Ma colère contre l’injustice était donc de gauche. Mes impulsions créatives, ambitieuses et autonomes, étaient elles de droite. Porté, malaxé par les contradictions de l’époque, le nègre blanc que j’étais - que je suis encore - se posait beaucoup de questions. Dont celle-ci, récurrente: comment peut-on être à l’aise dans un seul camp? C’est enfermant, restrictif, et personne n’a raison en tout. Et tout de suite après: comment être à l’aise dans deux camps, ou dans aucun?
D’un côté soutenir que la vie est échange et partage et que le bien-être général est une addition des bien-être individuels. Il faut donc partager, redistribuer. De l’autre côté réaliser mes propres idéaux de manière autonome, faire les choses comme je les vois, sens, pense. L’individu doit apprendre à se battre pour vivre et pour réaliser ses rêves.
Un pied à gauche, celui du coeur, un autre à droite, celui des faits. Empathique, partageant, mais avec un besoin intérieur profond: l’indépendance d’esprit et l’indépendance affective.
Un événement particulier a fait balancer ma colère d’un bord à l’autre. C’était un lundi de mai 2001. Ce jour a marqué le calendrier de ma vie. A partir de là j’ai vu comment une gauche censée combattre l’injustice, du moins dans mes croyances, était capable d’en créer de nouvelles avec un aveuglement consommé. J’aurai pu me dire qu’il ne s’agissait que de quelques personnes, d’une collision de hasards entre quelques individus. Non: j’ai réalisé que c’était une politique et une vision élaborée.
J’en étais encore au rêve romantique. Je me suis réveillé dans la maison de l’ogresse. J’ai découvert à mes dépens ce que cachait l’alliance de la gauche et d’un certain féminisme. J’ai d’abord pensé me tromper. Non la justice ne pouvait prendre des positions aussi partiales. Les groupes féministes ne pouvaient pas être les fers de lance d’une nouvelle guerre sociétale.
Alors j’ai creusé. Pendant des années. J’ai cherché d’autres exemples. J’ai eu au début quelques difficultés à croire ce que je trouvais. J’ai découvert comment la gauche s’était inféodée à des théories dont le moteur était une volonté de domination sur les hommes. Comment la lecture du passé de l’humanité était biaisée, faussée. Les relations hommes-femmes ayant toujours eu une grande place dans ma vie, ce que je voyais était un désastre. Je constatais aussi que l’on sous-estimait l’influence et la toxicité de ces théories.
Un nouveau moule idéologique se mettait en place. Cela s’appelle la «domination masculine». Les hommes porteraient collectivement une sorte de faute qu’ils paieront pendant des milliers d’années. C’est la vengeance d’Eve. La démonstration était bancale et relevait plus de la croyance que des faits. Mais aujourd’hui ce moule de la supposée domination masculine semble installé. Nombre d’hommes eux-mêmes y souscrivent, dans une forme d’allégeance à une pensée qui n’a plus à se justifier et dont la critique vaut d’être stigmatisé.
Le biais qui s’instaure est un vrai problème. Il l’est par la renonciation qu’il impose aux hommes de leur fierté, de leur audace, de leur capacité à se battre. Par la judiciarisation grandissante des relations. Par le maternage qui affirme la toute-puissance maternelle et la psychologisation collective excessive des hommes, qui implique qu’ils doivent comprendre leur comportement - ce qui implique plus loin encore que leur comportement n’est pas le bon. Par l’indifférenciation que l’on impose de plus en plus aux jeunes garçons, qui n’ont plus de repères pour savoir comment se comporter face aux filles. Comme si nous n’étions pas différents - que ce soit biologiquement ou culturellement! A cause de quoi on peut prévoir soit une perte du désir et de l’engagement des futurs hommes, soit une violence accrue envers les femmes dans les générations à venir. Et, nouveau paradoxe personnel: moi dynamique mais plutôt doux, faisant volontiers alliance avec les femmes, je réalise ce qu’il m’a manqué de durcissement et de fermeté, et de distance émotionnelle face aux stratégies de victimisation.
