice et rendre grâce à la grandeur de l'homme.....gyno... comment il a dit le Monsieur qui s'énerve beaucoup au-dessus? oui je dois être gyno....truc chouette....je l'avoue allez un peu......c'est peut-être dû à une expérience de vie....professionnelle, personnelle....faite de rencontres, de luttes avec des femmes détruites, des enfants souillés pour le plaisir pervers d'un homme..et j'en passe et des meilleurs...oui peut-être que ca doit jouer....les statistiques bon oui ca sert...moi je suis une femme de terrain et mes statistiques à moi je leur ai tenu la main en leur disant que la justice se fait toujours un jour.

  • @ Pascale

    ;-) je l'avais trouvé bien bonne aussi:-). D'autant que là il y a un vrai problème. Si j'étais un homme, j'aurais sérieusement peur de me retrouver père sans le vouloir.

    @ Mimi

    mais je soulève aussi une question:"J’ai aussi remarqué qu’elles prônaient pour les hommes : à la vaisselle, à torcher les culs des gosses, à faire la cuisine"

    Si un père veut pouvoir assumer une garde alternée, n'est-il pas mieux jsutement qu'il apprenne ces activités dès la vie en couple? Et puis une autre: mimi avez-vous changé de sexe, puisque vous vous présentiez comme homme sur le post d'avant?

  • Je remarque surtout Mimi que vous parlez de "torcher le cul, faire la vaiselle etc etc"
    comme si ces gestes quotidiens étaient dégradants... les hommes seraient-ils au-dessus de torcher le cul de leur môme? trop bien p-e? merci pour nous...
    Je rêve...

  • @Pascale, Audrey, Boo

    Je ne fais qu’écrire sur ce que j’ai pu voir et entendre depuis des années. Ne vous en déplaise. A quoi ça sert de polémiquer ? Sauf pour entretenir les hostilités et la haine entre les femmes et les hommes. Soyez autonomes, mesdames. Les femmes et les hommes ont tout les intérêts à s'entendre... Nous devons travailler dans l'esprit d'égalité des chances pour tous les êtres humains. Mais c'est difficile à concevoir pour les vaginocrates! ;-)

  • @ Mimi... ???

    Vous avez fumé un peu de crack ce matin et c mal passé??

    Le fait de vous faire remarquer que vous parlez des tâches de la vie quotidienne de manière aussi dégradante en impliquant que ce n'est pas aux hommes de s'y atteller c'est être vaginocrate?? Alors mon cher je me vois dans l'obligation de vous faire remarquer que vous n'êtes qu'un vulgaire misogyne...
    On n'attend rien si ce n'est une répartition égale dans les tâches de la vie et l'implication au quotidien des hommes dans la vie de leur progéniture...
    Soyez autonomes???!!!! Je ne saisis pas le sens de la phrase... c'est plutôt aux hommes de votre trempe que vous devirez prodiguer vos précieux conseils puisque pour vous ceux ci ne doivent pas faire la vaiselle, le ménage etc alors les voilà bien embêtés le jour ou bobonnne se casse de la maison en vous laissant la marmaille...

  • @ Mimi

    Votre réponse est charmante, quoiqu'elle ne tienne absolument pas compte des points précis que nous avons mis en question.

    La question est donc: en quoi est-ce mal que les hommes usent de contraception, fassent la vaisselle et "torchent le cul des mômes" pour reprendre votre si jolie expression?

    Où avez-vous vu une haine des hommes dans nos propos si ce n'est votre rapport problématique aux êtres qui, bien que portant un "vagin", n'acceptent pas que la reproduction soit leur seule responsabilité et que ce "vagin" leur donne le don de faire briller assiettes et couverts?

    On a bien compris que c'est ce que vous avez vu et entendu depuis des année, on aimerait juste savoir pourquoi cela vous choque? Histoire de nous éclairer dans les profondeurs de notre antre, qui nous donne apparemment des poussées obscurantistes.

    Et puis si les femmes ont envie de pimenter leur vie avec un vibro, où est le problème? Partireriez-vous aussi en chasse contre les magazines et vidéos de "charmes"? Les femmes seraient-elles des êtres asexués? Il faut choisir votre époque de critique: la féministe débauchée (19e siècle) ou la féministe frustrée (critique à partir des années 70's). Parce que dans votre discours, si je peux me permettre, une chatte y perdrait ses petits ;-)

    Et je continue à m'interroger, si ce genre d'activité n'est pas un boulot d'hommes, comment feront ceux-ci en cas de garde alternée? C'est pourtant bien ce que vous réclamez non?

  • @Mimi
    "A quoi ça sert de polémiquer ? Sauf pour entretenir les hostilités et la haine entre les femmes et les hommes."

    C'est l'hôpital qui se fout de la charité...

    C'est vrai qu'avec vos beaux discours vous semblez tolérant(e) et modéré(e)

    :-B

  • @Pascale

    Bravo, vous avez bien cerné deux points de mon profil : la tolérance et la modération. Ces deux qualités sont indispensables aux humanistes oeuvrant pour l’épanouissent de la personne humaine ; ainsi qu’à celles et à ceux qui veulent vivre dans une société meilleure pour les êtres humains… et, ici, pour la paix des couples. Ce qui n’est pas, bien sûr, l’objectif des vaginocrates.

    De nombreuses femmes luttent avec les hommes pour atteindre ce noble but. Mais c'est difficile à concevoir pour des intégristes, des doctrinaires, des vaginocrates!

    Attendons pour voir arriver un tsunami socioéconomique dans le monde occidental, industrialisé ! Ce sera autre chose qu’une crise économique… bien que… grâce à cette crise économique mondiale, il y a moins de séparations et de divorces.

    Décidément, les commentaires s’écartent du sujet principal des rapports biaisés, ici présenté et pour rappel : au début de cette page.

  • Je ne comprend toujours pas sur quoi vous vous basez pour nous traiter de doctrinaires et intégristes! Vous êtes complètement fou ma parole! Faut vous faire soigner parce que là ça vire à la paranoia!
    Pauvre tache...
    Ou avez vous lu que notre but était d'asservir les hommes ou encore de briser les couples??!!! Par contre dans votre premier post vous n'avez pas arrêté d'insulter les femmes et de chialer sur le sort des hommes soi-disant victimes... faut arrêter!!!!
    En quoi est-ce faire preuve de vaginocratie que de demander aux hommes prendre leur responsabilités au niveau de la contraception??!! Qu'y a-t-il de grave d'attendre que son conjoint le partage des tâches ménagères???!!!

    Vous êtes content du fait qu'il y a moins de divorces à cause de la situation économique? Donc le fait que hommes et femmes sont malheureux dans le couple vous importe peu du moment qu'ils restent ensemble c'est ca??
    J'ai décidemment du mal à comprendre votre vision biaisée des choses... mais enfin... c'est sûrement mieux comme ça... je vous laisse dans votre délire de pauvre macho opprimé...

  • Je propose que l'on fasse l'effort de ne pas se stigmatiser mutuellement, sinon les arguments valables perdent de leur crédibilité.

  • "Décidément, les commentaires s’écartent du sujet principal des rapports biaisés, ici présenté et pour rappel : au début de cette page."

    Sauf votre respect, je vous ferais remarquer que c'est bien vous qui avez déviez. Je vois que mes interrogations, pourtant très modérées, resteront sans réponses. Sûr que vu vos précédentes déclarations, vos réponses ne vous permettraient pas de mettre en exergue votre profonde tolérance et modération...
    Je comprends bien que les propos orduriers de certains vous aient poussés à la surenchère hystérique, c'est ce qu'on appelle l'effet de "meute", mais vous drapper dans votre dignité ne dois pas vous empêcher de répondre. Sachez au moins avoir le courage de vos opinions...

    Ce post finit par devenir une véritable contre-publicité...

  • @Audrey
    « La question est donc: en quoi est-ce mal que les hommes usent de contraception, fassent la vaisselle et "torchent le cul des mômes" pour reprendre votre si jolie expression? »

    Je n’ai fait que mentionner ce que j’ai vu et entendu. Je ne prends nullement position pour l’un ou pour l’autre. Et j’ajoute que je n’ai jamais entendu un seul homme reprocher à sa femme qu’elle ne participait pas aux travaux lourds et pénibles, dans la maison… ou pour chasser une souris, ou une araignée, courant dans tous les coins de la maison, par exemple.

    « Où avez-vous vu une haine des hommes dans nos propos si ce n'est votre rapport problématique aux êtres qui, bien que portant un "vagin", n'acceptent pas que la reproduction soit leur seule responsabilité et que ce "vagin" leur donne le don de faire briller assiettes et couverts? »

    Vaginocrate ne signifie pas vagin… et vagin ne signifie pas vaginocrate. Comme un phallocrate est différent d’un phallus ! Votre remarque est incohérente.

    « On a bien compris que c'est ce que vous avez vu et entendu depuis des année, on aimerait juste savoir pourquoi cela vous choque? Histoire de nous éclairer dans les profondeurs de notre antre, qui nous donne apparemment des poussées obscurantistes. »

    Vous avez surtout très mal interprété ce que j’ai écrit : je n’ai fait que mentionner ce que j’ai vu et entendu. Je ne prends nullement position pour l’un ou pour l’autre.

    « Et puis si les femmes ont envie de pimenter leur vie avec un vibro, où est le problème? Partireriez-vous aussi en chasse contre les magazines et vidéos de "charmes"? Les femmes seraient-elles des êtres asexués? Il faut choisir votre époque de critique: la féministe débauchée (19e siècle) ou la féministe frustrée (critique à partir des années 70's). Parce que dans votre discours, si je peux me permettre, une chatte y perdrait ses petits »

    Je n’ai aucune animosité contre les gays, les lesbiennes, mais je m’applique (comme d’autres) à contrer les discours des vaginocrates.

    « Et je continue à m'interroger, si ce genre d'activité n'est pas un boulot d'hommes, comment feront ceux-ci en cas de garde alternée? C'est pourtant bien ce que vous réclamez non? »

    Qu’une femme puisse grimper sur un échafaudage pour repeindre la façade de la maison… qu’elle conduise l’auto, et quand elle est fatiguée, qu’elle passe le volant à son compagnon…qu’elle lui demande de mettre les poubelles à la rue… et de passer l’aspirateur dans la maison… Qu’un compagnon puisse cuisiner la plupart du temps et déposer la vaisselle dans le lave-vaisselle… Mais qu’elle puisse elle-même cuisiner lorsqu’elle en a l’envie… Mais qu’elle s’attribue l’exclusivité de laver le linge et le mettre au séchoir… Il n’y a pas d’égalité réelle entre nous. Nous agissons selon nos dispositions et selon des conventions entre nous. C’est ainsi que ça fonctionne dans notre couple… si vous voulez le savoir.

    Quand au compagnon, il peut tout aussi bien conduire les enfants à l’école, à la maternelle… comme les reprendre à la fin de l’école, leur donner le bain et les mettre au lit. Les hommes sont tout autant disponibles que les femmes, sauf en raison de leurs emplois, ou pour d’autres raisons. Tout est donc à coordonner.

    Si les hommes doivent s’occuper des mêmes tâches que les femmes dans le but de pouvoir s’occuper, plus tard, des enfants en hébergement égalitaire… ça dénote bien la malhonnêteté et la perversité féminine de vouloir exploiter une relation conjugale ! C’est vénal !

    Un exemple : plusieurs cas me sont revenu, de gens qui avaient entendu dans les transports publics au sujet des conversations (elles ne s’en cachent même plus) en ce sens : « Dès que j’aurai mon bébé, je le quitterai... nous avons tous les droits… j’aurai mon enfant et une pension alimentaire de 250 € par mois. Avec mon chômage, mes allocations familiales, la pension alimentaire, je pourrai mieux m’en sortir. De plus j’aurai des points en plus pour obtenir un logement social, car les femmes seules avec enfants on la priorité ».

    Je suis sûre que vous aurez encore à redire sur mon commentaire…

  • Alors revenons à vos propos voulez-vous:

    "J’ai souvent entendu que ces féministes – vaginocrates méprisaient les mamans, en les comparant à des « poules pondeuses ». « Et les contraceptifs, ça sert à quoi » disaient-elles. J’ai aussi remarqué, depuis des années, que ces vaginocrates n’avaient pas d’enfants. J’ai aussi remarqué qu’elles prônaient pour les hommes : à la vaisselle, à torcher les culs des gosses, à faire la cuisine,… Et même à leur imposer la contraception masculine. « Pourquoi ça doit toujours êtres les femmes à prendre la pilule » disaient-elles. J’ai aussi remarqué que ces femmes là n’avaient pas besoin des hommes. Elles les remplacent par des accessoires disponibles en sex-shops ou vendus en home-party (mode Tupperware) sous couvert d’acheter de la lingerie sexy. La femme libérée, c’est ça aussi ! La libération sexuelle ! Le dogme féministe parasite la société."

    Vos six derniers mots, à la fin de toute cette diatribe contre "la femme libérée", présentant ceci comme un parasitage induit par le dogme féministe dénote d'un parfait jugement de valeur sur ce qui précède. Ce que nous retenons de ce que nous voyons et entendons, et à plus forte raison ce que nous rapportons comme parasitage de la société, c'est évidemment ce qui nous choque. Votre tout de passe-passe est habile, mais il ne trompe personne.

    "Et j’ajoute que je n’ai jamais entendu un seul homme reprocher à sa femme qu’elle ne participait pas aux travaux lourds et pénibles, dans la maison"

    Ce qui se pratique 7/7 jours c'est bien connu...

    "Vaginocrate ne signifie pas vagin… et vagin ne signifie pas vaginocrate. Comme un phallocrate est différent d’un phallus ! Votre remarque est incohérente."

    Parce que c'est ce que j'ai dit?

    "Je n’ai aucune animosité contre les gays, les lesbiennes, mais je m’applique (comme d’autres) à contrer les discours des vaginocrates."

    Bien qu'étant très heureuse de l'apprendre, j'avoue ne pas très bien voir le rapport entre un vibromasseur et les gays et lesbiennes...

    "Les hommes sont tout autant disponibles que les femmes, sauf en raison de leurs emplois, ou pour d’autres raisons."

    J'avoue ne pas savoir comment cela se passe par chez vous, mais il devient relativement fréquent en Suisse que les femmes aient un emploi. Je ne comprends donc pas en quoi ceci constituerait une exception masculine...

    "ça dénote bien la malhonnêteté et la perversité féminine de vouloir exploiter une relation conjugale"

    FéminiNE ou féminiSTE? Et puis "vénal" se rapportant à quelqu'un qui est attiré par l'argent, je ne vois pas ce que ceci vient faire dans le fait de demander un partage égalitaire des tâches domestiques en vue qu'en cas de divorce, monsieur ne se retrouve pas largué devant ces tâches...

    "j’aurai mon enfant et une pension alimentaire de 250 € par mois."

    Bien que j'imagine que le coût de la vie ne doit pas être le même chez vous que chez nous (250€ à genève ne payant pas même le quart d'un loyer pour un adulte et un enfant), je plains néanmoins cette femme qui doit vivre dans une misère assez profonde...

  • @Mimi
    Je ne comprends franchement pas où vous voulez en venir. Et je ne vois pas l'intérêt de rapporter ce que "des gens ont entendus dans les transports publics".

    A ce niveau, je propose que l'on arrête de réfléchir et que l'on se raconte les belles conversations dont on a eu écho par des gens qui l'ont entendu quelque part.
    Et si je vous raconte celle du bon père de famille qui "respecte" Bobonne parce qu'elle élève les enfants et tient la maison. Et lui, il est brave, il ne la quittera pas, mais il a une maîtresse depuis des années. Il a même mis ses fils dans le secret, en leur expliquant que c'est normal pour un homme, parce que Bobonne, à force de trimer dans son foyer, n'est franchement plus baisable (mais rassurez-vous, il a utilisé d'autres termes). Ça c'est la famille respectable.

    En ce qui concerne les tâches, "lourdes" genre construire une maison :-), ou courantes, ménage, courses et autres, il me semble avantageux pour l'homme ET pour la femme d'être capables de les assumer et d'être indépendants.
    Non pas dans l'idée de préparer une rupture, mais notre vie tout simplement.
    Un exemple? Un ami dont la douce moitié vient de mourir, avec trois petits enfants. Si les enfants ont pu traverser ceci à peu près indemnes, si l'on peut l'être, c'est grâce au fait que le père assumait également le quotidien auparavant. La rupture a été moins grande.

  • Aux attaques d’Audrey et des autres…

    « Ce que nous retenons de ce que nous voyons et entendons, et à plus forte raison ce que nous rapportons comme parasitage de la société, c'est évidemment ce qui nous choque. »

    Entièrement d’accord avec vous !

    « Bien qu'étant très heureuse de l'apprendre, j'avoue ne pas très bien voir le rapport entre un vibromasseur et les gays et lesbiennes... »

    Vous avez encore bien des choses à apprendre ! Et à ne pas confondre.

    « J'avoue ne pas savoir comment cela se passe par chez vous, mais il devient relativement fréquent en Suisse que les femmes aient un emploi. Je ne comprends donc pas en quoi ceci constituerait une exception masculine... »

    Moi non plus je ne comprends pas le sens de votre commentaire !

    « FéminiNE ou féminiSTE? Et puis "vénal" se rapportant à quelqu'un qui est attiré par l'argent, je ne vois pas ce que ceci vient faire dans le fait de demander un partage égalitaire des tâches domestiques en vue qu'en cas de divorce, monsieur ne se retrouve pas largué devant ces tâches... »

    À partir du moment où les hommes DOIVENT effectuer toutes les tâches ménagères POUR le motif que le jour où ils seront largués… ils devront se débrouiller… semble être une erreur, car dans 95 % des cas, ce sont les femmes qui ont la garde des enfants. Les pères n’ont leurs enfants qu’un WE/2 et la moitié des vacances.
    Je n’ai jamais vu un homme qui ne savait pas assumer les tâches ménagères. Je ne vis pas dans le même monde que vous, ça c’est certain !

    Vous dénoter, ici même vos lacunes. Vous vous exprimez sans connaître les réels motifs d’une grande (pas toutes) quantité de femmes qui accusent leurs compagnons de violences, attouchements sexuels, déséquilibre mental,… et qui font expulser leurs compagnons, afin d’obtenir tout dans un divorce. J’ai profité pour dénoncer ça dans le cadre de la violence conjugale. Mais les pseudo féministes (déviantes, doctrinaires,…) refusent d’admettre ces forfaitures d’intérêt vénal.

    Celles qui se sentent visées par les qualificatifs de pseudo féministes, de vaginocrates,… si elles réagissent en conséquence, elles prouvent ainsi qu’elle font partie de cette idéologie polluante pour la société.

    Lorsque je discute avec mes amies féministes (du « féminisme doux) et que je leur confie mon écoeurement aux sujet des mensonges de ces féministes… elles comprennent bien de quelles féministes il s’agit.
    Même Élisabeth Badinter, femme de lettres et philosophe féministe est contestée par d’autres féministes, adeptes d’une autre idéologie. Le saviez-vous ?

    Vous comprendrez alors que les féministes intégristes ne font pas partie du cercle de mes amies. Et je vais, ici même cesser de répondre à toutes vos attaques. Je n’ai pas le même profil, ni le même charisme que Élisabeth Badinter.

    « Bien que j'imagine que le coût de la vie ne doit pas être le même chez vous que chez nous (250€ à genève ne payant pas même le quart d'un loyer pour un adulte et un enfant), je plains néanmoins cette femme qui doit vivre dans une misère assez profonde... »


    Quel préjugé !!!... Encore du n’importe quoi ! Je ne réside pas à Tonbouktou, vous savez !

    Je connais un gynécologue obstétricien qui paye bien 2.800 € de pension alimentaire pour ses 3 enfants. Et il n’habite pas la Suisse. Qu’allez-vous surenchérir ?

  • @ Pascale
    « En ce qui concerne les tâches, "lourdes" genre construire une maison :-), ou courantes, ménage, courses et autres, il me semble avantageux pour l'homme ET pour la femme d'être capables de les assumer et d'être indépendants. Non pas dans l'idée de préparer une rupture, mais notre vie tout simplement. »

    Tout a fait d’accord !

    Dans une union, il faut partager beaucoup de choses. Et c’est à nous de voir ensemble comment s’organiser. Chacun d’entre nous peut apporter ses ressources.
    Je connais des hommes qui s’occupent de tout, et alors de TOUT. Une femme hôtesse de l’air qui ne s’occupait de rien dans le ménage, ni des enfants. Des exemples de ce genre, j’en ai connu des tas.
    Mais… en cas de ruptures, qu’ont-ils préférés, les enfants ? Vivre avec leurs mères ou bien vivre avec leurs pères ? Ils ont tous choisi de vivre avec leurs pères ! Et, horreur, ces femmes ne voient plus leurs mères. Elles souffrent et certaines présentent des pathologies diverses et mentales.

    Sont ce là les types de familles modèles ?

    Je connais une mère qui oblige son enfant de 12 ans à faire 700 km pour aller voir son père un We / 2. Cet enfant ne veut plus voir son père, mais la mère l’oblige car, autrement elle risque de faire de la prison sous l’accusation du père d’aliénation parentale (SAP). Les communications entre la mère et le père se déroulent par plis recommandés. Ça dure depuis des années.

    Est-ce là le modèle contemporain de la famille ?

  • Hommelibre: "CLVDP et Patoucha: (...) car je préfère les arguments aux attaques trop personnelles.

    Très étonnant ce message pour le moins inéquitable de quelqu'un qui se bat pour la justice? Vous avez omis de vous adresser à l'attaquante et surtout admis sans réagir au commentaire nauséabond de vulgarité et menaçant digne d'une harpie féministe qui accuse les autres de ses propres faits!

    Un exemple de "harcelement:

    "il serait bon que ce petit harcèlement cesse".

    C'est à se demander qui poursuit l'autre ? C'est de la rage!

    Patoucha:"quand ce n'est pas une féministe qui n'a de cesse que de mettre les hommes au tapis."

    Ah l'amour, l'amour...le printemps est là!

    Ecrit par : Audrey | 21.05.2009

    ad hominem.. Djenius sortez de ce corps! :)))

    Bien à vous

    Patoucha

  • @Mimi
    Non, et je suis d'accord que c'est des choses qu'il faut dénoncer.
    Et ceci n'est que le pendant du modèle de la famille qui a perduré pendant des années.

    Je me répète, mais pour moi le combat qui consiste à dénoncer des injustices ou des violences qu'ont subies des hommes ne devrait pas avoir le même côté revanchard que vous semblez adopter par rapport aux féministes extrêmes.

    Le féminisme a et a eu plus que raisons d'être, ceci n'enlève rien au souhait d'une impartialité idéale.

    Par mon exemple, je voulais juste vous dire qu'à chaque cas, on trouve son contraire, que l'on soit dans un "camp" ou dans celui d'en face.

    En l'occurrence, il était question ici, je crois, avant tout de reconnaître la violence commise envers les hommes, et, parfois, l'injustice devant les juges. Ceci ne devrait pas passer par le déni de la souffrance de certaines femmes et de fustiger le féminisme, fut-il extrême.

    Je fais partie de celles, qui, même s'il m'arrive également parfois de les trouver extrêmes et quelque peu anti-hommes, les remercient car grâce à elles, la condition des femmes a fortement changé et elles nous ont donné la chance de choisir notre vie dans une société qui prend peu à peu compte des femmes comme individus et non plus comme une constante disponible et bienveillante.

    Contrairement à vous qui n'avez apparemment pas connu de domination dans votre famille, j'ai grandi en voyant ma mère telle une souris apeurée devant la toute puissance du mâle. Et le fait qu'elle était plus sensée, objective et plus apte à bien gérer sa vie et sa famille n'est jamais entré en ligne de compte.
    Tout ce qui me vient à l'esprit, c'est: plus jamais ça...

    Et je conclurais par le fait que grâce aux féministes, les enfants ont également pu profiter de leur père. Parce que je suis d'une génération où les pères rentraient tard, et n'avaient que peu de temps à consacrer à leur famille, tandis que la mère était là, pas forcément par choix, mais là tout de même. Ceci me fait marrer quand on parle de cette génération d'enfants de divorcés, qui vont être à moitié tarés parce qu'en manque de père ou de mère.
    Comme si les pères avaient toujours été présents.

    Alors soyez objectifs, et admettez que les féministes se sont également battu pour que les pères soient de vrais pères, et non plus que l'expression lointaine et absente de l'Autorité...

    :-B

  • @Audrey
    « Vous avez raison, il est proprement scandaleux que les femmes gardent cette main mise sur le travail domestique, le chômage, le sous-emploi et les temps partiels qui vont avec. Cette discrimination positive (;-)) est infâme! »

    Ça, c’est vous qui le dites ! Je n’ai jamais fait allusion à de tels propos. Il s’agit d’un défaut de pensée. Mais si vous liez en diagonale, on n’est nullement étonné de déceler de telles confusions mentales qui ne feront que s’amplifier au fil des jours, des mois, des années.

    En outre, si vous confondez un papillon avec un cloporte… c’est bien malheureux pour vous. Alors, désolé, même au motif de l’évolution darwinienne, je ne pourrai conclure que vous déraillez, comme régulièrement, par vos polémiques sur le CLVDP

    Je rappelle ici, que la perversion narcissique utilise la vérité quand ça l’arrange et le mensonge quand ça l’arrange aussi… pourvu d’être en situation favorable et pour retirer tous les avantages recherchés.

    Je suis encore obligé d’intervenir pour contrer vos mensonges, vos impostures, vos contrevérités,… ça fait plus de 15 ans que je suis drillé à ces polémiques. D’habitude, je réponds aux débiles, aux sots et aux imbéciles… par le silence.
    Mais je ne pense pas que vous faites partie de ce lot. Je vous ai bien cernée. D’autres aussi. Et je ne vais pas passer mon temps aux polémiques. J’ai d’autres choses plus importantes à réaliser. Je ne pourrai jamais arriver à échanger avec vous comme avec les gens violés et spoliés par l’ajustice (a : au sens de privation - par comparaison à : amoral) et par l’idéologie polluante des vaginocrates.

    Je viens encore de passer des heures au téléphone avec des parents (99 % de pères et 1% de mères) violés et spoliés par l’industrie du divorce, exploitant l’idéologie féministe victimaire. Et je ne peux que rapporter des faits et non pas des préjugés, de contre publicités, (je lis tous les post) comme vous voulez le prétendre, mais bien sur mon opinion personnelle basée sur des milliers de cas.

    Un petit aperçu sur:
    http://laviedeperes.over-blog.com/article-27417688-6.html#anchorComment
    http://laviedeperes.over-blog.com/article-16967115-6.html#anchorComment
    http://laviedeperes.over-blog.com/article-22843228-6.html#anchorComment

  • @ Pascale
    « (…) le combat (…) ne devrait pas avoir le même côté revanchard que vous semblez adopter par rapport aux féministes extrêmes ».

    Vous confondez… entre un combat pour l’égalité entre les femmes et les hommes et « un combat de revanchards » où revanchards signifie « qui cherche à se venger ».
    Il s’agit d’un défaut de pensée !

