Cécile Bühlmann dit n’importe quoi. Cécile Bühlmann est une ancienne politicienne écologiste suisse, candidate malheureuse des Verts au Conseil Fédéral en 2000. Aujourd’hui elle figure au Conseil d’Administration de Greenpeace Suisse. Ce qui est sûr dorénavant: plus un centime pour Greenpeace. Plus une voix pour les Verts, définitivement rangé du côté de la konspiration.
Fais des bulles, man!
Hier, journée contre la violence faite aux femmes. On nous parlait en Suisse de 250 homicides ou tentatives contre les femmes, tous étant supposés conséquences de la violence conjugale. Or selon TSR infos, il y a eu une moyenne de 26 homicides dans le cadre du couple en Suisse entre 2001 et 2004. Annoncer 250 comme le font les idéologues officielles féministes du Bureau Fédéral de l’Egalité permet de multiplier par 11 la réalité des décès.
Hier toujours, Cécile Bühlmann, agent de la konspiration, faisait des bulles et affirmait sans sourire et sans nez rouge, dans une déklaration largement relayée par la presse:
«La violence est même une des principales causes de mortalité pour les femmes entre 15 et 44 ans».
Et bien c’est faux. Une fois de plus on nous sert des déklarations alarmistes surréalistes. Ou elle est incompétente, ou c’est un mensonge délibéré et intentionnel. Et pourtant avez-vous lu un seul média discuter et chiffrer cette affirmation? Ou simplement mettre au conditionnel, ou se poser le début du commencement d’une question? AU-CUN. Ça y est, la konspiration radikale-féministe a définitivement noyauté, baillonné, décervelé la presse. Le marxisme féministe est devenu la pensée officielle des médias.
Mais examinons cette déklaration. Sur l’image 2 (cliquer pour agrandir) on peut voir la part des accidents et morts violentes en Suisse pour les femmes de 15 à 44 ans. Sur l’image 3, voici les chiffres (hommes et femmes) pour 2004. Sur un total de 2189 décès dans la tranche d’âge des 15-44 ans, les diverses maladies sont au nombre de 1’323, les accidents 406, les suicides 388 et les morts violentes (donc les homicides) au nombre de 72.
Ad libitum
72 décès pour les deux sexes réunis. C’est la moyenne annuelle depuis 2004. Femmes et hommes ensemble. On sait selon les statistiques officielles fédérales qu’il y a globalement plus d’hommes victimes de meurtres (pas uniquement conjugaux) que de femmes. Comment ce chiffre entre 20 et une trentaine de femmes tuées dans le cadre conjugal (ce qui est toujours de trop) peut-il être l’une des causes principales de mortalité, comparé aux maladies et accidents (plus de 1’000 décès de femmes dans la tranche d’âge)? Il ne le peut pas. 2 % à 3 % ne font pas une des causes principales.
Pourquoi ce genre d’infos de nature à jeter le public dans la peur, info qui devrait être poursuivie pénalement, peut-elle être répétée ad libitum? Parce que personne ne vérifie. La presse devrait vérifier. Les politiciens devraient vérifier. Les administrations d’Etat devraient vérifier. Mais non. Tous ces gens sont juste des amplificateurs, des machines répétitives. Des disques rayés.
Tout le monde répète ce que personne ne vérifie.
Ils chient dans leur froc
Donc non seulement la presse mais l’Etat et les politiciens sont contaminés, noyautés, décervelés, décérébrés. Les politiciens chient dans leur froc et ont peur de perdre quelques voix féminines s’ils contestent les chiffres. La presse est dominée par les féministes. L’Etat s’en fout. Même Amnesty est contaminée. Plus un centime pour Amnesty.
Cette affirmation du clown de service Cécile Bühlmann n’est pas anodine: en disant que «La violence est même une des principales causes de mortalité pour les femmes entre 15 et 44 ans», elle veut dire implicitement que les hommes sont l’une des principales menaces pour les femmes.
MISANDRIE. Violence morale envers tous les hommes.
Je ne ferai pas aujourd’hui de décompte des hommes victimes de violence conjugale physique (de 20 à 50% des victimes selon les différents indicateurs), de violence psychologique, de misandrie, de discrimination judiciaire, etc.
Aujourd’hui je m’en tiens à ces déclarations misandres qui sont une violence systémique à l’égard des hommes. Déclarations qui ont contaminé bien sûr l’appareil judiciaire avec les conséquences désastreuses pour les hommes.
Récapitulons: la croisade anti-hommes, ou konspiration féministe radikale, a déjà noyauté par contamination la justice, l’Etat, la presse, une moitié des partis politiques. L’heure est grave. Il est temps d’inscrire la déconstruction du féminisme radikal dans les plans de dépollution sociale et de décontamination morale.
Pour contrer, s’il n’est pas trop tard, la konspiration et le mensonge féministe ainsi que pour se défendre de la guerre faite aux hommes, je déclare officiellement la journée du 26 novembre comme étant la
JOURNEE CONTRE LA VIOLENCE FAITE AUX HOMMES.
Ce sera tout pour le moment.
PS: Pour mémoire, Patrick Guillot, animateur de La Cause des Hommes, vient de publier son nouveau livre, La Misandrie.
PS2: Ne pas oublier le livre canadien sur le mensonge des 300’000 femmes battues au Québec.