Mais ce n’est pas tout. Cette culture d’affaiblissement du masculin a révélé ses liens avec d’autres processus visant à affaiblir la société de liberté où nous vivons.
D’une part la théorie féministe est en grande partie la superposition des théories de lutte des classes adaptée au couple. La femme étant la prolétaire, elle est donc la victime, ce qui l’autorise moralement à se payer en retour de tout ce qu’elle aurait subi dans le passé. Dans la perspective de lutte des classes l’homme ne peut qu’être dépossédé de tout. La liberté de l’esclave passe par la destruction totale ou l’asservissement du maître. C’est pourquoi on entend parfois le mot «esclavagiste» accolé à celui d’homme dans un certain langage féministe. Il justifie tout!
Féminisme politique et communisme sont donc alliés. La nouvelle répartition culturelle du monde est la suivante: aux hommes le besoin de dominer et la violence (ils devraient donc être rééduqués), aux femmes la coopération et la souffrance.
D’autre part on retrouve, en extension de l’homme bourreau, un nouveau stéréotype stigmatisant: celui du mâle blanc, cause supposée de toute la souffrance sur Terre. Le mâle blanc est forcément américain ou israélien, et parfois européen. Or ce mâle blanc représente la civilisation occidentale, celle du libéralisme, de la liberté, de la pensée, de la laïcité.
Le lien qui s’établit est donc: communisme-féminisme-anti-occidentalisme. On peut y ajouter islamisme, tête de pont de l’anti-occidentalisme qui a pris la place laissée vacante par les régimes de terreur communistes.
Comment me retrouver dans cette vision du monde? Où sont mes marques, mon empathie naturelle et profonde pour les humains, mon désir de paix? La prise de conscience est douloureuse car il s’opère un arrachement à certaines loyautés et à mon humanité. Comment oser diriger ma colère contre ce que j’ai soutenu avant? Comment ne pas être un peu plus déchiré par les contradictions du monde?
Pourtant il faut continuer à creuser et ne plus me taire. C’est un processus de libération intérieure. Un pas vers une liberté encore plus grande. Même si je ne m’y reconnais pas encore. Assumer de défendre des idées habituellement classées à droite est si étrange et étranger. Et de plus les faire cohabiter avec des idées classées plutôt à gauche! Le paradoxe est-il ingérable? Non, c’est la classification qui est trop étroite et limitante.
Comme toutes les classifications elle ne peut rendre compte du réel. Et comme toujours je reste déchiré d’avoir à choisir et trancher. Pourtant il le faut. Il faut diriger ma colère contre les nouvelles oppressions, qui ont encore pour un temps le déguisement de l’agneau.
Moi j’y vois déjà le fauve.
S’il faut vivre déchiré, je vivrai déchiré. Et je continue à rêver. Rêver, chercher l’île où nous serons un jour tous réunis. A moins que je ne doive faire le deuil de ce rêve? Aujourd’hui si une guerre éclatait et que je doive y prendre part, je ne déserterais pas et je ne retournerai pas mon fusil. D’autres avant moi sont morts pour me léguer la liberté. Je sais où est cette liberté et c’est elle que je défendrais. Mais il faudra que je serre beaucoup les dents.
J’en aurais enfin fini avec mes états d’âme! Et pourtant, Barbara, comme le dit Prévert, la guerre est toujours une connerie.
:-))))))
Pour le moment je vis avec mes contradictions.
Image 1: Colombe de la paix, Picasso. 2: Peace and Love.
Commentaires
Difficile de commenter un si long texte et si dense. Vous faites une synthèse vraiment exhaustive de vos convictions, un état des lieux.
Pour le moment, j'aimerais focaliser sur cette dichotomie droite / gauche.