    C’est donc à tort que vous prétendez que j’adopte le même côté revanchard similaire au côté revanchard des féministes intégristes.
    Je précise que si le féminisme a bien œuvré pour plus d’égalité entre les femmes et les hommes, elles n’ont pas, que je sache, adopté un combat revanchard. Sauf les vaginocrates !

    Je pensais (et je m’en excuse) que vous saviez (mais c’est peut-être moins visible en Suisse qu’au Canada et aux Etats-Unis) qu’un plus faible mouvement extrémiste de gauche féministe (mais bien plus revanchard et bien plus criant) a infiltré le mouvement féministe traditionnel, qui le tolère. Il y a donc des dérives indécentes dans plusieurs objectifs.

    Dans le cas de violences conjugales, les mouvements de femmes sont à féliciter pour dénoncer les violences de leurs compagnons. Mais lorsque des mouvements d’hommes dénoncent les violences de leurs compagnes, on leur rit au nez, on les prend pour des nouilles, ou bien on les traite de revanchards ou encore de masculinistes. Tout ça pour les diaboliser. Tout cela en raison des clichés. De plus, les extrémistes féministes bloquent toutes les tentatives des hommes à dénoncer ces maltraitances.

    « Le féminisme a et a eu plus que raisons d'être, ceci n'enlève rien au souhait d'une impartialité idéale. »

    Bien sûr que oui !
    Et je n’ai jamais critiqué le mouvement féministe traditionnel.

    « En l'occurrence, il était question ici, je crois, avant tout de reconnaître la violence commise envers les hommes, et, parfois, l'injustice devant les juges. Ceci ne devrait pas passer par le déni de la souffrance de certaines femmes et de fustiger le féminisme, fut-il extrême. »

    Bien sûr !
    Je connais plusieurs femmes qui sont à la rue avec leurs enfants en raison de décisions judiciaires indécentes.

    C’est pour cette raison que les femmes et les hommes (de bonne volonté) doivent s’unir dans un même combat : celui pour l’égalité des chances (discrimination positive, terme controversé) entre les femmes et les hommes. Et ce, pour notre bonheur et avenir tant pour nous que pour nos enfants. N’en déplaise aux vaginocrates.


    « Je fais partie de celles, qui, même s'il m'arrive également parfois de les trouver extrêmes et quelque peu anti-hommes, les remercient car grâce à elles, la condition des femmes a fortement changé et elles nous ont donné la chance de choisir notre vie dans une société qui prend peu à peu compte des femmes comme individus et non plus comme une constante disponible et bienveillante. »

    Bien sûr que les mouvements féministes, les Institutions publiques féministes, et les politiques ont fait un travail remarquable pour les femmes. Et ce n’est pas encore suffisant, à l’heure actuelle ! Mais il faut être vigilante pour garder les acquis.

    « Contrairement à vous qui n'avez apparemment pas connu de domination dans votre famille, j'ai grandi en voyant ma mère telle une souris apeurée devant la toute puissance du mâle. »

    Je l’avais très bien ressenti par vos propos parfois hostiles à mes commentaires. Et je vous souhaite une vie bien meilleure.

    « Et le fait qu'elle était plus sensée, objective et plus apte à bien gérer sa vie et sa famille n'est jamais entré en ligne de compte. Tout ce qui me vient à l'esprit, c'est: plus jamais ça... »

    C’est souvent comme ça, malheureusement. Mais dans l’échec les deux partenaires sont responsables. A différents degrés, bien sûr. Je citerai un livre remarquable : « Qui sont ces couples heureux » de Yvon Dallaire, psychologue, sexologue, auteur, conférencier. 285 pages – 2006 – ISBN 2-922598-22-5 – Imprimé au Canada.

    « Ceci me fait marrer quand on parle de cette génération d'enfants de divorcés, qui vont être à moitié tarés parce qu'en manque de père ou de mère. »

    Pas toujours, mais c’est prouvé scientifiquement qu’ils sont, pour le moins perturbés et tout au plus violents, délinquants, criminels, suicidaires, psychopathes… si les mères les ont empoisonnés psychiquement par la manipulation mentale qui consiste à dénigrer leurs pères.

    Un enfant a besoin de sa mère et de son père. Des millions d’enfants du divorce auront moins de ressources pour gérer les conflits conjugaux. Par période, la moyenne est de trois ans de vie de couple. Il faut savoir que les séparations d’union libres sont plus nombreuses que les unions légales.

    « Alors soyez objectifs, et admettez que les féministes se sont également battu pour que les pères soient de vrais pères, et non plus que l'expression lointaine et absente de l'Autorité... »

    Si en Suisse, elles se sont également battues pour que les pères soient de vrais pères, et non plus que l'expression lointaine et absente de l'Autorité... alors, c’est merveilleux. Mais depuis des années ce n’est plus le cas, car des papas Suisses sont privés de vivre avec leurs enfants, comme en France, en Grèce, en Italie, en Belgique, en Allemagne, et ailleurs… et ils vivent difficilement car ils sont condamnés à payer des pensions alimentaires très importantes par rapport à leurs revenus. Sauf, au Canada, où les pères ne sont pas trop paupérisés grâce à une grille de calcul. Mais cela risque de changer (au Canada) où les mères auront plus d’avantages financiers à divorcer. La réforme est revendiquée par de puissants lobbys féministes extrémistes. Bien à vous

  • @ cLVPD

    Je ne vois pas trop en quoi vos différents liens viennent contredire mes "mensonges" sur le travail domestique, le chômage et le sous-emploi, "mensonges" dont la véracité est largement vérifiable sur le site de notre office de la statistique, avec des enquêtes qui prennent en compte les femmes et les hommes à parts égales.

    Ce que vous n'avez pas compris depuis le début, ce qui est étonnant vu que vous lisez tout, c'est que ce n'est pas votre combat pour faire reconnaître la violence faite aux hommes que je condamne, mais votre propension à l'amalgame et à voir les choses du côté qui vous arrange. Un exemple: la discrimination positive: attribuer systématiquement la garde des enfants aux mères n'est pas de la "discrimination positive". On parle de discrimination positive lorsqu'il s'agit d'accorder un avantage à un groupe actuellement discriminé (dans l'emploi, la politique, la formation). On ne voit pas bien en quoi un enfant pourrait entrer dans ce cadre. Or, toute forte que soit la discrimnation positive à votre sens, il semble qu'elle ne soit pas assez présente pour combler cette écart (minorisation en politique, dans les postes de direction, majorité du sous-emploi, etc., etc.). Si ceci est un mensonge et de la calomnie on ne doit pas vivre dans la même planète...

    Vous ne ferez pas baisser le taux de divorce. Dès lors Pascale a raison. Au lieu donc de vous battre contre une justice qui serait devenue "féministe" et de continuer à prôner la différenciation des rôles sur votre site (plus le nom de l'article mais un développe très clairement une apologie du code napoléon, qui comme vous devez le savoir faisait des femmes des totales mineures sous la coupe de leur mari), il serait beaucoup plus profitable à votre cause de vous rendre compte que si la justice attribue aussi facilement la garde aux femmes c'est aussi parce que notre société considère toujours que l'éducation d'un enfant est d'abord et avant tout le rôle d'une femme. Vous pouvez vous moquer lorsque je parle de congé paternité, de tâches domestiques et de contraception masculine. Il n'empêche que ce sont tous ces éléments qui pourront permettre aux pères d'être reconnus dans un rôle actif, et plus seulement dans celui du pourvoyeur de fonds, puis pourvoyeur de pension. Cela fait intégralement partie de la reconnaissance des pères comme actifs à part entière dans leur relation à l'enfant et ce combat ne peut véritablement avoir de sens sans cette base. Si beaucoup d'associations s'occupent de ceci en Belgique, je peux vous affirmer ne pas en avoir entendu en Suisse...Au contraire lorsqu'on en parle on a l'impression que l'on propose de castrer les hommes dans leur virilité, cf. plus haut.

    Le problème je le redis dans votre site ce n'est pas la cause qui est défendue, mais le discours double qui le soutien et rend vos revendications fragiles. On ne peut pas à la fois prôner le modèle d'antant et revendiquer une nouvelle paternité, c'est un contre-sens.

  • @Mimi

    Vous m'avez devancée car je me préparais à faire un commentaire dans ce sens. Mais le vôtre est éloquent de vérité. Je n'aurais pu faire mieux. Nous partageons les mêmes idées comme une bonne majorité de femmes.

    "Elles les remplacent par des accessoires disponibles en sex-shops ou vendus en home-party (mode Tupperware) sous couvert d’acheter de la lingerie sexy".

    Lollllll cela vous me l'apprenez! Les "poupons gonflables" (ça existe?) n'auraient de toutes façons pas fait recette avec elles. Un robot sûrement! :))

    "Domestiquer" l'homme? ok à condition qu'elles fassent leur service militaire air, terre, marine et qu'elles aillent au front en premières lignes en cas de guerre! Qu'elles s'engagent comme pompières ou dans des équipes de sauvetage (montagnes et mer) etc etc C'est ça l'égalité....ils ne peuvent pas enfanter... à moins que cela aussi elles le revendiqueront! Sait-on jamais!

    Personnellement je n'aimerais pas avoir au lit un homme/ménagère... à ce régime ce sera une fois par mois! Mdr mdrrrr C'est la différence entre le donneur et le receveur.

    En somme ça discute pour les w-e et les jours fériés? La semaine, les enfants étant à la crèche ou à l'école la journée! J'oubliais...il faut s'occuper de SES ENFANTS le soir!!! Mettre la vaisselle dans la machine, ou le linge? "comme on fait son lit on se couche." C'est soit le boulot soit les enfants! La vie est faite de concessions et de sacrifices. Celles qui ne l'ont pas compris, je leur conseille le célibat!

    Bien à vous Mimi

  • Lausanne: "ELLE A NOYE SON FILS POUR SE VENGER DE SON MARI"

    En 2007,une Suissesse de 38 ans a noyé son fils de six ans et demi dans sa baignoire.
    Ce drame s'inscrit das un contexte de conflit conjugal aggravé par les troubles psychologique de la mère. Elle a dit avoir agi par vengeance: elle haïssait son mari et cette haine s'est reportée sur leur fils. (...)

    Lors d'une première tentative de suicide en 2004, sont époux avait quitté le domicile conjugal sur conseil d'un médecin pour prendre un peu de recul (...) " Je me sentais seule.Je ressentais de la colère et de la souffrance envers mon mari et ma famille qui prenait son parti" (...) Selon les spécialistes qui l'ont suivie durant son incarcération, ele présente un trouble de la personnalité "bordeline" (...) 20 mn du 26 mai.

    J'attends avec impatience le verdict de ce procès!

    Bébé abusé sexuellement: mère punie (?)

    Vienne: La mère d'un bébé de 17 mois décédé après que son ex-conjoint eut abusé sexuellement de lui a été condamnée hier à un an de prison pour manquement à ses devoir parentaux. "Vous avez livré le petit Luca à son tortionnaire" (...) L'abuseur du bébé, agé de 24 ans a été condamné à la prison à vie!

    Tant pour lui, la condamnation est exemplaire, elle, en revanche, s'en sort trop bien! Elle est autant coupable! Un bébé? Quelle abomination!

    Strasbourg: Un gendarme de 43 ans, père de 5 enfants, a émasculé l'amant de sa femme, un homme marié de 54 ans!

    Et l'autre le zoophile qui a violé la chienne de son voisin?!!!!!

    Quelle vie!!!!

  • @ Patoucha... euh... un homme qui sait faire le ménage n'est pas "baisable"??!! Pourquoi donc?? L'aspirateur lui ferait-il perdre sa virilité???
    A la maison (quand j'arrive à lui mettre 2-3 coups de pieds aux fesses pour qu'il comprenne que je suis pas sa mère... qu'on est 2 à dégueulasser l'appart donc 2 à devoir le nettoyer) mon mec et moi nous répartissons les tâches... Pourtant pas 1x il ne m'est venu à l'esprit que le fait de le voir nettoyer les toilettes ou passer la serpillère le rendait moins viril...
    Vous êtes assez primaire dans votre genre Patoucha... c'est vraiment dommage...

  • @ Boo

    "Pourtant pas 1x il ne m'est venu à l'esprit que le fait de le voir nettoyer les toilettes ou passer la serpillère le rendait moins viril..."

    ;-)

    D'ailleurs je dirais même plus: la chaleur de ces jours aidant, la séance de serpillère peut même se transformer en une expérience très "caliente". Imaginez monsieur en nage passant la serpillère dans un petit caleçon! On pourrait quasiment en faire une publicité;-)

    Un homme qui sait conserver sa "virilité" en toute situation, c'est ça qui est sexy finalement...

  • Exact Audrey... et puis bon... si un homme n'est pas viril sous pretexte qu'il a un aspirateur entre les mains je doute qu'il l'ait été un jour :/

    Et pour le coup de la serpillère en petit caleçon... merci pour l'idée ;))

  • Exemple de déni d’égalité des chances entre les femmes et les hommes en Belgique.
    Quid en Suisse ?

    Voici mon compte rendu de la soirée débat du 10 décembre 2008, Journée Internationale des Droits de l’Homme.

    1ère remarque : il n’y a aucun homme représentant la LDH. Le féminisme a donc réussi à l’intégrer.

    Bonjour,

    Voici mon compte rendu de la soirée-débat (60ème anniversaire des droit de l'homme, des femmes aussi?) qui c'est tenu à la Maison Communale d'Evere ce 10 décembre 2008 à 20h.

    Tout d'abord, présentons les intervenantes qui se disent toutes féministes: Fatiha Saidi, Echevine de l'égalité des chances d'Evere qui invite à cette occasion autour de la thématique de l'évolution du droit des femmes en Belgique durant ces 60 années.

    Gratia Pungu, experte en matière d'égalité des chances animera la rencontre.

    Eliane Vogel-Polsky, avocate ayant collaboré à l'élaboration de la charte européenne pour l'égalité des femmes et des hommes. Son discours était théorique et plein de clichés des années 50! Dans une société régie par le patriarcat! Où la femme n'a de droit qu'a travers son MARI! C'était un peu "rassembleur".

    Ouarda Derriche, présidente de la commission des femmes, de l'égalité des chances et de la diversité à la ligue des droits de l'homme. Elle présenta surtout la position des femmes hors Europe (Africaines) et la continuité de leur état en Belgique.

    Brigitte Grouwels, secrétaire d'Etat à la Région de Bruxelles-Capitale chargée de l'égalité des chances. En bonne politicienne féministe, c'était un compte rendu des acquis présent et avenir et notamment les différences de parités dans les positions de pouvoir, les violences conjugales et les pensions alimentaires (SECAL).

    À la fin de leur présentation, Gratia Pungu demande à l'assistance s'il y a des questions:

    Je me présente comme Père militant depuis de nombreuses années pour l'égalité parentale et contre le SAP.

    Déjà, un froid s'installe.

     Je demande : pourquoi les féministes n'en veulent pas ?

    Aucune réponse.

    Gratia Pungu veux me faire taire.

     Je demande : si l'on peut considérer comme violences conjugales le chantage aux enfants que font les femmes lors de mésententes ?

    Aucune réponse.

    Je demande alors : pourquoi on ne veut pas d'un Juge des familles ?

    Aucune réponse.

    Gratia Pungu insiste à me faire taire et veux faire reprendre les allocutions.

    Je demande alors : pourquoi il n'y a pas de parité dans les SDF et là, c'est la petite assemblée (20 personnes) qui demande à me faire taire.

    J'attends la fin des allocutions afin d'avoir l'opportunité d'en discuter lors du drink.

    Une féministe me prend à parti et s'envenime en me disant que mon discours/attitude était agressif! Et qu'il valait mieux que nous "combattions" dans le même sens!

    Au bar, je retrouve Gratia Pungu, Eliane Vogel-Polsky et Brigitte Grouwels, j'évoque rapidement le fait que je ne vois plus ma fille depuis 7 ans, Brigitte répond qu'elle connait un Père qui depuis 10 ans n'a plus de contact avec ses enfants et que si nous voulions l'égalité, c'était aussi dans le ménage!

    Et me rappelle, en me disant que la loi de l'hébergement égalitaire de 2005 allait trop loin et était en défaveur des femmes!

    Je lui demande : pourquoi, puisque nous avons enfin une loi égalitaire ?

    Pas de réponse.

    Là Gratia évoque le Bien des enfants.

    Je leur rappelle que le Bien des enfants c'est le contact avec leurs deux parents en toute égalité de pouvoir et que dans l'élaboration de la politique familiale.

    Autour de la table était des associations familiales, associations de femmes mais pas d'associations de Pères ou d'hommes.

    Plus aucuns commentaires! Je quitte ces féministes!

    ATTENTION PÈRES RASSEMBLONS NOUS!

  • Je viens de lire les derniers commentaires, mais ce monsieur CLVPD semble avoir quelques connections manquantes, aveuglé peut-être par des expériences personelles difficiles. Quant à Patoucha, Sainte-Patoucha faudrait-il dire, de quelle église sort-elle? Raisonnement d'un autre âge, rancoeurs contre les "féministes", soumission à la pensée conservatrice et famille nombreuse, ça sent la religion à plein nez. Méchancetés en guise d'arguments, complexes de supériorité, et donneuse de leçon, ça affine encore le tableau! quel personnage déplaisant.

  • @ légensontétranges

    Pourquoi venir sous un déguisement déverser votre fiel? Quel manque de courage!

    ça sent la religion à plein nez.

    Débouchez-vous le nez!

  • @ Patoucha
    Vois-tu bien Patoucha comment cette « légensontétranges » féministe extrémiste pollue les idées des gens qui veulent vivre dans une société plus harmonieuse, et pour promouvoir l’égalité entre les femmes et les hommes. Des féministes telles que « légensontétranges » « Audrey » et consorts… ne travaillent que pour monter les femmes contre les hommes. C’est bien là leurs missions. En effet, les mouvements féministes (intégristes, déviants) obtiennent de très gros subsides et pour avoir encore plus de subsides, elles suscitent les conflits entre les femmes et les hommes. Elle promeuvent la guerre des sexes, avec toutes les conséquences que cela représente.

    Pensent-elles pouvoir incarcérer encore plus de pères de familles sous leurs simples accusations, fausses, de violence, d’attouchement sexuels sur leurs enfants (accusations types et généralisés – où je ne comprends toujours pas comment les juges n’aient pas la puce à l’oreille).


    Imagine-t-elle que s’il y avait de plus en plus d’hommes en prison… qu’elles pourraient les remplacer dans leurs boulots ? Sont-elles conscientes de ce qu’elles font ?

    De plus en plus de femmes réalisent que ces féministes de ce bord, font du tort… à la société toute entière. Pouvez-vous calculer les pertes économiques que la « guerre des sexes » coûte aux Pays, comme en Suisse, comme au Canada, comme partout ailleurs où ces injustice exploitent ces guerres des sexes ? Homme Libre pourrait répondre à cette question, je suis bien sûre.

    Vous avez ma considération, Patoucha, non pas parce que vous avez les mêmes idées que moi… mais parce que vous avez découvert, comme moi, que les vaginocrates « emmerdent » les hommes, leurs enfants, donc « emmerdent » une grande partie de la société. Nous devons lutter, non pas contre elles, mais contre leurs faux discours, avec le respect, élégance, sourire,… et bien montrer que nous ne sommes pas des gens agressifs. L’on remarque toujours où se situe la haine, l’agressivité, l’intolérance, le racisme de genre sexué,… L’on voit clairement quels sont les gens bien intentionnés, les malintentionnés ; les bien-pensants et les débiles mentaux ; bref, les gens qui veulent tirer la société vers le haut et les gens qui l’entraînent vers le bas… On choisi son camps. Il n’y a plus guère de guerres, ayant besoin des chaires à canon, mais… d’autres guerres… malheureusement ! Et, ici, sur cette page, on peut y déceler tous les « éléments » qu’utilisent ces personnes hostiles. Bien à vous, Patoucha. Je termine, ici, car mon travail m’appelle. Bien à vous.

  • @ Mimi... vous trouvez que Patoucha promeut l'égalité entre les sexes? Moi pas... au contraire... je trouve qu'elle souhaite que les hommes restent cantonnés dans leur rôle de macho primaire (un mec qui passe la serpillère!??? quelle horreur pour Patoucha!!!)
    Vous parlez sans cesse de ces féministes qui veulent faire arrêter leurs époux sur la base de faux témoignages dans le seul et unique but de se venger d'eux... et je me dis que je ne peux qu'avoir pitié de vous... c'est aussi ridicule d'affirmer que toutes les féministes sont de cette trempe que d'affimer que tous les hommes sont des violeurs...
    Il y a des féministes extrémistes, comme des religieux extrémistes... comme il en existe des modérés...
    En quoi le fait de réclamer un salaire égal, d'attendre de son conjoint un invesstissement similaire dans l'éducation de nos enfants est-il qqch de condamnable?
    Bien que n'étant pas d'accord avec les propos tenus par légenssontétranges... je peux comprendre l'incompréhension que peuvent susciter certains de vos commentaires et ceux de Patoucha...
    Vous affirmez que notre but est de descendre les hommes, les rabaisser etc... mais voyons pas du tout!!! Vous êtes pires que ces féministes intégristes avec vos généralités!!!

  • La diabolisation de l’homme violent
    Sur les problèmes de la violence faite aux femmes par les hommes et aux hommes par les femmes, je vous renvoie (en fichier joint), si vous êtes intéressés, à La diabolisation de l’homme violent du chapitre 5 de la partie 2 de : Le féminisme et ses dérives. Du mâle dominant au père contesté. (4-5 pages du livre, mais peut-on faire plus court sur un sujet aussi vaste ?)
    Il me semble que pour cette question, la bataille des chiffres ne pourra jamais régler le malentendu (les mâles seraient-ils encore entendus ?) qui a son origine dans la dénégation de la différence des sexes !
    Dénégation de la différence des sexes qui reste, il me semble, la grande dérive de l’idéologie féministe dominante… qui ne sera pas rectifiée tant que ses adeptes refusent de se poser des questions et se donnent bonne conscience en taxant toute critique de réactionnaire…
    Mais puisqu’il ne faudrait pas réagir contre le conservatisme féministe … agissons ! …
    Bonne lecture

    Jean GABARD
    42520 Maclas Fr.
    http://blogdejeangabard.hautetfort.com
    http://www.jeangabard.com
    jean.gabard@gmail.com

  • Boo: Patoucha... euh... un homme qui sait faire le ménage n'est pas "baisable"??!! Pourquoi donc??

    C'est l'homme qui l'est maintenant? Vous portez le pantalon dans le couple?

    A la maison (quand j'arrive à lui mettre 2-3 coups de pieds aux fesses pour qu'il comprenne que je suis pas sa mère...

    ? Vous avez apparemment épousé une mauviette? Encore un cas de violence!

    Vous êtes assez primaire dans votre genre Patoucha... c'est vraiment dommage...

    Et vous dans votre genre, vous êtes quoi? Heureusement que vous ne représentez pas la majorité des femmes, parce que là il y aura à craindre pour la virilité des hommes!

    Pour des femmes qui se disent "débordées" par les tâches familiales, vous trouvez tout de même du temps à consacrer à votre ordinateur? Mais oui! Où avais-je la tête? "2-3 coups de pieds aux fesses" et le tour est joué!

    NB: N'oubliez pas d’acheter à votre "homme" de la lingerie sexy ça fera plus "caliente" :)))

  • Ma pauvre Patoucha... il faut retourner à l'âge de pierre... vous savez là ou les hommes trainaient leur femmes par les cheveux...

    "C'est l'homme qui l'est maintenant? Vous portez le pantalon dans le couple?"

    Non mais excusez moi... un homme ne doit pas être désirable?? Parce que vous vous êtes mise avec votre mec pour quoi? Le cash parce que vous arrivez pas à subvenir seule à vos besoins? Vous n'avez pas envie de lui? Et quand il vous dit d'écarter les cuisses vous le faites sans rechigner mais sans en avoir envie? Si c'est pas beau ca... Perso vous m'excuserez mais j'aime quand mon mec me donne envie de lui... après chacun son délire

    "? Vous avez apparemment épousé une mauviette? Encore un cas de violence!"

    C'était une figure de style... je ne frappe pas mon conjoint... pas plus que lui lève la main sur moi... mais alors quoi nous n'avons pas le droit de demander à nos conjoints de nous aider aux tâches ménagères? C'est une mauviette de prendre le temps de faire le ménage pour que je puisse également me consacrer à moi? Je rêve...

    Je ne suis pas mariée... n'ai pas d'enfants... et oui vu qu'il joue 2fois par semaine au foot, va 2fois au fitness... je trouve normale de lui demander de temps en temps de prendre le temps de s'occuper de NOTRE intérieur pour que je puisse moi aussi avoir du temps libre pour vaquer à mes occupations...

    Vous êtes ,ma pauvre Patoucha, coincée dans les années ou les femmes n'avaient pas le droit d'avoir de vie en dehors de la famille, ni de plaisir ou même ressentir de désir sexuel... je vous plains vraiment...

    NB... la lingerie je l'achète pour moi, pour faire plaisir à mon chéri quand il faut... eh oui il faut savoir attiser le désir... parce que j'imagine que chez vous ça doit donner sacrément envie une potiche plantée devant la télé avec de la crasse sous les ongles... qui ne sait mm plus prendre soin d'elle parce que "ah quoi bon je sors de chez moi uniquement pour faire des courses et pour amener la marmaille à l'école"
    Attention les hommes se lassent vite des femmes/bobonnes... ;)))

  • Pour info Patoucha... la plupart des hommes n'aiment pas l'idée d'avoir une femme/bobonne/maman à la maison... ou alors ils ont la maitresse dans le coin pour vivre leurs fantasmes...

  • @ Boo
    Soit on ne comprend pas des sujets complexes… alors on s’informe, on s’instruit. Le manque de savoir n’est pas condamnable. Ce qui est indécent, mais assez courant, c’est de constater que des personnes s’expriment alors qu’elles « ne savent pas ». On peut encore leur expliquer des choses qu’elles ne connaissaient pas. Moi-même je ne connaissais pas toutes les horreurs liées à la problématique globale de la violence conjugale. Une amie, journaliste, juriste (et d’autres) ne connaissait pas non plus toutes ces horreurs sociales (c’est notre rôle d’informations) jusqu’au jour où elle-même fut à deux doigts d’être SDF, en raison des fausses accusations de son mari, à son égard. Oui, depuis quelques temps, des hommes utilisent les mêmes et bons procédés « où tous les coups sont permis » pour divorcer. Les « trucs infernaux » que les juristes des « maisons pour femmes battues » ont utilisé pour « liquider » les compagnons devenus encombrants… (des femmes jettent les hommes comme des Klinex) se retournent contre cette idéologie partagée par une partie féminine de la société : les féministes qui ont la haine des hommes : les intégristes, victimaires, doctrinaires (c’est selon) que l’on peut différencier des bonnes féministes… comme Elisabeth Badinter, Lise Bioldeau, pour ne citer que ces femmes et comme des millions d’autres femmes qui n’ont pas la haine des hommes.

