Parler de l’origine presque sans le dire. Parler d’où nous venons, de cette obscurité feutrée où l’on s’édifie en secret. Parler de ce voyage hors de l’obscurité, et de l’éblouissement.
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Parler de l’origine presque sans le dire. Parler d’où nous venons, de cette obscurité feutrée où l’on s’édifie en secret. Parler de ce voyage hors de l’obscurité, et de l’éblouissement.
Je crois que c’était en voyage. Vers le sud. Je traversais des paysages intenses, où la lumière semblait tomber du ciel comme une pluie. Tous les arbres brillaient, toutes les prairies.
L’écriture d’une chanson n’est pas mesurable à sa durée. Certains textes viennent en 15 minutes, d’autres sont travaillés et peaufinés pendant des mois. À cela on ajoute la composition et la réalisation des arrangements, l’enregistrement en studio, le mastering et le pressage.
Pour Noël, deuxième extrait de mon nouvel album à venir. Un texte que je n’avais pas envisagé jusqu’à ce que ma meilleure amie me le suggère. « Cela irait bien dans ton thème général, me dit-elle. Écris-le à ta manière ».
En Suisse romande on peut maintenant trouver « Féminista : ras-le-bol ! » dans les rayons de plusieurs librairies. Voici la liste.
Je délaisse momentanément la méditation romantique du Diable en été pour un Essai effronté. Je reviendrai avec un nouveau roman, si tout va bien d’ici l’été. Entretemps au printemps, publication de mon premier album numérique de chansons françaises, latino et world.
Nous sommes épuisés. Manu, dont je connais la résistance physique, se courbe. Elsa tient encore droite, les yeux presque fermés. Gilles parle avec un pompier appuyé contre un camion. Le feu a reculé. Le jour se lève. Quelqu’un manque.
— Elsa, sais-tu où est Romane ?
— Dans la voiture.
— Elle dort ?
— Je ne sais pas.
« Elles descendent la rue principale et l’on n’entend qu’elles. Des rires, des riens, des robes, des mains derrière les carreaux. Quelques pas légers entre les murs. Une chanson à la volée.
— Pirouette, cacahuète !
— Alouette !
Des rires encore. Des pas qui s’éloignent. Je vais à la fenêtre. Elles ont disparu.
Il est midi. La chaleur est accablante. Les anciens restent dans les maisons. Ils pensent à l’été quarante-sept. D’avril à septembre, du nord au sud: trente, quarante degrés. Une fournaise. Aujourd’hui c’est pire.»
Demain soir à Chêne-Bourg, de 18h30 à 20h, conférence "Revivre". Voir l'invitation ci-dessous.
Boris Cyrulnik en a fait un thème majeur: la résilience est aujourd’hui une notion répandue. Initialement ce terme s’appliquait en métallurgie et signifiait «résistance aux chocs». D’une qualité des métaux Cyrulnik en a fait une qualité humaine essentielle: «La résilience, c'est l'aptitude des individus et des systèmes (les familles, les groupes et les collectivités) à vaincre l'adversité ou une situation de risque.»
J’ai eu la surprise de recevoir un message d’une personne proche de mon accusatrice. Sans le mentionner trop précisément il s’agit d'une personne dont je peux dire qu’elle est liée à sa famille. Quelqu’un qui nous avait connu et dont l’accusatrice était proche.
Cette chanson date de décembre dernier. Je ne sais pas d’où elle vient, de quelle part de mon inspiration.
Rendez-vous annuel de début d’année scolaire à Chêne-Bourg. Samedi 5 septembre, de 10h à 18h, le staff du centre Globale Santé et de l’Ecole de Soins Naturels vous accueille en ses locaux pour ses Portes ouvertes. Au menu: des conférences sur la réflexologie, le massage, le Tai chi, la podomorphologie (lecture de la personnalité dans la morphologie des pieds) et autres; des démonstrations et mini-séances pour goûter aux méthodes enseignées et proposées en soins. Un moment de découverte, de rencontre, de discussion.
Eté 2008. La Provence chaude proche du pays d’Alphonse Daudet. Les moulins à vent ne tournent plus mais le soleil est resté.