Je me suis souvent demandée si elle ne nous faisait pas perdre du temps, si ce n'était pas l'arbre qui cache la forêt.
En premier lieu, j'ai pensé aux deux hémisphères du cerveau. Il faut que les deux fonctionnent et communiquent bien entre eux. Il s'agit d'une nécessité pour un bon fonctionnement de l'être humain. Il ne s'agit pas de trouver le juste milieu, mais bien de la réponse adéquate à chaque situation, à chaque défi posé par la vie.
Pour en revenir aux sensibilités politiques:
On le constate bien, en Suisse : la gauche et la droite peuvent se retrouver à voter tous deux de la même façon au parlement, ou à donner la même consigne de vote, mais pour des raisons diamétralement opposées. Certes, il y a des justifications dites " de gauche" d'un côté et "libérales", éventuellement nationalistes ou protectionnistes de l'autre, mais au final, lorsqu'il faut choisir entre oui / non, on se retrouve avec la même réponse.
Je me demande donc souvent, si cette façon de concevoir les enjeux était judicieuse.
Ne faut-il pas faire ses choix selon d'autres critères, se demander à chaque fois, par quelle réponse nos valeurs prioritaires sont le mieux respectées ?
Heureusement, le plus souvent, on n'a pas juste le choix entre oui/non. Ca laisse de la place pour la nuance et la subtilité.
Bonjour Calendula,
La dichotomie droite-gauche est quelque part une représentation de notre capacité à nous représenter le monde et la société. La voir comme formée de groupes aussi opposé a existé, et existe encore bien que de manière plus diluée.
C'est vrai qu'en Suisse le clivage est beaucoup moins fort qu'ailleurs. Je trouve cela plutôt bien de voter ou d'élire suite à une réflexion plutôt que par mot d'ordre de dirigeants de parti. Votre idée de définir des valeurs prioritaires puis de les prendre comme référence des choix futurs est intéressante. C'est je pense ce qui se passe individuellement pour certaines personnes. Mais si cela était généralisé le pays trouverait une unité globale prévalant sur les divergences. La Constitution ne rend pas cela puisqu'elle a pour objet l'organisation du pays. Certaines valeur y sont inclues, mais pas de manière assez explicites.
Que donnerait un tel projet: que chaque groupe organisé de Suisse propose en quelques points les valeurs prioritaires, puis en faire une synthèse? Ou passer à un vote sur les valeurs qui sortent clairement de l'ensemble? Le risque serait de retrouver les clivages.
Sur les deux hémisphères cérébraux on peut tenter une comparaison, oui. Mais plus en terme de complément mutuels qu'en terme de contenu.
Attention toutefois de ne pas réduire l'opposition gauche-droite à une discussion de blogs entre gentlemen. Si vous étiez le paysan de Muraz qui a vu ses champs ravagés par les gitans ce week-end sans que l'état ne lui offre aucune protection, votre point de vue sur la gauche ou la droite serait quelque peu différent.
Et au train où vont les choses et à voir à quel point nos autorités se foutent de la gueule des citoyens, juste considérés comme des cochons payant des impôts pour accueillir toute la racaille du monde, cette distinction va devenir très peu académique dans les dix ans qui viennent...
@hommelibre,
Je reste encore sur la problématique des positions qualifiées de droite et de gauche, en vous citant :
"Assumer de défendre des idées habituellement classées à droite est si étrange et étranger. Et de plus les faire cohabiter avec des idées classées plutôt à gauche! Le paradoxe est-il ingérable? Non, c’est la classification qui est trop étroite et limitante."
Justement, si c'est étroit et limitant, pourquoi s'attacher à ces classifications ? Pourquoi ne pas en faire abstraction ?
Il ne s'agit pas de jouer à l'autruche et nier l'existence de tout un système bien en place, mais de se définir par rapport à ses propres convictions.