Commentaires
Bonjour,
Peut-être vous fiez-vous à ce que tsr.ch raconte, personnellement je fais plus confiance à l'Office fédéral de la statistique et ses enquêtes sur la criminalité... C'est donc bien 250 femmes et une cinquantaine d'hommes (53? Le graphique est imprécis) pour la période 2000-2004 victime de meurtre au sein du couple ou d'un ancien couple, soit un rapport de 1 à 5: http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/19/03/02/dos/02/03.html
Avec la libération de la femme et le culte de la spontanéité, y a-t-il, encore aujourd’hui beaucoup d’hommes qui n’ont jamais été insultés, voire même giflés, par une femme ?
La réponse risque d’être difficile à donner : les études ne concernent souvent que les violences faites aux femmes ! …
Mais peu importe, il n’est pas question de comparer des chiffres. Ces derniers, d’ailleurs, sont-ils si importants par rapport à la gravité du sujet, surtout s’il s’avère que les mêmes violences n’ont pas forcément des effets identiques sur les hommes et sur les femmes ?
Les violences physiques paraissent en effet beaucoup plus graves pour une femme que pour un homme. Les menaces seules, pour elle, sont déjà totalement destructrices.
Pour un homme, les violences physiques ne sont pas insignifiantes mais ne l’atteignent guère autrement que physiquement …
Il n’en est cependant pas de même pour les insultes. Venant d’une femme, celles-ci l’ébranlent et il ressent comme un cataclysme qui le renvoie à sa castration psychique primaire, quand il s’est aperçu qu’il ne pourrait plus être comme celle qui est pour lui, sa référence première et « toute-puissante » : sa maman. Son impuissance devant ce qu’il vit comme un nouveau rejet, décuple sa colère et lui donne souvent envie d’utiliser ce qu’il possède : sa force physique.
Si la femme frappe la première, il est plutôt soulagé ! Les coups replacent le conflit dans un domaine connu par lui et où il a l’assurance de pouvoir répondre s’il le souhaite. «L’adversaire » revient alors « à sa portée », sur un terrain qu’il maîtrise. Souvent même, il n’éprouve plus le besoin de riposter où s’il le fait c’est pour la forme, pour sauver son honneur mais pas parce qu’il se sent menacé.
Une femme ne peut ressentir les effets de sa violence psychique chez un homme, pas plus qu’un homme ne peut ressentir les effets de sa violence physique chez une femme !
C’est la raison pour laquelle les hommes (niant la différence des sexes), ont pu penser (et certains le pensent encore) que leurs violences physiques sur une femme ne pouvaient être très graves, puisque pour eux, celles d’une femme, sur eux, ne l’étaient pas !
Aujourd’hui, certaines femmes n’ont-elles pas à leur tour tendance à croire que leur agression verbale d’un homme n’est qu’une affaire bénigne, parce que sur elles, la violence des mots peut être tolérable et n’est aucunement comparable aux violences physiques d’un homme ? ...
Ainsi par négation de la différence des sexes, des sexistes hommes ont tendance à dire que les femmes sont « inférieures » parce que fragiles physiquement et des femmes, toujours par négation de la différence des sexes, ont tendance à juger les hommes « malades » parce que fragiles psychiquement.
Dans notre société égalitariste, l’emploi du mot « malade » paraît plus correct que le mot « inférieur » mais il est pourtant plus pervers. En effet, il laisse supposer que l’homme pourrait se soigner et donc qu’il est responsable de sa fragilité psychique qui devient alors un défaut. Ainsi la dénégation de la différence des sexes permet de faire croire à une simple dénonciation des problèmes de certains hommes alors qu’il y a tout autant une infériorisation de l’homme différent et donc, là aussi, SEXISME !
Alors, pour lutter contre les violences faites aux femmes et aux hommes, il faut certes les condamner mais ne faudrait-il pas aussi commencer par s’efforcer de respecter l’Autre différent ?
Pour lutter contre les violences faites aux femmes et aux hommes, et respecter l’autre, ne faudrait-il pas aussi sortir de la facilité qui consiste à considérer le sexe opposé « inférieur » ou « malade » et s’efforcer de se comporter en adulte assumant nos différences, nos manques et notre « non toute-puissance » ?
Pour lutter contre les violences faites aux femmes et aux hommes, pour respecter l’autre et assumer la différence, ne faudrait-il pas aussi sortir d’une idéologie dépassée ?
Le rêve d’un droit à une égalité impossible a permis, dans les pays occidentaux, de faire admettre la légitimité de l’égalité en droits. Celle-ci a encore des détracteurs qui nous obligent à ne pas baisser la garde, mais le maintien de l’utopie égalitariste n’entretient-il pas aujourd’hui, le ressentiment de femmes envers les hommes et d’hommes envers les femmes au lieu de favoriser le respect et le « vivre ensemble » ? …
Jean GABARD
conférencier et auteur de « Le féminisme et ses dérives. Du mâle dominant au père contesté ». Les Editions de Paris. http://www.jeangabard.com
Les politiciens chient dans leur froc et ont peur de perdre quelques voix féminines s’ils contestent les chiffres.
==> Biensur qu'ils ne veulent pas perdre de voix, les femmes ont le pouvoir politiques depuis le jours ou elles ont obtenue ce droit (la ou les hommes ce sont battues pour l’avoir), et puis il faut dire aussi que les hommes font profile bas par peur (ça en dit long sur la violence qui leur est faite) ils devraient plutôt taper du point sur la table et dire maintenant ça suffit.
