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La femme objet total, ou le renversement du genre

La femme fait vendre et rapporte. Elle fait vendre des voitures et magazines pour salles d’attente. Elle vend aussi des bébés. La femme est aujourd’hui un objet total. Même les chiffres gonflés de la violence conjugale rapportent des millions aux associations subventionnées.

mère porteuse,grossesse,genre,homme,femme,gender,sexe,reproduction,bébé,Quand le bébé paie les traites

Le top ce sont les mères porteuses. En Europe les MP sont bien propres sur elles et présentables. De bonnes fabriques à marmots pour braves gens aisés. Des petites annonces made in France le prouvent:

«Je suis brune assez jolie je n'ai pas de gros défaut sur mon visage je suis de taille assez fine. J'ai déjà eu un enfant et je suis toujours assez fine sans sport (...) Je suis vos règles et vos demandes et vous suivez mes demandes et mes besoins tout au long de ma grossesse.»

Quels besoins? Devinez.

«Je souhaite que la question du dédommagement ne soit pas un tabou comme apparemment souvent sur ce forum, mais bien fonction des frais directs, indirects, occasionnels, pertes de revenus engendrés, à évaluer et discuter ensemble, etc.»

Cela a le mérite de la franchise:

«Je n'hésiterais pas à être très exigeante autant que vous le serez bien évidemment envers moi. Je veux de plus sortir ma famille du besoin.»

Ou même du pré-contrat:

«Je souhaite devenir mère porteuse, mais je demande une compensation de 1500 euros, nous confirme-t-elle, en avançant un prix dérisoire au regard des tarifs pratiqués à l'étranger (entre 5’000 et 20’000 euros selon les pays). Je sais que cela fait une belle somme mais étant dans une difficulté financière avec mes trois enfants, je ne vois pas d'autre solution pour repartir de zéro.»

Il me semblait avoir entendu des féministes s’élever avec virulence contre la prostitution. mère porteuse,grossesse,genre,homme,femme,gender,sexe,reproduction,bébé,Mais quelle discrétion sur les mères porteuses. On peut les comprendre: les Femens et les Slutwalk font commerce permanent de l’image érotique du corps des femmes (sous le prétexte improbable de le dénoncer), on ne comprendrait pas qu’elles s’opposent à la libre fabrication de bébés vendables. Chacun fait ce qu'il veut. C'est la contrepartie d'une société de liberté, et business is business. Après tout, chacun loue son corps d'une manière ou d'une autre. Et au bébé suivant on s'équipe de l'écran plat.


Le genre boit la tasse

C’est la loi de l’évolution. Il y a longtemps les poupées étaient des tas de chiffon informes. Après on les fit en belle porcelaine. Puis elles ont dit maman, fait pipi et caca, porté des bébés. Maintenant ce sont de vrais jouets, de vraies poupées qui mangent et boivent pour de bon. Non, elles ne boivent pas le lait de la mère porteuse mais le biberon Nestlé. Un produit dérivé. Ces jouets humains sont cependant vendus assez chers: jusqu’à 37’000 euros. Il faut des moyens pour se payer des bébés.

Mais il y a moins cher. La concurrence casse les prix. Ainsi en Inde des femmes demandent environ 8’000 euros. C’est ça la démocratie: même les pauvres peuvent désormais se payer un bébé. Et comme la ministre féministe française Christine Taubira a intimé l’ordre d’accorder rapidement la nationalité française aux bébés nés de mères porteuses étrangères, le commerce est en plein essor - même si le recours aux mères porteuses est illégal en France. La ministre ne saurait se plier à ces contingences légales et éthiques. Elle fait ce qu’elle veut, comme elle veut, quand elle veut. Je m'étonne quand-même que, quand les mères porteuses sont en couple, les hommes acceptent cette situation.

Je n'ai pas de morale à faire. Je constate seulement le désordre des valeurs. Et l'écroulement de certaines théories. Avec les mères porteuses la théorie du genre est renversée, dans le sens: jetée à terre, cassée, annulée.

mère porteuse,grossesse,genre,homme,femme,gender,sexe,reproduction,bébéLa théorie du genre dit que l’on peut choisir son identité sexuelle librement parce que le genre ne serait qu’une construction sociale - donc mentale. Le genre serait découplé du sexe biologique. Et bien non. Un homme même très féminin, même trans et opéré, avec un vagin, ne peut pas vendre son corps pour être mère porteuse. Le sexe biologique conditionne et la procréation et le fait d’être père ou mère, homme ou femme. On pourrait changer le sens des mots et décréter que les femmes ne sont pas liées à la fonction sociale et culturelle de mère. On pourrait dire que la femme est une variété de coquillage sans vagin ni poitrine, et l’homme un papillon sans couilles. On peut aussi dire que le soleil est froid. Mais la réalité est plus têtue. Les femmes ont un sexe particulier qui fait d’elles des êtres particuliers et des mères. La biologie conditionne la représentation et la fonction sociale des humains, ainsi qu’une partie de leurs relations. C'est bien parce que la femme est femelle qu'elle peut se faire payer une grossesse.