J'ai été élevée par des parents qui étaient très franchement à droite. Mon père a souffert bruyamment toute sa vie du sentiment d'être du mauvais côté, à cause de cette idée fort répandue du "monopole du coeur" pour la gauche. Encore maintenant, je saurais donner la lecture paternelle de tout événement.
Ma révolte adolescente contre sa vision résidait principalement dans l'idéalisme propre à cet âge, mais aussi dans l'exaspération contre des imprécations fatigantes et assez mal placées. Il défendait souvent l'indéfendable tout en me considérant comme le suppôt du communisme dans son propre foyer. Il m'avait en quelque sorte figée dans le rôle de la souffre-douleur, parce que je n'abondais pas dans son sens.
Quelle maladresse ! J'ai appris à éviter toute discussion avec lui.
Avec le temps, j'ai cru comprendre que c'était une chance de se construire par rapport à une position très claire, prévisible et immuable.
Je pouvais soupeser les problèmes par rapport à cette mesure-étalon paternelle ( ma mère était totalement du même avis que son mari). Je continue à penser que mes opinions n'étaient pas forcément de gauche pour autant.
Mais tout cela se passait à une époque où il fallait en quelque sorte choisir son camp très clairement : les USA en bloc ou alors, il fallait émigrer à Cuba.
Est-ce encore nécessaire de fonctionner ainsi ?
Ce qui me semble essentiel aujourd'hui :
- ne pas s'arrêter aux étiquettes
- savoir changer d'opinion, si les événements ou les faits s'imposent,
- ne pas chercher à coincer son interlocuteur en lui faisant des procès d'intention ou des généralisations abusives.
Droit dans sa vérité, comme une colonne de lumière pour seule force. Ne prêtant, ni ne donnant rien aux manipulations grégaires, contre vent et tempête. C'est le seul moyen de rester libre ... dans sa tête ... Pour le reste ce n'est pas assuré !
Mais c'est comme cela que l'on peut trouver sa vraie famille où chaque membres restent des êtres libres
@ Calendula: très bonne remarque. J'y reviens demain.
@ Aoki: Oui, c'est la posture telle que je la vois moi aussi juste. Celle qui s'impose peut-être à notre époque.
Pourquoi mon lien n'est il pas passé ?
Bon je remets le contenu du dit lien sur Novopress :
"28/07/2012 — 13h30
LYON (NOVOpress) — Sous le titre « Les femmes sont des hommes comme les autres : pour un féminisme solidaire », Cécile Michaux, secrétaire fédérale chargée de la formation des militants à la fédération socialiste du Rhône, et Frédéric Piriou, chargé de la communication de cette fédération, présentent leurs contributions pour le prochain congrès du Parti socialiste des 26, 27 et28 septembre 2012. Les contributions des fédérations départementales ont vocation à être discutées en vue de l’élaboration d’une ligne politique sur tous les thèmes de société pour les prochaines années.
La présente contribution vise, comme l’indique son titre, à mettre en œuvre un « féminisme solidaire » dans la société. Derrière ce terme enjolivé, se cache l’idée d’une destruction des particularités des sexes en vue de la mise en place d’une société niant le genre de chacun, en vue d’une meilleure égalité dans les domaines professionnels et privés entre hommes et femmes. Ainsi, il ne faut plus évoquer les droits de la femme, qui est un terme de nature à les distinguer, mais il faut désormais parler du droit « à l’émancipation des individus ».