A long terme, il y aura un retour de bâton d'une violence inouïe, toutes les dérives du féminisme seront mis sur la table et bien d’autre chose encore comme la violence féminine (c’est la boite de pandore) etc. Ça va faire mal pour les femmes dommages pour celles qui ne sont pas misandre, dommages pour l’opportunité ratée de faire un monde plus équilibré.
Bravo John pour cette mise au point sur la violence féminine. Bravo aussi à Jean pour son analyse. Pour ceux et celles qui auraient besoin de chiffres, en voici : http://www.optionsante.com/pdf/LA_VIOLENCE_CONJUGALE.pdf
Il faudrait d'abord lire ceci:
http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/news/publikationen.Document.83619.pdf
Par exemple:
"La répartition des victimes selon le sexe dans les quatre
catégories de relation fait ressortir clairement que les
femmes sont surreprésentées dans la catégorie «relation
domestique» et que les hommes le sont dans les autres
catégories (G 21)."
Et une partie de la conclusion:
"La présente étude offre un aperçu des homicides enregistrés
par la police35. Si l’on s’intéresse fortement à la
problématique des homicides, n’oublions cependant pas
que ces derniers sont très rares dans notre pays en comparaison
internationale36. Cependant, la forte proportion
d’infractions commises dans la sphère domestique
montre qu’il y a encore à faire au niveau de la prévention."
Ma conclusion: les chiffres sont là pour la période 2000-2004 (et non 2001-2004), et dans les relations de couple, les hommes tuent bien plus que les femmes. Dans les deux cas, c'est INADMISSIBLE.
Je crois que Jean Gabard a amené la meilleure des pistes. Celle d'admettre les différences de ressenti de part et d'autre. Le premier pas d'une résolution de conflit passe nécéssairement par la compréhension que les perceptions de chacun sont forcément différentes.
Je suis convaincu que la lutte contre la violence domestique relève d'abord de la prévention. En inculquant cette notion.
Brandir des chiffres plus ou moins juste en disant "ça suffit !" sans analyser les situations qui génèrent les dérapages est juste propice à mettre de l'huile sur le feu et créer de nouvelles tension en renforçant un sentiment d'injustice.
Il y a longtemps sur ce blog, j'avais tenté de décrire le ressenti masculin, le résultat a été un retour par une participante sur le mode de la raillerie.
Ce qui me fait dire qu'il y a du travail à faire dans ce domaine.
Pour une fois grâce au descriptif de Jean, j'ai l'impression que ce débat sur le blog d'hommelibre, parvient à une hauteur plus constructive.
Je rajouterai que dans ce domaine, j'avais eu un échanges plutôt sympa avec Pascale, parce qu'il était basé sur un authentique partage Sans jugement. J'avais bien apprécié.
Salutations, donc à Pascale
Ces menteurs et menteuses sont tellement facile à débusquer que la presse devrait se méfier par principe.
Le fait que des politiciens ou politiciennes mentent délibérément ou par ignorance, mais toujours dans un but politique, est inacceptable et devrait mener à une poursuite pénale.
ce que vous ignorez peut-être c'est qu'entre femme il peut aussi y'a voir de la mysoginie,mais oui sans pour autant être lesbienne mais seulement avoir l'expérience de la vie et avoir vécu tout en se souvenant de ce qui fut et qui se répétera inlassablement , avec cette conseillère des verts pas étonnant dès lors que celui qui créa Grenpeace soit en procès avec les membres d'aujourd'hui,nous les premières féministes avons vu notre mouvment passé aux mains de femmes pire que les célèbres Walkiries de Faust,ce n'était pas ce que nous désirions ,elles ont tronqué le mouvement initial,dommage,les hommes étaient nos alter ego,elles les ont transformé ou du moins cherché, à les humilier pour beaucoup,c'est vraiment regrettable,heureusement il y a encore des hommes capables de dire non au parfait machiavélisme féminin,si recherché par certaines femmes mais sans doute pas pour beaucoup d'autres,et malheureusement ou heureusement pour certaines si demandé par bien des hommes l'humain sait-il encore ce qu'il veut vraiment?
bien à vous et bonne journée!
@ lovsmeralda: Beaucoup d'hommes ont soutenu la correction du statut des femmes qui était nécessaire. Elles avaient été exclue de la vie sociale par 150 ans code Napoléon et cette injustice devait être réparée.
Beaucoup d'homme ne comprennent pas ce procès qu'on leur fait. Les dominants et violents par goût, par trouble psychique, par mimétisme avec une violence vécue ou par nature sont peu nombreux. Les autres ont leur défats mais n'ont pas ce profil de brutes épaisses qu'on veut leur faire endosser.
Alors en effet, ce qu'est devenu le féminisme, avec sa tentative de déconstruction de l'homme, de simple prise de pouvoir, est regrettable. L'égalité n'est plus qu'un prétexte idéologique. Mais ce féminisme-là ne représente pas LES femmes: seulement des guerrières qui pensent détenir la vérité. Le malheur est qu'elles sont actives et entendues.
