C’est une histoire d’homme. Oui d’homme, je crois. Ou de chien, de chien de mer, goémon, poumons qui se consument.
Ou de n’importe quoi qui passe et revient, comme la marée. Une histoire de bateau, quoi. Et de squales, de draps, d’aube fine, de spleen.
Des coquillage sous les sunlights cassés liquides jouent de la castagnette, tant qu’on dirait l’Espagne livide.
Une histoire de mer, de fantôme, de fille verte des fjords à la blessure où tu te perds. Un histoire de mer bergère, de moutons de sable.
Une mémoire des étoiles. D’autres étoiles.
Une histoire m’appelle, dans la voix chaude et le piano de Léo Ferré:
ou dans la voix d'ailleurs et le Brésil de Monica Passos:
Commentaires
Merci, John. Tant qu'il y a des êtres de qualité qui s'envolent vers des rivages d'éternité, l'espoir d'une humanité une et indivisible persiste. J'espère que vous vous remettez gentiment de votre opération. En tout cas, vos goûts des belles choses n'ont pas été perturbés par le crabe. Bonne soirée.
Merci Pachakmac, j'ai trouvé les deux versions exceptionnelles et pourtant si différentes. Sans beauté, je ne serais plus que 10 % de moi-même. Je reprends bien, ça va, je suis ok avec simplement le temps normal qu'il faut.
Bien à vous.