L’approche du féminisme proposée, en niant les genres, se veut dès lors une ouverture vers le choix de son genre, mais aussi vers la reconnaissance d’une société asexuée, notamment par l’approbation du mariage entre homosexuels, et transsexuels : « Cette approche universaliste rejoint d’autres combats pour l’égalité. On pense ici notamment aux combats menés par les militants LGBT (Lesbiens, Gays, Bi et Trans) […] Ceux-ci demandent à ce titre le mariage “pour tous”, et non pas le « mariage gay », et se battent donc pour la suppression de la définition sexuée du mariage, vers une dimension plus ouverte d’une union entre “deux individus”. »
Différents moyens pour arriver à mettre en place une telle société sont préconisés
Le premier moyen passe par l’enseignement : « L’éducation doit par ailleurs être un champ d’action central : c’est dans le cadre de l’école de la République, dès le plus jeune âge, qu’il est fondamental d’éduquer les enfants avec les valeurs d’égalité et de fraternité comme ligne d’horizon. Cela passe notamment par la déconstruction des représentations sexuées qui les prédestinent selon leur genre à certaines études et à certaines professions, à un rôle social déterminé dans leurs futures relations familiales, à la domination ou à la soumission au désir de l’autre, à l’acceptation ou au refus de leur identité de genre et de leur orientation sexuelle, et à celle d’autrui » (en gras, souligné par nous. Novopress).
Enfin, le deuxième moyen prévu consiste en une action sur les contenus culturels et publicitaires, et sur les médias en général pour « la déconstruction des stéréotypes de genre dans notre société »."
Pardon pour le plagiat
Moi aussi je ne me reconnais pas dans cette gauche là. Je n'ai d'ailleurs pas voté aux présidentielles. En France aujourd'hui la plupart des partis développent régulièrement cette thématique féministe y compris ceux de droite, même si c'est la gauche qui en parle le plus.
Pour le lien que vous avez copié Kasilar ça ne me surprend qu'à moitié, et je crois que je ne voterai plus P.S.
Je ne sais pas comment ça va tourner, mais le pire est à envisager. A mon avis les agressions envers les LGBT risquent de se multiplier, on peut imaginer des chasses, des lynchages, ou pire. C'est malheureusement ce qui se passe quand une minorité veut imposer ses valeurs à la majorité, il y a risque d'affrontement. Et comme d'habitude, ça risque de tomber sur des innocents qui n'auront rien demandé.
Pendant ce temps le P.S. se frottera les mains en disant vous voyez on avait raison. Quel bande de pervers.
Et dire que l'on a longtemps accusé cette droite qui a rompu avec le gaullisme de déclencher un choc des civilisations.
@ Kasilar
aucun souci pour le plagiat l'imformation prime. tête baissée dans la théorie bidon "GENDER" de lesbiennes américaines détraquées, ils appellent ça le féminisme solidaire, n'importe quoi, mais les jeunes les étudiants intelligents instruits qui soutiennent ça ils onts vraiement les deux pieds sur terre, où ils sonts tombés sur la tête. et faire passer leur délires par l'éducation, c'est ça de la propagande oui, c'est vraiement de la merde ces gens là, effectivement ça va mal finir cette dictature de la pensée qui n'en dit pas le nom, il y en a quelques uns qui vonts finir par se prendre une balle dans la tête au coin d'une rue, ça peut pas finir autrement, et c'est ça le nouveau socialisme, c'est de la merde dans un bas de soie.
OK pour le féminisme pervers. Vous avez déjà, HL, dénoncé cette étrange connivence entre gauche et islamisme, cette doctrine hyper-réactionnaire qui veut se faire passer pour une religion, basée sur l'anti-sémitisme primaire et sur l'oppression des femmes. Y a t-il un lien avec l'attitude d'un DSK, partouzard socialiste de son état ? Je pense plutôt que les camarades, Hollande en tête, l'ont laissé s'enfoncer dans son délire parce que cela les arrangeait bien. On en a la preuve maintenant que Hollande est élu à sa place...
Il y a un dossier encore à citer à charge contre la gauche : l'immigration, tolérée voire désirée par le patronat pour faire pression sur les salaires. L'immigration en Europe s'appuie sur les mafias spécialisées dans les trafics : de drogue, de femmes, d'armes...