Cela changera. Ce féminisme-là se verra opposer tôt ou tard un refus net et ferme, autant de la part de très nombreuses femmes que de la majorité des hommes. C'est déjà en route. Beaucoup d'hommes savent aujourd'hui à quoi s'en tenir avec cette idéologie d'oppression et de dénigrement de la moitié masculine de l'espèce humaine. Beaucoup de femmes ne se reconnaissent pas dans ces Walkyries ou dans cette image de femme minable, éternelle victime d'un complot imaginaire.
Hommes et femmes sont égaux en droit de toute évidence. Cela c'est la base. Pas besoin d'écraser l'autre. Pas besoin de vouloir les rendre indifférenciés et interchangeables, ou de faire porter aux uns la charge de la violence et aux autres le poids de la souffrance.
Bonne journée.
@ aoki:
Dans cet ordre d'idées j'avais regretté que le procès de Cantat n'ait pas abordé une réflexion collective sur le genèse de la violence, sur ce qui fait passer le cap vers ce comportement destructeur ou meurtrier.
Les vociférations féministes de l'époque, l'instrumentalisation émotionnelle de ce drame, ont empêché toute réflexion utile. C'est dommage. Il y aurait eu de quoi avancer. Au contraire, les positions se sont encore plus durcies de part et d'autre.
La prévention nécessite pourtant cette réflexion collective qui ne cherche pas de coupable.
La guerre des chiffres qui dure depuis près de 30 ans a une raison d'être, car c'est sur des chiffres abusifs ou faux que les hommes se retrouvent si facilement suspectés et criminalisés.
Mais bien sûr elle n'est qu'une étape: la reconnaissance du partage de la souffrance et de la non-sexualisation ou de la non-genrisation de la violence. Il y a plus d'hommes auteurs de certaines violences, plus de femmes auteures d'autres violences. Et au final il y a la souffrance. A cette souffrance s'ajoute pour les hommes celle de n'être pas entendus, reconnus, et au contraire de subir déni et railleries.
On a des chiffres qui indiquent que les cas de violence conjugale sont à 40% liés avec un problème d'alcool dans le couple, souvent des 2 partenaires. Il y a déjà là un problème sanitaire et social qui favorise des explosions de violence. Ce n'est pas une question de genre mais de dérèglement de vie, de dépendances et de problématiques individuelles non réglées.
Ensuite il y a la parole mal ou trop peu utilisée. Parler est une démarche fondamentale. Communiquer ensemble ses besoins et frustrations, s'exprimer avec écoute et parler avec courage. S'y faire aider. Les cas de violences avérés sont de plus en plus pris en charge psychologiquement. Et l'on constate alors que les auteur-e-s de la violence ne sont pas des monstres (même s'il y en a quelques uns) mais des personnes elles-mêmes en détresse ou en manque de repères. Ils-elles peuvent valablement être soigné-e-s.
@ Johann:
Les hommes sont plus auteurs de meurtres conjugaux que les femmes. Sans aucun doute. Je constate que ce n'est presque plus que de cela dont on parle, car c'est le seul point où les femmes sont visiblement plus victimes. Les chiffres de la violence non meurtrière ne permettent plus de faire passer les hommes pour seuls auteurs et les femmes pour quasi seules victimes. On sait que ce qui se racontait (femmes victimes à 95 ou 98%) est gravement faux.
On se rabat aujourd'hui sur les meurtres. Ok. On va même jusqu'à dire que les femmes meurtrières étaient battues et donc en légitime défense. Où est-ce prouvé? Et pourquoi si c'est le cas et si elles peuvent tuer, ne pourraient-elles pas s'en aller avant? Pourquoi cette mansuétude envers elles quand elles tuent?
Et pourquoi, si l'on accepte de justifier voire d'excuser les meurtrières, n'examinerait-on pas les conditions qui font des hommes des meurtriers?
Quel mépris, dénigrement, déni, humiliation, rejet confinant à l'inexistence, vivent-ils dans leur couple pour en arriver là? On ne tue pas par hasard ou par goût. Ces meurtriers sont rarement des psychopathes. Ce sont des hommes peut-être déjà morts dans leur coeur et leur âme.
Combien de femmes ont déjà tué psychologiquement leur conjoint ou ex-conjoint avant que celui-ci ne passe à l'acte?
@Hommelibre
vous avez raison mais depuis que les religieux font de la politique tout est faussé voilà le grand drame ,de notre temps les églises faisaient tout pour supprimer notre envie d'évoluer,et depuis que moults églises se cachant sous divers logo de puritanisme et autre pro ceci ou cela une poule ne retrouverait plus ses petits,je suis affirmative,ancienne adepte et victime,pourquoi cacherais-je ce que j'endurai, d'une église non conventionnelle comme dit à Verte-Rive association Général Guisan,l'Armée militaire fut ma famille de substitution pour quitter un enfer ,qui sait aussi se servir du mot Vert pour dénaturer la nature elle-même,comme quoi y'a pas de petit profit,alors ne mélangeaons pas les religieux et la politique et le monde s'en portera mieux,et croyez bien des mobards seraient de mon avis,plus peronne ne parle alors la porte est ouverte à toutes les églises non conventionnelles,on se croirait revenu dans les années 50 et encore ,je pencherais plutot pour l'époque précédente ou les femmes étaient prisonnières de leurs propres vies,les hommes au front ,elles étaient piégées à leur insu comme nous le sommes tous maintenant
Courage à vous les Hommes
"On se rabat aujourd'hui sur les meurtres."
