Nouvelle éruption solaire la semaine dernière, et encore une forte et spectaculaire. Elle a été filmée par l’observatoire solaire de la Nasa, le Solar Dynamics Observatory.
Ce satellite, positionné à 35‘000 km de la Terre, surveille le soleil en permanence. L’image qu’il transmet peut être vue sur ce site de la Nasa.
Voici l’image de l’éruption du 24 février, et ci-dessous l’impressionnante vidéo. Une tache de grande étendue est visible dans le quart supérieur gauche. Si la précédente a touché la Terre sans grande conséquence, c elle-ci n’était pas orientée vers notre planète.
Plein les yeux!
(Images Nasa - cliquer pour agrandir)
Commentaires
Grand merci pour ce magnifique spectacle Homme Libre. Ceci est le genre d'information à côté de laquelle je passe toujours, j'ignore pourquoi car elles sont super intéressantes....cosas de la vida.
Le soleil fait bien défaut cette semaine, remplacé par des orages de grêle...pauvres artichauts :))
Amicalement.
ÉTÉS MEURTRIERS
Le feu était dans le ciel.
Jamais le soleil n’avait été si oppressant, écrasant hommes et bêtes, campagnes et cités. L’astre avait des ardeurs inhabituelles. Ses rayons agressaient, brûlaient, blessaient.
Tout mourait à petit feu sous son éclat.
Éffrayante saison de fin du monde ! Hélios se faisait vieux… Il approchait les dix milliards d’années. L’Homme, toujours là, n’ignorait rien des mystères de la matière, ni de sa destinée. Les temps bibliques mille fois révolus, il était devenu sage, savant, puissant. Mais non invulnérable aux effets fatals de l’étoile qui s’embrasait.
Les temps des temps étaient finissants. La fin des fins arrivait. Le ciel semblait sombrer dans un abîme sans nom. Pour parler de cette chose prodigieuse, des mots jamais émis furent prononcés, qui firent frémir l’Homme… Bien que devenu fabuleux et pénétré de sciences, l’Homme s’émouvait encore : la peur, l’irrationnel l’étreignaient comme un enfant. La fin des fins… L’effondrement du ciel et de la terre !
La Création vivait le premier été signant la lente agonie du brasier perpétuel, les prémices perceptibles de son extinction future qui devait avoir lieu vingt millions d’années plus tard.
Vingt millions d’autres étés à venir, de plus en plus chauds, de plus en plus longs, puis permanents, formeraient l’inéluctable processus qui réduirait la planète à un amas de cendres incandescentes.
La grande et complexe mécanique cosmique des éléments qui s’ébranlent dans un feu ultime pour renaître à la prochaine aube sidérale était engagée, implacable.
Raphaël Zacharie de IZARRA
Tout comme Colette, je suis complètement passée à côté de cette information! A-t-elle d'ailleurs été relayée par les médias?
RAPHAËL ZACHARIE DE IZARRA, CET UNIVERS
Parlant du Cosmos, des cathédrales, de la Lune, de la femme (laide, belle, vieille, méchante, chaste ou vulgaire) de l'amour (transcendant le temps, total, mystérieux, cruel, désespéré, courtois ou bestial) de l'homme (noble, étrange, déchu, inaccompli, ou royalement angélique) de la mort (comme étape du grand spectacle de la vie ou bien envisageant avec courage et romantisme son propre départ) le Verbe de Raphaël Zacharie de Izarra éclate de force, beauté et vérité
Ses personnages sont l'humble bedeau qui maîtrise le chant divin des cloches, des vieilles oubliées par tous dont le coeur cache une ancienne tragédie d'amour, des moines, des nains, des bossus, des êtres mystérieux ou des filles simples vivant dans des fermes sans éclat, le coeur rempli d'étoiles, des radins, des vieilles filles bigotes, hypocrites et cruelles, des terroristes déshérités du destin, des mendiantes boiteuses ou bien ses propres amantes. L'humanité entière -entre l'abruti de base et l'homme qui vole, entre la rigole de la misère et les fleurs froides de l'empyrée- se retrouve fouettée et saluée par la plume de cet auteur.
Il est en même temps la voix de ceux qu'on ne peut pas entendre, de ceux qui ne peuvent pas s'exprimer : des anges et vétérans de guerre, du Christ et de l'enfant trisomique en détresse, de la Camarde et de la jeune fille mourante
Les articles écrits par Raphaël Zacharie de Izarra dénoncent l'imposture artistique et surtout celle littéraire, le mensonge étatique, la guerre, les clichées sociaux du travail et des vacances, le matérialisme, les habitudes alimentaires grossières, l'hystérie anti-islamique, le lavage de cerveau des masses par la télévision et la publicité. Il dénonce avec férocité toute paresse, mollesse, mensonge et ânerie. Dur comme l'acier, outrancier, cynique et plein d'humour à la fois, surprenant jusqu'à l'insupportable, son propos reste lumineux et force la pensée tout en hauteur.
Il ne chatouille jamais dans le sens du poil, il oblige l'intelligence à grandir, là où elle existe et les nerfs à crier la où elle est absente.
Personnage singulier de son oeuvre, l'auteur lui même se présente avec franchise, fantaisie et humour. Sous les traits du Peter Pan joyeux et cruel, du sensible Pierrot inadapté, au-delà de l'ego d'un beau Narcisse, des tics du radin, des griffes de l'Esthète féroce avec les femmes, les enfants et les chiens, du Maître des mots tendre avec les chats, entre les ailes cachées de l'ange, les tristesses du chantre des cailloux et le noble front du Prince des étoiles, à nous de trouver son vrai visage et même le nôtre si on fait le chemin de la connaissance avec bonne foi. Parce que la personnalité de Raphaël Zacharie de Izarra comprend, entre les deux Z de son nom comme entre deux ailes célestes, le carré des quatre R : la Terre royalement unie au Ciel.
Une oeuvre comme une cathédrale où l'on doit dépasser la peur de gargouilles, entrer dans le noir pour le scintillement plurivalent des vitraux de son esprit, chanter une unique symphonie divine.
Immense comme l'Univers, simple et sublime comme la lumière.
Article écrit par Liliana DUMITRU