Être de gauche et défendre ce trafic d'esclaves (lutte pour les sans-papier en France, par ex) au nom des valeurs de l'humanisme, c'est franchement se foutre de la gueule du monde...
http://www.uimm.fr/fr/pdf/guide1/complementarite-hommes-femmes.pdf
"A commencer par des différences
physiques : les hommes sont en moyenne plus grands et onts
une masse musculaire plus importante que
femmes."
les hommes onts en moyenne deux fois plus de force musculaire dans le haut du corps, deux fois c'est pas rien.
"Les capacités physiques et la
majorité des compétences professionnelles peuvent être développées
par un apprentissage"
sous entendu, une femme et un homme moyens qui pratiquent le même métier physique, la femme pourrait en dévelloppant ses capacités physiques par un apprentissage avoir la même force physique que l'homme.
ça ne tient pas debout c'est mensonger. pour trouver une femme avec la même force physique qu'un homme moyen, dans un métier physique et bien il va falloir chercher longtemps, c'est a se demander pourquoi les haltérophiles hommes et femmes ne concourent pas ensemble. le dimorphisme sexuel entre hommes ef femmes est important, c'est une réalité.
"Pour d’autres chercheurs, les
différences de comportements s’expliquent
plutôt par l’environnement et l’éducation." ah oui les chercheuses féministes, qui connaissent ce quelles veulent trouver avant d'avoir fait les recherches, étonnant aussi, peu de génis parmi les femmes et elles n'onts pas inventés grand chose, ah oui ça serait la faute à l'environnement l'éducation foutaise, les génis et inventeurs onts souvent été des hommes à contre courant de leur temps aidés par personne.
"Une femme en
maintenance, je
ne croyais pas que
c’était possible
avant que l’on
prenne Sophie
en apprentissage
dans l’équipe. »
Henri, technicien
maintenance, 48 ans"
oui quand ça sera trop physique pour elle tu la remplacera et tu fera la merde à sa place.
"il y a
moins de compétition, plus
d’entraide, une meilleure
ambiance de travail…"
n'importe quoi ils en sonts bien surs.
Pour résumer tout cela en une phrase :
Chacun doit être (pour lui même) son dernier maître ET son premier disciple.
"Les points communs des salarié(e)s de l’industrie sont frappants. Hommes
et femmes partagent le sens de l’investissement professionnel, le goût pour
les défi s techniques"
le goût pour les défis techniques équivalent entre les femmes et les hommes, n'importe quoi pourvu que ça mousse.
il faudra déjà trouver des femmes intéressées par la technique, et déjà ça court pas les rues.
Au fait à part le sociétal et tout le mic mac des socialos on ne sait toujours pas où ça en ait au niveau de la dette, de l'activité économique du pays.
Donc Monsieur Hollande et ses élus sont bien gentils avec leur démagogie, mais il faut résoudre le problème du chômage qui s'abat sur la France.
Ah on me signale dans l'oreillette que le Flan va continuer le boulot de son prédécesseur, c'est à dire nous enfoncer encore plus la tronche dans la merde.
Y a pas à dire, la gauche fait passer des tas de mesures efficaces pour faire diversion pour démontrer son manque de compétence pour diriger un pays au bord du gouffre
"ça ne tient pas debout c'est mensonger. pour trouver une femme avec la même force physique qu'un homme moyen, dans un métier physique et bien il va falloir chercher longtemps, c'est a se demander pourquoi les haltérophiles hommes et femmes ne concourent pas ensemble. le dimorphisme sexuel entre hommes ef femmes est important, c'est une réalité."
Si moi j'en ai trouvé (âme sensible s'abstenir)
http://ikonal.com/femmes-musclees
@ kasilar
faux, ces femmes sonts dopées.
http://www.easy-muscu.com/entrainement/programmes-musculation/programme-musculation-pour-femmes.html
" car il est absolument impossible de devenir trop musclé sans se doper."
suite et fin
"A titre d’exemple voici encore deux images très parlante sur la force maximale développée en ½ Squat sur Presse guidée.