Quand il n'y a pas meurtre, il y a toujours une échappatoire possible, il y a toujours un avenir. Le meurtre est un acte irrémédiable. C'est une donnée objective et incontestable d'une transgression ultime.
"On va même jusqu'à dire que les femmes meurtrières étaient battues et donc en légitime défense."
Je ne le dis pas. Le rapport mentionné plus haut n'en parle pas.
"Où est-ce prouvé? Et pourquoi si c'est le cas et si elles peuvent tuer, ne pourraient-elles pas s'en aller avant?"
On peut aussi le dire des hommes: ne pourraient-ils pas s'en aller avant?
"Pourquoi cette mansuétude envers elles quand elles tuent?"
Pourquoi cette mansuétude envers eux quand ils tuent? Mansuétude qui se traduit dans votre discours par le fait de leur chercher des excuses (que vous déniez aux femmes).
"Et pourquoi, si l'on accepte de justifier voire d'excuser les meurtrières, n'examinerait-on pas les conditions qui font des hommes des meurtriers?"
Quand je dis que c'est INADMISSIBLE, je n'excuse personne, ni les meurtriers, ni les meurtrières. Je constate seulement que les hommes tuent plus que les femmes dans le cadre du couple. Vous pouvez enfumer, cous pouvez tourner et retourner les choses à votre guise, vous ne changerez pas ce fait de société.
"Quel mépris, dénigrement, déni, humiliation, rejet confinant à l'inexistence, vivent-ils dans leur couple pour en arriver là? On ne tue pas par hasard ou par goût. Ces meurtriers sont rarement des psychopathes. Ce sont des hommes peut-être déjà morts dans leur coeur et leur âme.
Combien de femmes ont déjà tué psychologiquement leur conjoint ou ex-conjoint avant que celui-ci ne passe à l'acte?"
Je peux vous répondre avec vos propre mots:
"On va même jusqu'à dire que les hommes meurtrier étaient battus et donc en légitime défense. Où est-ce prouvé? Et pourquoi si c'est le cas et si ils peuvent tuer, ne pourraient-ils pas s'en aller avant? Pourquoi cette mansuétude envers eux quand ils tuent?
Combien d'hommes ont ont déjà tué psychologiquement leur conjointe ou ex-conjointe avant que celle-ci ne passe à l'acte?"
La passion nuit à l'objectivité. Dans votre argumentation ci-dessus, vous laissez sous-entendre que les hommes sont plus faibles psychologiquement. Domination psychologique des femmes, domination physique des hommes: est-ce votre position?
Je préfère nettement votre réponse à Aoki.
le virtuel est toxique la tv déjà dans les années 50 instruisait savamment au meurtre,les films d'aujourd'hui portent au meurtre et comme a dit un criminologue et tout humain sommeille un criminel,il suffit d'une fraction de seconde,d'un bruit .d'une parole pour qu'alors se mette en route des gestes contenus ,mais y'a aussi des femmes battues,nous sommes dans un siècle de la violence et du silence portant à l'agressivité,le meurtre passionnel a toujours existé,Abraham avait été poussé au meurtres aussi,ceci n'excusant pas ce geste,mais si les programmes sont axés sur la violence,c'est aussi qu'elle est recherchée et demandée par ceux visualisant ces horreurs.
@ elena:
"nous sommes dans un siècle de la violence et du silence portant à l'agressivité".
Je fais aussi le lien entre silence et violence. Je crois à la parole qui peu à peu donne forme au ressenti et au vécu. La parole est un pouvoir.
Johann, je ne suis pas systématique, je pense que la fragilité psychologique peut se trouver chez les femmes comme chez les hommes. Mais je suis d'avis que les hommes dans leur majorité sont loin d'être des chênes psychologiquement. Ils ont beaucoup d'incertitudes, d'insécurités - d'ailleurs une partie de leurs besoins dans le couple vient de cela.
L'homme sûr de lui, que ce soit l'image du macho ou du militaire, ne me paraît pas du tout généralisable. De plus quand ces hommes-là se retrouvent fragilisés, ils sont vraiment perdus.
Et je pense qu'en partie leur insécurité peut être cause ou de violence ou de silence.
Je pense que les femmes assurent souvent bien. Elles tiennent bon là où les hommes lâchent. Quand il y avait beaucoup de guerre en Europe, ce sont elles qui faisaient tourner le monde: la ferme, les enfants, etc.
@Hommelibre,merci en effet et il faut si peu de choses pour aider les hommes à se sentir humains et non traités commme des objets,infirmière en psy et à la retraite,y'a encore du travail,mais les entendre rire,quel grand bonheur et que ça fait chaud au coeur
bonne soirée à vous!
"Ma conclusion: les chiffres sont là pour la période 2000-2004 (et non 2001-2004), et dans les relations de couple, les hommes tuent bien plus que les femmes. Dans les deux cas, c'est INADMISSIBLE."
donc ça serait inadmissible que ce soit soit les femmes plus que les hommes victimes d'homicides conjugaux, oui mais se sonts quand même eux qui perdent tout parce que madame veut divorcer parce qu'il n'y a pas assez de romance dans son quotidien, tout ça avec a la clé pour l'homme, fausses accusations d'incestes, SAP, lui est victime de la justice familiale sexiste pas elle, 1/3 des homicides conjugaux sonts dus à la séparation !!!! avec dans la grande majorité des cas le suicide de l'homme.
et là ne sonts évidement pas comptabilisés, les suicides d'hommes dus à la séparation. et pourtant ce sonts des des morts conjugaux.