    Ceci dit, pour vous préciser que lorsque l’on critique les féministes, il est vrai, et c’est regrettable, qu’il y a confusion entre les bonnes féministes, et les féministes indécentes. Pour vous expliquer d’avantage, il y a assez des Sites et Blogs sur le sujet : plus de 2 millions créés rien que par des hommes et pères violés de leurs droits fondamentaux.

    Je dois forcément être d’accord avec vous lorsque vous dites :
    (sic) « c'est aussi ridicule d'affirmer que toutes les féministes sont de cette trempe que d'affimer que tous les hommes sont des violeurs »

    Pour le reste, c’est pareil… vous transposez mes propos dans un autre contexte en écrivant :
    (resic) « Vous affirmez que notre but est de descendre les hommes, les rabaisser etc... mais voyons pas du tout!!! »
    Vous marquez bien votre territoire sur cette page ! Vous voulez passer pour une féministe décente.

    Mais (peut-être par traitrise), vous vous dévoilez ensuite. Je le décèle immédiatement, par ce que vous écrivez ci-dessous :
    « Vous êtes pires que ces féministes intégristes avec vos généralités!!! »
    Mon diagnostic : (mais je peux me tromper) Vous avez une tendance à la vaginocratie, pour ne pas dire que vous êtes une vaginocrate à 100 %. Vous pouvez guérir de cette pathologie psychique, si toutefois vous serez motivée pour vivre en paix avec vos semblables. Surtout avec les hommes ! Je suis presque sûre que vous n’avez pas d’enfants. Une bonne mère ne parle pas comme ça ! Même après une séparation, elles respectent leurs ex. J’en connais assez pour ne pas passer pour quelqu’un qui fait des amalgames basés sur sa propre expérience ! Mais ceci est un autre sujet / débat.
    Je clôture les échanges, car ça pollue trop ce Site. Je suis aussi assez écologique.

    Mais j’ajoute encore qu’après avoir lu votre commentaire ici dessus, répondu à Patoucha, sur sa condition de femme… vous m’écoeurez, et donc je ne vous adresserai plus un seul mot. Vous venez de démontrer votre statut de féministe –vaginocrate-victimaire-revancharde-intégriste,… Bref, je ne pense pas que vous pourrez vous en sortir indemne de ces pathologies. Mais j’espère me tromper.

  • Boo, pour ce qui est de la maîtresse, il me semble que vous connaissez bien le sujet ! L'homme n'est pas fait pour, par exemple, faire la vaisselle, c'est le rôle de la femme, du reste si elle a des pieds plus petits que ceux des hommes, c'est pour être très près de l'évier ! Et, je le répète, "La femme au foyer" comme disait Landru !! Bisous !

  • @ CLVDP
    "« Vous êtes pires que ces féministes intégristes avec vos généralités!!! »
    Mon diagnostic : (mais je peux me tromper) Vous avez une tendance à la vaginocratie, pour ne pas dire que vous êtes une vaginocrate à 100 %. Vous pouvez guérir de cette pathologie psychique, si toutefois vous serez motivée pour vivre en paix avec vos semblables. Surtout avec les hommes !"

    Don le fait que je reprennes les propos de qqn pour les retourner contre lui en lui faisant remarquer qu'ils s'abaisse aux mêmes stupidités que ses détracteurs c'est avoir une pathologie psychique... AHHHAHAHAAH... merci docteur pour votre superbe analyse... m'en vais de ce pas me faire soigner tiens!! LOL

    "Mais j’ajoute encore qu’après avoir lu votre commentaire ici dessus, répondu à Patoucha, sur sa condition de femme… vous m’écoeurez, et donc je ne vous adresserai plus un seul mot."
    Donc encore une fois... le seul fait que je demande la répartition dans les taches ménagères fait de moi une vaginocrate, féministe intégriste? Eh bien... soit... j'assume... pfffff
    Pour le reste... Bon vent :)

    @ Oh que ta verge est belle... Mais certainement... d'ailleurs l'homme ne devrait jamais jamais jamais devoir faire le ménage! Et je suis sûre que si on fait des tests scientifique on arrive à prouver que le ménage est en réalité inscrit dans le code génétique de la femme ;)))

    Bisous

  • Au fait... j'avais lu votre post en digonale et je me permet de reprendre 1point..

    "Je suis presque sûre que vous n’avez pas d’enfants. Une bonne mère ne parle pas comme ça ! Même après une séparation, elles respectent leurs ex."

    Ah c'est bon... décidémment vous avez complètement pété une durite!!!

    Parler comment svp?? Vous me prenez pour une autre p-e!!! De quel ex parlez vous??!! A qui donc ais-je manqué de respect??!!! Vous êtes à côté de la plaque!!
    Je n'ai jamais porté de fausses accusation sur qui que ce soit, pas vécu de divorce et en effet je n'ai pas d'enfants... mais d'ici là mon discours ne changera pas...
    A quel moment ais-je dit que je cautionnais les agissements de ces femmes extrémistes qui font des amalgames entre supériorité et égalité??!!! Jamais...

  • @ Mimi
    "Pensent-elles pouvoir incarcérer encore plus de pères de familles sous leurs simples accusations, fausses, de violence, d’attouchement sexuels sur leurs enfants".

    N'ayez aucune crainte là! A l'allure où elles vont, c'est bien le contraire qui risque de se produire!

    "comme moi, que les vaginocrates « emmerdent » les hommes, leurs enfants, donc « emmerdent » une grande partie de la société".

    Elles se ridiculisent plus qu'autre chose!Elles semblent surtout avoir raté leur vie de couple ou leur vie tout court(?) faisant de leur cas une généralité! Le comble c'est qu'elles nous plaignent et portent un jugement de valeur sur NOTRE vie?!!!!!

    Bien à vous, je quitte aussi!

    Patoucha

  • C'est marrant comme les gens qui attaquent les soi-disant féministes intégristes que nous sommes ne ramènent que pour exemple ces folles furieuses hystériques qui tentent de ruiner la vie de leurs ex-conjoints...
    Pas une fois je n'ai abordé ce sujet!! Je trouve personnellement que nous sommes plutôt bien loties en Suisse... en comparaison avec des pays comme l'Iran (ou je pense que Patoucha saurait trouver ses repères bien plus facilement qu'ici avec toutes ces vilaines qui travaillent et qui ont une vie sociale... quel scandale...) les seuls sujets que j'ai abordé sont : le ménage (c pas la fin du monde et pourtant j'ai droit à des "ton mec c'est une mauviette si il passe l'aspirateur" on est au jardin d'enfants là??!!) et le respect...
    Encore une fois... je revendique nos différences... mais pour le moment le respect n'est pas de mise et bien trop souvent nous sommes dénigrées par notre simple statut de femme...

    Sinon ... j'aimerais juste dire que toutes ces femmes (soi-disant féministes) folles furieuses qui trainent leurs ex au tribunal pour les souiller et les ruiner... eh bien si elles bossaient le problème ne se poserait pas...
    Pour le reste... je suis pour la garde alternée en cas de divorce, parce qu'il est plus que naturel que l'enfant ait besoin de ses 2parents... toutefois... je me pose la question... comment s'en sortira-t-il si le pauvre ne sait pas ce que c'est un aspirateur, ne sait pas cuisiner autre chose que des pates, etc.. pensez y mesdames et messieurs qui revendiquez le fait que la différence passe par le manche à balai :)

  • Ah Octave! On attendait plus que vous pour clôturer en beauté ce sordide sujet!

    Le niveau de débat atteint (osez me contrer et je vous traiterai de vagino-hystérico-malado-mentale misandre qui s'ignore, ourdisseuse du complot mondialo-féministe, dangereuse et perverse, que dis-je: "vénale", "cloporte", "vicieuse") aura prouvé qu'il y a des gens avec qui on peut discuter (puisqu'ils semblent intervenir ici depuis longtemps sans que ça ne provoque de telles insultes), et puis d'autres, présumés pacifistes, qui ne semblent pas pouvoir mener un débat décent.

    Une petite "statistique"? ;-)

  • C'est marrant comme les gens qui attaquent les soi-disant féministes intégristes que nous sommes ne ramènent que pour exemple ces folles furieuses hystériques qui tentent de ruiner la vie de leurs ex-conjoints...
    Pas une fois je n'ai abordé ce sujet!! Je trouve personnellement que nous sommes plutôt bien loties en Suisse... en comparaison avec des pays comme l'Iran (ou je pense que Patoucha saurait trouver ses repères bien plus facilement qu'ici avec toutes ces vilaines qui travaillent et qui ont une vie sociale... quel scandale...) les seuls sujets que j'ai abordé sont : le ménage (c pas la fin du monde et pourtant j'ai droit à des "ton mec c'est une mauviette si il passe l'aspirateur" on est au jardin d'enfants là??!!) et le respect...
    Encore une fois... je revendique nos différences... mais pour le moment le respect n'est pas de mise et bien trop souvent nous sommes dénigrées par notre simple statut de femme...

    Sinon ... j'aimerais juste dire que toutes ces femmes (soi-disant féministes) folles furieuses qui trainent leurs ex au tribunal pour les souiller et les ruiner... eh bien si elles bossaient le problème ne se poserait pas...
    Pour le reste... je suis pour la garde alternée en cas de divorce, parce qu'il est plus que naturel que l'enfant ait besoin de ses 2parents... toutefois... je me pose la question... comment s'en sortira-t-il si le pauvre ne sait pas ce que c'est un aspirateur, ne sait pas cuisiner autre chose que des pates, etc.. pensez y mesdames et messieurs qui revendiquez le fait que la différence passe par le manche à balai :)

  • @ Patoucha

    "Elles se ridiculisent plus qu'autre chose!Elles semblent surtout avoir raté leur vie de couple ou leur vie tout court(?) faisant de leur cas une généralité!"

    vraiment? c'est nous qui nous ridiculisons? pourtant... j'ai bien réussi professionellement.. j'ai un ami charmant avec qui je vis depuis un petit moment... je ne suis pas encore en âge de me marier et de fonder un foyer mais ça viendra... chaque chose en son temps :)

    Vous revendiquez le fait de rester à la maison... et d'être au service de votre mari et de vos enfants... sans vouloir être méchante (quoique... je v pas me gêner vu que vous non plus...)
    A la fin de la journée êtes vous payée? Votre mari vous dégonfle-t-il après coup?
    Parce qu'à voir comme vous en parlez... vous avez l'air sacrément malheureuse!!!

  • Boo "Et quand il vous dit d'écarter les cuisses vous le faites sans rechigner mais sans en avoir envie? Si c'est pas beau ca.."

    Effectivement pas bien beau ça! lolllllll Vous êtes la vulgarité personnifiée!

    "... la lingerie je l'achète pour moi, pour faire plaisir à mon chéri quand il faut... eh oui il faut savoir attiser le désir... "

    Comprenez ce qu'on vous écrit!

    "parce que j'imagine que chez vous ça doit donner sacrément envie une potiche plantée devant la télé avec de la crasse sous les ongles... qui ne sait mm plus prendre soin d'elle parce que "ah quoi bon je sors de chez moi uniquement pour faire des courses et pour amener la marmaille à l'école"

    Mdr mdrrrrrrrr mdrrrrrrr Si vous saviez?!!!!!!!

    Allez vous occuper de vous lolllllll emais avant n'oubliez pas de nettoyer votre clavier! :))))

  • Bonne continuation là je quitte vraiment!

  • J'avais très bien compris votre allusion ma chère patoucha... et je répète... la lingerie je l'achète pour MOI...

    Vous parlez de vulgarité... j'espère que c'est une blague ;)))
    mais je dois avoir vu juste... c'est triste je vous plains sincèrement...
    Bonne continuation

  • @ Patoucha

    "Allez vous occuper de vous lolllllll "

    merci du conseil :)) m'en vais de ce pas boire un petit vin rosé au bord du lac avec des amis avant de rentrer faire des pizzas à la main pour mes copines... on fait soirée match ;))

    Bonne vaiselle/ménage/torchage de cul/pénitence au lit...
    AHAHAHAHAAHAHAH

  • @Patoucha

    ce que Bo écrit :
    « A la maison (quand j'arrive à lui mettre 2-3 coups de pieds aux fesses pour qu'il comprenne que je suis pas sa mère... » ?

    Oui, c’est bien un cas de violence de la part de sa femme ! Et il faudrait que son mari dépose plainte à la police, afin qu’il ne soit plus battu

    Patoucha, JE SUIS MDR quand je vous lis :

    "Pour des femmes qui se disent "débordées" par les tâches familiales, vous trouvez tout de même du temps à consacrer à votre ordinateur? Mais oui! Où avais-je la tête? « "2-3 coups de pieds aux fesses" et le tour est joué! »

    "NB: N'oubliez pas d’acheter à votre "homme" de la lingerie sexy ça fera plus "caliente" :)))"

    J’imagine la scène !!! :-))))))))))))))))))) lorsqu’elle lui flanque 2-3 coups de pieds aux fesses… et qu’il se lève pour faire le ménage, pendant qu’elle surfe sur Internet pour nous critiquer, nous insulter,…

    Je propose d’appeler ces féministes revanchardes (pour les différencier des bonnes féministes) des féministes dé dénégationnistes. En effet, dénégation consiste à refuser de reconnaître l’exactitude d’une affirmation de l’autre, ici, sur sa violation, sa spoliation, sa souffrance,…

    Patoucha, je vous invite à rejoindre le groupe international des humanistes (femmes et hommes) qui luttent pour l’égalité des chances entre les femmes et les hommes.
    Contactez donc Homme Libre, pour vous y inscrire. Nous avons tellement besoin de gens comme vous pour contrer les exactions de ces indésirables.

  • @ CLVDP.. je reprend parce que visiblement vous êtes un peu abruti...

    Donc... les 2-3 coups de pieds aux fesses c'était une IMAGERIE... à prendre au second degré... décidemment certains ont du mal...

    Ensuite... je n'ai jamais surfé sur le net pendant que M. faisais le ménage... en fait lorsque nous sommes les 2 à la maison et qu'il y a du ménage à faire NOUS NOUS REPARTISSONS LES TACHES (purée il me semble que c pas compliqué!!!) il va passer l'aspirateur, ou faire la vaiselle, pendant que je nettoyerais la salle de bains... ou vice-versa...
    En quoi donc est ce dégradant?? Seriez vous un menteur CLVDP?!! Un macho rétrograde sous des airs d'égalitaire??!! Ne faites vous donc jamais le ménage??!!

    J'ai tenté de m'expliquer cordialement avec vous... impossible... je ne vais donc plus essayer... le plus je vous dis que je revendique nos différences hommes et femmes, le plus vous me trouvez des histoires abracadabrantes pour me contrer sur des sujets que je n'ai même pas abordé!!
    Je vous laisse donc dans votre paranoia d'homme emasculé (mon pauvre...)

  • Deux fois plus d'hommes victimes de violence conjugale physique sévère que de femmes...

    C'est ce qui ressort d'un sondage scientifique important réalisé par l'Agence de Santé du Saguenay-Lac-St-Jean jusqu'ici resté secret parce qu'il contredisait les affirmations victimaires du lobby féministe et surtout qu'il allait à l'encontre des fausses statistiques en matière de violence conjugale utilisées par le Ministère de la Santé et des Services sociaux depuis les années 80.

    Une copie de ce sondage et des rapports relatifs à celui-ci ont été obtenus par l'équipe de recherche de L'APRÈS-RUPTURE en février dernier grâce à la Loi d'accès à l'information... ( En ligne : http://lapresrupture.qc.ca/saguenay.html )

  • A part ca... j'ai l'impression que certains d'entre vous dans votre souci de vous convaincre que nous ne sommes que des féministes revanchardes extrémistes afin de vous défouler sur nous, ne prenez même pas le soin de lire nos posts correctement... si vous le faisiez il y aurait p-e moins de malentendus... mais il semblerait que vous vous complaiiez dans ce rôle de "victime du féminisme"... continuez comme ca...

  • "Deux fois plus d'hommes victimes de violence conjugale physique sévère que de femmes..."

    Mais c'est pas vrai!!!!! Vous étiez un homme battu ou quoi???!!!!

    A QUEL MOMENT AVONS NOUS ABORDES CE SUJET!!!????

    Sinon vous sauriez que je trouve la violence féminine aussi répréhensible que la violence masculine...

    Vous reprochez aux féministes intégristes de constamment jouer sur le fait que ce sont des femmes et se mettre en position de victimes...
    MAIS VOUS FAITES QUOI VOUS??!!!
    C'est pathétique au possible... arrêtez sérieux vous êtes plus crédible!!! c'est pas possible de chialer sur son sort toute la journée sérieux vous faites comment??!!!

  • Boo… allez vite faire vos pizzas à la main pour vos copines !!!... au lieu de polluer ce site !

    Si vous les réalisez dans les mêmes conditions de connaissance culinaires que vos connaissances sur notre idéologie… alors vos pizzas ne seront que des pâtes à entarter vos copines. :-)))))))))))))))))))))))))))) Bonne dégustations quand même !

  • Sur le sujet de la violence conjugale, j'ai reçu un courriel du Québec sur un rapport datant de 2002, et occulté pendant des années. Il est démontré que dans la région québecquoise du Sagienay, où a été réalisée cette enquête, 13% des hommes ont été victime de violence conjugale grave, pour 8% des femmes.

    Le rapport est un peu long mais très intéressant car il définit la méthodologie et les questionnements qu'elle induit. Les chiffres en tableaux sont utiles car ils démontrent que si globalement plus de femmes sont victimes de violence, l'écart hommes-femme est relativement peu important, et en aucun cas 85% de femmes pour 15% d'hommes comme il est parfois dit.

    Le lien vers le site de l'Après-Rupture, qui donne ensuite le lien vers le rapport pdf de Statistiques Canada:

    http://lapresrupture.qc.ca/saguenay.html

  • Oups, le rapport est déjà cité plus haut, mon commentaire va faire double emploi.

  • Ah ben dis donc... pour quelqu'un qui n'aime pas les préjugés vous en êtes bourré ma parole!!!

    Pour info si elles viennet c justement pour mes pizzas : ))))

    et c pas mal de penser que juste parce qu'on est féministe on ne sait pas faire la cuisine...ahahahahhhhahaa

    Pourtant je suis sûre qu'il y a de grands chefs machos ;))

    Ahlala.. Mimi ou l'art de la contradiction :))))

  • Pour le reste... je ne sais pas de quelle idéologie vous parlez...

    Celle qui tend à faire croire que tous les hommes sont victimes de femmes folles hystériques et vénales? Que tous les hommes sont violentés? Ou alors que les femmes sont génétiquement programées pour faire le ménage et la cuisine?

    Sinon je suis d'accord avec le combat d'hommelibre... mais clairement pas avec le votre ni vos propos...

  • Bonjour,
    Bon, ça y est ! En Suisse et en Belgique, vous êtes enfin arrivés à l'heure du Québec. Vous vivez ce que nous vivons depuis plus d'une dizaine d'années: Vous contestez ENFIN les chiffres stéroïdes qui vous ont été jetés à la figure pour portrayer la femme essentiellement victime et l'homme essentiellement bourreau, par un dogme érigé en religion salvatrice que personne n'osait contredire, que personne n'osait contester jusque là. Et, bien sûr, vous vous retrouvez en pleine inquisition.

    Car, c'est une véritable inquisition que vous vivez. Ne vous y trompez pas ! Avec accusations, jugement, condamnation, excommunication, bûcher, écartèlement et damnation. Sous le ciel de cette religion radicale, le Soleil tourne toujours autour de la Terre. Galilée s'y est opposé et il en a payé le prix. D’ailleurs, tous ceux qui s’y opposent en paient le prix.

    Croyez-en notre expérience au Québec, vous avez plus de chances de faire comprendre les murs en béton armé de Suisse, de Belgique, de France et de Navarre que toutes ces fanatiques. Ne perdez pas votre temps avec ces prêtres et ces prêtresses de l'inquisition.

    La connerie n'est pas une question de genre mais d'individus. Qu'une bande de frustré(e)s refuse de reconnaître que femmes et hommes souffrent d’injustices n'est pas vraiment le problème. Le plus grave, c'est que ces mêmes personnes court-circuitent toute information contradictoire au dogme ; un dogme qui profile un sexe comme démoniaque et un autre comme angélique. Et que la majorité des citoyennes et des citoyens ne bronchent pas. Par paresse, par peur du ridicule ou (pour les politiques et les médias) par peur du bûcher carrément.
    Au Québec, depuis que nous démontons les chiffres stéroïdes les uns après les autres, lancés dans les années 80, journalistes, ministres, responsables politiques et sociaux nous disent qu'on ennuie le bon peuple avec nos chiffres. Mais ce ne sont pas «nos» chiffres, ce sont «leurs» chiffres qu'on démystifie. Des chiffres et des statistiques bidons avec lesquels, on nous a profilés de brutes, de pères indignes, de profiteurs, de désaxés sexuels et de salauds depuis 30 ans !

    Personne ne bouge sauf les fanatiques qui confondent leurs pulsions hormonales avec leur engagement social et leur honnêteté intellectuelle. Aucune conversation possible.

    Et puis, il est temps de passer à autre chose. À nous.

    Une seule solution: Monopoliser hommes, pères, enfants, femmes, grands parents pour descendre dans la rue. Tant que les hommes n’auront pas le courage de descendre dans la rue, non pas pour dénoncer ce dogme parce qu’il est à la veille de tomber de lui-même, mais pour témoigner simplement de ce qu’ils vivent, on restera sur des blogues à s’engueuler. C’est inutile.

    Où sont tous ces pères évacués de leurs familles par les tribunaux réduits au rôle de payeurs de pensions alimentaires ou ces hommes victimes d’accusations non fondées destructrices de vie familiale et de vie tout court, de pertes d’emplois (86% d’hommes), de manque de services adaptés ? Rien qu’en victimes de ces accusations non fondées en violence conjugale, nous en avons presque 10 000 au Québec chaque année. OÙ SONT-ILS ?

    Les vôtres, où sont-ils ? Et leurs nouvelles conjointes, qu'en pensent-elles ? Que pensent ces grands parents privés de leurs petits enfants ?

    Arrêtons d’accuser, formons une masse critique.

    Ça sera ma seule intervention. Je ne côtoie pas la connerie, ça finit toujours par déteindre.

  • Boo à raison. Ce qui est dommage, c'est que vous ne semblez pas lire ce qu'on écrit, vous vous contentez de déduire ce que l'on est...
    Et vous n'y arriverez pas ainsi.

    Ce que je me tue à répéter, mais après j'arrête, promis. C'est qu'on n'arrivera pas à défendre une cause, fut-elle juste, en le faisant sur le dos d'une autre.

    Une femme battue ne se moquera jamais d'un homme dans la même situation qu'elle, elle sera au contraire à l'écoute et sensible. Il me semble que les quolibets auront plus de chance de venir de gros baraqués bien machos qui construisent leur maison comme des hommes, des vrais. C'est donc aussi aux préjugés des hommes sur leurs semblables qu'il faudrait s'attaquer et non aux féministes.

  • Et bien comme cela nous serons 3...

    Mais ceux-là ne s'attaqueront difficilement aux préjugés de leurs semblables, puisque le simple mot de "stéréotypes de genre" les fait bondir et hurler au génocide de l'indifférenciation (sur clvpd on préfère le code napoléon...chacun peut aller vérifier). C'est en ce sens qu'ils ne peuvent arriver à défendre cette cause. Comment voulez-vous hurler à la maltraite psychique lorsqu'on ose dire qu'une partage des tâches plus égalitaire serait une bonne chose, rigoler au blague misogyne d'une bloggueuse on ne peut plus "classe" avec ces discours sur les vibromasseurs et dans le même temps dénoncer une pseudo attitude de guerrière chez les autres qui contreviendrait à leur recherche "d'égalité" (celle que connaissait nos grand-mères sûrement). Faudrait rajouter que se référer à Badinter et dénoncer l'indifférenciation des genres est plutôt comique. Si celle-ci est peu apprécié de nos jours dans la majorité des milieux féministes, reste qu'elle a beaucoup écrit sur la fausseté d'un "instinct" maternel" et adhère pleinement au discours de de Beauvoir sur la question, tout en s'acharnant contre les différentialistes, qu'elle a malheureusement un peu tendance à voir partout où elle n'est pas. Evidemment pour cela il faut la connaître pour autre chose que le fameux "Fausse route". Ca montre à quel point ces personnes, qui prétendent critiquer le "féminisme" le connaissent... Sur qu'en allant gueuler dans les meeting sur l'égalité qu'il n'y a pas assez de femmes SDF on risque peu de faire passer son message. Apparemment tout le monde n'a pas la même vision du progrès social...

    Quand on voit d'ailleurs que ces mêmes personnes finissent par faire dévier des conversations sur la "parité chez les SFD" (parce que la prostitution c'est certainement mieux...), on se demande s'il s'agit véritablement de revendication, ou juste d'une manière de se défouler. Je suis catégorique sur l'intention de ceux-ci, mais je n'ai pas l'impression de faire un préjugé, puisqu'on remarque bien que tous ne sont pas comme cela, bien que le seul représentant fréquentable soit l'auteur de ce blog...y a-t-il une majorité invisible? Ou est-il la pointe présentable d'un mouvement qui ne l'est que très peu?

    J'aimerais bien avoir l'opinion de monsieur john qui a quitté le champ de bataille en catimini:-)

  • Non Audrey, je suis là. Je vous réponds dans un petit moment.

  • Je suis très peu intervenu parce que d'autres que moi ont besoin de cette place de parole. J'interagis souvent, là je sentais juste de laisser faire sans mettre mon grain de sel. Je ne vais pas tout reprendre, mais dire mon observation et mon sentiment à ce point du débat.

    Il y a des raideurs de part et d'autre. La stigmatisation n'est jamais très loin. J'ai été parfois vindicatif dans le passé, je travaille à l'être moins, de ce fait je n'adhère pas à tout ce qui se dit ici par d'autres hommes. Mais je veux dire ceci: je connais pas mal d'hommes qui travaillent dans des asso d'hommes ou de pères. Ils voient ce qui se passent, ils entendent. mais ils ne sont quasiment jamais entendus.

    Sous prétexte d'une hypothétique domination masculine depuis la nuit des temps, ont se méfie d'eux. Je rappelle simplement cette phrase de Salika Wenger sur mon blog au début septembre dernier: "Les hommes sont des prédateurs pour les femmes".

    La diabolisation des hommes est une réalité bien plus répandue que l'on n'imagine. Je ne parle pas des critiques qu'hommes ou femmes peuvent s'adresser mutuellement, ou des blagues contre les unes ou les autres. Mais d'une véritable entreprise de diabolisation, dont le thème de la violence conjugale (thème initial du billet) est le fer de lance.

    Et puis, ce fer de lance de la violence conjugale qui serait quasiment univoque est largement démonté, et le rapport de l'Etat canadien cité plus haut le démontre encore plus. Et plus suspect, ce rapport a été tenu secret pendant 7 ans! Pourquoi, sinon pour continuer à amplifier l'idée que les hommes sont les salauds, qu'ils sont l'ennemi public numéro 1 des femmes?

