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Hannah, la vie en plus

Elle s’appelle Hannah. Elle a 16 ans. Elle souffrait depuis la naissance d’une maladie cardiaque avec laquelle elle n’aurait pus vivre longtemps.

Hannah-Clark-who-had-a-pi-001.jpgElle a été opérée à 2 ans. Les chirurgiens lui ont placé un nouveau coeur, en laissant le coeur malade en place. Ce coeur a bien fonctionné pendant des années.

«Ses problèmes ont également affecté ses poumons, au point que cela aurait pu nécessiter également une transplantation.

Mais préférant éviter une double greffe coeur/poumons risquée, les médecins ont opté pour une autre voie. Magdi Yacoub de l'Imperial College à Londres, l'un des plus grands spécialistes de chirurgie cardiaque au monde, a en effet estimé que le coeur d'Hannah pourrait peut-être se rétablir s'il pouvait se reposer. En 1995, lui et d'autres médecins, lui ont greffé le coeur d'un donneur directement sur le sien.»


Mais les médicaments anti-rejet, provoquant une baisse d’immunité, ont fait la place au cancer. Elle a donc dû lutter contre le cancer alors qu’elle n’était pas adolescente. Les médecins ont décidé de diminuer les médicaments. Mais le coeur transplanté menaçait d’être rejeté.

Décision fut prise d’enlever ce coeur, avec le risque que le coeur d’origine ne puisse prendre le relais.

Or, son coeur avait eu le temps de se régénérer, et a repris ses fonctions normalement.

«Depuis, Hannah Clark, qui vit près de Cardiff, au Pays de Galles, s'est mise au sport, a trouvé un travail à temps partiel, et elle compte retourner à l'école en septembre. "Grâce à cette opération, j'ai maintenant une vie normale, comme tous mes amis", a-t-elle déclaré. Ses parents sont émerveillés par sa guérison. Ils racontent qu'à un moment donné, on leur avait annoncé que leur fille n'avait plus que quelques heures à vivre...

Miguel Uva, de la Société européenne de cardiologie, voit dans le cas d'Hannah un "miracle". Il est rare que le coeur des patients se rétablisse tout seul, ajoute-t-il.»


Voilà. Il y a comme ça des petits miracles qui font du bien à entendre.


Catégories : Santé 2 commentaires

Commentaires

  • Le coeur, organe de l'amour. Petit miracle de guérison. Oui, c'est une très belle histoire que celle d'Hannah. Un peu comme un arbre blessé dans sa chair que l'on croit perdu. Et puis, soudain il repart en croissance sans que l'on sache pourquoi. C'est de ses belles histoires que l'on peut puiser son espoir dans une humanité qui progresse sur le chemin de la paix, de l'amour, et l'harmonie.

  • Saint Augustin disait déjà et très justement : « les miracles ne violent pas les lois de la nature mais le peu que nous en savons."

    On s’étonne ici d’une telle guérison alors que le monde animal en offre des quantités : les animaux souffrent notamment de cancers et autres maladies jugées incurables et qu’ils s’en remettent la plupart du temps ; exemple des brebis :

    1° la brebis à qui on arrache ses petits :
    les bergers vous confirmeront tous que les brebis développent des cancers aux mamelles lorsqu'on les sépare brutalement de leurs petits : c'est cette situation conflictuelle qui se somatise alors. Comment le comprendre ? Le cerveau, centrale de commande du corps, n’interprètent donc les messages ou les ordres du psychisme qu'en fonction de la physiologie et donc dans et en fonction du territoire du corps (c'est presqu'une lapalissade).

    Lorsqu'une brebis ne trouve plus ses petits (sevrage trop brutal), elle ressent quelque chose comme : « je ne peux plus nourrir les petits ». Le cerveau en charge de faire fonctionner les organes, interprète cela comme s'il n'était plus capable (pouvoir) produire du lait et donc va générer des mamelles plus performantes, d'où leur gonflement. Ne les retrouvant pas, elle en fait alors le deuil et les mamelles guérissent sans aucune intervention vétérinaire !
    Voir analogiquement ce qui se produit chez les femmes atteintes de cancer du sein : http://www.retrouversonnord.be/Sante_le_Figaro.htm#sein

    2° la brebis égarée : perdue, ses corticosurrénales se nécrosent ; cela va l’empêcher de courir en tous sens et de mourir rapidement d’épuisement. Quand elle a la chance d’être retrouvée, son corps se saisit de tremblements attestant de la réparation progressive des corticosurrénales !
    Quand on la retrouve trop tard, les vétérinaires (rivés aveuglément au dogmatique matérialisme rationalisme de la science médicale) pensent que c’est un virus qui a nécrosé leurs corticosurrénales et n’en cherchent pas plus loin la cause !
    Plus détails : http://www.retrouversonnord.be/brebisegaree.htm

    Les bergers pourront attester de ces histoires.

    Racontant de type d’exemple à un médecin légiste, celui-ci s’est alors mis à comprendre soudainement pour quelles raisons, la plupart du temps, il découvrait dans les corps autopsiés des traces (exemple enkystements) témoins de la résolution de cancer et sans que cela n’apparaissent dans les dossiers médicaux respectifs et pour cause donc !

    Ainsi comme le disait très pertinemment le grand psychologue Carl Jung : « la maladie est l’effort que la nature fait pour nous guérir » !
    Analogiquement aux brebis, chez l’homme, lorsque la situation conflictuelle s’étant somatisée est résolue, les maladies disparaissent.

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