"les hommes tuent bien plus que les femmes"
ces hommes leur origine ethnique jouerait telle dans les meurtres conjugaux
moi je pense que oui. mais il ne faut pas le dire, ça serait parait t'il de homophobie.
et ces politiciennes veulent nous faire croire que les homocides conjugaux serait représentatifs de la violence contre les femmes, alors qu'une trés infime minorité de personnes sonts concernés par cette extrémité.
je cite Patrick Guillot dans le livre LA MISANDRIE page 135
"une femme meurt tous les quatre jours de violence conjugale contre un homme tous les seize jours" constitue un choix arbitraire et surprenant, consistant à utiliser le meurtre conjugal comme une donnée représentative des rapports entre les sexes et de leur inégalité.
"Objet :
1 - Des chiffres
2 - Pauvre Karim Boudouda !!!
> > > Comme il vaut mieux parfois une poignée de chiffres plutôt que de longs discours, à vous de juger :
ALLEMAGNE
> > > « Près de la moitié des actes violents des moins de 21 ans sont commis par des personnes issues de l’immigration. Nous ne pouvons pas nous taire ».
> > > Angela Merkel, chancelière allemande
> > >
> > > NORVEGE
> > > 100% des viols qui ont donné lieu à une plainte en 2008 à Oslo l’ont été par des immigrés « non-occidentaux », en majorité kurdes et africains. « Ils viennent de pays qui ont un regard sur la femme totalement différent de celui qui règne en Norvège”. Ces viols s’accompagnent d’une violence très importante. (statistiques de la police.)
> > >
> > > SUISSE
> > > Plus de 60% sont des détenus sont des étrangers, en grande majorité musulmans (statistiques fédérales suisses)
> > >
> > > FRANCE
60 à 70% des détenus sont de religion musulmane (source Washington Post)
> > >
> > > Espagne
70% des détenus sont musulmans (« Département des Affaires islamiques de Dubai »)
> > >
> > > Italie
« les faits sont incontestables, nous avons aujourd’hui en Italie plus de 55 000 détenus parmi lesquels plus de 20 000 étrangers. 65 % d’entre eux sont mis en examens mais seuls 35 % sont condamnés. Il faut donc accroître la mise en œuvre des mesures d’expulsion pour les étrangers condamnés à des peines inférieures à deux ans» (Syndicat autonome de la police pénitentiaire)
________________________________________
> >
Grenoble:
> > >
> > > Deux "jeunes" arrêtés.
> > > Entre «50 et 60 voitures» ont été brûlées et deux "jeunes", dont un mineur, ont été arrêtés, selon un bilan définitif de la police.
> > > Les deux "jeunes" arrêtés sont âgés de 17 et de 18 ans, a précisé un responsable de la police.
> > > En outre des «engins de chantier» ainsi que «deux commerces» ont également été brûlés. Les incidents se sont déroulés dans la nuit dans un quartier populaire de Grenoble, la Villeneuve, d'où était originaire Karim Boudouda, 27 ans, déjà condamné trois fois aux assises pour vol à main armée, et qui a trouvé la mort dans la course-poursuite qui a suivi sa fuite du Casino d'Uriage-les-Bains, près de Grenoble.
> > > Avec un complice il s'était fait remettre le contenu de la caisse sous la menace d'armes lourdes.
> > >
> > > Concrètement le pauvre Karim se fait tuer par la police pendant son braquage... et il faudrait que la France s'excuse ????
> > >
> > > On marche sur la tête dans ce pays... non ?
> > > Que font la HALDE, Sos Racisme et la Licra ..... Vite ... défendons tous Karim, ce prix Nobel qui a tant apporté à notre Pays...
> > >
> > > NB : Déjà on se demande ce que ce type faisait en liberté après trois condamnations aux Assises.....Ensuite, abandonnons "la pensée dominante de la culture de l'excuse" et arrêtons de les appeler des "jeunes", ce sont des voyous !
> > >
> > > Soutenons notre police !
"C'est donc bien 250 femmes et une cinquantaine d'hommes (53? Le graphique est imprécis) pour la période 2000-2004 victime de meurtre au sein du couple ou d'un ancien couple, soit un rapport de 1 à 5:
la je suis étonné d'Audrey qui confond les meurtres et les homicides.
http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/19/03/02/dos/02/03.html
maintenant on ne parle plus de morts au sein du couple mais d'homicides ce qui fait de plus gros chiffres.
dans le lien ci-dessus pour la période de 2000 à 2004 (de prendre en compte quatre année ça fait un chiffre plus gros). on a 64 hommes et 142 femmes décédées d’un homicide dans le contexte domestique. ce qui fait un peu plus que deux femmes pour un homme.
au-dessous il est écrit ça " En moyenne 22 femmes et quatre hommes meurent par année dans le cadre d'un homicide commis par le/la partenaire ou ex-partenaire."
franchement là je comprends pas tout !!!!!
http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/news/publikationen.Document.83619.pdf
et dans ce lien il est écrit "206 sont mortes des
suites de l’agression; 69% de celles-ci étaient des femmes."
ce qui correspond à ce que j'ai compris.
et dans le même lien.