    Qui peut sérieusement croire que près d'un homme sur deux est un terroriste conjugal, un cogneur de femme? Qui peut sérieusement croire que près d'une femme sur deux vit dans la terreur physique et psychologique de son homme?

    Pourtant c'est la thèse que vient de valider le gouvernement suisse, sur un rapport dont la méthode est insignifiante et l'intention trouble. Les hommes paient ces fonctionnaires autant que les femmes. Or ces femmes n'ont pas été sérieuse dans leur étude. Amateurisme et mensonge par omission, incompétence ou intention sur la prétendue inexistence d'une étude sur les hommes battus (étude que j'ai citée).

    Les discriminations font descendre les femmes dans la rue. Pas les hommes quand ils en sont victimes. Il faudra bien que cela arrive Mais les hommes n'ont pas la culture de la victime comme un certain féminisme l'inculque aux femmes. Jusqu'au mensonge des 300'000 québecquoises qui seraient battues chaque année, mensonge d'Etat qui a tenu 15 ans et induit des politiques gouvernementales et fait allouer des fonds impressionnants aux organisations féministes: 500 millions de $ canadiens par année depuis au moins 10 ans, soit plus que le coût du LHC au Cern.

    C'est à cela que sert le débat faussé entretenu sur la violence conjugale univoque: diaboliser les hommes, les écarter, faire de l'argent.

    Alors à force de vivre dans ce déni, d'être traités par principe de salauds, d'avoir presque toujours tort en justice - sur ce point je suis un miraculé, Audrey, mais à quel prix:

    - 40 témoins au procès,
    - 7 ans d'instruction et d'acharnement contre moi,
    - la tache sur moi à vie comme une étoile jaune
    - mon travail atteint
    - ma santé touchée

    alors, à force, beaucoup d'hommes et de pères sont à cran, et renvoient en sens inverse la stigmatisation dont ils sont l'objet. N'oublions pas que vaginocrate n'est que le pendant de phallocrate ou de macho, ces noms d'oiseaux n'étant pas à proprement parler des compliments...

    Je suis d'accord avec vous que la crispation et les piques de langage ne font pas un débat, mais je suis d'accord avec eux de sortir un peu leurs tripes, même si la nuance n'est pas toujours là.

    On voit avec ce débat qui, malgré ses errements et attaques, a une vraie raison d'être, qu'il y a griefs de part et d'autre, et que cela doit être mis à plat. N'en déplaise à certains, je vous apprécie, même si je garde encore un peu de méfiance à votre égard - à tort ou à raison - mais vous avez déjà constaté que je peux évoluer dans ma perception des gens, et que je fais preuve de bonne volonté. J'ai dû prendre beaucoup sur moi pour cela, pas toujours facile, mais ma liberté et ma responsabilité est de ne plus être victime.

    Il faut écouter les hommes comme on écoute les femmes: avec attention. Mon souhait est de dépasser la guerre des sexes, mais elle sévit encore, et les hommes ne sont pas forcément ceux qui l'alimentent. Certains groupes féministes le font car c'est leur fond de commerce, leurs subventions, leur spasme compulsif.

  • J'ajoute, pour être bien clair: la violence de certains hommes contre des femmes n'est pas contestée. Elle est déplorés par la très grande majorité des hommes, qui ne l'admettent pas. Ce qui est contesté, c'est l'ampleur déraisonnable qu'on lui prête faussement, et l'absence de reconnaissance des violences et discriminations envers les hommes, avec les dégâts que cela produit dans la société, en justice, dans les familles, et l'engagement des Etats en faveur d'une moitié de la population et contre l'autre moitié.

  • @Boo:

    "merci du conseil :)) m'en vais de ce pas boire un petit vin rosé au bord du lac avec des amis avant de rentrer faire des pizzas à la main pour mes copines... on fait soirée match" ;))

    Erreur grossière que d'aller boire "un petit vin rosé"... dans l'état d'excitation ou vous vous trouviez c'était une bonne douche glacée qu'il fallait prendre!

    Et voilà qu'elle nous raconte sa vie!

    "on fait soirée match"

    Lolllll après celui de cet après-midi?

    faire des pizzas à la main

    Mdr mdrrrrrrrr parce qu'habituellement vous les faites avec les pieds?

    "....à - dégueulasser - l'appart"

    Hé oui! Faut choisir l'ordi au quotidien ou le ménage une fois tous les combien de mois pour être si "d"... sale? Les femmes de ménage cela existe!
    d'autant que vous dites: "j'ai bien réussi professionnellement..(J'ai corrigé l'orthographe) :)))

    "pourtant... j'ai un ami charmant avec qui je vis depuis un petit moment..."

    Oui! Et?

    "je ne suis pas encore en âge de me marier et de fonder un foyer mais ça viendra... chaque chose en son temps" :)

    Comme je vous comprends...avec les a-priori que vous avez du mariage et des enfants,je cite: "la marmaille"..... prenez bien votre temps!

    "J'ai tenté de m'expliquer "cordialement" avec vous"

    Voyons une peu....:

    Chapitre insultes:

    "pauvre macho opprimé... ous êtes complètement fou ma parole! Vous avez fumé un peu de crack ce matin et c mal passé??que vous n'êtes qu'un vulgaire misogyne... Vous êtes assez primaire qu'avoir pitié de vous... "ça doit donner sacrément envie une potiche "

    chapitre vulgarité: Langage de charretier!

    "baisable" "mise avec votre mec pour quoi?" "Et quand il vous dit - d'écarter les cuisses - vous le faites sans rechigner" "j'aime quand mon mec me donne envie de lui..." "ça doit donner sacrément envie une potiche plantée devant la télé "ça doit donner sacrément envie une potiche " "à lui mettre 2-3 coups de pieds aux fesses"

    chapitre: 'Ironie condescendante pour se persuader d'avoir raison!

    Ma pauvre Patoucha - J'adore :)) - "Vous êtes ,ma pauvre Patoucha," Bis/ "je vous plains vraiment...""c'est triste je vous plains sincèrement... " reBis/ :))))))))))

    Ecrit par : Boo | 27 mai 2009
    "Vous parlez de vulgarité... j'espère que c'est une blague" ;)))

    Ben....non! ce n'est pas une blague mais une constatation de fait ! S' exprimer comme un camionneur est déjà un manque de respect de soi!

  • @ Patoucha

    Plus vous parlez, moins je vous apprécie.

    Nous sommes très loin de tout dialogue constructif, là, c'est carrément du cyber-crêpage de chignon....dans quel but? Que cherchez-vous à prouver?

    Vous avez vos opinions, d'autres personnes en ont d'autres, il est possible de dialoguer sans entrer dans cette logique condescendante...non?

    A tous, bonne soirée!

    John, c'est la lutte de la vérité contre les mensonges, d'où qu'ils viennent...:o))

    Ark

  • Pfiou et moi qui espérait qu'on allait enfin pouvoir passer à une discussion sérieuse. Va bientôt falloir nous réfugier dans des MP....

    @ homme libre

    Je suis désolée, je n'adhère pas au fait que ceux-ci aient des paroles extrêmes seulement parce qu'on leur dénierait le droit à la parole. Puisque personne n'a voulu relever ce que je disais sur le texte du clvdp sur le code napoléon je vais le détailler. Là ce n'est plus une question de pères attristés, mais une véritable "idéologie":

    Je cite l'article "périle des hommes" (rien que le titre sent le délire conspirationniste).

    Ca commence ainsi:

    "En contestant le protectionnisme du mâle, en prenant une place entière dans l’activité socio-professionnelle, en remettant en question la distribution des rôles, en réclamant le partage dans les lieux de processus décisionnels ; l’homme s’est trouvé peu à peu délesté de ses principaux pouvoirs de protecteur, de pourvoyeur d’argent et de chef, tout autant dans la famille, l’entreprise, la responsabilité."

    Jusque là, on est d'accord. Il est normal que le changement perturbe. Mais ça continue tout de suite après ainsi:

    "Ainsi, plus que son avènement dans la société, le mouvement d’émancipation s’apparente à une volonté d’occupation, de substitution, voire… de domination.
    "$$Je m'excuse mais depuis quand travailler et demander à pouvoir être AUSSI présent dans les lieux de décision s'apparent-t-il à de la substitution ou de la domination? Est ce que le travail et le partage c'est trop demander?

    "La place de l’homme dans la vie professionnelle n’est plus la même. Outre les difficultés du labeur qu’hommes et femmes se partagent de manière égale, le marché de l’emploi a changé de nature."

    Ici qu'on trouve bien ou mal le partage des tâches domestique, remarquons quand même qu'on nage en plein délire. Qu'on trouve ça bien ou mal, les statistiques sont très claires, et sont effectuées sur des échantillons comptant autant d'hommes que de femmes. encore l'auteur aurait-il parler de "manière équitable" qu'on aurait pu discuter. Mais là c'est carrément de la désinformation.

    "Réalité humaine élaboré et décrite au fil des temps, confirmée par nos organisations de sociétés humaines, dans le droit romain, le code Napoléon, les nombreux systèmes de famille qui font de la mère une reproductrice qui porte des enfants de son mari et pour l’intérêt du clan.

    L'exemplarité du Code Napoléon est écrite noir sur blanc. Quand au statut des femmes idéalisés, ce serait celui de porter les enfants de son mari (c'est bien écrit DE son mari, et pas Du couple) et de les porter pour l'intérêt du clan...

    Mais par rapport à la situation des femmes dans certains pays, que vous dénoncez vous-mêmes à juste titre, eux vont encore plus loin:

    "Réalité persistante dans la plupart des pays du monde tandis que l’occident, seul, a inversé une vision des choses qu’il entend inspirer au monde.

    L’obligation biologique est reléguée à un intérêt secondaire. Le processus démographique des pays occidentaux est, à plus d’un titre, extrêmement préoccupant."

    Bon la on vire carrément dans l'angoisse nataliste, version fin du 19e siècle français...

    Sur ce site on a droit à d'autres articles charmant: "Pourquoi les pères doivent reprendre le pouvoir aux mères "

    On a bien lu: le reprendre, pas le partager

    Et ce n'est malheureusement pas le seul site du style, sur d'autres on trouve l'apologie d'Ester machinchose (plus le nom de famille, c'est trop tard:-), celle qui dit en substance que la femme est un être profondément stupide et vicieux. Sur d'autres ça fantasme sur Zemmour. En fait je n'ai jamais trouvé un seul de ces sites qui ne remette peu ou prou en question des versants de l'émancipation qui sont pourtant légitime (travail, etc) ou qui ne se livre à des dérives misogynes. Je veux bien que vous m'en indiquiez, mais honnêtement je doute de cette possibilité. Quand j'effectuais le travail que je vous ai envoyé, j'ai eu assez le loisirs de tomber sur toute cette sorte de site. Et je n'y ai de loin pas que senti des hommes blessés en quête de reconnaissance. Le texte présenté ci-dessus est un véritable appel à l'obscurantisme, et par nombre de ses traits (natalisme, la femme génitrice, le code napoléon) pourrait rappeler le programme du front national d'antant.

    Il y a peut-être finalement une raison pour que ces gens n'arrivent pas à se faire entendre. Les féministes aussi ont reçu les quolibets, et continuent à les recevoir. La preuve en est que pour ne pas se faire lyncher, il faut encore préciser qu'on est modéré, comme si féminisme rimait avec "salope, pétasse, frustré, hystérique ou...vaginocrates"... D'ailleurs aujourd'hui très peu de jeunes filles osent se dire féministes, ça fait "ringard", on vous prend tout de suite pour une "soixante-huitarde attardée", forcément "mégère", forcément "détesteuse d'homme et d'enfants". La preuve ici même, qu'avec un simple discours "modéré" c'est pourtant déjà trop, on est des "vaginocrate", des "stupides", des "perverses"..

    Je ne sais pas de qui il faut se méfier. J'avance personnellement à découvert, je ne cache pas mes prises de positions, je ne louvoie pas, elles sont même parfaitement claires. On ne peut décemment pas en dire autant de ceux qui dans le même site se prétendent se battre pour l'égalité entre homme et femme et mettent en exergue des articles de cet accabit. Si viser l'égalité c'est faire l'apologie de la femme cantonnée au rôle de génitrice de la progéniture du mâle et du code napoléon, dénoncer toute volonté de partage du gâteau par les femmes comme une volonté de remplacement et de domination bah merci...On risque alors effectivement d'en être encore très loin...

    J'apprécierais si vous évitiez de nous ramener aux paysans de l'ancien régime, déjà qu'ils m'ont gavés de la 9e du cycle d'orientation jusqu'à ma 2e du collège:-) Soyons clair, l'auteur de cet article aimerait le remettre dans le présent, et ce n'est pas sérieux

  • Le débat n'est pas fini, et vous savez que je déplore et dénonce comme vous le code Napoléon qui a exclu les femmes. Mais là je fatigue, j'y reviens demain.

  • Oui je sais bien, c'est justement pour ça aussi que j'ai tenu à développer ce sympathique article. J'ai parfois l'impression de passer pour une allumée lorsque je dis que derrière beaucoup de ces sites il y a aussi une idéologie. J'aurais la même réaction face à un site qui prétend que les pères sont justes des porte-monnaies ambullants. Mais j'avoue ne pas en avoir vraiment croisé, juste entendu une fois au détour d'une conversation, et ça a eu le mérite de me glaçer, proprement.

  • Audrey, Boo, vous êtes sympas mais vous m'avez lessivé ! (vous vous y connaissez en lessives !), j'espère que votre "Jules" vous laisse la chaîne assez longue afin que vous puissiez sortir de la cuisine et entrevoir la téloche, faut pas être trop salaud ! Autant que possible, si vous avez quelque chose à dire, dites le pendant les pubs à la télé ! je vous laisse papoter et, comme dirait Landru, je vais en griller une ! Bisous !

  • Témoignage sur une histoire familiale réelle
    http://pem.mediation.free.fr/BFF/thread.php?lng=fr&pg=233&fid=1&cat=15
    Dans un service médical, une employée disait vouloir soigner sa souffrance, ses douloureuses crises de nerfs et ses effondrements émotionnels qui survenaient chez elle quand elle pensait à un petit enfant qu'elle suivait professionnellement en soins palliatifs.
    Son compagnon la soutenait. Il n'était qu'attentions et tendresse pour elle. Il l'encourageait à participer chaque semaine à des séances de "régulation" qui étaient organisées dans l'établissement par une association d'aide au personnel soignant. Il l'encourageait également à aller dans une voie de soutien psychologique.
    Elle n'a jamais révélé quel psy... elle avait consulté. Ni l'association de régulation, ni le psy... n'ont jamais pensé à contacter le compagnon pour ce suivi ... médical (?). Il portait alors une longue lettre à l'association pour expliquer les effondrements émotionnels et les crises de nerfs de sa compagne dans la maison. Personne n'a jamais expliqué quels étaient les soins prévus pour elle. En raison, peut-être, d'un secret professionnel imposé par l'établissement ?(...)
    Effrayée de temps en temps par ses propres comportements nerveux contre son compagnon, père avec elle de quatre enfants, elle alla cliquer sur internet pour lire : "partez avant que quelque chose de grave ne vous arrive. Visiblement vous avez accès à internet. Profitez en pour voir quelles sont les associations qui prennent en charge les femmes battues. Adresses utiles ... http://fr.answers.yahoo.com/question/in … 737AAXlf63
    Ce qui donna l'idée à la compagne de consulter une assistante sociale, qui l'orienta vers une supérieure travaillant dans les locaux de notre Police nationale. Aucune des deux assistantes sociales ne fit le moindre travail d'approche préalable des deux conjoints et de cette famille. Aucune ne prit de précaution avec une femme visiblement fatiguée mais qui n'expliquaiet pas sa souffrance clairement.
    Au prétexte qu'une femme qui se tait est une femme victime de violences conjugales, elles lui conseillèrent de rédiger trois plaintes par prévention et pour se débarasser de son conjoint dont elles craignaient qu'il devienne lui aussi nerveux et violent. Car elles entendirent qu'au cours d'une crise de nerfs, elle lui avait donné des coups de pieds. Ainsi elles eurent à traiter dans le même temps, une ébauche de plainte pour tentative de viol, une dénonce pour harcèlements, une plainte pour violences conjugales.
    La compagne expliqua pendant quelques jours, à son conjoint qui ne savait pas qu'elle était allée voir la Police, qu'elle avait peur, qu'elle voulait se protéger et qu'elle voulait justement qu'aucune violente dispute n'arrive jamais dans leur couple. Elle ne voulait pas se retrouver "un matin sur un brancard ni finir sa vie sur une chaise roulante".
    Ces trois plaintes pénales provoquèrent l'intervention de notre Police nationale à leur domicile familial un dimanche après-midi. Le substitut de La République française, monsieur Patrick K. , qui traitait ce dossier, avait donné ordre de faire chercher le compagnon et de le placer en garde à vue de haute sécurité. Probablement était-il persuadé de violences conjugales à faire cesser, à la lecture d'un rapport de l'assistante sociale de la Police.
    Après vingt quatre heures de garde à vue en cellule de haute sécurité, ce qui le fit souffrir physiquement et moralement, au-delà de tous les possibles, l'accusé (de taper sa femme et de terroriser ses enfants) fut transféré sous garde renforcée en camion blindé, jusqu'à la comparution devant le substitut qui redoutait fort d'avoir à faire à un monstre aviné qui détruisait la mère de ses enfants. Sept heures d'attentes, menotté dans un isoloir, avant l'audience du tribunal correctionnelle qui eut lieu le soir même, pour la confrontation "entre conjoints" et l'examen des pièces d'accusations. Au début de cette audience, sans connaître le dossier, l'accusé accepta devant tous les magistrats, de se dispenser de défense juridique et d'être jugé immédiatement.
    Pendant l'audience qui dura près d'une heure et demie, la compagne avoua spontanément et subitement avoir donné des coups de pieds très violents à son compagnon... lors d'une crise de nerfs.... en affirmant qu'elle avait pris peur de lui...Le Président du tribunal correctionnel demanda alors à l'accusé : "Mais pourquoi ce n'est pas vous qui avez porté plainte ? Vous auriez pu."
    Reconnaissant qu'aucune des trois plaintes de la compagne n'était fondée ni étayée, prononçant la relaxe après délibéré, les dispositions de la loi de 2006 obligèrent les magistrats à condamner l'accusé, par prévention, "pour le surplus", à une peine de quatre mois de prison, assortie du sursis et d'une mise à l'épreuve de deux ans.
    Le substitut de la République Française, Monsieur Patrick K., avait demandé dans son réquisitoire au titre du Ministère Public, l'incarcération, en supposant de surcroît, et même en imaginant des violences dites symboliques, qui selon lui justifiait les coups de pieds reçus, ou la peur exprimée de la compagne.

    Aucun des acteurs judiciaires et sociaux n'était pourtant totalement ignorant du deuil douloureux d'enfant que vivait la compagne dans son contexte professionnel, puisque dans ses déclarations faites aux O.P.J. lors de la garde à vue, l'accusé avait déclaré : " ... ma compagne fait des crises de nerfs assez violentes, elle me frappe depuis qu'elle a perdu un petit enfant dans l'établissement où elle s'occupe des bébés sous soins palliatifs, elle est suivie médicalement mais je ne sais pas par qui ni comment...".

    Dans la force de sa décision, en sus d'une condamnation avec sursis, le tribunal demanda à l'accusé de ne plus jamais remettre les pieds dans son domicile familial, et de se trouver, le soir même et dès sa sortie du palais de justice par la grande porte, une autre habitation... un autre lieu de vie... de laisser les enfants à leur mère...
    "Allez-vous en ! Quittez cette femme qui vous frappe ! Partez et laissez là tranquille... C'est ce qu'elle vous demande... Partez...! Ne pensez plus retourner vivre avec elle ! Reconnaissez que votre couple est terminé et qu'il vous faudra vous tenir à distance de la vie de cette femme !"

    Depuis, le compagnon vit seul.

    Commentaires :

    Peut-on penser que cette loi de 2006 serait intelligente, absurde, mal utilisée, faite pour protéger les êtres humains des deux sexes et des deux genres, ou orientée par des féminolâtres et des féminocrâtes pour en réalité évincer les hommes et les pères et les priver de toute possibilité de vivre en famille ?

    Cette loi oblige les magistrats à procéder à une condamnation pénale, pour le surplus, de l'accusé, même si aucun fait de violence d'aucune sorte n'est reconnue de son fait.

  • @Audrey et aux féministes revanchardes, victimaires, dogmatiques, vaginocrates,…
    Sur l’article « Témoignage sur une histoire familiale réelle » il y a 8 réponses / commentaires. Il y a plus +- 2 millions de sites sur des témoignages d’hommes… plus ceux de femmes, violés, spoliés par une idéologie létale.
    Ce Site aimerait-il avoir, lui aussi, l’avantage de lire vos critiques ? Je vous invite à lire ce témoignage, dont les conséquences sont similaires pour des millions d’hommes, grâce à l’idéologie actuelle prônant la diabolisation des hommes et la victimisation des femmes. Cette idéologie dans le monde occidental, mondial, fut créée et entretenue durant plus de 30 ans, par les enquêtes biaisées. C’est pour cela que le CLVDP se bat depuis près de 16 ans, avec plus d’une trentaines d’associations partenaires. Mais je vois que ça vous dérange fortement, Audrey ! Et c’est bien normal puisque vous êtes l’ennemie de tous les hommes qui ne partagent pas notre idéologie. Et pour votre gouverne, je ne suis ni masculiniste, ni chien de garde, ni macho,… je ne suis qu’un homme et fier de l’être ! Et nos collaborateurs aussi ! Par contre, afin de ne pas diviser le nombre d’hommes en colère, nous ne pouvons pas exclure les papas victimes des mêmes violations et spoliations que nous.
    Depuis des années des hommes ont critiqué les hommes qui critiquaient le féminisme déviant. Pour ces raisons, des groupes se sont divisés en multiples sous-groupes. Chacun travaille (pour le moment) dans son coin. On leur met des étiquettes. Des groupes, des hommes reçoivent, les uns, l’étiquette de « masculinites », d’« hoministes »… et certains d’entre eux, ceux qui oeuvrent pour l’égalité entre les femmes et les hommes et la paix des couples, reçoivent publiquement, devant des caméras et des photographes, des récompenses de mouvement extrémiste d’extrême gauche : une paire de couille en or pour l’un, une paire de couille en argent, pour l’autre et une paire couille en or pour le troisième. La preuve sur http://laviedeperes.over-blog.com/article-27417688-6.html#anchorComment
    Audrey, lorsque vous écrivez :
    « J'ai parfois l'impression de passer pour une allumée lorsque je dis que derrière beaucoup de ces sites il y a aussi une idéologie. ».
    En fait, il ne s’agit pas d’une idéologie… il s’agit d’un légitime (au sens normal) moyen de défense COMMUNE – donc, que l’on partage vis-à-vis des violations de nos droits, et des spoliations de nos patrimoines. Sans oublier les rapts nationaux / internationaux de nos enfants.
    C’est n’est donc pas une idéologie, mais bien des conseils pour se défendre.
    Vous semblez donc confondre entre « aide », « assistance », « dépannage » et IDEOLOGIE. Oooohhh, Audrey… quelle lacune ! Mais que faites-vous donc sur ce site ?
    Vous n’avez rien apporté « de positif » sur cette page ! Rien que des dénégations, des stupidités, des contradictions, des insultes,… Vous jouez admirablement bien votre rôle de (…). Et, au fait, vous n’évoquez jamais les souffrances des enfants… curieux !

  • @ Patoucha... je ne sais pas à quoi vous jouez mais je dois dire que c'est franchement puéril... certainement je vous insulte... car contrairement à Audrey qui à su rester stoique face à vos attaques idiotes je ne vois pas l'intérêt de me retenir ou de faire preuve de respect envers une pauvre folle frustrée et clairement malheureuse dans sa vie...

    Vous revendiquez le fait de rester au foyer, de vivre pour servir votre mari et vos enfants (si c'est pour devenir aigrie comme vous... merci!!)... perso devoir demander de l'argent de poche à mon conjoint ça ne me dis rien, avoir un homme qui rentre à la maison, fout les pieds sous la table en me balançant "on mange quoi??!!" ça ne me dis pas non plus... passer mes journées à faire les courses, le ménage, etc etc... franchement très peu pour moi... grand bien vous fase si ça vous convient... il faut de tout dans ce monde... et bien que je ne concois pas pouvoir mener une vie de servitude, il faut bien qu'il y en ait à qui ça plait...
    Mais franchement à part des attaques personnelles sur la soi-disant inexistante virilité d'un homme lorsqu'il passe la serpillère (et ceux qui vivent seuls ils doivent tous pouvoir se payer une femme de ménage?! sommens nous génétiquement programées à faire ce genre de taches??!) , sur la soi-disant inexistante féminité des femmes féministes (mon dieu les préjugés...on voit que vous ne connaissez ni Audrey ni moi :)) vous n'avancez rien de concret... le combat des femmes violentes, nous avons toutes (nous féministes intégristes vaginocrates etc etc..) convenus que c'était condamnable au même titre que la violence des hommes...
    Alors maintenant... dites moi... quel est réellement votre problème?

    Vos allégations et généralités sont aussi ridicules que si j'avais dit qu'il vous a été imposé de vous marier à 15ans après un lavage de cerveau propre en ordre... que vous n'avez jamais fait d'études après le cycle... à quoi bon vous aviez déjà un porte-monnaie tout attribué... et vous voilà mtn devenur grosse et moche après que votre mari vous ait fait 10gosses... aigrie au point ou vous venez ici pour vous défouler contre celles qui ne pensent pas comme vous et pour essayer de vous convaincre que vous avez raison et que vous êtes heureuse... pendant que votre mari se soulage avec une autre...

    "j'aime quand mon mec me donne envie de lui..."

    franchement j'aurais pû le tourner autrement mais je ne vois pas en quoi il est répréhensible de vouloir se faire séduire par son conjoint... non mais vrmt votre vie doit être d'un chiiiiaaaaannnnt... ouffffff

    Potiche... je maintiens :)

    Et parler comme un camionneur dénote plutôt un manque de respect de la personne en face que de soi-même :) mais enfin... on se convainc comme on peut :)

  • @ Oh que ta verge est belle...

    Mais ne voyez vous pas qu'il nous donne même l'accès à l'ordi!!?? Il n'est pas si cruel que ça le Jules... On peut mm aller aux toilettes 3x par jour moyennant une faveur et il nous donne ses restes à manger (les restes des plats que nous avons cuisiner... bien sûr il surveille pendant le processus faudrait pas qu'on essaye de chiper un peu de nourriture!!) mais si il fait ca c'est parce qu'il nous aime... il ne veut pas qu'on s'engrosse bêtement... et d'ailleurs 35kg pour 1m70 il nous dit que c'est normal!! Et on le croit!!!

  • @ CLVPD...

    C'est quoi le but de votre petite histoire?
    On doit aussi trouver des histoires vraies pour amener des preuves qu'il existe des hommes violents ou vous voulez jouer à la victime encore un moment??!!

    C'est bon... ON A COMPRIS!!! Et on a jms dit que c'était normal ou que la souffrance des hommes étaient moins importante que celles des femmes dans ce genre de situation...