A gauche, Christophe Lemaître, champion du monde Junior du 200m s’entraînant principalement en force maximale (excentrique…), en bondissements (pliométrie) pour ne pas prendre de masse musculaire développe 320 Kg en ½ Squat mais ne présente pourtant pas un physique de culturiste des quadriceps…"
un homme moyen, a beaucoup de force dans les muscles qu'il fait travailler dans son métier.
j'ai l'exemple, d'un livreur de charbon, qui faisait de l'haltérophilie avec moi, physique normal rien de visible, la premiére fois qu'il a fait des squats il a soulever 150 Kgrs ça a étonné tout le monde.
suite avant suite et fin
ces femmes onts du volume c'est pas pour ça quelle onts de la force.
Foire aux questions sur la Musculation
RUBRIQUE ENTRAINEMENT
Accueil > FAQ > On peut avoir du volume sans force ?
« Bonjour, j'ai regardé un reportage à la TV où ils montraient que bien que plus musclé, le culturiste était moins fort que l'haltérophile. Comment est-ce possible ? On peut avoir du volume sans force ? Pourtant Ronnie Coleman qui était Mr Olympia soulève des charges monstrueuses !»
Réponse postée par Romain Borrini du site Mon-coach-sportif-lyon
Cette question va certainement en surprendre plus d’un. Mais effectivement, et dès l’introduction je vais vous répondre oui !
L’haltérophile est bien plus fort (dans les mouvements qu’il réalise ; à savoir l’arracher, l’épaulé et donc de paire en ½ Squat, rowing, et soulever de Terre) que le culturiste.
Vous allez me dire, houlà, doucement, il suffit de comparer ces deux photos (le culturiste à gauche et l’haltérophile à droite) pour comprendre que l’un étant plus musclé que l’autre, il est donc logiquement beaucoup plus fort…
Déjà, vu l’hypertrophie des trapèzes et des deltoïdes de notre cher culturiste, (ainsi qu’au regard de sa posture) il lui serait impossible de tenir la même position (en fin d’arracher) que cet haltérophile. Certes, ce n’est pas une raison expliquant ce manque de force car bons nombres de bodybuilders arrivent à conserver une souplesse suffisante. En revanche, ce « gros » monsieur sur la photo, c’est clair que non.
Passons à présent aux explications…
Déjà, pour rendre à César ce qui lui appartient, oui c’est vrai, la force maximale isométrique dépend en très grande partie de la surface de section d’un muscle. Autrement dit, un muscle plus « gros » sera capable de maintenir une position articulaire plus longtemps qu’un muscle peu développé. La force isométrique totale développée par un muscle est proportionnelle à sa surface de section.
Cependant, vous conviendrez que cet objectif n’est pas vraiment un but en soi. Nos activités physiques étant en majeure partie de type dynamiques.
Pour résumer assez simplement en quoi dépend la force d’un muscle, je vais seulement les énumérer en 1er lieu :
La surface de section physiologique du muscle (PCSA).
La longueur des fibres musculaires.
La typologie musculaire (% de fibres rapides / lentes).
La coordination (inter et intra musculaire) = capacité à recruter un certain nombre d’unité motrice en un minimum de temps.
La synchronisation des unités motrices.
Les 3 premiers facteurs cités dépendent de mécanismes structuraux et les 2 suivants, de mécanismes nerveux.
Pour faire court, le bodybuilder ne travaille que ses facteurs mécanismes structuraux. Il développe ainsi sa PCSA (en augmentant la taille, le nombre de ses myofibrilles ainsi que son volume sanguin et de tissu conjonctif) ce qui est appréciable pour développer sa force, certes, vu qu’elle en dépend.
Cependant, en ne travaillant que de petites portions musculaires et en réalisant de longues séries, il diminue de fait sa longueur de fibres musculaires et il tend à développer davantage de fibres lentes.