Ohé, les Féminista de l’université, c’est foutu. Votre tour de Babel s'effrite. La culture n’est pas découplée des différences sexuelles. Si elle l’était un homme efféminé ayant décidé d’être femme pourrait être mère, puisque la mère est une femme. Il vendrait son ventre de mère porteuse sur le net. Si vous m'en trouvez un seul je veux bien manger mon chapeau. D’ici là, le gender est cuit.

 


Encore un mot: il y a un exemple célèbre de mère porteuse dans la Bible. Agar donna un fils à Abram car la femme de ce dernier était stérile. Résultat: des millénaires de guerre israélo-arabe.

Il y a des symboles terribles...

Catégories : Politique, société 40 commentaires

Commentaires

  • Bonjour,
    Il y a, en France, le mouvement "Ni putes, ni soumises" qui a réagi à la circulaire Taubira en lui demandant de renoncer à ce projet. Ce sont les seules, à ma connaissance.

  • Merci pour l'info. Dont acte.

  • Désolé, les informations arrivent à la suite : en voici d'autres qui disent non toute cette absurdité :
    http://reformesfeministes.blogspot.fr/2012/10/petition-oui-au-mariage-homo-non-la.html

  • http://www.innovation-democratique.org/Vers-une-armee-de-femmes.html

    "Mais la féminisation ne répond certainement pas à un besoin opérationnel. Alors que sert-elle ? Les névroses de politiciennes aigries ou, pire, une idéologie du genre qui nie l’existence même de la femme ? De fait elles n’y gagnent rien : illusions pour les unes, déceptions pour les autres, complications dans les familles comme en opération avec des surcoûts récurrents, sans aucune contrepartie quant à notre sécurité.."

    voilà la réalité une idéologie de genre qui nie l'existence même de la femme.

  • Je ne pense pas que l'on puisse mettre sur le même terrain d'égalité le phénomène des mères porteuses et la prostitution HL. Je me garde d'émettre un avis tranché sur ce qui motive les femmes à louer leur ventre car les raisons sont sûrement multiples et les couples à choisir cette solution plutôt que de se tourner vers l'adoption, c'est tellement personnel.

  • http://www.lepoint.fr/reactions/societe/commentaires-sur-les-femmes-des-soldats-comme-les-autres-29-09-2011-1378889_23

    "Musashi

    le 30/09/2011 à 14:41
    Egalité et utopie
    Étant ancien militaire, je tiens à préciser certaines choses ! En prenant l'exemple d'Israël, il est vrai que les femmes font leurs services militaires au même titre que les hommes et que depuis peu, il leurs est ouvert les unités combattantes (Golani, Sayaret Magav, etc. ). Mais dans les faits, elles n'y vont pas car ces unités d'élites, au-delà de pouvoir le faire, c'est sur des critères aptitudes physiques et de classement qui permettent de rejoindre ces unités !
    Au même titre que les commandos marines, les paras ou le 2e REP de la Légion, et je ne parle même pas du COS qui recrute dans ces unités et les 3/4 de postulants pour les Forces spéciales, venants d'unités commandos, ne réussissent pas les tests ou mal-classés !
    Une section Milan (Missile portable anti-chars) le porteur Milan porte 60 kg de même que son binôme et aussi le porteur mitrailleuse (Minimi).
    Les autres, le snipeur, chef section dépasse souvent les 25 kg !
    Je ne suis pas sûr, au risque de me tromper et d'être politiquement incorrect dans ces conditions que dans les montagnes afghanes, une femme puisse faire l'affaire et dans tous les cas, les hommes seront plus efficaces et n'importe quel chef de section, préfèrera dans pareille situation où leur vie sont en danger, avoir des soldats masculins !
    Il n'y a pas si longtemps, les femmes étaient recrutées sur quotas qui ont été supprimés ou les tests de sélection comme le Cooper-test (3000 m en 12 minutes qui a été allégés ou 4 tractions, les femmes ne le réussissaient pas qui est à coup sûr pour un homme un condition de non-sélection ! Et c'est un fait !
    Quant à la dernière phrases de l'article, je n'en comprends la teneur, car le modèle de parité de vaut pas dans l'armée ! Il est clair qu'un militaire venant d'unité combattante a souvent sa carrière "boostée" dans la promotion des grades et je trouve tout à fait normal ! Ce n'est en aucune façon de la misogynie ! "

    ouf un qui a les pieds sur terre !!!