    Vous êtes vraiement barbant c pas possible!! Je suis la seule soulée par ce miso qui se cache sous des airs d'égalitaire ou bien???!!!
    La barbe!

  • REPONSE A AUDREY

    1. Le Droit romain ou le code napoléon ou les systèmes religieux ont régie l’organisation sociale durant des dizaines, des centaines, voire des milliersd’années. Il n’est pas dit que le code napoléon soit exemplaire mais il est l’illustration régulée d’une d’organisation sociale… certes révolue.

    2. Natif d’un système africain où l’influence du Droit est récente, le langage me permet de lire l'universalité des valeurs familiales et de comprendre le sens de ce lointain code napoléon. Dans ce langage, la femme dit « je porte ton enfant »... Elle aurait pu dire « je porte notre enfant ». Mais la femme exprime un amour très fort où elle donne le fond de soi. Aujrd'hui en Occident on dirait « je veux vieillir avec toi ». C’est parce que le vieillissement commun est mis à mal qu’on éprouve le besoin de le clamer. D'autre mots comme "poupon" sont dits "amour" ou "fruit d'amour". Pour souhaiter d'un enfant qu'il soit "bien élevé" on dit "qu'il grandisse dans ton amour (affection)"...

    Vous pouvez contestez les expressions d'amour de la poésie, tout comme on peut rire des couples aimants à Bruxelles qui se disent « mon choux » ! Est-ce qu’en Grèce ou en Suisse on se dit "mon aubergine » ou «mon franc suisse» ?... Peu importe. Derrière les expressions de la poésie, il y a souvent une réalité socioéconomique.

    3. Une femme porte l'enfant de celui qu'elle aime, pour l'enfant et pour le mari, car elle le responsabilise dans cette mission difficile d'élever un enfant. Et lui, il porte ces enfants pour avoir une place dans la communauté, parmi les « siens ». Bien sûr, en relisant l’histoire, vous pouvez critiquer l’amour des uns en faveur du clan ou de la patrie et qui risque de mener vers la haine des autres, le conflit ou la guerre etc… mais ceci est l'histoire extrême qui se plait à retenir les faits de violences, pour un espoir de paix. La plupart du temps, la vie des hommes (des humains), vise à assurer la paix, avec une vie de famille, trois générations, un meilleur avenir pour leurs enfants... C'est la vie de ces « paysans de l’ancien régime » préoccupés par leur alimentation, les récoltes, le climat, le labeur, la maladie...

    L’historiographie pourrait se préoccuper des témoignages poignants de ces hommes des années trente, qui avaient connu une guerre mondiale et ne voulaient pas que leurs enfants retournent dans les tranchées. Alors, ils ont applaudi Laval, les accords de Munich… Cette absence de fermeté, justifiée par l’émotionnel, n’a pas mis un terme l’expansionnisme germanique qui conduira à la guerre.

    4. Obscurantisme? L’émancipation n’est jamais remise en cause. Nul homme n’aimerait de sa fille ou de sa femme qu’elle soit « cruche ». Mais d’une volonté de participation qui n’est pas contesté, apparaît une dérive basée sur le sexe. La parité est revendiquée avec force dans les lieux de pouvoir et de décision mais pas pour les infirmières, les aides soignantes, les écoles, ou les militaires. Ca devient ridicule. On ne choisit plus une personne en fonction de sa compétence, de son énergie, de sa motivation … mais d'un quota de non quéquette !

    5. L’angoisse nataliste ?... Oui, c’est une réalité. La Nation la plus riche au monde ne parvient pas à préserver un système familial qui se reproduit. Et personne n'y trouve rien à y dire. En exagérant ironiquement, on se retrouve avec des jeunes couples qui ne veulent pas d’enfant parce qu’ils galèrent avec leur divorce/séparation, l’enjeu d’un enfant commun, les difficultés d’argent, de travail, de loyers… Le couple moyen hyper actif qui ne trouve plus le temps d'assumer une grossesse et qui recherche un enfant à adopter… Le vieux couple d'un âge de grand-père qui dépense son argent à rechercher une mère porteuse car il aimerait tant avoir un enfant ou une succession…


    6. Comble, faute de pouvoir faire des enfants, la justice n'hésite pas à voler les enfants des autres, pour les garder en Suisse où on se fait croire la chance de vivre mieux, dans un monde meilleur, avec ses soins de santé etc.

    La dénatalité est une réalité avec ses conséquences. Ce n’est pas pour rien que les immigrés viennent en Suisse pour combler ce déficit et maintenir le fonctionnement de la machine économique. Or, en bonne logique, un bon modèle devrait faire école et s'il ne le fait pas, c'est qu'il est tari à sa source!

    Je connais un suisse qui s'est taillé pour vivre en Mauritanie avec son fils parce que la mère, soutenue par la justice, risquait de lui prendre son enfant. Aujourd'hui, ils vivent en afrique de l'Ouest comme deux adultes, ami, partenaires commerciaux... comme un père et son fils.

    Toute collectivité à une préoccupation légitime, qui se base sur la famille et son encadrement positif et non pas d'une ingérence négativiste et autoritaire de l’Etat. Je suis persuadé que la plupart des cas traités par la justice sont positifs. Mais la grande minorité de fiascos méritent l'attention collective.

    7. Si ce discours est qualifié d’extrêmiste de droite, vous faites insulte à notre humanité qui n’aurait vécu que sous le joug de l'idéologie fasciste. Après des siècles d'obscurantisme, seriez-vous AUDREY, la seule lanterne éveillée?

    Désolé, j'ai voulu et essayé d'être bref...

  • @Boo
    Afin de protéger les Phoques, des lois interdisent de tuer les bébé phoques.
    Etes-vous pour ou contre ?

  • ????!!! c'est pas possible ma parole... vous êtes sérieux en plus??!!!

    Je ne vois pas le rapport!!!!

  • @Boo
    À l’approche des écoles, la circulation automobile est dangereuse pour la sécurité des enfants et des parents.
    Une loi impose aux automobilistes à ne pas dépasser la vitesse de 30 Km/h aux abords de l’école, conformément à la signalisation verticale.
    Etes-vous pour ou contre ?

  • Je vois toujours pas... vous jouez aux devinettes?

    Vous voulez imposer une loi contre quoi? Qui? Pour défendre les hommes contre les violences des femmes? Ca existe déjà... soyez plus précis...

  • Décidément mon opinion est faite....Qu'est-ce qu'on se serait pris si on avait osé défendre le cas d'une femme fuyant en Mauritanie (et donc enlevant un enfant) parce que son mari voulait le lui prendre....

    Quand à monsieur clpvd, qui ne sait pas tapper un mot sur un ordinateur sans aboyer, le mieux pour me contrer, serait-encore de répondre point par point à mes déclarations. Je concède qu'il est certainement plus facile de me vouer aux gémonies que d'expliquer comment un article considérant la participation économique des femmes au monde professionel comme une domination a attéri sur son site en recherche d'une pure et chaste égalité, s'opposant aux méchantes guerrières. Avec vos insultes vous finissez par rassembler aux jeteuses de sort qui croient faire fuir le "mauvais esprit" en le vitupérant. Votre discours ressemble à celui d'un inquisiteur, vous partez d'un point de vue que je n'ai jamais avancé pour me faire un procès. Ce que j'apporte de positif c'est la dénonciation des gens comme vous, qui se servent de vraies victimes, pour mieux faire avancer leur idéologie haineuse. On a vu ça de tous temps, des collectifs prétendument social, qui sous couvert d'aider les nécessiteux instillait une idéologie répugnante...Parce que votre participation à vous elle a avancé à quoi, à part tenter de diagnostiquer boo, vous bidonner un coup sur les vibromasseurs, et de révéler mes problèmes d'hypotalamus? Je n'ai pas eu besoin d'aller gratter longtemps sur votre site pour y trouver des choses qui ne sentent pas très bon. Et apparemment j'ai touché juste: ça fait mal.

    Je ne vous ai pas parlé de la souffrance des enfants? Ah c'est vrai que ça accrédite la thèse de la mégère détesteuse d'enfants... Vous m'excuserez mais il me semblait que le thème de ce post était les chiffres de la violence conjugale. C'est vrai que pour quelqu'un qui voit un rapport entre la chasse aux phoques et la violence faites aux hommes le lien est peut-être évident. Pour moi pas. Les enfants souffrent de voir un parent tapper sur l'autre, quelque soit son sexe. Si vous voulez me faire dire que c'est mal d'enlever un enfant à un de ses parents je l'ai déjà dit aussi. On pourrait répondre que c'est mal qu'un des parents n'aille jamais voir ses enfants. Et à ce petit jeu on serait bien avancé.

    Qui ici sème sa haine, ses frustrations et sa rancune est une bonne question...en tous les cas si les meeting "paroles d'hommes" doivent accueillir ce genre de vomi à l'égard des gens un peu critique, il est à craindre que cette parole reste vraiment marginalisée... Je dirais même que j'ai une profonde compassion pour l'auteur de ce blog et pour finir avec un peu d'humour j'aurais envie de reprendre le "c'est dur d'être aimé par des cons". Presque envie que mon zom s'y pointe, parce que ce n'est certainement pas sa parole, et comme moi il est outré de la manière dont vous prenez paroles pour leur ensemble.

  • "Décidément mon opinion est faite....Qu'est-ce qu'on se serait pris si on avait osé défendre le cas d'une femme fuyant en Mauritanie (et donc enlevant un enfant) parce que son mari voulait le lui prendre...."

    Je vous la fait courte?

    C*** de féministe!! Elle prive son enfant de voir son père!! Egoiste!! Vaginocrate!!! Détesteuse d'enfants!! N'aurais jamais du procréer!!

    ...

    J'ai beau être d'accord sur beaucoup de points concernant la victimisation des femmes... je trouve que les "hommes" de ce site s'en donnent eux-même à coeur joie... il faut savoir!!
    Et pour info vous feriez mieux de ne pas prendre l'histoire du type KIDNAPPANT SON ENFANT le privant ainsi définitivement de tout contact avec sa mère comme fond de commercre pour votre "nous sommes tous des victimes des vilaines féministes bouhouhou..." vrmt pas crédible :/

  • "Décidément mon opinion est faite....Qu'est-ce qu'on se serait pris si on avait osé défendre le cas d'une femme fuyant en Mauritanie (et donc enlevant un enfant) parce que son mari voulait le lui prendre...."

    Je vous la fait courte?

    C*** de féministe!! Elle prive son enfant de voir son père!! Egoiste!! Vaginocrate!!! Détesteuse d'enfants!! N'aurais jamais du procréer!!

    ...

    J'ai beau être d'accord sur beaucoup de points concernant la victimisation des femmes... je trouve que les "hommes" de ce site s'en donnent eux-même à coeur joie... il faut savoir!!
    Et pour info vous feriez mieux de ne pas prendre l'histoire du type KIDNAPPANT SON ENFANT le privant ainsi définitivement de tout contact avec sa mère comme fond de commercre pour votre "nous sommes tous des victimes des vilaines féministes bouhouhou..." vrmt pas crédible :/

  • - "1. Le Droit romain ou le code napoléon ou les systèmes religieux ont régie l’organisation sociale durant des dizaines, des centaines, voire des milliersd’années. Il n’est pas dit que le code napoléon soit exemplaire mais il est l’illustration régulée d’une d’organisation sociale… certes révolue."

    Il est dit que cela fonctionnait mieux, et que ces formes d'organisation étaient meilleures, puisqu'elles respectaient l'ordre biologique. Sinon quel besoin de pointer comme erreur le fait que l'occident ait quitté de modèle? Puisque je cite la femme-génitrice et l'homme chef de famille est une "
    "Réalité persistante dans la plupart des pays du monde tandis que l’occident, seul, a inversé une vision des choses qu’il entend inspirer au monde.

    L’obligation biologique est reléguée à un intérêt secondaire. Le processus démographique des pays occidentaux est, à plus d’un titre, extrêmement préoccupant.""

    - "Vous pouvez contestez les expressions d'amour de la poésie, tout comme on peut rire des couples aimants à Bruxelles qui se disent « mon choux » ! Est-ce qu’en Grèce ou en Suisse on se dit "mon aubergine » ou «mon franc suisse» ?... Peu importe. Derrière les expressions de la poésie, il y a souvent une réalité socioéconomique."

    Si quelqu'un a compris où se trouvait la réalité socio-économique dans le spleen de Baudelaire, j'aimerais bien qu'il vienne me l'expliquer. En quoi le code Napoléon est-il une expression d'amour? Quel rapport??

    - Pareil pour le point 3. J'ai de la peine à comprendre quel est le rapport entre la démographie, la France des années 30's et mes écrits...

    - "L’émancipation n’est jamais remise en cause."

    Et ça, vous appelez ça comment, une "légitime défiance"?:""En contestant le protectionnisme du mâle, en prenant une place entière dans l’activité socio-professionnelle, en remettant en question la distribution des rôles, en réclamant le partage dans les lieux de processus décisionnels ; l’homme s’est trouvé peu à peu délesté de ses principaux pouvoirs de protecteur, de pourvoyeur d’argent et de chef, tout autant dans la famille, l’entreprise, la responsabilité."""Ainsi, plus que son avènement dans la société, le mouvement d’émancipation s’apparente à une volonté d’occupation, de substitution, voire… de domination."

    - "La parité est revendiquée avec force dans les lieux de pouvoir et de décision mais pas pour les infirmières, les aides soignantes, les écoles, ou les militaires. Ca devient ridicule."

    C'est totalement faux. En remettant en question la distribution des rôles, remise en question que l'article critique tant, les études genre ont été parmi les premières à poser la question du peu d'hommes dans ces métiers. De votre côté, il est par contre difficile de revendiquer la différenciation des rôles et ensuite de venir me balancer ceci. Quand on vous dit que ce discours est bancal, parce qu'il n'arrête pas de se contredire lui-même, et bien ce n'est pas pour rien.

    - "On ne choisit plus une personne en fonction de sa compétence, de son énergie, de sa motivation"

    En ce sens il faut donc croire que les hommes sont plus intelligents. Bah oui, puisqu'en l'absence de ces quotas ils se trouvent toujours dans une proportion plus importante. C'était pourtant simple, je me demande comment je n'y ai pas pensé avant...

    - "mais d'un quota de non quéquette"

    Oui enfin Freud est déjà passé par là...une femme ce n'est pas une "non quéquette" un "être sans pénis", un "trou", une "absence". Mais votre vision imagée situe assez bien vos références: en avoir ou pas quoi...

    - "La Nation la plus riche au monde ne parvient pas à préserver un système familial qui se reproduit. Et personne n'y trouve rien à y dire."

    Peut-être parce qu'on est déjà assez sur la planète non?

    - "la justice n'hésite pas à voler les enfants des autres, pour les garder en Suisse"

    Une traite d'enfant organisée avec la complicité du gouvernement pour voler des enfants à leur famille et les donner à des Suisses? Il faut tout de suite appeler le Matin!

    - "Ce n’est pas pour rien que les immigrés viennent en Suisse pour combler ce déficit et maintenir le fonctionnement de la machine économique."

    Et bien vous voyez donc vous-mêmes que nous sommes suffisamment sur la planète!

    - "Je connais un suisse qui s'est taillé pour vivre en Mauritanie avec son fils parce que la mère, soutenue par la justice, risquait de lui prendre son enfant."

    Donc pour ne pas le perdre il a préféré le voler par avance? Bel exemple de moralité... Personnellement je ne cautionne pas le contraire, mais on dirait que nos codes de moralité ne sont pas les mêmes.


    - "Après des siècles d'obscurantisme, seriez-vous AUDREY, la seule lanterne éveillée?"

    Non, bien heureusement votre discours est encore minoritaire. Mais ça sent effectivement assez la culpabilisation des "égoïstes" inféconds...

  • @ Boo

    Bien d'accord.

    Ah et j'ai une question aussi, si le broccoli a des nerfs et que donc on fait un loi pour interdire qu'il ait mal.
    Etes-vous pour ou contre?

    Evidemment il est interdit d'être sans avis, mitigé, ou un peu critique. Non mais, espèce de chou-fleurocrate, broccolicide!

    On aurait pu faire de même avec les amateurs d'embouchure de mouches évidemment...

    $o$ un ange passe...

    :-)

  • @Boo
    « Vous voulez imposer une loi contre quoi? Qui? Pour défendre les hommes contre les violences des femmes? « Ca existe déjà... » soyez plus précis... »

    Ah… enfin… Vous avez trouvé le fil…

    Si vous pensez que…
    « Ca existe déjà... »
    Oui, ça existe déjà… mais pour les femmes !

    Cette page a pour but de montrer aux milliers de visiteurs (et de magistrats, d’avocats, d’assistants sociaux, et de décideurs politiques) qu’en Suisse, comme ailleurs, des lois sont promulguées en rapport avec les faits dénoncés qu’il y a (par exemple) 300.000, ou 24 % ou 90 % (c’est selon) des femmes battues, chaque année.

    Donc, en raison de ces lois (et c’est fort heureux) dès qu’une femme dépose plainte à raison… ou bien à tort (voir Témoignage sur une histoire familiale réelle sur la page http://pem.mediation.free.fr/BFF/thread.php?lng=fr&pg=233&fid=1&cat=15
    … les hommes sont interpellés par la justice (et c’est bien fait, car la violence est indécente) et sanctionnés. Qu’ils soient coupables, ou présumés coupables, ou innocents… ils sont écartés de leurs foyers (expulsés) et privés de vivre avec leurs enfants.
    C’est donc là où se situe le point critique, le non sens, l’injustice faite à des hommes qui sont diabolisés, alors qu’ils n’ont rien fait pour mériter un tel sort.

    Donc, pour promouvoir de meilleures lois de protections pour tous (pour les hommes, les femmes et les enfants) nous travaillons pour réclamer des études sérieuses, scientifiques, sur la problématique de la violence conjugale. Nous refusons les études biaisées sur lesquelles les gouvernements s’appuient pour promulguer leurs lois.

    Nous devons remercier les mouvements féministes pour leurs mobilisations à dénoncer les violences conjugales, mais nous condamnons les responsables politiques qui se basent sur des enquêtes biaisées, pour promulguer leurs lois iniques à l’égard des hommes, pères de familles, qui sont accusés à torts et sanctionnés à torts.

    Des études sont en cours dans différents pays, avec l’élite scientifique, car l’on a constaté qu’il y avait de dérives ayant entraîné trop d’injustices, trop de pertes socioéconomiques et de vies.

    Des chercheur(e)s ont découvert, dans le monde occidental, +- 2 millions de sites et Blogs de témoignages de pères violés et spoliés. Même si ces sites et blogs sont critiqués par des gens tel « Audrey » qui écrit :

    « que le combat pour la reconnaissance de la violence faite aux hommes est portée en grande partie par des sites peu louables que cette cause a du mal à passer, alors même qu'elle est importante, comme je n'ai jamais cessé de le mentionner. »

    Ce ne sont pas «les manières » ou « les violences » dans les « cris de douleurs » à la suite des violences, spoliations,… qui comptent… mais bien les conséquences barbares !

    Si vous criez de douleurs… et que l’on vous critique « de réagir de façon peu louable… » parce que vous crevez de mal… il y a un gros problème de compréhension. C’est un réel déni.

    Le sujet est très complexe. Donc à éviter de discourir sans connaissances sur les sujets.
    Bien à vous

  • Je vais mettre ma casquette de vaginocrate pour répondre encore une fois aux "défenseurs des pères".

    J'ai parcouru quelques forums de violences conjugales, femmes ou hommes battus.
    Il y a de nombreux appels à témoignages d'hommes battus, par des journalistes (femmes pour la plupart, étonnant, non?) restés sans réponses ou presque. Appels par les modérateurs ou modératrices de ces forums pour que les hommes osent enfin prendre la parole.
    Des hommes qui racontent pourquoi ils se taisent, souvent par peur des préjugés.
    Il y a des témoignages d'hommes battus et des appels à l'aide faits par l'intermédiaire d'amies ou de soeurs, mères, cousines d'hommes battus.

    Ceci confirme ce que je pensais, à savoir qu'il ne sert à rien de casser des féministes. Mais qu'il faut lutter contre les PREJUGES, tels que les vôtres et aider ces hommes à être reconnus comme victimes et briser ce silence ou tabou.

    Il est certain que hommes ou femmes, il est difficile d'avouer, et tout d'abord de s'avouer, qu'on est victime. Les femmes ont mis des années avant d'en avoir le courage, car il en faut, pour le faire. Et là, je ne parle pas des "abuseuses", parce que je suis sûre que vous allez sauter sur l'occasion pour dénigrer ce que je tente de dire.

    La "lutte" devrait se faire dans ce sens là. Aider les hommes à se confier, à ne plus avoir honte, à déposer plainte. Malgré les moqueries, les railleries que certains vont à coup sûr rencontrer.

    D'autres l'ont fait et ont réussi. Combien de femmes se sont fait humilier en dénonçant un viol? Il me semble que c'est quelque chose qui a, fort heureusement, évolué et plus personne n'oserait avoir une telle attitude devant la dénonciation d'un viol.

    Si vous pouviez cesser une seconde de recourir à votre discours haineux, ce serait tout bénéfice pour les autres hommes.

  • "Ah… enfin… Vous avez trouvé le fil…"

    En même temps je l'avais trouvé vu que vous braillez toujours au sujet de la mm chose je voyais juste pas le rapport (je ne le vois toujours pas d'ailleurs...)

    "Oui, ça existe déjà… mais pour les femmes ! "

    Ah oui? La loi stipule clairement "uniquement dans le but de protéger les femmes contre les hommes"??!!!

    "Donc à éviter de discourir sans connaissances sur les sujets"

    je vous ferais remarquer que je n'ai pas abordé 1seule fois le sujet... pas plus que celui des femmes violentées d'ailleurs... et que sans même avoir lu mes écrits vous avez décidé que j'étais une vilaine féministe intégriste parce que je demande à mon mec de partager les taches ménagères...
    Je pense que sous le couvert d'un mouvement pseudo égalitaire se cache en fait qqn de frustré, blessé et qui est devenu misogyne à cause de mauvaises expériences vécues...
    Mais svp... arrêtez de vous mettre en avant comme le défenseur de l'égalité... j'en connais de nombreux et ils sont loin d'être comme vous (encore heureux...)

    Je ne peux pas accéder à votre site depuis là ou je me trouve... j'y jeterais un coup d'oeil pour "voir de quoi vous parlez" mais je dois dire qu'après les exemples et citations reprises par Audrey ça n'a vrmt pas l'air glorieux.

    Bonne continuation

  • "Combien de femmes se sont fait humilier en dénonçant un viol? Il me semble que c'est quelque chose qui a, fort heureusement, évolué et plus personne n'oserait avoir une telle attitude devant la dénonciation d'un viol."

    ouf Pascale vous seriez étonnée!

    Je vous mets un petit lien que j'avais mis lors de ma première visite à notre hôte...c'est très parlant

    http://articles.alambic.ch/lemilie/index.php?page=viol-collectif.html

    Il reste malheureusement courrant qu'on accuse les victimes de viol de n'avoir pas crié assez fort, tappé assez leurs agresseurs, et pleurer assez pour que ceux d'en face comprenne que non, elle ne voulait pas, que non c'est non et pas peut-être oui...

    On entend souvent aussi des "faut dire que vu comment elle s'habillait".

    Mais pour le reste je suis tout à fait d'accord!

    P.S: je tiens à préciser que mon intervention sur le viol ne vise pas le but de montrer les hommes comme des prédateurs sexuels. C'est malheureux de devoir le préciser.

  • Me revoilou.

    1. Les insultes font partir le débat en ... couille (Sorry, pas de mot féminin). Il s'agit ici de démontrer et d'argumenter les discrimination envers les hommes, pas d'insulter les commentateurs-trices. Je me fiche de savoir qui a commencer, je vois que tout le monde ou presque continue. Mais cela ne fait que crisper et créer un bras de fer.

    2. En tant qu'homme je dis clairement que le code Napoléon (dictateur qui a mis l'Europe à feu et à sang bien avant Hitler) a été une plaie pour les femmes, que leur exclusion sociale n'est pas admissibles. Protéger la famille? Allons, donc, Napoléon se foutait de la famille et des femmes:

    «La femme est notre propriété, nous ne sommes pas la sienne; car elle nous donne des enfants, et l'homme ne lui en donne pas. Elle est donc sa propriété comme l'arbre à fruit est celle du jardinier.»

    Protéger la famille en enfermant les femmes, en les privant de droits? C'est les infantiliser, les considérer comme des êtres inférieurs.

    Le code Hamourabi, vieux d'environ 3'000 ans, donnait 10 fois plus de droits - y compris sur le patrimoine - que le code Napoléon qui est une verrue dans l'histoire humaine.

    3. Les hommes ont été historiquement autant conditionnés socialement que les femmes, enfermés dans un rôle, mourant jeunes à la guerre. La violence permanente, institutionnelle contre les hommes a commencé il y a très longtemps avec l'apparition des guerres et de leur systématisation par les différents pouvoirs qui se sont succédés. Je veux bien me sentir protecteur si cela est utile mais je ne veux pas être que cela. D'ailleurs mes compagnes trouvent que je ne le suis pas assez... Parce que je n'aime pas ce jeux quand il devient une condition de la relation.

    4. Aucun homme ne réfute que des femmes souffrent à cause d'hommes. S'il y en a, je ne suis pas de ce bord-là. Nous savons tous qu'il y a des hommes malades de la tête, violents, lâches, irresponsables.

    5. De même je ne pense pas un seul instant que les femmes dans leur ensemble soient violentes, profiteuses, mauvaises, malades.

    6. Je n'aime guère, et Audrey le sait, la systématisation de revendication féministe. La parité par exemple, ou le partage absolu des tâches ménagères. Là pour moi c'est de l'idéologie, et je n'aime pas les idéologies, les systèmes qui veulent tout englober et répondre à tout.

    7. Les hommes - pas tous mais beaucoup vivent une discrimination en cas de divorce. Il n'est ni normal ni souhaitable qu'un père soit réduit à presque rien. Une mère non plus.

    8. La colère des hommes contre le féminisme déviant vient de la situation que beaucoup vivent. Le problème est que cela apparaît comme un déni des femmes, comme si les hommes seuls subissaient des préjudices. Le nombre de situation dramatiques des hommes est impressionnant. Le nombre de fausses accusation aussi. Mais il faut arriver à en parler plus posément pour gagner en écoute.

    9. Audrey, les congrès Paroles d'Hommes ne se passent pas sur ce mode. Mais oui, il y a régulièrement des féministes agressives qui attaquent nos congrès. A Montréal, la police a dû intervenir.

    10. Sur les thème plus général de la différenciation des genres, ce sera un autre débat. Ici c'est la torsion dans la perception officielle des violences conjugales.

    11. Oserais-je vous demander, sans vouloir commander personne, de laisser tomber les mots qui stigmatisent, piquent, généralisent?

