Reçu un communiqué qui peut intéresser lecteurs et blogueurs. Il s’agit d’un concours de nouvelles ouvert à toutes et tous. L’originalité est d’écrire en un maximum de 48 heures à partir du moment où le thème est mis en ligne le 21 novembre.
livre
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Concours francophone d’écriture Edilivre
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Les contes de Crocodile River en version Kindle
J’avais commencé par un billet dont certains se souviennent peut-être: L’histoire de Janjé Ndulu. C’était ma façon très personnelle de commenter l’incident du sac à main de Oprah Winfrey à Zürich.
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Épilogue Trierweiler : la suprématie masculine
En épilogue à «l’affaire Trierweiler» je pose deux derniers angles de lecture. Le premier a trait à l’amour et la souffrance. Nul doute que la Trierweiler ait souffert. N’étant pas dans sa peau j’ignore à quel point et si l’orgueil a été davantage blessé que les sentiments. Mais l'ampleur de cette affaire vaut que l'on s'interroge.
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La poissonnière de François Hollande
Valérie Trierweiler tient sa vengeance. Une qui éclabousse bien. Celle de la peau de vache. Je n’ai lu de son livre que quelques extraits publiés dans la presse et je n’en lirai pas plus. Pas besoin. Les extraits suffisent. Ils sont clairs. Dans une confusion totale public-privé elle instruit le procès de son ex, sans prévenir de l’audience - le mou en est paraît-il atterré, sans avocat de la défense - il ne pourra s’expliquer que longtemps après avoir quitté sa fonction.
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Elie Semoun, l’ami de Dieudonné qui vend un livre
Je l’ai mentionné il y a quelques jours: dans son adieu à Dieudonné, Semoun rappelle qu’il vend un livre. C'est bien de faire sa promo. On ne la fait jamais assez, nom d'une pipe.
Il récidive aujourd’hui en élargissant son public.
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L’histoire du vent
Pas d'histoire de Noël, mais un cadeau pour ceux et celles qui honorent mon blog de leur attention, qu'ils et elles partagent ou non son contenu. C’est l’une des histoires qui composent mon nouveau livre, «Les contes de Crocodile River». Dans ces histoires des humains, drôles ou touchants, suivent leurs idées parfois jusqu'à l'absurde ou au miracle, vêtus d'innocence et de rêves. Celle-ci est plutôt humoristique et courte.
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24 décembre, 13h30, l’heure du crocodile
Ce 24 est donc le jour du crocodile. Après les délices du jour de l’orgasme, le 21, voici de quoi s’envoler vers d’autres extases, au son des percussions et de la kora, du balafon ou des voix chaudes qui célèbrent la belle Afrique, dans des histoires philosophiques ou humoristiques, cocasses ou coquines. Je la célèbre à ma manière dans Les contes de Crocodile River qui sort ce jour. Voici un extrait d’une des neuf histoires qui composent ce recueil.
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Les contes de Crocodile River
Il vient. Il arrive. Il est presque là. Quelque part dans la région de Bâle. Et lundi à Genève. Qui ça? Le Père Noël? Non, pas le père Noël, mais un cadeau qu’il apporte dans sa hotte: «Les contes de Crocodile River» (cliquer sur les images pour les agrandir).
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Pas de Cacaoo à Copenhague
La chanson que j’ai mise en compétition pour la Suisse à l’Eurosong, Cacaoo, n’a pas été retenue, malgré son caractère festif et original. Dommage. J’étais prêt à aller au bout. La vidéo et la bande son que j’ai proposées n’étaient pas à la hauteur, il m’a manqué un peu de temps.
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Marcela Iacub: la chute de l’ange
Quelques jours après l’annonce de la publication de son livre sur Dominique Strauss Kahn, «Belle et Bête», Marcela Iacub reçoit le choc en retour. Le livre paraîtra mais elle est condamnée. Elle a fait de DSK un dieu-Cochon, grand-prêtre de la jouissance sexuelle communiste. Elle exprime si crûment ce que le public pense, qu’on peut se demander si elle ne travaille pas secrètement à la rédemption de cet homme à terre, en transformant le bourreau des coeurs et des fesses en victime d’une vindicte populaire acharnée. Un courriel dévoilé par «Elle» montre la belle Marcela sous un jour inattendu: la voici impératrice de la trahison. Le coup est très dur.
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Un livre illisible après soixante jours
Une maison d’édition argentine, Eterna Cadencia, a trouvé une promotion originale de ses jeunes auteurs. Elle a publié un livre sous le titre: «Le livre qui ne peut pas attendre». Et il n’attend pas, en effet. Pas plus de soixante jours. Dès le moment où vous l’ouvrez il commence à disparaître.
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Féminista: le livre est maintenant en librairie
En Suisse romande on peut maintenant trouver « Féminista : ras-le-bol ! » dans les rayons de plusieurs librairies. Voici la liste.
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Féminista: demain sur Léman Bleu
Peu à peu mon dernier livre, Féminista: ras-le-bol, fait parler. Rien n’est gagné d’avance pour un auteur non connu. On avance pas à pas, on fait son chemin dans le désert jusqu’à ce qu’un oasis un jour se présente.
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Parution de mon nouveau livre!
Je délaisse momentanément la méditation romantique du Diable en été pour un Essai effronté. Je reviendrai avec un nouveau roman, si tout va bien d’ici l’été. Entretemps au printemps, publication de mon premier album numérique de chansons françaises, latino et world.
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Affiches du 11 mars (4 et fin): la petite fille dans la lumière
L’abondance d’affiches et de sujets pour la votation du 11 mars fait goulet d’étranglement. J’en terminerai donc aujourd’hui avec trois affiches supplémentaires. Avec mes excuses pour les autres. Plusieurs des autres ont des points communs avec celles que j’ai déjà traitées, ou sont très classiques dans la manière de délivrer leur message. Le classique n’est pas une chose insignifiante mais j’ai préféré traiter l’originalité. Voici donc les dernières, avec ma préférée - car je l’avoue, j’en ai une...
(Cliquer pour agrandir)
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Prix unique du livre: oui
Parenthèse dans mon analyse des affiches de campagne. Aujourd’hui je prends parti. Je voterai oui au prix unique du livre. J’admets que l’on puisse être contre avec des arguments valables. Mais j’approuve le fait que l’on traite le livre comme un produit différent.
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Noël en Novembre?
Quoi, Noël en novembre? Décembre en décembre? Neige en montagne? Sable sur la plage?
Escargots de Bourgogne?
Ficelle de cheval?
Ou bien le calendrier a-t-il été modifié? -
Le diable en été: il est là!
« Elles descendent la rue principale et l’on n’entend qu’elles. Des rires, des riens, des robes, des mains derrière les carreaux. Quelques pas légers entre les murs. Une chanson à la volée.
— Pirouette, cacahuète !
— Alouette !
Des rires encore. Des pas qui s’éloignent. Je vais à la fenêtre. Elles ont disparu.
Il est midi. La chaleur est accablante. Les anciens restent dans les maisons. Ils pensent à l’été quarante-sept. D’avril à septembre, du nord au sud: trente, quarante degrés. Une fournaise. Aujourd’hui c’est pire.» -
Les chemins de la gloire
C’est l’histoire imaginaire d’un homme discret. Pas de bluff, pas de brillant qu’on jette au visage du monde. Sa vie privée n’offre pas de prise, et ses amis sont gens de coeur et d’esprit.