À minuit je regarde quelques commentaires sur Facebook. Chacun prend parti selon des préférences que je connais déjà. Pas envie de cela. Dire autre chose. Être subjectif pour sortir de la fatigue qui me reste de ce débat médiocre.
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À minuit je regarde quelques commentaires sur Facebook. Chacun prend parti selon des préférences que je connais déjà. Pas envie de cela. Dire autre chose. Être subjectif pour sortir de la fatigue qui me reste de ce débat médiocre.
Hier François Hollande s’est invité au meeting prévu par sa ministre Myriam El Khomri. Objectif: annoncer la bonne nouvelle, soit une nouvelle baisse de la courbe du chômage en France pour juillet.
On n’a rien inventé: le corps est un moyen d’échange. Et malgré les campagnes destinées à enfermer la sexualité dans un paquet ficelé et surveillé, certaines et certains se fichent des recommandations morales.
Il y a quelques temps il déclarait ne pas y penser. Il posait comme un Monsieur Loyal, au-dessus des contingences du calendrier. En mai dernier, au micro de Jean-Pierre Bourdin, il affirmait ne pas s’y intéresser. Pourtant il y pense. Il y pense sans cesse.
Nous avons vu la précipitation avec laquelle Manuel Valls a répliqué au désastre socialiste. Et comment, après quelques paroles de belle langue de bois il promet de tout continuer comme avant.
L’homme s’est taillé une place de choix dans la nomenklatura politique occidentale. Sorti de l’ENA, comme toute l’élite politique française, membre du parti socialiste, il fut conseiller de Jacques Delors, puis responsable dans le cabinet de feu le premier ministre Pierre Mauroy.
La discrimination va parfois se loger là où on ne l’attend pas. J’espère qu’une association comme «Oser le priapisme» ou «Ni brute ni exquise» fera une manif pour revendiquer l’égalité pour toutes et la fin de cette discrimination odieuse.
On dirait que certains s’ingénient à vouloir envoyer la France par le fond. Déjà qu’elle prend pas mal l’eau, il n’en faudra pas beaucoup pour porter le coup final. Un clash sur les retraites par exemple.
Le profit est un de ces mots magiques qu’on adore ou qu’on déteste. Un mot qui délimite des camps. Un mot impossible à utiliser sans être classé à gauche ou à droite selon ce que l’on en dit.
Ce soir, quelque part entre 18h et 18h45, One FM propose un débat sur les femmes dans les métiers d’hommes et les hommes dans les métiers de femmes. Animé par Cédric Tonoli, il y aura une déménageuse à l’antenne.