  • PROGRAMME
    4° FETE DE LA MEDIATION
    Samedi 13 Juin 2009, 11h à 21h

    « Exclusion, violence, intolérance : les réponses de la médiation » dans l’entreprise, la cité, la famille et la société.
    Contact : IFOMENE/ICP
    Tél. 01 44 39 52 18 (Claire Moulin ou Laurence Villeneuve)
    Mediation.ifomene@icp.fr / www.icp.fr
    21 rue d’Assas, Paris 75006, (entrée libre de 11 heures à 21 heures)
    (Métro Rennes ou Saint Sulpice)

  • A TOUTES...

    Savez-vous qu'au sein d'un même pays, on enlève des enfants à un parent?

    Savez-vous dans quelles proportions les enfants sont privés d'un de leur parent?

    Savez-vous par quels mécanismes, on arrive à faire détester son parent?

    ...

    J'ai apprécié d'être traité de CON. Ca ne m'était plus arrivé depuis mon ex-épouse...

    La situation de mon ami de Mauritanie et de son fils me paraissait exceptionnelle. Je ne me permet pas de juger car je ne connais pas l'entièreté de son histoire. Il a connu une faillite, un divorce où bcp de choses semblaient mêlées. A l'époque, il ne m'avait pas expliqué un état de rapt parental. C'est récemment que j'ai recomposé sa situation, depuis que moi-même, ai été victime d'une "justice à laquelle je n'ai rien demandé". Un juge me convoque, ma femme raconte n'importe quoi, puis il m'est ordonné par courrier, d'abandonner mon domicile, de laisser les enfants, de payer pour leur soin... Concernant le droit de visite, il sera examiné plus tard!?... Ca s'est passé en 2000 et ce n'est pas fini, parce que mes enfants sont la chose la plus précieuse. J'ai cassé ma carrière et j'ai dépensé bcp d'argent, sans satisfaction. Je commence à avoir des petites victoires, depuis que mes enfants réclament leur papa. A TOUTE CHOSE UTILE, je dois dire avoir développé le positif avec mes enfants et la contribution dans leur enracinement dans ma maison. Et si votre femme est autant cinglée que la mienne, prévoyez de gaspiller 300.000€ pour espérer rester père.


    J'ai lu l'article sur les pères et leurs filles. Beaucoup sont en rupture. Moi, c'est le contraire. Avec ma fille c'est du solide, elle réclame, elle revendique... tandis que les garçons sont en nonchalence.

  • Avis aux dénégationnistes, féminolâtres… vaginocrates…
    En tant que défenseurs des droits parentaux (pères, mères, enfants) Le CLVDP est avant tout un outil de communications sur des témoignages et commentaires des pères violés et spoliés et des conséquences catastrophiques sur les familles. Ceci en toute liberté, garantie par notre constitution. Bien sûr, des vérités dérangent.

    Alors, que l’on parle en bien… ou en mal… du CLVDP… pourvu que l’on en parle… c’est ce qui compte.

    Alors, je vous remercie –INFINIMENT - d’avoir contribué à l’augmentation de la visibilité du Blog CLVDP. Il est en hausse constante depuis quelques temps !

  • A AUDREY

    Essaie-tu de comprendre ou essaie-tu de démolir?

    Concernant la compréension, même si tu le veux, tu ne le puis, sans être passer sois-même par un divorce conflictuels, qui vous ruine profondément, sur tout les plans OU si tu partage la vie d'un homme qui traverse ces difficultés.

    Concernant la destruction, elle ne peut être que dérisoire, en comparaison avec la violence institutionnelle du divorcé.

    Concernant l'expression, un ami a fait le parallèle avec "les cris des gazaouillis sous les bombes". C'est horrible mais c'est le bruit de la souffrance. Dans ce forum, la souffrance est exprimée de manière paisible, par des porte-paroles responsables, cultivées et raisonnables.

  • @ELIAN1702

    Oui. J'ai deux amis qui pourraient se reconnaître dans les trois cas que vous citez. Et je sais qu'ils sont seuls et désarmés.
    Et j'en ai d'autres qui sont passés par là et qui ont pu obtenir la garde de leurs enfants, enfin.
    Des mères qui ont pu aller presque jusqu'au bout de leur démence avant qu'un juge daigne ouvrir les yeux.
    Je sais aussi que ceux qui obtiennent la garde de leurs enfants, même avec toutes les raisons du monde sont peu nombreux.

    Que les femmes qui ont pu agir ainsi sont dégueulasses. Que c'est indigne d'une mère.
    La justice peine à être impartiale et je suis d'accord qu'il faut tout faire pour changer ça.

    Un enfant, plus de mari. Mais notre enfant n'a jamais été impliqué dans la moindre de nos querelles après la séparation. Mon enfant pense que son père est le père le plus formidable du monde et j'en suis heureuse. Et au grand jamais je ne me permettrais de m'immiscer dans leur amour. Même si parfois il faut mettre son poing dans la poche. Mais ça, c'est mon problème et pas celui de notre enfant.

    Vous avez décidé semble-t-il que nous sommes incapable de comprendre et de vous soutenir. C'est fort dommage.

    Personnellement, je ne me suis offusquée que d'être traitée de vaginocrate ou autre truc sympathique. En bêlant, dans le désert apparemment, que ce n'était pas le bon moyen pour défendre une cause.
    Et j'ai découvert qu'il y avait la même propension à l'écrit qu'il peut y avoir à l'oral, à savoir la faculté pour certains de n'écouter que soi-même et de saisir quelques termes à gauche à droite afin de préparer une réponse cinglante et désagréable.

    @CLVDP
    Même en donnant une piètre image? Est-ce que ça vaut vraiment la peine?

    Et vous sous-entendez que certaines vérités nous dérangent, c'est malhonnête.

    Vous manquez tout de même un peu de respect à notre hôte, qui vient de demander gentiment de cesser les insultes...

  • @ homme libre

    Qui a commencé est facile à deviner, toutes ces injonctions commencent d'ailleurs par ces termes ;-) Mais je vous concède qu'on dévie sur le côté cour de récréation.

    Je suis d'accord avec vous sur beaucoup de choses, quoique j'ait l'impression que vous ne vous rendez pas forcément compte qu'il n'y a pas que de la souffrance, mais bref. Après j'imagine bien que ces congrès réunissant des personnes d'accord sur le fond sont beaucoup moins virulents. Les piques ont parfois cela d'utile qu'ils permettent de révéler la vraie nature des gens :-) Personnellement je n'agresserai jamais physiquement quelqu'un pour ses idées, je trouve plus utile de venir voir les chose incognito, relever ce qui nous déplaît et se faire une véritable idée, et le dénoncer par la suite le cas échéant, preuve à l'appui. Ca a le mérite d'être plus utile, plus intègre et plus constructif. C'est mon côté Günter Wallraff :-)

    Là où je ne suis pas d'accord, c'est que pour moi la (ou l'in-) différenciation de genre fait pleinement partie de ce débat. Ce n'est pas pour rien que les hommes ont plus de peine à se faire reconnaître comme victime de coups exercés par des femmes, ce n'est pas pour rien que la justice n'accorde que peu de responsabilité parentale aux pères et ce n'est encore pas pour rien que le statut de victime semble mieux aller au féminin. Ca relève aussi très clairement de stéréotypes, de honte de ne pas coller au modèle dominant, et en ce sens entre pleinement dans le débat de la distribution des rôles. Vous croyez sérieusement que le féminisme a tant de poids que ça, surtout en Suisse? Sérieusement si c'était le cas on aurait certainement pas attendu toutes ces années pour avoir un véritable droit à l'avortement, au congé maternité et certainement qu'il y aurait un peu plus que 2 crèches pour 1000 enfants en moyenne... Les avocat-e-s malhonnêtes ne sont pas des féministes, ils-elles sont malhonnêtes c'est tout. C'est le rôle d'un avocat de chargé l'autre, de tenter de faire n'importe quoi pour faire gagner son client. Enfin non ce n'est pas son rôle mais c'est souvent ainsi que cela finit. C'est pareil dans les histoires de viols où les avocats de la défense tentent de discréditer la victime, en la faisant passer pour une personne légère. Il ne me viendrait pas à l'idée d'y voir la preuve d'une misogynie. C'est le sale boulot d'avocat...il faut aimer faire cela je vous le concède. Par contre il est vrai que cela ressort souvent des stéréotypes éculés: "le prédateur sexuel" vs. "la tentatrice".

    C'est vrai que le féminisme s'est historiquement créé contre le pouvoir masculin, mais parce qu'il était alors véritablement "masculin". Aujourd'hui les féministes, enfin celles que je connais, s'attaquent toujours au pouvoir, mais en tant que tel, dans ces stéréotypes qui s'appliquent autant au féminin qu'au masculin (inégalité dans le congé paternité par exemple). Dénoncer les inégalités salariales et hiérarchiques ce n'est pas dénoncer les hommes, c'est montrer qu'on est toujours dans une société qui produit des stéréotypes donnant lieu à des situations inégalitaires. Je ne vois pas de tels faits dans les mouvements de pères. Cela parce qu'y est encore et toujours dénoncé le féminisme, comme si celui-ci dictait maintenant toute la régulation étatiques, comme si aujourd'hui c'était les femmes qui avaient le pouvoir. Peut-être le problème vient principalement du fait que ce sont justement des associations qui se créent sur de profondes douleurs émotionnelles (divorces, etc.). Les rancoeurs personnelles sont mauvaises conseillères. Il serait néanmoins intéressant de comprendre pourquoi ce n'est que dans ces moments que les hommes se rendent compte de leur mal-être.

    En même temps votre discours reste, je suis désolée, trouble sur la question de la parité. Vous n'aimez pas ces revendications et vous en avez le droit, mais c'est ensuite profondément étonnant de retrouver si je ne m'abuse dans le manifeste de "paroles d'hommes" (ou je ne sais plus comment il s'appelle mais dont vous êtes signataire), un questionnement sur la sous-représentation des hommes dans les métiers traditionnellement associés aux féminins. Je vous suis parfaitement dans cette démarche, mais je comprends très mal pour le coup votre opposition à la parité...

    En fait nous pourrions être parfaitement d'accord, et puis il y a toujours ce petit "couac" qui intervient tout d'un coup on ne sait pas pourquoi...

    @ CLVDP

    Mais je vous en prie, tout le plaisir de montrer ce que vous êtes était pour moi. On aura bien sûr compris que dénoncer la participation à l'activité économique des femmes, glorifier le natalisme, et pleurer sur le bon vieux code napoléon participait de la défense des pères violés et spoliés...

  • @ Elian

    Je vous prierai de garder le vous. Ca permet généralement d'adopter un ton plus cordiale, quoiqu'évidemment il y ait des exceptions.

    Je m'interroge profondément sur le sens de vos accusations sur mon incompréhension à propos de la souffrance du divorce, puisque de fait l'échange que nous avons eu précédemment parlait de: natalisme, maternité, déficite démographique...

    "la souffrance est exprimée de manière paisible, par des porte-paroles responsables, cultivées et raisonnables."

    Et bien heureusement... quoique ça m'inquiètes un peu de savoir que l'on n'a pas encore assisté au pire...

    Faut-il vraiment que dès que l'on contre des arguments qui n'ont rien à voir avec la souffrance des hommes (natalisme, code napoléon à moins que j'ait un blackout et que vous et-moi ayons parlé d'autres choses pendant ce temps), l'on se fasse traiter de bourreau sans coeur? Serait-ce le nouvel argument couperet, fin de discussion? Parlons-en du féminisme "victimaire", à se demander si pour finir il n'y a pas un peu de paranoïa de la façon dont ceci semble issue d'une projection sur l'autre de ses propres failles.

    Je respecte votre souffrance, mais elle ne vous donne pas le droit de dire tout et n'importe quoi.

  • INSULTES: BON SANG DE BONSOIR MAIS RELISEZ VOUS!!!!!!!!!!

    Ce topic a battu tous les records d'Insultes,de grossièreté et de vulgarité!

    @Hommelibre, Ce débat, et pas le premier quand nous avons affaire aux mêmes pseudos, a tourné à l'épreuve de force.Il a battu tous les records d'Insultes,de grossièreté et de vulgarité! Un proverbe dit:
    "De la discussion jaillit la lumière"! Force est de constater que cela n'est pas le cas présentement! Vous appelez cela un débat?

    Bonne soirée!

  • A AUDREY

    Le pire ne prend pas la parole dans ce forum mais fait l'acutalité hebdomadaire des faits divers, pour avoir tué femme et enfants, provoqué un accident de la route etc...

    Moins pire sont ceux qui dorment dans leurs voitures, les nouveaux SDF; ceux qui puisent dans les bistrots ou dans les médicaments, quelque moyen d'apaiser leur mémoire par l'oubli ou la mort...

    Encore moins pires sont ceux qui détestent les femmes, les avocats, la justice, l'etat...

    Et il y a ceux qui tentent de donner un sens à ces états de démence, parce qu'on a touché à leurs enfants. Beaucoup ne voient plus leurs enfants mais ils continuent à aider les autres et sont plein d'indulgence pour les enfants qui les haïssent.

    Qu'est-ce que jm'en fout du code napoléon ou de la religion. J'ai uniquement décrit d'où on venait. Les divorces étaient quasi inexistant mais on gérait les conflits conjguaux d'autre manière. Aujourd'hui, nous affrontons des difficultés nouvelles et nous sommes pionniers dans l'identification de ces difficultés et de leurs conséquences.

    Pour moi, le coeur de la problématique, c'est la FAMILLE. Elle est un lieu d'amour d'éducation de formation. Que faire lorsqu'elle est en crise? Je suis essentiellement préoccupé par manière avec laquelle la crise est gérée. Notre législation et notre système social conduisent à la rupture et non pas à la pacification, voire conciliation. Certains divorces conflictuels trouvent intérêt à être montés en épingle par des avocats. Crier au sauvage, au rapteur, à l'incestueux me paraît démeusuré et mal intentionné. Une dérive de la profession et de la propagande qui me préoccupent. Que le divorce avec l'autre se traduise en un divorce avec l'enfant; la question de la rupture du lien parental, de la transmission des valeurs me préoccupent aussi très fort. Que les divorces concernent des couples de plus en plus jeunes, et donc des enfants en bas âge me préoccupent encore ppour la construction du shéma mental des enfants et des troubles de comportement conséquents que l'on observe. La dénatalité est une préoccupation pour le gouvernement mais il ne s'en préoccupe pas. Effectivement, je recherche un allié indirect pour qu'il nous aide à protéger nos enfants... La mauvaise gestion familiale est à la base de multiples difficultés, là, où il me semble, le promoteur du blog établit la relation Homme/femme au coeur de difficultés.

  • @Audrey
    Dès le début… vous n’avez pas cessé de jeter le discrédit sur les écrits du CLVDP, le fruit de 15 ans de constats sur les effets de destructions des familles.
    Vos remarques telles que :

    « Le vécu d'expert, le préjugé à plein nez...excusez-moi d'avoir un petit fou rire... »

    «… votre remarque est ridicule »
    (assénée à tout vents, comme à d’autres que vous voulez dénigrer…)

    "Vous voudriez pas proposer la même chose pour les cas d'inceste?"
    (C’est faux, je n’ai rien écrit à ce propos.)

    «…et votre proposition de dépénalisation est dangereuse pour les hommes victimes eux-mêmes »
    (C’est faux, je n’ai rien écrit à ce propos.)

    Vous confondez visiblement tout le sens de la « déjudiciarisation » (d’une problématique) avec une « dépénalisation ». Il s’agit d’un défaut de pensée.

    Ou bien s’agit-il d’une malhonnêteté de votre part. Ou bien d’une insuffisance de connaissances, de votre part ?
    Alors dans ce cas, il est indécent de discourir sur des sujets que l’on ne maîtrise pas.

    Ou encore… il s’agit de l’utilisation de la dénégation bien utilisée par des groupes bien connus. Les lecteurs pourront toujours se faire une opinion sur vos remarques impertinentes.

    Comme à l’instar de toutes vos autres remarques ciblées sur un intervenant qui a eu le courage de s’identifier.

    Dans un sac de farine, si de la suie l’a pollué… il est inutile de retirer la farine ! Mais bien de jeter tout le sac ! Comme il est inutile de retirer de la farine d’un sac de suie.

    Je n’ai jamais fait l’éloge du « code Napoléon » comme vous le prétendez ! Sachez que notre code civil est quand même le code napoléonien, modifié, modernisé.

    Rien que ces quelques contradictions / dénégations, suffisent à mettre un terme pour répondre à vos écrits stériles qui n’apportent rien pour promouvoir plus d’égalités entre les femmes et les hommes ! Y a pas photo !

    Suivant les conseils de mes collaborateurs et collaboratrices, je mets un terme à d’autres échanges de commentaires. Ça ne sert à rien, ça nous retarde dans nos missions.
    Et, suivant les conseils de S… qui a déposé un post hier,

    Ceci est ma dernière intervention sur les échanges stériles car…

    « Je ne côtoie pas la connerie, ça finit toujours par déteindre »

  • Décidément vous finissez avec la classe qui vous aura caractérisé dans tous vos échanges.

    "Je n’ai jamais fait l’éloge du « code Napoléon » comme vous le prétendez ! "

    Votre site met en exergue un article (le péril des hommes) qui le cite en exemple très clairement. Si vous vous désolidarisez de ces propos, il serait donc mieux de ne pas les publier.

    "Vous confondez visiblement tout le sens de la « déjudiciarisation » (d’une problématique) avec une « dépénalisation »."

    Je ne sais pas comment cela se passe en Belgique, mais chez nous ce qui contrevient au code pénal, ressort forcément de la justice. Je vois dès lors mal comment on peut "déjudiciariser" sans "dépénaliser". Mais c'est certainement plus clair dans votre esprit...

    "Alors dans ce cas, il est indécent de discourir sur des sujets que l’on ne maîtrise pas. "

    Je ne vous le fais pas dire... Il faudra entre autres m'expliquer comment on pénalise sans avoir recourt à la justice...

    "«…et votre proposition de dépénalisation est dangereuse pour les hommes victimes eux-mêmes »
    (C’est faux, je n’ai rien écrit à ce propos.)"

    Je vous renvoie au fait qu'il est difficile de pénaliser, sanctionner un comportement sans un recourt à la justice, et qu'il est difficile d'avoir recours à la justice sans porter plainte: ce que vous proposiez clairement:

    "Mais n’est-il pas plus intelligent, humain,… (et pour éviter les destructions de millions de familles en Europe) de procéder autrement (en cas de violences conjugales) que de porter plainte au commissariat de police, chez les juges de paix, au tribunal de 1ère instance où, chaque fois, le but final est toujours d’écarter l’homme diabolisé et ce, dans une dynamique judiciaire de conflits ? Alors qu’il serait plus salutaire, pour les couples en crise, de suivre les bons conseils de résolutions des conflits ? Il y a tant d’organismes spécialisés qui pourraient venir en aide aux couples en difficulté !"

    Quand on sait que tous les experts, des psychologues et pas des féministes, ont montré que la violence conjugale était un phénomène cyclique, un cercle vicieux dans lequel la victime s'enfonce, acceptant de plus un plus, proposer une médiation révèle de la plus grande absurdité. Vous devriez pourtant le savoir, après vos 16ans d'études.

    ""Vous voudriez pas proposer la même chose pour les cas d'inceste?"
    (C’est faux, je n’ai rien écrit à ce propos.)"

    Non c'est vrai vous ne l'avez pas dit...c'est d'ailleurs pour cela que j'ai utilisé le conditionnel et que je l'ai formulé à la manière d'une question. C'était juste un exemple de la bêtise de votre "déjudiciarisation" coûte que coûte pourvu que la famille soit préservée.

    "
    « Le vécu d'expert, le préjugé à plein nez...excusez-moi d'avoir un petit fou rire... »"

    quand on sort cela on s'y expose évidemment:

    "En 16 ans d’observations, de recherches, je serais plutôt d’accord avec vous, Patoucha. Peut-être, aussi, en vertu du concept : « bat ta femme même si elle ne sait pas pourquoi, elle le sait » ? Concept barbare et intolérable dans une société civilisée et dans un Etat de droits."

    Ce proverbe est un proverbe raciste, qui n'a jamais existé dans cette culture. Donc du préjugé...pour quelqu'un qui a fait 16ans de recherches c'est malheureux...

    Comme disait Boo, je crois qu'on survivra ici sans vous...

  • bravo CLDVP. Tu fais un travail qui mérite le respect. AUDREY m'apparait bien méprisante à ton égard et à l'égard des autres aussi.

    Elle entend tes cris lorsque tu écris à la machine. Elle a pitié pour notre bloggeur "qui serait aimé par des cons". Moi-même, je l'aurai "traité de bourreau sans coeur", que l'argument serait "couperet et fin de discussion"

    Dans le même temps, la dame se drape d'une belle théorie morale qui reproche au "discours inquisiteur, de partir d'un point de vue jamais avancé pour lui faire un procès".

    Elle se prétend gentille et "n'agresserait jamais quelqu'un pour ses idées" sauf "qu'elle DENONCE des gens comme NOUS, qui se servent de vraies victimes, pour mieux faire avancer leur idéologie haineuse".

    Elle écrit bien mais c'est plein de mépris et de haine... Bizarre cette femme.

  • @Audrey
    « Votre site met en exergue un article (le péril des hommes) qui le cite en exemple très clairement. Si vous vous désolidarisez de ces propos, il serait donc mieux de ne pas les publier. »

    MDR MDR AHAHAHAHAHAHAHHAHAHAH

    J’ai lu la page http://laviedeperes.over-blog.com/pages/Peril_des_hommes_-53532.html

    J’ai trouvé l’article intéressant… et l’auteur ne fait nullement l’apologie du « code Napoléon » comme vous le prétendez !!! Mdr AHAHAHAHAHAHAHHAHAHAH…

    Juste avant ça, il a cité le « droit romain » et ça ne vous a pas provoqué de plaques d’urticaires ! MDR AHAHAHAHAHAHAHHAHAHAH…

    Si vous ne comprenez pas le sens de ce texte, alors… allez plutôt polémiquer ailleurs ! MDR AHAHAHAHAHAHAHHAHAHAH…..

    Vous dénigrez le clvdp (comme d’autres et comme moi) et vous lui reprochez (ou vous souhaitez qu’il retire le texte « Péril des hommes… dans une société toujours plus féminisée et non pas « péril des hommes » comme vous l’écrivez.
    Il a raison de s’interroger sur l’avenir des hommes dans une société de plus en plus féminisée.
    Vous ne connaissez pas les conséquences des éducations mixtes dès les maternelles !

    Votre niveau d’études est médiocre, voire nul sur ces problèmes qui inquiètent les scientifiques. MDR MDR AHAHAHAHAHAHAHHAHAHAH

    D’autant plus que l’auteur n’a aucunement fait l’apologie du code Napoléon et qu’il vous l’a expliqué (avez-vous une mémoire déficiente à ce point ?), alors, pourquoi faudrait il retirer cet article ? Comme en URSS, avant la chute du mur ?

    Vous dévoilez encore votre intolérance ! Quelle honte pour notre démocratie !

    Je préfère côtoyer les simples d’esprit, les idiots, les imbéciles et les tarés (en français dans le texte) que de vous côtoyer ici !!
    Moi aussi je cesse de vous importuner et de vous torturer… MDR MDR AHAHAHAHAHAHAHHAHAHAH

    Allez donc vous faire soigner ! MDR MDR AHAHAHAHAHAHAHHAHAHAH

  • Il n'empêche que vous refusez de sortir de ce règlement de compte même quand on vous invite à reparler du sujet de ce billet.

    Je vous souhaite un bon combat et une bonne soirée.

    :-(

  • @ Audrey: je comprends que certaines de mes positions peuvent paraître contradictoire, sur la parité en particulier et vous faites bien de le relever. La chose est complexe. Sur un plan très concret, si la parité s'instaure, elle doit s'instaurer partout. C'est dans ce sens que le Manifeste hoministe en parle. C'est une manière de rappeler que la parité dans l'égalité devrait alors concerner tous les domaines, tous les métiers. Mais c'est qu'une posture "politique", qui trouve son sens dans la vision de l'égalité que suppose la parité. Mais au fond, mon intérêt pour l'individu qui porte l'idée plus que pour l'idée elle-même me fait voir la parité comme une voie très incertaine et peu motivante. Mais puisque la théorie tend à supplanter les multiples faces de la réalité, il faut bien poser des repères et tenter des cohérences intellectuelles. Je remarque, comme l'a fait je ne sais plus qui plus haut, que la parité est surtout demandée pour les postes de pouvoir, pas pour les caissières. Là il y a un manque de cohérence ou d'aboutissement dans la notion de parité. Pourquoi la quête du pouvoir, si décriée quand c'est un homme qui la poursuit, serait-elle plus légitime quand c'est une femme? L'impression donnée par cette revendication de parité est qu'elle vise surtout le haut du panier. De plus elle laisse supposer en filigrane que quand les hommes exercent le pouvoir il ne le font qu'à leur profit et pour leur genre. Sur ce point, cela a malheureusement été le cas à certaines périodes, mais ce n'est pas une systématique.

    Sur la question des genres et de l'(in)différenciation, je crois que le fait par exemple que des pères se battent pour continuer à exister auprès de leur enfants et pour continuer leur responsabilité éducative signifie qu'il doit y avoir une égalité de droits et de responsabilité, donc de temps et de possibilité d'investissement auprès des enfants. Cela ne signifie pas pour moi qu'ils sont interchangeables.

    Il y a un courant d'hommes féministes qui prétend que le père a essentiellement un rôle symbolique et peut être facilement remplacé par un beau-père. Dans la réalité, certes un beau-père est important. Mais de là à donner au père géniteur et engagé par amour à faire des enfants un rôle si peu signifiant, c'est pour moi un outrage aux pères et aux hommes. Mais je sais, je l'ai assez vu, qu'être à ce point féministe pour des hommes est un excellent argument de drague... Consacrer la toute puissance de la mère - puisqu'elle n'est pas interchangeable - est aussi déséquilibré que de la donner au père.

    Il y a là un thème déjà souvent traité par de nombreux auteurs: la mère est mère par évidence, on ne peut dire le contraire, l'enfant sort de son ventre, elle l'a porté, (et je suis toujours en admiration de cela). Mais que sait le père? Il se croit père parce que la femme lui tend "son" enfant. Alors bien sûr on peut critiquer ce besoin d'appartenance du père, et lui rappeler que s'il est géniteur il n'est pas possesseur des enfants. Mais on peut dire pareil à la mère. le couple et la famille est me semble-t-il le lieu où le point d'équilibre est le plus difficile à trouver, et qu'il ne dépend pas tant des théories égalitaristes que de la personnalité des conjoints et de leur parcours de vie. Mais comme vous le dites les situations familiales sont chargées, et il n'est pas toujours évident de faire la part des choses.

    Pour revenir à la violence conjugale, le cas cité plus haut est malheureusement exemplaire de beaucoup de situations similaires. Je dis aussi qu'il y a un féminisme déviant, dont la psychologie de ses tenantes me pose question. Ce sujet fâche beaucoup les hommes, car il est fortement mis en avant. Vous dites que les féministes n'ont pas une si grande influence. Dans ce domaine, si. L'ONU, le Conseil de l'Europe, les gouvernement français, espagnols, canadien, suisse, ont validé l'aspect soi-disant univoque de cette violence, avec les conséquences déjà maintes fois évoquées pour les hommes.