Pourtant, pour être fort, un pourcentage important de fibres rapides est indispensable. Cette caractéristique est déjà fortement reliée à la génétique alors inutile d’en rajouter une couche en s’entraînant plus en endurance de force, qu’en force maximale…
La courbe rouge correspond à un profil musculaire à fort pourcentage en fibres rapides. Celle en noire, correspond plus à un profil musculaire de bodybuilder. Pour une même vitesse d’exécution, l’haltérophile est plus fort.
En résumé, ne réaliser que des séries longues (10*10 à 65%) en Squat va effectivement vous permettre d’acquérir un volume musculaire important, mais jamais vous ne deviendrez significativement plus fort qu’en début d’entraînement. Vous augmenterez peut être votre 1 RM de quelques dizaines de kilos à force, mais ce n’est pas ce genre d’entraînement (et uniquement avec ce genre d’entraînement) qui vous permettra d’atteindre une force maximale impressionnante.
A titre d’exemple voici encore deux images très parlante sur la force maximale développée en ½ Squat sur Presse guidée.
A gauche, Christophe Lemaître, champion du monde Junior du 200m s’entraînant principalement en force maximale (excentrique…), en bondissements (pliométrie) pour ne pas prendre de masse musculaire développe 320 Kg en ½ Squat mais ne présente pourtant pas un physique de culturiste des quadriceps…
En revanche, si la musculature d’un bodybuilder (à droite) est plus parlante qu’une planche anatomique pour différencier toutes les portions d’un quadriceps, je doute qu’il soit aussi fort.
En conclusion générale, je dirai que si vous souhaitez augmenter votre force maximale, n’oubliez jamais de travailler avec des charges lourdes, peu de répétitions, de vous essayer à autre chose que du concentrique pure sur une portion restreinte du muscle. De manière générale, il est beaucoup plus pertinent de réaliser un mouvement dans son amplitude maximale.
Vos facteurs nerveux ne s’amélioreront jamais en ne faisant que du 10*10, et cela, c’est certain !
Si vous connaissez Ronnie Coleman comme étant à la fois culturiste et capable de soulever des charges monstrueuses, n’oubliez pas que son travail de musculation s’orientait au tout début largement en force maximale.
Il était en effet « powerlifter » avant de devenir le Mr Olympia que vous devez connaître.
Autrement dit, il n’a pas du et ne doit toujours pas faire que du 10*10…
Evidemment, pour un néophyte de la musculation (que vous ne devez plus être à présent), il parait plus impressionnant qu’un « simple » haltérophile de 70 Kg arrachant pourtant largement 2 fois son poids…et c’est là toute l’erreur.
j'arrive pas à faire passer le lien de ce qui est au-dessus.
www.musculation.com
J'ai remarqué autre chose à propos de ce "féminisme solidaire". Que les hétéros soient tolérants envers les LGBT n'est pas suffisant, il faut qu'ils changent leurs moeurs en se calquant sur eux.
A les écouter, l'épanouissement des LGBT doit forcément passer par l'abandon des identités sexuelles classiques hétérosexuelles. Désormais c'est la minorité qui dicte sa loi!
On aurait pu imaginer un travail de sensibilisation à ces questions dans le genre les LGBT ne sont pas si différents des autres bla bla etc. Quelque chose de fédérateur. Mais là pas du tout, l'ennemi est clairement identifié : tout image d'homme ou de femme avec une identité sexuelle marquée (ils appellent ça stéréotype), sera fermement combattu à travers un certain contrôle des médias, comme c'est écris.
D'ailleurs eux qui sont si ouvert à la théorie du genre au P.S., j'aimerais bien voir comment ils réagiraient si un de leurs représentants politiques était travesti avec une crête fluo, un pantalon en cuir dégarni au niveau du postérieur, et une plume dans le cul. Qu'ils commencent par mettre en pratique leur théorie eux-même au lieu de vouloir l'imposer au peuple.