"2.2.1.3 Nationalité et statut de séjour
Sur l’ensemble des suspects, 419 sont de nationalité
suisse et 515 de nationalité étrangère. Parmi ces derniers,
321 (62%) sont titulaires d’un permis de séjour ou
d’un permis d’établissement, 97 (19%) relèvent du domaine
de l’asile, 96 (19%) appartiennent à d’autres catégories
d’étrangers17, sans domicile officiel en Suisse. Le
statut de séjour de l’un des suspects étrangers est inconnu
(G 3)."
je suppose qu'il y a en suisse beaucoup plus de suisses que d'hommes de nationalité étrangére et pourtant le nombre d'homicides est équivalent et encore il n'est pas fait état de suisses de culture musulmane.
effectivement plus bas.
"Pour permettre des comparaisons entre les Suisses et
les étrangers résidants, les chiffres absolus ont été rapportés
à la population résidante du même groupe d’âges,
selon la nationalité. Les taux obtenus on été représentés
dans le graphique 4.
Pour tous les groupes d’âges, le taux est plus élevé
chez les hommes de nationalité étrangère que chez les
hommes de nationalité suisse. La différence la plus forte
s’observe pour la tranche d’âges de 20 à 24 ans. Seule
une analyse détaillée des facteurs de risque concernant
les situations socioéconomiques et les circonstances
exactes des homicides permettra d’esquisser une explication
de ces résultats, analyse qu’il faudra compléter avec
les données de la statistique des condamnations pénales."
et ça se voit trés bien au tableau sous ce titre.
"Personnes suspectées d’homicide en Suisse (2000–2004)
Selon la nationalité, le statut de séjour et l’âge"
et d'aprés Maryse jaspard la grande ordonnatrice de l'Enquête bidon ENVEFF
il est impossible de compabiliser les meurtres au sein du couple, les enquêteurs suisses doivent être beaucoup plus malins qu'en france.
http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article198
"A l’automne 2004, une série d’articles de presse ont dénoncé le silence escamotant en France les meurtres de femmes et alimenté l’intérêt pour le chiffrage des crimes de sang. S’appuyant sur des sources incertaines, les politiques et les ONG ont diffusé des statistiques improbables ; en dépit des mises en garde des statisticiens de l’INSERM qui, codifiant les causes de mortalité, ont souligné les difficultés rencontrées pour établir ces statistiques. La seule source française vient du rapport Henrion qui reproduit un chiffre du ministère de l’Intérieur, selon lequel, tous les quinze jours, trois femmes mourraient des suites de violences conjugales, soit annuellement environ quatre-vingt cas. Les autres informations émanent du Conseil de l’Europe dans lequel se côtoient deux affirmations contradictoires : d’une part, qu’une femme meurt chaque semaine en Europe des suites de violences conjugales "
"La complexité de la détermination des causes de décès est telle qu’il est peu probable que l’on dispose prochainement de données ad hoc pour cerner les morts consécutives à des violences conjugales. Il faut avant tout détecter les situations de violence pour détecter, parmi les " traumatismes, brûlures, empoisonnements ayant entraîné la mort ", les meurtres intentionnels. Si les enquêtes de police diligentées dans ces cas peuvent faire émerger les actes criminels, l’ensemble du système d’enregistrement et de traitement des statistiques de la criminalité (police et justice) doit être revu pour rendre compte de ce phénomène. Dans nombre de cas, notamment, notamment pour le suicide, la relation de cause à effet est difficile à établir. [Exact, en particulier pour les hommes victimes. C’est pourquoi, lorsqu’il y a une estimation pour ceux-ci, elle est toujours inférieure à la réalité]"
Rapport Henrion - février 2001
Ministère de la Santé
http://www.blogg.org/blog-67082-billet-773308.html
Sur 652 femmes victimes d'homicides entre 1990 et 1999, sur Paris et sa proche banlieue, la moitié a été tuée par leur mari ou leur compagnon. Un chiffre terrifiant, révélé par un rapport sur les violences conjugales.
"En France, une femme meurt de violences conjugales tous les cinq jours", explique le professeur Roger Henrion, membre de l'Académie nationale de médecine et responsable de cette étude pour le ministère de la Santé.
L'équipe du professeur a interrogé au hasard un échantillon de 7000 femmes, âgées de 20 à 59 ans, habitant la capitale et sa petite couronne. Il ressort que 10% d'entre elles ont subi des violences conjugales au cours des douze derniers mois. Insultes, harcèlement moral, agressions physiques, viols, la liste est longue de ces sévices commis dans l'intimité des couples.
Les conséquences sont à chaque fois dramatiques. Plusieurs femmes victimes souffrent de troubles émotionnels (dépression, boulimie, anorexie ...), certaines, à bout de nerfs, se suicident. Et une partie meurt carrément sous les coups de leur conjoint. "Parmi les victimes présentées dans le rapport, 30 % ont été poignardées, 30 % ont été abattues par arme à feu, 20 % ont été étranglées et 10 % ont été rouées de coups jusqu'à la mort", précise le professeur Henrion.
Le profil de l'agresseur n'est pas toujours celui que l'on s'imagine. "Il s'agit en majorité d'hommes bénéficiant par leur fonction professionnelle d'un certain pouvoir. On remarque une proportion très importante de cadres (67%), de professionnels de la santé (25%) et de membres de la police ou de l'armée", commente Roger Henrion.
