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Féminista: le livre est maintenant en librairie

En Suisse romande on peut maintenant trouver « Féminista : ras-le-bol ! » dans les rayons de plusieurs librairies. Voici la liste.

FéministaPanneauPetit.jpg➥  D’une part en Romandie on le trouve dans les différents magasins de la Librairie Payot. On trouvera d'ailleurs sous peu un lien sur le site de Payot.


➥  La FNAC Rive et Balexert, à Genève, l’ont dès maintenant en rayon. Il est en attente pour les autres magasins FNAC à Lausanne et Fribourg.


➥  A Genève toujours il est en rayon à la librairie Jullien, 32 Place du Bourg-de-Four, et à la Librairie du Boulevard, 34 rue de Carouge.


➥  Enfin sur France on le trouve à la Librairie Centrale de Ferney-Voltaire.


Il peut toujours être commandé par internet au même prix, 19,80 CHF (frais d’envoi inclus) sur le site des Editions Atypic, où pour mémoire on trouve quelques extraits et le premier chapitre. L'humour côtoie l'analyse critique des théories féministes radicales, et démonte avec parfois un zeste de provocation quelques stéréotypes sexistes sur les hommes entretenus par cette mouvance radicale.


L'interview d'une dizaine de minutes à Léman Bleu figure également sur le site.


D'autre part une édition numérique est en préparation, soit en simple pdf, soit en ePub.

Catégories : Divers 16 commentaires

Commentaires

  • Enfin un auteur qui ose s'attaquer aux méfaits des raclures de bidet.

  • Hypolithe:

    Raaaahhhh... Le langage est rude...

    :-)

  • On me signale que la FNAC Balexert à Genève vient de passer commande. Il y sera donc en rayon dans la semaine prochaine.

  • " Le langage est rude... "



    Je dirais même plus: l'enragé (antiféministe) élude!


    PS: le blog de la TdG n'est pas sensé être à but non lucratif?? Ou est-ce que je peux aussi vendre mon baril de lessive..?

  • @ Aigle de la Route:

    La pratique admise considère qu'il s'agit d'une information. Pas mal de blogueurs et blogueuses ont publié qui un livre, qui un CD de chanson. Certains annoncent des manifestations payantes.

    L'aspect culturel est préservé: il ne s'agit pas de barils de lessives mais d'ouvrages témoignant d'une réflexion, d'une perception du monde, d'une circulation des idées.

    Il ne faut de plus pas surestimer l'impact de telles annonces. L'aspect commercial est très faible. Mais au moins, quand on est en dehors des grands circuits commerciaux, on peut annoncer qu'une chose existe.

  • En voilà une excellente nouvelle. Mon budget livres pour le moi de mai va devoir être un peu élargi ;))

    Je vais tâcher de favoriser l'une des deux (relativement petites) librairies genevoises que vous mentionnez, sinon aller chez Payot.

  • Bonsoir Hommelibre

    Super nouvelle mais ...

    Comment ça le bouquin est dans les librairies ?!? Sans séance dédicace ni apéro ?? Ah bin zut alors, j'ai investi dans une étagère et j'aurai un bouquin "vierge" de paraphe, ... Lol !! ;o))

    Belle soirée (o_~)

  • Ben Loredana, je n'ai pas encore trouvé d'endroit pour faire une dédicace. J'aimerais une librairie, je cherche encore. Anyway je vous ferai une dédicace un jour! Faut rentabiliser l'étagère...

    (-_o)

  • J'ai enfin votre livre entre les mains. Acheté chez Payot ; le livre doit se
    trouver à l'étage en dessous, dans l'Actualit.

    Je vous signale que 20 minutes avant cela j'étais passé à la Librairie du
    Boulevard, et je dois vous dire ceci : ils ont retiré votre livre de la
    vente.

    C'est en tout cas ce que j'ai déduit de

    - ma conversation avec le libraire et
    - un bref coup d'oeil sur leur écran.

    "Nous offrons des livres SUR le féminisme, nous avons droit de faire notre choix en fonction de nos sensibilités de libraire", m'avait fait le vendeur, l'air pas très amical. Ma traduction : ON N'EN VEUT PAS.

    Quoi qu'il en soit, je me réjouis de vous lire et vous souhaite plein
    succès.

  • @ Youri:

    Merci pour cette info. Inutile donc d'aller à la Librairie du Boulevard: mon livre n'entre pas dans l'idéologie. L'interdit sur les bouquins, ça me rappelle quelque chose...

    Cette anecdote que vous nous livrez, Youri, me fait dire que décidément le business offre plus de liberté que l'idéologie.

    Vive le business! Je devrais peut-être en faire un billet.

  • Oui quand je vus dis que la feminista réinvente l'Inquisition et l'autodaffé.

    Hitler doit se marrer dans sa tombe.

  • @Youri

    Je serais vous je boycotterais ouvertement cet enseigne. Une librairie qui est contre la liberté de pensée n'est pas une librairie qui mérite d'être prospère.