  • John , est ce que vous avez des enfants vous ?

  • Luzia, j'ai une fille.

  • "Ce topic a battu tous les records d'Insultes,de grossièreté et de vulgarité!"

    Parole de pro!

    Désolé, pas pu m'en empêcher.

  • Je comprends mieux vos contradictions maintenant:-) Je vous ferais tout de même remarquer que la parité n'a pas besoin d'être demandée chez les caissières, puisque de fait ce sont en majorité des femmes. Je pourrais vous faire la remarque contraire que les mouvements hoministes ne sont pas trop prompt à dénoncer cette majorité, alors qu'ils la vitupèrent dans d'autres cas. Je ne suis pas d'accord avec vous sur le fait que les femmes voulant du pouvoir seraient admirées alors que les hommes ce seraient le contraire. Des femmes qui exercent de hautes fonctions sont aussi souvent critiquées: on dit qu'elles ont les dents qui rayent le parquet, on se demande si elles n'ont pas couché avec le patron, et finalement si elles font bien leur métier on va dire qu'elles sont pires (plus dures) que les hommes, castratrices. A la limite, dans un élan d'admiration on va dire "qu'elle en a". Si elle est affiliée à un homme qui exerce une position hiérarchique plus basse on va se moquer de lui, dire "qu'elle porte la culotte". L'homogamie des personnes haut-placées est beaucoup plus répandues chez les femmes que chez les hommes, ce n'est pas pour rien. Ces expressions relayent donc bien, même si ce ne sont que des images, le stéréotype de l'exercice du pouvoir comme masculin. Mais je trouve tout aussi débile les interprétations selon lesquelles la crise actuelle serait la faute des hommes et de leur testostérone (lu dans le temps il y a quelques mois). Il est à regretter que ce soit ce discours qui intéresse le plus les médias grand public, qui adorent les clichés.

    Le pouvoir n'est pas une fin en soi, c'est une manière aussi de faire passer des projets de société, d'avoir une certaine position dans la société. Et il est normal que les femmes y aient autant de chance d'accès que les hommes, ce qui est souvent difficile, à moins que de mener une carrière au "masculin", sans compter son temps, ce qui n'est pas facile s'il n'y a pas un partage des tâches domestiques... toutes ces problématiques s'imbriquent. Le but est évidemment d'arriver à une situation où l'on aurait plus besoin de mesures de parité, parce que les conditions d'inégalités auraient disparu.

    Certes qu'on n'exerce pas le pouvoir pour son genre. Ce post même montre qu'on peut être femme et critiquer les femmes qui travaillent. Il n'y a pas de biologie dans le pouvoir, pas plus que dans les sensibilités et/ou opinions. Néanmoins puisque nous vivons pour finir des expériences de vie différentes, puisque le regard que l'on porte sur nous est généralement sexué, nous sommes tendanciellement confrontés à d'autres choses, qui nous permettent de regarder les mêmes faits sous des angles différents, et de nous enrichir de ces points de vue construits différemment. C'est en ce sens aussi qu'un plus grand partage est totalement profitable, aussi bien dans le domaine du pouvoir que dans celui de la puériculture.

    Dans une relation affective, personne n'est interchangeable...je crois que c'est peut-être ce qu'il faut retenir.

    Pour ce qui regarde le féminisme maternaliste, vous savez très bien que c'est loin d'être mon credo. Pour ceci il faudrait que je sois différentialiste. Consacrer le rôle de la mère a été pendant longtemps le moyen le plus respectable pour les féministes de se faire entendre, parce qu'il s'ancrait dans les croyances de l'époque (l'instinct maternel et tutti quanti) et que s'était le seul statut qui leur était accordé. Pour moi il faut être clair, si on veut pouvoir revendiquer l'égalité aujourd'hui, il faut cesser d'agiter cette toute puissance. Je ne suis pas sûre que ces hommes soient vraiment féministes. J'entends souvent cet argument du père qui ne pourra jamais s'occuper aussi bien de ses enfants que la mère, "parce que quand même la mère c'est pas pareil, y a l'instinct". Mais généralement il s'assortit du: je trouverai donc normal que ma femme s'arrête de travailler tant que les enfants n'iront pas à l'école... Ces discours ne sont pour finir jamais libérateurs. En conservant un stéréotype, même "positivé", on finit par se couper des arguments qui visent l'égalité. Cet argument de drague marche donc très peu avec moi, autant le dire. Il en est de même pour ceux qui aiment claironner que les femmes sont supérieures, généralement ça s'assortit toujours d'un: "parce qu'elles donnent la vie" "parce qu'elles ne font pas la guerre" "parce qu'elles sont plus pures". :-)

    La mère est mère par évidence est peut-être le reliquat le plus présent de ces stéréotypes. Combien de dépressions post-partum, combien de dénis de grossesse? La maternité n'est pas quelque chose d'inné, se rendre compte qu'on a désormais un être qui compte sur nous est quelque chose de profondément vertigineux pour tout le monde je crois, d'autant plus quand l'on vous fait culpabiliser sur votre incapacité, parce que chez vous c'est censé être instinctif. Et le lien mère-enfant ne va pour finir pas de soi. Il est d'autant plus difficile que l'on met un poid énorme sur la responsabilité des mères. Si vous lisez des traités de psychologie, il y a de quoi devenir folle: on croirait que toutes les perturbations psychiques d'un enfant et de l'adulte qu'il sera sont la faute de la mère: qu'elle l'ait trop aimé, ou pas assez, ou mal. L'enfant est une pâte à modeler vous dit-on, il sent tout, même ce que vous cachez. Chez le psychologue préféré de ces sites on finit par croire que la mère est pathogène, et que le père est cet instrument libérateur de l'enfant, qui enfin vient l'arracher à son emprise en la rappelant à sa "féminité". La violence des jeunes et l'échec scolaire est aussi souvent attribué aux mères célibataires, ou qui travaillent. Pas aisé d'être mère ensuite...

    C'est justement parce que ces situations familiales sont chargées que les codes moraux (tel que l'égalitarisme) sont importants. Etre extrémiste n'est pas toujours un mal si cela consiste à s'en tenir à ces principes, qu'elle que soit la charge émotionnelle. Ca peut être un point de repère qui nous interdit de faire ce que l'on condamne tant. Pour moi être féministe ça n'est pas qu'une idéologie, ou de grands principes que l'on s'applique seulement lorsqu'ils nous arrangent, c'est une forme de philosophie de vie à laquelle je tente de faire coller au maximum mes actes. Après avoir rechigné un peu, mon zom s'est finalement admis très content de ne pas se voir payer chaque verre et sortie à double par principe ou "galanterie". On peut donc y trouver des bons côtés:-) Et toute sanguine que je suis, je sais que je ne prendrai jamais en otage l'enfant que j'aurai eu avec quelqu'un. Il me semble qu'on fait un enfant le jour où l'on veut célébrer l'amour que l'on partage dans une création commune, dès lors même après la tempête cela devrait rester l'évoquation de ce que l'on a pu partager, ça devrait justement être le moyen de se réconcilier, de voir aussi l'autre dans son enfant et se dire qu'il ne peut pas être que mauvais. Faire payer l'addition à travers un enfant encore une fois ce n'est pas du féminisme, c'est de l'égoïsme.

    C'est mon côté candide, et peut-être un peu trop littéral, mais la seule définition dans lequel se reconnaissent normalement toutes les féministes est celle de la recherche d'"égalité". Evidemment après on y met le sens qu'on veut, mais j'ai de la peine à croire que de vraies féministes puissent être aussi tyranniques, despotiques. J'avoue que je comprends mal à la base pourquoi ces études n'incluent pas un échantillon d'hommes, parce que ça n'enlèverait rien aux victimes femmes, et qu'il n'y a pas de combat à faire sur le monopole de la douleur légitime. Maintenant je suis peu sûre que cette décision soit l'oeuvre d'un pouvoir féministe. Ce sont ces groupements qui ont effectivement historiquement mis sur la place publique la problématique de la violence conjugale, auparavant considérée comme normale, comme une affaire privée. Dès lors, à force d'acharnement, les gouvernements ont répondu, et même si ce n'est pas très politiquement correct je pense peut-être effectivement que cette mise en visibilité, légitime, a pu occulter la présence de cette violence à l'égard des hommes, parce que ces actions n'ont été portées que par des femmes. C'est un effet collatéral, dans ma candeur j'ai de la peine à imaginer qu'il soit vraiment volontaire.

    Il ne faut pas oublier que l'Etat sélectionne aussi les mesures qui l'arrangent dans les revendications féministes, raison pour laquelle certaines passent, d'autres moins. Je pense vraiment que dans l'acharnement contre les féministes qu'on a vu ici se déployer réside un procès d'intention, et c'est ce procès qui finalement bloque tout. J'aurais signé une lettre qui demandait la reconnaissance des victimes hommes et leur prise en compte. Mais je ne peux décemment pas m'associer à cela quand on y mèle la critique du féminisme, j'estime trop l'importance des moyens pour les fouler au pied. Parfois pour se faire mieux entendre il faut savoir aussi être plus diplomatique, c'est ce qui manque cruellement à ces associations de père je suis navrée.

  • Savez-vous que l'homme et le singe ont un patrimoine génétique de base commun à 98,4% et que ce patrimoine commun entre l'homme et la femme n'est que de 95%.

    Est-ce que ca voudrait dire que l'homme est plus proche du singe que de sa femme?... En réalité, la différence est dans le genre, entre le mâle et la femelle. Je crois même que la génétique a démontré que la femme était supérieure à l'homme.

    Dans ces différences qu'un spécialiste pourrait mieux détailler, il est dit
    - La femme entend mieux, l'homme voit plus loin
    - l'homme écoute avec son hémisphère gauche, ce qui le laisse croire sceptique
    - La femme écoute avec ses deux hémisphères et donc elle est plus attentionnée, plus sensible à l'environnement proche de l'odeur, la respiration, l'émotion, les gestes... ce qui peut expliquer qu'un H se confie mieux à une femme quà un homme.
    - la femme parle plus,
    - l'homme agît - il paraît souvent calme mais parfois impulsif et brutal
    - la sensibilité au touché y est différente (voyez notre sexualité)
    - l'homme prend des risques, la femme préserve:
    - ex d'un geste anodin: le garçon marche dans la flaque d'eau, la fille la contourne; un homme shoot dans la ballon, une femme le ramasse.
    - Nombreuses de nos réactions sont reliées à nos potentialités physiques, l'homme a plus de muscles et il y a donc une confiance dans son geste... mais lorsqu'il devient vieux, inconsciement son comportement se modifie.

    La NATURE a très vite compris ces différes et la société a naturellement distribué les rôles entre hommes et femmes. Bien que les frontières ne sont pas hermétiques.

    Le RATIONALISME économique vient aussi organiser la répartition des tâches. "Le fonction de caisse est donné à une caissière tandis que pour le déchargement un magasinier" est préféré, à moins que la techologie vienne modifier ces contraintes. Dans "péril des hommes" il est expliqué que se sont mécanisés les fonctions traditionnellement masculines comme pompistes, tandis que les activités de soins et d'accompagnement autrefois non-rémunérés se sont professionalisés.

    La conduite automobile est souvent considéré comme un travail masculin. Mais les ambulanciers sont souvent des femmes car elles conduisent prudemment, là où les hommes ont des conduites à risque. Avouez que serait problématique de devoir sauver une ambulance accidenté, d'autant qu'il n'y en a qu'une dans le secteur.

    Bien sûr que tout n'est pas figé. Il y a des hommes qui ont un cerveau de type plus féminin et des femmes qui ont un cerveau de type plus masculin.

    Et moi, après quelques échecs conjugaux, j'ai trouvé la femme d'une mentalité (africaine et proche du code napoléon) qui aurait un cerveau plus masculin. Elle préfére de loin nos ambiances masculines, d'hommes et de copains prêts à rire. Un jour, un des notres s'est plaint de sa frustration d'avoir une compagne froide et frigide. Dans une ambiance de rire, elle lui a conseillé de "lui foutre une claque aux fesses et la caliner de force". Savez que ce geste (criminel, à grand risque, qui s'apparente au viol et à la violence conjugale pour une européenne) a sauvé leur relation? Aujourd'hui, la femme a retrouvé un tel appétit sexuel qu'on voit rarement notre ami.

    Allez salut...

  • "Savez-vous que l'homme et le singe ont un patrimoine génétique de base commun à 98,4% et que ce patrimoine commun entre l'homme et la femme n'est que de 95%."

    A-t-on réalisé le même genre d'étude avec des guenons? Avez-vous une source pour ceci? J'en doute fort... Mais ça avait le mérite d'être rigolo.

    "Je crois même que la génétique a démontré que la femme était supérieure à l'homme."

    Je vois mal comment, la supériorité étant par essence une appréciation totalement subjective.

    "
    - l'homme écoute avec son hémisphère gauche, ce qui le laisse croire sceptique"

    Le développement des hémisphères est également lisible dans le fait d'être gauché, droitier ou ambidextre. Pourtant personne n'en fait le lieu d'une différenciation particulière.

    "l'homme prend des risques, la femme préserve: "

    Sur la base de quoi peut-on affirmer que ceci est vrai, et d'origine biologique? Un gène de la préservation?

    "le garçon marche dans la flaque d'eau, la fille la contourne"

    Ceci après qu'on lui ait mis une jolie robe et qu'on lui ait expliqué qu'une jolie et gentille petite fille ne doit pas tâcher sa jolie robe. Non parce que quand même, marcher dans une flaque d'eau c'est fichtrement risqué!

    "La NATURE a très vite compris ces différes et la société a naturellement distribué les rôles entre hommes et femmes."

    Si la nature existe, elle n'a pas grand chose à "comprendre", elle est c'est tout. Il est étonnant aussi que cette distribution "naturelle" ne se soit pas faite de la même manière partout... A croire qu'il y a des natures différentes selon les contextes sociaux...

    "Bien sûr que tout n'est pas figé. Il y a des hommes qui ont un cerveau de type plus féminin et des femmes qui ont un cerveau de type plus masculin."

    Et en rangeant ces données comme exceptions on peut toujours confirmer la règle. C'est bien pratique n'est-ce pas? Ca le devient moins quand on observe les personnes inter-sexes.

    "qui s'apparente au viol et à la violence conjugale pour une européenne"

    Voilà comment on nourrit les préjugés de certains. Un viol est un viol, il ne détruit pas moins parce qu'il est infligé à une personne d'une autre origine. Allez demander aux femmes rwandaises violées dans le contexte du génocide.

    Et un encouragement à l'abus sexuel en prime...c'est du joli...: "si tu ne sais pas comment donner envie à ta femme, force-là, peut-être que ça marchera."

  • Concernant les sources, il s'agit d'une conférence d'un psychothérapeute, le professeur GINGER. J'évoque des curiosités, pour montrer l'évidence qu'Homme et femme sont différents. Mais ce site n'est pas l'académie des sciences, je ne suis pas payé pour faire ce travail. L'intérêt même mériterait-il les subventions publiques? En revanche, la préoccupation de rupture familiale et de ses conséquences me paraît nécessiter des fonds de recherche et il y'en a pas.

    Fin des années 90 au Canada, Jany HOULE Dr. en psychologie (je me suis empressé de retrouver son nom) avait fait une thèse sur le scuicide au masculin. Parmi les suicidés, elle avait observé nombre important de papas en rupture avec leurs enfants et avec leur famille. Elle avait observé le nombre d'accidents de voiture mortels élevés dans cette catégorie de population; le faible nombre d'hommes qui prenanient l'initiative de voir les spécialistes: psychiatres, thérapeute, psychologue etc. Dans sa recommandation finale, elle avait proposé pour les hommes de s'organiser en associations ou clubs d'hommes où se développerait une solidarité, une sociabilité qui préviendrait les actes de suicide. Cette recommandation n'eu pas de suite de la part des autorités québécquoise. Pourquoi? à cause du mouvement féministe canadien qui y voyait une menace directe à ses intérêts. Et c'est donc ce que vous faîtes ici en Suisse, pour tuer le "cocq dans sa coque".

    Bref, quoiqu'on dise, vous vous amusez dans le négativisme total et non pas dans le critique. Je me demande donc quels sont vos objectifs? Avez-vous pour mission de shooter sur tout ombrion d'association de mâle ou de pères? Avez-vous un mari dans votre lit? Avez-vous des enfants pour essayer de comprendre? Avez-vous un fils? Avez-vous des petits enfants? Avez-vous vécue une vie heureuse?

  • "J'évoque des curiosités, pour montrer l'évidence qu'Homme et femme sont différents. "

    Mais si ceci est si évident, pourquoi avoir besoin de le montrer? Encore une chose, par essence ces tests sont effectués sur des personnes déjà bien ancrées dans la socialisation. De nombreux travaux de psychologues ont démontré la part de l'acquis. Les différences comportementales sont impossibles à prouver comme "naturelles". La preuve du peu de poids du génome est qu'on n'a encore jamais vu un singe parler, rire, faire des blagues ou se battre dans des associations de père. La preuve du poids de ce génome c'est que la néotonie (progression plus lente du cerveau) se retrouve chez tous les bébés humains, mais pas chez les singes. Mais si vous voulez penser que vous êtes plus proches d'un ouistiti que de votre soeur...tant mieux pour vous. Vous qui vivez apparemment dans une culture africaine, vous devriez savoir comment les psychologues et biologistes ont traité les vôtres jusque dans les années 60's aux USA avant que la prise de conscience du racisme n'empêche de pratiquer des tests de QI frelattés qui tentaient d'affirmer l'inintelligence des noirs. Le fait qu'un psychologue atteste d'un "les femmes ont besoin d'intimité pour avoir des relations sexuelles, les hommes ont besoin d'avoir des relations sexuelles pour développer une intimité" n'en fait heureusement pas une vérité révélée. Il est étrange d'ailleurs de constater à quel point les scientifiques d'aujourd'hui semblent corroborer les préjugés que l'on a depuis le moyen-âge. A se demander à quoi peut bien servir la science si elle ne nous apprend rien de neuf...

    "Avez-vous pour mission de shooter sur tout ombrion d'association de mâle ou de pères?"

    C'est étrange comme vous passez du coq à l'âne. Je critique votre interprétation du natalisme, de la biologie, et vous y voyez une critique des associations de père... Quel est le rapport au juste?

    Pour le reste j'ai un ami dans ma vie mais je comprends mal votre question. Est-ce encore une de ces évidences naturelles qui tenterait de me faire passer pour une frustrée sexuelle, "mal baisée" comme on dit?

  • La femme et l'homme sont complémentaire, l'homme, en principe est la pour protéger mais, certaines fois, cela peut être le contraire, en voici un exemple. Pendant la nuit, une femme a entendu du bruit dans son salon, elle a demandé à son mari d'aller voir et de faire peur au cambrioleur. Le mari a dit : Si c'est pour lui faire peur, tu peux y aller !

  • Bravo Octave. Au moins, toi tu fais rire sans sérieux

  • Au Canada, il y a un mouvement virulent contre les associations de pères. Il serait logique de porter cet engagement dans le Vieux continent. mais vous l'avez bien compris.

    Concernant le JULES, c'est à peu près ca, mais j'voulais le dire gentillement.

  • "Concernant le JULES, c'est à peu près ca, mais j'voulais le dire gentillement."

    Ca prouve donc bien votre niveau et votre misogynie crasse... y a plus rien à ajouter.

  • L'humour ne devrait être qu'à sens unique (princesse)?

  • Octave... tu m'étonnes! MDR Hahahahahahaha....

  • je trouve que les hommes ont tellement eu rien à faire dans l'équation des efforts pour leur propre liberté en aillant eu toujours le pouvoir, que avant de revendiquer leur droit devraient faire ce que les femmes ont fait pour retrouver leur liberté et qu'elle font encore aujourd'hui..cet à dire apprendre à se connaitre entant que genre, parce que paradoxalement l'homme en aillant touts les droit en connait aucun , cet é dire le comprendre, car si on a pas du souffrir de l'absence d'un droit , l'avoir toujours eu ne veut pas dire l'avoir compris et intégré dan sa conscience,,....

    c'est pour cette raison que je pense que les hommes devraient non pas contre les femmes ou leur droit , mais d'eaux mêmes comprendre ce qu'ils sont d'abord comme genre, vu que n'ont jamais eu la nécessité de se connaitre en tant que genre,...

    car là je vois bien qui est le fruit d' une ignorance qui se défend contre ce qu'il soupçonne vouloir lui enlever des droits , alors qu'il s'agit d'un droit qu'ils n'ont jamais assumé , et qui ne s'assume pas en ôtant les droits aux autres ou minimisant les droits des autres genres, cet à dire femmes et homosexuels par exemple..que eux ne les aillant jamais eu on du se battre pour les maintenir en vie et en conscience..démontrant ainsi une profonde connaissance de leur humanité ..

    voilà mon avis...

  • @ Mimi... AHAHAAHAHAHAHAHAHAHAH

    c'est quoi cette affirmation "tu m'étonnes"??!!!

    Vous êtes intime avec la femme du type dans la blague??!! Ou alors vous vous basez sur votre expérience personelle et votre femme est donc asez moche pour mettre des gens en fuite??

    Ou bien vous êtes juste à la masse (ce qui expliquerais bcp de choses...) et vous avez rien compris à la blague?

  • @ Boo

    Je dirais plutôt que plus ça va, plus on remarquera que ces personnes se battant soit-disant pour l'égalité des sexe apprécient particulièrement l'humour misogyne d'Octave... A se demander s'il n'y a pas un peu de schizophrénie chez ces gens-là.

    Parce que voyez-vous Boo, il faut quand même le rappeler:

    "

    Nous devons lutter, non pas contre elles, mais contre leurs faux discours, avec le respect, élégance, sourire,… et bien montrer que nous ne sommes pas des gens agressifs. L’on remarque toujours où se situe la haine, l’agressivité, l’intolérance, le racisme de genre sexué,… L’on voit clairement quels sont les gens bien intentionnés, les malintentionnés ; les bien-pensants et les débiles mentaux

    Mimi- 27 mai"

    Effectivement on le voit très clairement :-)

  • "L'humour ne devrait être qu'à sens unique (princesse)?"

    Parce que vous m'avez-vu faire de l'humour sur ce qui se situe en-dessous de la ceinture ou sur les relations privées que vous pouvez entretenir?

  • A AUDREY

    "m'avez-vu faire de l'humour sur ce qui se situe en-dessous de la ceinture ou sur les relations privées que vous pouvez entretenir?"

    CITATION DAUDREY du 29 mai

    est écrit:
    "Est-ce encore une de ces évidences naturelles qui tenterait de me faire passer pour une frustrée sexuelle, "mal baisée" comme on dit?"

    BOO et AUDREY, vous êtes ennuyantes avec vos complexes, vos jugements, votre agressivité sournoise et même vos insultes...

    Tchao amigos et thao princesse

  • Ce n'était pas de l'humour mais une question qui se rapportait directement à vos propos honteux, propos que vous avez d'ailleurs clairement développés et assumés par la suite. Votre humour, dont chacun jugera la subtilité, était donc parfaitement déplacé.

    C'est bien de nous ramener à "nos complexes", encore mieux que nous n'en avons jamais parlé... Vous vous situez exactement dans le registre de l'attaque personnelle que doivent essuyer les féministes depuis environ deux siècles. Peut-être parce que tourner en ridicule ou chercher à rabaisser l'autre dans son physique ou sa sexualité est plus facile que de développer un véritable discours critique sur ces théories. Et puis quand ça suffit pas, hop un coup de sauce victimaire, histoire de noyer le tout. Comme cela non seulement nous sommes frustrées, moches, complexées et aigries, mais en plus nous nous délectons de la souffrance des hommes. C'est dire si on devrait nous écouter!

    Si pour vous critiquer le discours d'un autre en usant d'un langage tout à fait adéquat quoique sans doute un peu sec, est de l'"agressivité sournoise" ou "de l'insulte" il est à croire que vous êtes effectivement très sensible, ou ne connaissez pas le sens de ces mots. Mais je retiens que les mots "sournoise, perverce et vicieuse" ont beaucoup été évoqués dans ce post. Un peu comme si nous, vaginocrate, féminolâtres, sorcières à brûler, avions mis du "prédateur" et du "rustre" un peu partout...

    Et on nous parle de diabolisation du masculin...

  • @elian
    Vous voyez bien qu’il ne sert à rien de discuter avec elles ! Elles n’ont rien dit sur la blague d’Octave… Mais vous avez vu comment Boo et Audrey ont réagi? Parce que j’ai eu le « malheur de rire » aussi de sa blague et de lui avoir répondu simplement « Tu m’étonnes » (!?!)

    Comme elle vous dénigré, rabaissé, humilié… pour vous « casser » sur ce blog en disant (p.e) que vous avez fait l’apologie du « code Napléon » comme ci, ou comme ça….
    Imaginez-vous que vous seriez face à face… que feriez-vous ? Face à ces violences psychologiques, vous faisant passez pour (…) rien ?
    Nous perdons notre temps avec elles, et en nous lisant, à mon humble avis, nous n'allons nulle part.

    Vous verrez, elian, qu’elles auront encore à redire… tout ça, pour avoir le dernier mot. C’est une lutte « d’esprit » contre tout ce qui les dérangent. Dès que vous cessez de répondre, elles s’imaginent qu’elles ont « gagné ». Elle en retire une telle jouissance !!!... Salut!

  • Juste un pavé dans la mare... En tant qu'homme je constate que les hommes se desservent en lançant des invectives. Quoi que l'on en pense, Audrey est une personne qui n'a jamais refusé le débat, la critique, la prise de bec et de tête si besoin. Je la respecte déjà en cela.

    J'ai des désaccord avec elle sur bien des points, nous avons déjà débattu longuement, et je suis heureux qu'elle continue à s'investir dans le débat.

    Les invectives personnelles décrédibilisent la cause des hommes. Ce n'est qu'avec des arguments que l'on pourra avancer. On peut parfois mettre en cause la personne elle-même, s'il y a dissociation entre les paroles et les actes par exemples.

    Je comprends les rancoeurs des hommes sur de nombreux points, mais il faut avancer et argumenter. J'ai bien ri en lisant la BD de Serge Ferrand, "Les vaginocrates", qui fait le pendant aux "phallocrates". Je sais aussi qu'il y a un féminisme déviant et venimeux, dangereux pour la société.

    J'admets que l'on mette en cause la non-différenciation des genres. J'admets que chaque genre puisse avoir des prérogatives - pour autant que ce ne soit pas une prise de pouvoir sur l'autre. Je sais combien la diabolisation actuelle des hommes est chose mauvaise et dangereuse. Je sais que les hommes doivent prendre davantage la parole, et se faire entendre. Mais pas avec l'invective: nous ne serons jamais entendus de cette manière. Je dis cela en conscience, et quand on sait ce que j'ai traversé et quand on me lit on peut difficilement me suspecter de "pactiser" avec le féminisme déviant. Mais Audrey n'est pas de celles-là. Elle a des opinions bien ancrées et argumentées. Bon, elle invective aussi quelques fois dans ce débat.