Ces violences conjugales restent bien trop souvent taboues et franchissent peu les murs des domiciles familiaux. Mais quand les femmes parlent, elles s'adressent en premier lieu à leur médecin. "Ce dernier a un rôle clé dans le dépistage des violences, le recueil de l'histoire et la rédaction d'un certificat, pièce essentielle lors d'un dépôt d'une plainte", selon le professeur Henrion. Mais le médecin est souvent pris en tenaille entre le secret médical et la non-assistance à personne en danger.
Un site Internet (www.sivic.org) est mis à la disposition des médecins pour se former à l'ensemble de ces problèmes.
La violence conjugale est la première cause de mortalité des femmes de 16 à 44 ans en France...
on voit ci-dessus que le rapport henrion concerne Paris et sa proche banlieue
les chiffres sur la France entiére ne sonts que des extrapolations comme nos féministes savent si-bien les faire.
et comme je l'écrivais plus haut Paris et sa proche banlieue n'onts pas le même type de population que la France entiére.
"Il ressort que 10% d'entre elles ont subi des violences conjugales au cours des douze derniers mois. Insultes, harcèlement moral, agressions physiques, viols, la liste est longue de ces sévices commis dans l'intimité des couples."
ça s'apparente assez au rapport ENVEFF, comme par hasard avec les mêmes chiffres
notons au passage que les hommes subissent les mêmes violences et dans les mêmes proportions. voir ESG 98. canadienne. il en ressort qu'il n'y a que dans "les décés d'homicides conjugaux" où il y a beaucoup plus de femmes que d'hommes, serais ce du à la différence de force physique ?
et c'est peut-être pourquoi c'est ce type de données qui est actuellement mis en avant par les féministes, avec une exagération manifeste de la différence de nombre entre hommes et femmes.
""nous sommes dans un siècle de la violence et du silence portant à l'agressivité".
ce n'est pourtant pas la conclusion de l'enquête.
"Si l’on s’intéresse fortement à la
problématique des homicides, n’oublions cependant pas
que ces derniers sont très rares dans notre pays en comparaison
internationale36."
http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/news/publikationen.Document.83619.pdf
et encore il a fallu que ces deux enquêtrices aillent chercher les homicides des étrangers vivant en suisse pour doubler le chiffre des homicides.
et c'est là qu'on s'aperçoit dans un tableau que les étrangéres entre 20 et 35 ans sonts trois fois plus victimes d'homicides avec des relations de couples que les suissesses.
Victimes d’homicide en Suisse (2000–2004)
Relation domestique: taux pour les victimes femmes
selon la nationalité et l’âge G 24.
c'est pratique les étrangers pour faire augmenter la différence entre les hommes et les femmes.
comment des enquêtes qui prennent en compe des étrangers, peuvent t'elles être pertinentes sur l'évolution du monde occidental en matiére de violence conjugale.
dans ce cas là autant faire des enquêtes en lybie où en algérie.
"Pour tous les groupes d’âges, le taux est plus élevé
chez les hommes de nationalité étrangère que chez les
hommes de nationalité suisse. La différence la plus forte
s’observe pour la tranche d’âges de 20 à 24 ans. Seule
une analyse détaillée des facteurs de risque concernant
les situations socioéconomiques et les circonstances
exactes des homicides permettra d’esquisser une explication
de ces résultats, analyse qu’il faudra compléter avec
les données de la statistique des condamnations pénales."
c'est bien pudique comme explication, on a l'impression quelles ne se rendent pas compte qu'il y a une différence de culture !!!!
"> > > NORVEGE
> > > 100% des viols qui ont donné lieu à une plainte en 2008 à Oslo l’ont été par des immigrés « non-occidentaux », en majorité kurdes et africains. « Ils viennent de pays qui ont un regard sur la femme totalement différent de celui qui règne en Norvège”. Ces viols s’accompagnent d’une violence très importante. (statistiques de la police.)"
Bonjour, pour info...
Une page vient de se créer, par des femmes sur Facebook : " Les féministes nous écrasent " sur facebook - Retour à : Vers un mouvement de femmes modernes…
http://www.facebook.com/topic.php?uid=154787947892134&topic=406
Je vois qu'en Suisse également, la manipulation statistique bat son plein. Au Québec, une politique d'intervention en violence conjugale a ouvert le chemin à un cortège d'aberrations et de fausses allégations en permettant l'arrestation d'un conjoint - toujours masculin, bien sûr - sur simple dénonciation de la femme. Dans certains cas, l'homme est visiblement le seul blessé, quand il n'a pas lui-même fait l'appel, pourtant c'est lui qu'on arrête systématiquement et systémiquement. À l'origine d'une telle dérive, l'invention pure et simple de deux "chercheuses" féministes d'un présumé pourcentage donnant pour résultat que 300 000 femmes étaient battues "chroniquement" au Québec. L'une des deux fumistes a reconnu la fausseté de son chiffre, mais malgré tout, la politique d'intervention demeure. Je me doute, Michel, que vous avez entendu parler de ces faits, mais plus de gens en prendront conscience et mieux ils ou elles saisiront la précarité de l'homme dans les sociétés dites modernes où le féminisme d'État sévit. Salutations. Olivier