    J'imagine que le 3/4 de ses ouvrages sont des torchons inutiles et futiles.

  • Cela vaut bien une petite réflexion:

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2012/05/25/business-si-ideologie-no.html

  • J'en ai rêvé homme libre l'a fait :))

    Bon j'ai un peu de lecture pour ce soir

  • Cher Monsieur,

    Je pense que votre combat est nécessaire. En effet, le "terrorisme intellectuel" est bien souvent présent (de manière conscient ou pas) dans les échanges d'opinions. Tout comme vous, je partage l'idée qu'une forme de radicalisme peut être contre-productif pour toutes personnes engagées dans un combat. Néanmoins, j’y ajouterai une nuance selon laquelle toute appréciation d'une supposée radicalité revêt parfois également une forme de radicalité car, me semble-t-il, juger c’est trancher.

    A propos de l’acte de juger, je me permets de vous poser une question à propos de votre passage du 1er mai 2012 sur le plateau de l’émission « Léman bleu » car il me semble que vous opérez une forme d’essentialisation à géométrie variable suivant le sujet concerné. C’est pourquoi, je vous demande de m’éclairer car je n’arrive pas à suivre votre raisonnement qui s’appuie notamment sur un postulat de départ d’universalité des qualités ou vertus humaines pour les deux genres. Lorsque vous dites qu’il y a «des hommes violents et des femmes violentes » cela me paraît cohérent car c’est une position d’universalité que vous avez choisi. Or, lorsque vous dites que « materner pour un père, je ne sais pas si c’est vraiment son rôle », j’ai de la peine à vous suivre. En effet, si vous pensez qu’il y a un rôle attribué à un genre, il y a fortiori une idée naturalisation, donc une essentialisation.

    Pourriez-vous m’éclairer sur ce paradoxe ? Par ailleurs, je vais acheter votre livre car il m’intéresse.

    Cordialement,

    Fabrice

  • @ Fabrice:

    Je vous remercie pour ces remarques et questions pertinentes. Voici ma position. La contradiction que vous soulevez dans mes propos n'est qu'apparente. Je pense que les vertus sont universelles et non spécifiques à chaque sexe ou genre. Les qualités ou compétences par contre ne me semblent pas aussi symétriques.

    Hommes et femmes sont également nécessaire à la vie de l'espèce et doivent avoir les mêmes droits et les mêmes chances.

    Pour les devoirs je pense que c'est différent. Par exemple le devoir militaire incombe en général aux hommes parce que sa mort ne met pas l'espèce en péril. Un seul mâle suffit pour une communauté de femmes. Par contre si les femmes mourraient en masse sur les champs de bataille l'espèce serait menacée. Moins aujourd'hui mais à certaines époques, probablement. On remarquera que dans les armées où les femmes ont un devoir militaire (Israël par exemple) elles ne sont en principe pas mise en première ligne.

    Donc il y a là une différence fondamentale qui nécessite une répartition des rôles.

    Une autre répartition vient de la grossesse. Femmes et hommes ne sont pas symétriques et cela a possiblement induit des différenciations sociales il y a très longtemps.

    La sexualité n'est pas non plus abordée de la même manière. Un exemple: on dit, les femmes disent, qu'elles aiment les préliminaires et qu'elles trouvent que beaucoup d'hommes n'en font pas assez. Pourquoi n'en font-ils pas assez? Le coït rapide est-il destiné par exemple à montrer une quelconque supériorité masculine? Certainement pas. Le bénéfice est nul, aucun intérêt à cette stratégie. Non, les hommes fonctionnent différemment. Il n'y a qu'à voir les garçons ados: difficile pour eux de maîtriser leur désir et de ralentir ou de durer. L'éducation nécessite un regard différent sur la sexualité que l'éducation des filles.

    L'identité fondamentale et irréductible étant l'identité sexuelle, le fait que l'éducation marque une différence n'est pas choquante. Si cela s'est fait ainsi c'est que cela avait un sens. Les humains n'ont pas attendu le 20e siècle pour être intelligents.

    Naturalisme, différentialisme, ce sont encore des catégories dans lesquelles je suis trop à l'étroit. En effet je pense qu'à part quelques grands principes fermes et universels (mêmes droits, même valeur), il faut savoir changer de géométrie selon le besoin. Cette mobilité, cette fluidité, c'est l'adaptation. Et cette adaptation joue non seulement au niveau des sexes mais des individus. Cela suppose de valoriser les différences non seulement d'un sexe à l'autre mais d'un individu à l'autre. Cela produit des situations paradoxales. Mais le paradoxe est nécessaire à l'humain.

    Tous égaux, tous différents, ne peut aller de pair avec une posture uniforme. C'est ce qui est difficile: entrer dans la pensée complexe.

    J'accepte de plus en plus de juger et de trancher. Beaucoup plus qu'il y a quelques années. Je pense qu'il faut poser des balises. En gardant à l'esprit qu'il y a aussi des exceptions à toutes les règles.


    Je ne sais si j'ai répondu à vos questions.

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