    Je me fiche d'ailleurs de savoir qui le fait le plus, en tous les cas balancer une vanne entraîne une autre vanne et ainsi de suite, et l'on se retrouve couteau à la main. Je veux bien envoyer les féministes déviantes et venimeuses sur la lune, mais toutes ne sont pas ainsi. Je trouve personnellement que le féminisme de déconstruction des genres est un système, et je n'aime pas les systèmes. Mais de grâce, posons les sujtes et argumentons, posons les doléances avec moins d'invectives, si l'on veut être entendus.

    Hug. Busard-des-blés a parlé...

    (=¿ª)

  • J'ajoute que j'ai aussi passé par des moments de rage dans mon affaire, et que j'avais le mordant aux lèvres. Depuis un temps je travaille à sortir de la victimisation où j'ai été mis malgré moi, et qui ne convient pas du tout à ma nature.

    Je comprends donc la rage, mais c'est aussi mon rôle maintenant d'inciter à un autre dialogue avec celles qui veulent du dialogue. Audrey est de celles-là

    Hug. Loup-du-Rocher a parlé...

    {=|=}

  • pas mal le smile, mais il vous manque la bouche et le calumet ;-)


    . .
    $$$ . .
    {=|=} . .
    o ----o

  • pfiou même pas marché

    .$$$.
    {=|=}
    ..o..-----o

    voilà comme ça :-)

  • Pas mal, pas mal...


    888
    [=v=]
    o–––u

    Raaahhhh....

  • Non...

    §§§
    [=√=] °°°
    o–––u

    Yo...

  • Bien sûr, ça se déplave à l'envoi, d'où les points,,, Je recommence:

    .§§§.
    [=√=] ...°°°
    ..o..–––u

    Bon, les points avant la fumée...

  • ;-) la racine carrée vous fait un nez tordu. Me fait penser au bonhomme du seven up, ou était-ce du sprite?


    .$$$.
    {ô|ô}
    ..o..
    ..$..

    Je me suis mise ma barbe de fête, bonne soirée!

  • Pour revenir au sujet des hommes et de ce que certains vivent, je propose ce lien vers une vidéo - un clip que j'ai fait l'an dernier sur un poème musical que j'ai écrit.

    Je pense que tout le monde ici ne l'a pas encore vu. Il est inspiré de trois histoire vraies (pas la mienne). Il parle plus que pas mal de théories:

    http://www.youtube.com/watch?v=rr2_argl3Uw

  • Les seigneurs ne font plus saigner

    Au joli temps du capitalisme de Papa, on exploitait le sang des hommes. Mort à la mine. Mort en mer. Mort sur un chantier ou dans un champ. Mort à la guerre. Mort l’outil ou l’arme à la main. Comme un homme doit savoir mourir avant son temps personnel, avec son temps idéologique.

    Aujourd’hui, le capitalisme a bien changé. D’abord, Papa a été jeté aux orties, comme grand-mère. C’est Maman qui commande à la maison et qui souffre au travail. Papa ne sert plus à rien: des machines, des techniques, des procédures, l’ont ramené à sa place: ce père m’a tôt zoïdée, qu’il aille se faire pailleter, et me permette d’être heureuse comme les Droits de l’Homme l’ordonnent.

    En famille, pas besoin de revolver. Plus besoin de le pousser dans les escaliers de la cave avant de plaider qu’il était in-femme. Il suffit d’engager la procédure comme on engageait jadis les balles dans le six coups. Il y a des professionnels pour cela. Des femmes et des hommes qui s’indignent de la violence des autres, qui s’enorgueillissent que la peine de mort officielle (trois cas par an) n’existe plus mais qui "oublient" qu’un homme se tue tous les jours en sortant d’odieuse audience.

    Au travail, on meurt moins dans une galerie, dans un lit d’hôpital public, sur un chantier, même si l’on meurt encore trop souvent sur la route. Mais on se consume à petit feu en cherchant un emploi qui n’est plus offert, en cherchant à rester utile malgré les injonctions de changement pour servir le profit, en essayant de ne pas perdre son âme pour servir un capitalisme devenu financier, abstrait, théorique, presque virtuel.

    Dans notre phase sociétale pré-terminale, les seigneurs ne sont plus des saigneurs. On exploite l’argent, plus les hommes qui ont produit l’argent. Les seigneurs ont à présent oublié l’Homme, celui qu’ils ignoraient déjà avant 1789. On exploite le travail. L’Homme au travail ? Qu’il aille se pendre s’il a tout perdu, et se faire soigner, s’il est "stressé" (nous avons de très, très, bons psychiatres).

    Ou qu’il dépose plainte pour harcèlement (nous avons de très, très, bons députés qui ont fait une loi pour cela, et de très, très, bons avocats et juges pour faire fructifier ce genre d’affaires) . Et le sens du travail humain, qu’on n’en parle plus.

    L’odeur de l’argent suffit pour que le loup soit attiré. On exploite la famille. Un couple et des enfants ? Trois bonnes raisons pour faire des affaires. L’une a raison d’avoir des droits, l’autre a raison d’avoir des miettes, et les enfants ont des droits eux aussi, que seuls des experts peuvent ordonner.

    Une famille c’est bien joli si ça rapporte aux messiers dame qui ont fait des études de droit. C’est joli comme jadis l’était un filon de mine exploité par des ploucs qui n’avaient pas fait d’études d’ingénieur. Le suffering business ultra libéral bat son plein.

    Pas une peine de mort, pas un coup de revolver, pas un mot plus haut que l’autre. De grands principes humanitaires. Et tous les jours dix hommes qui tombent, catalogués "forcené", "déprimés", "psychotiques"…Droidlomme par ci, droidlomme par là. Et des milliards de roubles, pesetas, lires, euros, francs, dans la poche des Mag-houilleurs, des grands exploitants modernes des filons de jadis, des filons de toujours…

  • L’enfer de la justice familialiste, en Suisse… Comme ailleurs !...

    Broyé, séparé de sa femme et de ses enfants, il est devenu un agitateur dont l'administration, la justice et les services sociaux se passeraient bien.

    Il y a deux ans, M. P. était un père de famille lambda. Bonne situation, des projets. Aujourd'hui, à 35 ans, il collectionne les dettes, multiplie les recours et oppositions.

    Quand il ne prend pas les conseillers d'Etat à partie, il s'adresse à la Haute Cour ou aux conseillers nationaux. Il demande la récusation de magistrats, menace de porter plainte à tout va. Impossible de saisir toutes les finesses de l'imposant dossier qu'il promène avec lui dans une valise à roulettes.

    Seule certitude: l'homme est déterminé. « Une séparation inexpliquée », son discours ? « Défendre les droits parents-gardiens, le droit des enfants et garantir le minimum vital. » son problème ?

    Une séparation « inexpliquée », dit-il, des décisions arbitraires, des prélèvements de salaire illégaux, pour résumer sommairement.

    Tout commence en décembre 2003. Sur ordre du juge, il doit quitter son domicile conjugal de Praz (FR), escorté de gendarmes. Son épouse évoque des violences psychologiques. Au bénéfice ? À l'époque ? D'un salaire dépassant 7.000 francs (suisses) il doit verser une pension à la mère de 3.600 francs, (plus les allocations familiales) et il ne voit ses enfants que quatre jours par mois. Seulement voilà: trois mois plus tard, il passe au chômage (1). Le salaire baisse, pas la pension. Rebelote six mois plus tard, quand il reprend une activité lucrative moins rémunérée que le chômage. « Malgré cinq demandes de révision, on me prélève toujours 3.600 francs de pension alors que j'en gagne 2500. »

    Poursuites, saisies d'office (2). Il dort chez des amis, ou au motel, emprunte de l'argent à son père. La machine s'emballe. Domicilié désormais à Vallamand-Dessous (VD), il frappe à l'aide sociale vaudoise faisant valoir que les ponctions fribourgeoises le privent du minimum vital.

    La solution des services sociaux laisse perplexe: on lui propose d'abandonner son activité d'agent commercial indépendant pour se mettre au chômage, où il gagnerait davantage.

    « C'est fou ! s'exclame M. P. On exige d'un travailleur qui ne veut pas profiter du système de jouer au chômeur pour faire valoir ses droits au minimum vital. (2) »

    Sans défenseur ? Faute d’argent et de procédure ? M. P. se bat avec sa plume, son téléphone et des entretiens. Il s'est forgé une réputation d'agitateur.

    La commune du Bas-Vully (FR) a même demandé des mesures tutélaires, écrivant que l'homme « donne l'impression de vivre dans un autre monde que le nôtre. Attitude inquiétante s'il en est. ».

    « Oui, je vis dans un monde différent, reconnaît M.P. J'ai tout perdu, j'ai environ 50.000 francs de créances, je vois mes enfants au compte-gouttes alors que je les aime, et le droit n'est pas respecté.

    Ce monde s'appelle l'enfer. »

    Une histoire, un témoignage, comme des millions d’autres, en Europe. Tiré de l’Article du 27/05/2005 du journal suisse 24 heures de Lausanne.
    _____________________
    (1) Comment peut-on conserver son emploi, lorsque l’on vous confisque 50 % ou plus, de votre salaire sachant que vous devez consacrer 40 à 60 % pour vous loger, et vous chauffer ? Que reste-il pour vivre et pour conserver son emploi, lorsqu’il reste à peine 2€, voir moins pour vivre ? C’est « Mission Impossible » ! (ndlr)
    (2) Tout est saisissable pour payer les pensions alimentaires ! Même le minimum vital ! (ndlr)

  • BONJOUR MAYA,
    Je connais bien cette histoire pour l'avoir vécu. Tant de gens se reconnaissent dans ces difficultés. Que faire? ...

    Notre malheur est-il d'avoir porté des enfants et de les aimer? OU BIEN Faut-il faire comme AUDREY "ne plus faire d'enfant", "ne pas expérimenter l'amour", "ne pas vivre avec les gens", "dénoncer les gens qui utilisent ces difficultés pour camoufler l'idéologie anti-féministe?

  • A PROPOS DE LA VIOLENCE… les trop nombreuses formes de violences qui font trop longtemps souffrir… mais que personne ne veut dénoncer…………….…

    "Le monde est fatigué de la haine" Gandhi
    ... et nous, nous sommes fatigués de l'inconscience de ces parents qui usent leur intelligence à chercher tous les moyens de faire souffrir "l'autre" qui a osé les quitter, reniant l'amour qui les a unis juste le temps de concevoir des enfants, ces enfants qui pâtiront leur vie durant de cet "abandon", cette "trahison", ces conflits sans fin... cette mesquinerie, qui ont régi leur éducation.

    Le modèle de la Ville de COCHEM, une expérience hautement recommandable…
    Ou la Solution Judiciaire logique qui rend aux parents leur responsabilité.

    Or, en Allemagne, où la petite ville de Cochem s'étale le long de la Moselle, il y a un juge des affaires familiales qui en eut tellement marre de ces conflits indignes de notre société, et de ces dossiers qui s'empilaient sur son bureau, provoquant des retards de jugements très néfastes aux enfants, innocentes victimes de la légèreté avec laquelle se conduisent leurs parents à leur égard, il prit une grande décision. Il voulait que cela cesse. Monsieur le Juge RUDOLPH, car c'est bien de lui qu'il s'agit, réunit autour de lui l'avocat THEISSEN et la psychologue Ursula KODJOE et leur fit part de sa décision d'en finir avec cela. Soudés comme les doigts d'une main, ils montèrent au front et commencèrent par rallier les avocats et les psychologues à leur cause, la cause des enfants.

    Ce n'était pas simple, car ces professionnels défendaient leurs clients contre l'adversaire, c'est à dire l'autre parent, mais ils comprirent bien vite que l'enjeu de leurs joutes, c'était toujours l'enfant. Et un beau jour, tous ensemble, ils s'en prirent aux parents !
    Bon gré, mal gré, devant cette puissante unité (chez nous, on dit "l'union fait la force"...) il a bien fallu que les parents coopèrent et respectent envers et contre tout l'intérêt de l'enfant.

    On croit rêver ! Eh bien, après sept ans, le rêve est devenu réalité et le taux de ces cas d'aliénation parentale" baisse de façon spectaculaire, de plus en plus. Pourquoi cela ne se produirait-il pas chez nous ? Nos juges aussi en ont assez de voir envahir leur bureau de ces dossiers de parents manipulateurs, de ces batailles dont l'enjeu est un enfant ! Ils ont le pouvoir de le faire !

    Nous invitons tous nos professionnels de l'enfance à se renseigner sur cette solution qui donne de bons résultats !

    Renseignements : 00 32 /71.61.57.88 et 00 32 /497.703.903
    Eliane MASSON elimasson@voo.be

  • @ Maya: oui, c'est le chemin de croix de xxx pères. Et l'on s'étonne qu'il y ait des drames commis par des pères poussés au bout du bout, déniés, broyés. Je ne justifie ni n'accepte aucune extrémité violente commise par un père (ni par une mère) mais parfois il faut se poser des questions sur pourquoi on en arrive là.

    @ CLVPD: l'expérience de Cochem est exceptionnelle de par les résultat obtenus pour apaiser les conflits et préserver les enfants en cas de séparation. A faire connaître largement. C'est au bénéfices des pères et des mères.

  • @hommelibre
    Malheureusement, je crains que la violence conjugale sera en augmentation si l’on ne prend pas rapidement des mesures de bonnes pratiques sociales et judiciaires lors des situations de couples en crises. J’ai souvent entendu des pères avoir regretté de ne pas avoir tué leurs compagnes, car ils auraient perdu moins que ce qu’ils ont perdu : tout, c'est-à-dire foyers, enfants, et emplois. Alors que des crimes « passionnels » sont sanctionnés sévèrement… et c’est fort heureusement ! Mais des divorces conflictualisés (ou tous les coups sont permis pour gagner) provoquent trop souvent des destructions socioéconomiques, psychologiques, et des souffrances… durant des années… sans entrevoir le bout du tunnel de la mort sociale et économique… et sans espérer revivre en des jours meilleurs… dans des pays les plus riches au monde.
    En Europe, ce sont des dizaines de millions de pères qui sont broyés à différentes « moutures ». Je ne peux pas comprendre que cela puisse exister dans nos civilisations du XXIème siècle. Quelles dérives !

    Vous l’aviez si bien dit : du temps d’ d'Hammurabi (Le Code d'Hammurabi (vers 1750 av. J.-C.) il y avait moins de lois… mais plus de justices ! Bravo pour ce Site !

  • @hommelibre
    « C'est au bénéfices des pères et des mères. »

    J’ajouterai :
    C'est aux bénéfices des pères et des mères, et surtout des enfants. Car les enfants seront les adultes de demain. Il est donc, et surtout, de notre devoir (et bien plus que nos droits de parents) de leur donner de bons exemples. Il en va de l’avenir des Nations ! Ce qui n’est pas le cas depuis plus de 30 ans !

    Nous devons lutter contre ces forces inhumaines qui tentent à « tuer » l’autre pour s’approprier des avantages égoïstes. Et mondialement, c’est la même chose : pour avoir plus d’avantages et de richesses, on « tue » le plus possibles « d’autres » pour pouvoir garantir ses besoins égoïstes…
    Au seuil de la période « déglingue terrestre » où le climat se dégrade, où les pollutions se développent à la vitesse Vv’… et où les réserves naturelles s’épuisent, l’Homme doit le plus rapidement réorganiser tout son domaine d’existence. Mais ça… c’est encore autre chose !

  • Hommes battus
    Phénomène tabou, méconnu et sans doute largement sous estimé par les statistiques, il arrive que des hommes soient aussi les victimes de violences domestiques. Malmenés physiquement et psychiquement par leur épouse, certains d'entre eux ont choisi de rompre le silence. Temps Présent a recueilli leurs témoignages, souvent poignants, et également donné la parole aux femmes responsables de ces violences.

    Le fait est avéré, le domicile privé, la maison est un des lieux les moins sûrs. C'est dans l'intimité du foyer, à l'abri des regards que l'on compte le plus grand nombre d'homicides et d'agressions graves.
    Dans l'esprit général, violences conjugales rime souvent avec femmes battues. Pourtant des hommes sont aussi les cibles de leur compagnes.
    Ecrasés par le tabou, les hommes victimes de violence conjugale qui décident de briser le mur du silence ne savent souvent pas où s'adresser pour trouver de l'aide. Sur le terrain, il n'existe pratiquement rien pour leur porter assistance. Battus physiquement, malmenés psychiquement par leurs épouses, souvent séparés de leurs enfants après des divorces difficiles, beaucoup sombrent dans la solitude et la dépression.

    Vidéo sur : http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=370501&sid=8762712
    Un reportage de Jean-Daniel Bohnenblust et Antoine Plantevin
    Image : Pierre-Alain Jaussi
    Son : Philippe Combes Montage : Jeanine Weber

  • @CLDVP et ELIAN1702

    Je fais des découvertes en me promenant sur les anciens topics d'Hommelibre, et ce n'est pas triste. Il y a des mots, qui vous écorchent les oreilles, placés sans l'air d'y toucher parce que ça fait "intello" et"sexy"... dont "néotonie" et la définition donnée.....

    "La preuve du poids de ce génome c'est que la néotonie (progression plus lente du cerveau) se retrouve chez tous les bébés humains, mais pas chez les singes. Mais si vous voulez penser que vous êtes plus proches d'un ouistiti que de votre soeur...tant mieux pour vous"

    Ecrit par : Audrey | 29 mai 2009

    Encyclopédie du Larousse néoténie et non néotonie:

    Caractéristique des groupes d'êtres vivants présentant à l'état adulte des caractères qui, dans les groupes voisins, sont purement infantiles, larvaires ou même fœtaux. (Une série de caractéristiques du genre humain ont été interprétées en termes de néoténie.)

    BIOLOGIE

    La néoténie a pour effet la reproduction de l'espèce par des individus d'aspect larvaire. Elle prend le nom de « pédogenèse » lorsqu'elle s'accompagne de parthénogenèse. Du point de vue phylogénétique, la néoténie fait réapparaître, dans une lignée, des formes peu spécialisées susceptibles d'être à l'origine de groupes entièrement nouveaux. C'est ainsi que les pycnogonides dériveraient des gigantostracés, les chétognathes des brachiopodes, les insectes des myriapodes, les cordés en général des échinodermes et, enfin, que l'homme dériverait de simiens disparus très semblables au fœtus du chimpanzé (Bolk). Mais ce ne sont là que des hypothèses, tandis que la néoténie facultative se voit démontrée par les quelques individus qui y échappent et qui atteignent la forme adulte (axolotl devenant un amblystome, par exemple). En retardant l'arrêt de la croissance proprement dite, la néoténie tend à produire des formes géantes et d'une grande longévité.

    "Je vous laisse donc dans votre paranoia d'homme emasculé (mon pauvre...)"

    Ecrit par : Boo | 27 mai 2009

    CLDVP, étonnant que vous n'ayez relevé cette insulte "d'homme émasculé" ? et qu'hommelibre n'ait point réagi?!!!!!!

  • Bonjour Patoucha, Vous savez pourtant bien que l’on répond aux imbéciles par le silence. Et quand aux mépris, insultes,… vous savez, aussi, que des voleurs accusent toujours leurs entourages de voleurs… Cela s’appelle « projection ». Pour terminer, je vais rappeler deux articles concernant la violence conjugale, lesquels feront réfléchir les honnêtes citoyens, et non pas les scélérats. Voici :
    La vérité sur les violences conjugales
    Par Elisabeth Badinter, Philosophe et Féministe
    Dans les enquêtes et discours sur les violences conjugales, le partage des rôles sonne comme une évidence: les hommes sont coupables et les femmes sont victimes. Un présupposé justifié par les faits, étayé par les statistiques, quand il s'agit des violences physiques, coups, viols, meurtres. Mais, dans la plupart des cas, incantations et travaux mélangent tous les types de violence conjugale, celle des poings et celle des mots. C'est l'addition à laquelle s'est livrée la seule étude sérieuse menée en France sur ce sujet, l' «Enquête nationale sur les violences envers les femmes en France» (Enveff), rendue publique en 2001. De ses conclusions est sorti un «indice global» de la violence conjugale: 10% des femmes s'en déclarent victimes. Ce chiffre effrayant et la terminologie utilisée occultent le fait que les trois quarts de ces «violences» sont des agressions psychologiques - insultes, dénigrement ou harcèlement. Une question se posait: et les hommes, massivement accusés à l'aune de ces agressions psychologiques, ne leur arrive-t-il pas d'en être victimes, eux aussi? Selon l'étude réalisée par l'institut BVA pour L'Express, hommes et femmes se déclarent à peu près également victimes de cette guerre conjugale, qu'on doit hésiter à qualifier de «violence», fléau trop grave pour être abandonné aux mots. Il faut s'en tenir aux faits: c'est le sens du combat mené sur ce sujet par la philosophe Elisabeth Badinter, dont nous publions le discours prononcé lors d'une conférence-débat organisée, le 16 juin, à Lyon, par Amnesty International
    A lire sur http://www.lexpress.fr/actualite/societe/famille/la-verite-sur-les-violences-conjugales_485479.html
    Encore un préjugé à briser !!!
    Et voici le deuxième article :
    Il faudrait que les médias puissent informer les citoyens sur les réalités et nom par sur une campagne de publicité pour le féminisme radical ! Lisez ceci, citoyennes et citoyens :
    Dans les couples où une seule personne est violente, dans 71 % des cas c’était la femme qui agressait son compagnon.
    Dans les couples où les deux personnes étaient violentes, c’est dans la majorité des cas, la femme qui a porté le premier coup. Ce qui tend à démontrer que dans les cas où il y violence physique, la femme est plus agressive que l’homme. Les hommes se positionnent moins comme victime que les femmes et déposent moins plainte, ce qui fait que les statistiques police ne sont pas représentatives de la réalité des faits ». Extrait du livre « La violence faite aux hommes » Une réalité Taboue et complexe – Option Santé – Yvon Dallaire Psychologue – Sexologue – Conférencier et Auteur

  • @Patoucha : Je pourrais encore ajouter que la femme fait partie de l’espère humaine : l’Homme, où la femelle dispose du même cerveau que le mâle. Mais ces féministes radicales, vaginocrates, qui ont la haine des hommes, s’imaginent avoir un cerveau mieux élaboré que les hommes. Elles veulent créer une espèce à part de l’Homme : la femme. Elles aspirent même à obtenir une « Déclaration Universelle des Droits de la Femme » !!!... En fait, elles veulent féminiser l’humanité. Il s’agit, pour le moins, d’une idéologie déviante, pathologique, délétère,… Cela nous rappelle les nazis qui se croyaient supérieurs aux autres êtres humains et qui ont tenté d’éliminer ceux qui étaient « hors norme », c'est-à-dire tous les êtres humains qu’ils estimèrent en dehors de leurs normes !
    Comment devenir humain ? « Agis de telle sorte que tu traites l’humanité aussi bien dans ta personne que dans la personne de tout autre toujours en même temps comme une fin, et jamais simplement comme un moyen ». Emmanuel Kant - Albert Jacquard - Réflexion sur le comportement humain - http://www.youtube.com/watch?v=JwPGoMHfG6w
    Nous vivons dans une guerre sexiste, menée par ce féminisme déviant, victimaire, intégriste, dogmatique, radical,… exploité par l’industrie du conflit conjugal. La société est mal fichue et elle va dans une mauvaise direction. Jusqu’à quand ? Nous allons bientôt mesurer l'importance des dégâts...
    Il est urgent de sauver la vision que les Hommes ont des autres Hommes, car c’est comme cela que l’on se construit.
    Le monde comme il va est mal fichu, il est mal orienté, il va dans la mauvaise direction !

  • @Patoucha, enfin, pour terminer, comment voulez-vous répondre à ces deux spécimens de « féministes radicales », manipulatrices, perverses,… ayant des visions amalgamées, déviantes,… et surtout différentes aux avis de philosophes, généticiens, politologues, économistes, humanistes,… lesquels subissent les mépris de leurs paroles, de leurs écrits, au nom de la démocratie ? Mes meilleures salutations

  • @CLVDP

    Je viens de voir vos messages du 17 octobre.. désolée pour ce retard. Il m'était devenu insupportable de lire ces gamines dont l'une projette la haine de son père sur les intervenants de ce blog. Je n'ai pas compris le pourquoi du comment d'hommelibre, qui réagit pourtant quand il est pris à parti avec des "vous volez bien bas".... ne le fait pas ou alors très mollement quand vous (les hommes) et moi sommes la cible de cette furie. Leclercq vient encore d'être traité de pitre?! : " de notre pitre leclerq
    "Ecrit par Boo | 26 février 2010
    Et je me demande qu'elle aurait été la réaction d'hommelibre de se voir traité de "pitre" ?!!!!!!!

    @Patoucha, enfin, pour terminer, comment voulez-vous répondre à ces deux spécimens de « féministes radicales », manipulatrices, perverses,… ayant des visions amalgamées, déviantes,......"

    La meilleure leçon est de les mettre face à ce qu'elles écrivent. Je me prépare pour l'une....

    A bientôt je ne suis que de passage.

  • @Patoucha
    Oui, je vous comprends fort bien, ne vous excusez donc pas pour ça.
    Dans des débats, il y a toujours des gens « spéciaux » je ne vais pas m’étendre ici. On voit tout de suite les gens qui se respectent tout en n’étant pas d’accord avec les écrits (idées) partagés. Mais d’autres préfèrent s’attaquer carrément aux gens, au lieu de s’attaquer à l’idée… ils babaissent , raillent, méprisent carrément les gens… c’est comme ça qu’ils fonctionnent, pour pouvoir exister.
    Personnellement, j’agis toujours dans le respect – en tout temps – sauf exception, quand on m’insulte. Mes répliques dépendent de mon humeur. Mais j’ai comme principe de préférer de passer pour un imbécile aux yeux des sots… (rire)

    D’autre part, (c’est mon avis) il faut pouvoir – aussi, si possible – ne pas entrer dans le jeu de la personne qui vous « insulte ». Il faut pouvoir (et c’est encore mon avis), aussi, rompre le dialogue lorsque ça dépasse la décence. Il n’est pas agréable, non plus, de toujours avoir raison sur tout. C’est très frustrant pour l’autre quand on a toujours raison soi-même. Je préfère alors quitter l’autre, sur son impression d’avoir eu raison. Sur son impression personnelle, seulement. Il aura raison tout seul, en quelque sorte.
    Mais, aux yeux des lecteurs « un peu naïfs » ça ne peut fausser le débat et ça leur donner le sentiment que l’autre a raison puisqu’ils (les lecteurs un peu naïfs) recevront plusieurs « sons de cloches » et s’ils veulent savoir lequel des deux « polémiqueurs » a raison, ils ont tout le loisir de se renseigner.
    @ + ;-)

  • En France le Gouvernement refuse la création d’un « observatoire national des violences faites aux femmes », en raison de son coût.
    Info :
    http://www.humanite.fr/2010-02-26_Societe_Un-pas-en-avant-dans-la-lutte-contre-la-violence-conjugale

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