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Femmes déménageuses: débat ce soir sur One FM

Ce soir, quelque part entre 18h et 18h45, One FM propose un débat sur les femmes dans les métiers d’hommes et les hommes dans les métiers de femmes. Animé par Cédric Tonoli, il y aura une déménageuse à l’antenne.

Vous n’aurez que sa voix. Moi je la verrai en chair et en os, puisque je suis l’un des invités à ce débat.

Je tiens d’emblée à prendre position sur le sujet (non, Blondie, pas le kamasutra), afin d’éviter toute ambiguïté.

Voici ma profession de foi en la matière:

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Catégories : Humour 11 commentaires

Commentaires

  • Bon, Cédric Tonoli vient de m'informer par téléphone que la déménageuse est remplacée par une plombière.

    Raaaaahhhhh.... Je ne vais pas changer mon billet, tant pis. D'ailleurs mieux vaut pas: de l'humour sur des histoires de petits et de grands tuyaux aurait été d'un parfait mauvais goût...

    ):o))

  • déjà que la présentation fort sexiste n'est pas du meilleur effet...c'est étrange comme une camionneuse ne peut-être que la reproduction de Josianne Balasko dans Gazon maudit ou celle hyper-sexualisée des femmes en "tenue légère" sur les calendriers pour routiers et mécaniciens.

    Aurait-il été de bon goût de montrer la reproduction d'Albin (la cage aux folles) dans le rôle d'infirmier, d'assistant maternel? Juste histoire de tomber dans le gros cliché.

  • Je m'insurge ! Si !
    La femme n'est pas faite pour travailler, pas plus que moi d'ailleurs.
    Nous sommes faits pour gagner au Loto, et après...
    YOUPIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIE !

    Ha ! Non mais !

    :o)

  • Audrey: c'est de l'humour, c'est fait exprès côté gros cliché! Justement! Hé, Audrey, vous ne me prenez quand-même pas au premier degré sur ce coup-là... Raaaahhhh, si on ne peut plus rigoler... Bon, j'irai me confesser auprès de Monsieur le Conseiller Sandrine Salerno...

    PS: C'aurait été pas mal non plus Albin. Mais je suis indécrottable: je préfère les femmes.

  • @ Blondesen: j'ai un truc pour gagner au loto à coup sûr: faut être le seul à jouer.

    Quoi? Ca rapporte moins? Ah, faut savoir ce qu'on veut: jouer ou gagner?

  • Oui j'avais cru comprendre. Mais dans un contexte où cet humour est plus que récurrent, on finit par se demander s'il n'a pas un fond de "vérité". Comme toutes ces publicités qui prétendent toujours "faire de l'humour", comme quoi il faut croire qu'une femme à poil, même pour vendre de la maïzena, c'est sensé faire rire.

    Je vous accorde l'humour, mais accordez-moi que ce n'est pas l'humour le plus original qu'on puisse trouver. Et comme vous le dites, pour ça vous préférez les femmes, il faut donc croire qu'il y a quelque chose qui dépasse le simple humour :-)

  • J'aurais préféré entendre une sapeuse-pompière ! Car ça, c'est un boulot de femme ! Elle sape et elle pompe ! La vie est belle !

  • Raaahhh Audrey: c'est pas pour faire de l'humour que je préfère les femmes, je veux dire qu'elles ne sont pas pour moi spécialement un sujet d'humour - pas plus que les hommes...

    C'est parce que je les préfère, tout simplement. Je les préfère en image, au toucher, et pour bien d'autres choses encore que la pudeur et la bienséance m'interdisent de détailler ici...

    (80)

    Les hommes ne me font pas ça.

    Mais bon, je vais penser à vous...

  • Dans un registre plus léger, à prendre évidemment au second degré:

    "Mais bon, je vais penser à vous..."

    Si j'avais l'esprit mal tourné, et aux vues de votre précédante tirade sur l'effet que les femmes vous faisaient et que les hommes ne vous font pas, je pourrais interpréter ceci comme si le fait de penser à moi permettait de vous refroidir quelque peu :-) J'en profite pour dire que je suis tombée il y a deux soir sur un sujet du mag de M6 sur l'hirsutisme des femmes. C'était loin d'être drôle mais sur le moment je n'ai pu réprimer une petite pensée pour nos discussions, presque eu envie sur le coup de foncer sur mon ordi vous envoyer un clin d'oeil ainsi qu'à Pascale, ma sympathique partenaire du club de la barbe. A force ce blog devient quasi une petite famille, je me demandais d'ailleurs quand allait apparaître le lubrique oncle vairgebel, mais je vois qu'il n'a pas manqué à l'appel... Celui-ci ne m'en voudra certainement pas de dire qu'il a un petit côté grand-oncle lointain qu'on pourrait croiser au hasard des réunions de famille et qui vous claque les cuisses avec un tonitruant "Alors comment ça va mon p'tit! Bah dis donc qu'est-ce t'as grandi" d'un air mi-paternaliste, mi-vicieux.

    La sociologie des blogs...

    Evidemment couché comme ça sur mon ordi ça paraît tout de suite mon drôle que le sourire que cette réflexion m'a donné. Sûrement un peu trop de soleil aujourd'hui!

  • En effet il y a un côté comme ça, petite famille. Je trouve cela assez sympathique.

    Si je pense à vous, ce n'est certes pas pour me refroidir... Audreeeeyyy... M'enfin... Non, je me demande ce que je vais faire un de ces jour pour tenter de vous faire sourire, peut-être rire. Mais vous dites vrai: ce qui est drôle dans la tête penchée sur le clavier ne l'est parfois pas dans les yeux qui lisent à l'autre bout. Mais bon, le risque n'est pas si grand, il y a toujours possibilité de revenir sur le sujet et de préciser son intention. Ne le fait-on pas aussi en dialogue direct? A moins d'avoir une bonne connaissance des signes mutuels, les connotations des uns et des autres peuvent parfois prêter à confusion.

    Pour l'hirsutisme des femmes... Ca doit être difficile à vivre. La beauté est peut-être (en partie) un conditionnement social, mais c'est fou comme ce conditionnement prend des allures presque universelles tant il se retrouve d'un bout à l'autre de la planète... D'ailleurs, c'est encore l'histoire de l'oeuf et la poule: le sentiment de la beauté a-t-il préexisté et s'est-il ancré au point de devenir un conditionnement social? Ou l'inverse? Je penche pour la première proposition et non l'inverse.

  • Oui peut-être bien, sauf qu'au demeurant le "beau" et le "laid" est très aléatoire d'une société à l'autre et souvent le reflet de caractéristiques sociales valorisées: la blancheur ici autrefois, signe de richesse puisque signe d'absence de travail en extérieur. Aujourd'hui le bronzage, signe de villégiature, de loisirs et donc de réussite. Je ne sais pas si on peut interpréter tous les référentiels de beauté en terme de marqueurs sociaux, mais j'imagine qu'on y retrouve toujours un petit quelque chose. En ce sens, comme le beau ramène forcément à une signification pour être interprété en tant que tel, il suit à mon avis forcément quelque chose de sociale. Ensuite, savoir si les premiers hominidés avaient une notion du beau, honnêtement je ne saurais y répondre.

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