  • Tout va si vite désormais, qu'il devient difficile de suivre la marche du monde et cette histoire des "mères porteuses" en est un parfait exemple.
    Je plaide pour un moratoire, pour qu'on prenne le temps de réfléchir et de faire le tour de la question.
    C'est difficile, parce que des couples occidentaux sont désespérés et argentés et les ressortissantes des pays qui permettent la GPA sont disposées, parce que pauvres. Cette dissymétrie permet une synergie inexorable.

    Encore dans les années 1960, la grossesse non-désirée était une hantise très répandue chez les femmes. C'était avant la généralisation de la contraception.
    A mes yeux, elle représente un progrès indéniable, jamais je ne mettrai en doute son importance et sa valeur, mais c'est presque ironique de constater, 50 ans plus tard, comment l'impossibilité de la grossesse semble focaliser une énergie extraordinaire.
    La stérilité a certes augmenté, mais le potentiel de la médecine reproductive est stupéfiant. Et nous n'avons pas pour habitude de renoncer à une innovation qui arrive sur le marché ...

    Comment comprendre toutes les implications du phénomène de la gestation pour autrui ? Comment les intégrer de façon sereine ? Est-ce seulement possible ...

    Qu'est-ce que cela signifie pour l'enfant à venir ?
    Faut-il lui révéler le secret de sa naissance ? Cette question n'est pas à négliger : nous savons que les enfants adoptés sont préoccupés par leurs origines et que les enfants nés sous X, en France, cherchent souvent à savoir qui était leur mère et pourquoi elle n'a pas voulu ou pu garder son bébé.

    La femme qui prête son corps à la gestation pour autrui et sa famille à elle sont dans une position très particulière, malgré toutes les dénégations banalisantes.
    Le reportage-télé réalisé en Ukraine montrait cette jeune femme-mère porteuse se promenant, le ventre rond, tenant son propre enfant par la main. J'essaye d'imaginer comment la disparition de ce bébé-là sera expliqué à ce garçon qui a vu le ventre de sa mère grossir, une fois que les personnes, dont le bébé est génétiquement issu, l'auront emmené chez eux, en Italie.
    Autrefois, on expliquait aux enfants la survenue d'un bébé par le passage d'une cigogne. Comment expliquera-t-on la disparition des bébés portés pour autrui ?
    Qu'est-ce que cela signifie pour le couple (hétéro ou pas) qui a décidé de devenir parents en impliquant une tierce personne d'une façon totalement inédite? Il faut oser le pari que cette personne, qui a permis à l'embryon de devenir un bébé, ne prenne pas une place fantomatique dans la nouvelle famille.
    Peut-on réellement sortir indemne d'un tel dispositif en étant allé si loin pour réaliser un désir d'enfant, n'est-ce simplement pas démesuré ?
    La réalité quotidienne de la vie avec les enfants est entre autres tellement rase-mottes, implique tellement d'auto-discipline (simplement dire "non" à cet adorable être à la peau de pêche et aux grands yeux tout ronds) que je crains des descentes sur terre un peu brutaux.

  • Tout va si vite désormais, qu'il devient difficile de suivre la marche du monde et cette histoire des "mères porteuses" en est un parfait exemple.
    Je plaide pour un moratoire, pour qu'on prenne le temps de réfléchir et de faire le tour de la question.
    C'est difficile, parce que des couples occidentaux sont désespérés et argentés et les ressortissantes des pays qui permettent la GPA sont disposées, parce que pauvres. Cette dissymétrie permet une synergie inexorable.

    Encore dans les années 1960, la grossesse non-désirée était une hantise très répandue chez les femmes. C'était avant la généralisation de la contraception.
    A mes yeux, elle représente un progrès indéniable, jamais je ne mettrai en doute son importance et sa valeur, mais c'est presque ironique de constater, 50 ans plus tard, comment l'impossibilité de la grossesse semble focaliser une énergie extraordinaire.
    La stérilité a certes augmenté, mais le potentiel de la médecine reproductive est stupéfiant. Et nous n'avons pas pour habitude de renoncer à une innovation qui arrive sur le marché ...

    Comment comprendre toutes les implications du phénomène de la gestation pour autrui ? Comment les intégrer de façon sereine ? Est-ce seulement possible ...

    Qu'est-ce que cela signifie pour l'enfant à venir ?
    Faut-il lui révéler le secret de sa naissance ? Cette question n'est pas à négliger : nous savons que les enfants adoptés sont préoccupés par leurs origines et que les enfants nés sous X, en France, cherchent souvent à savoir qui était leur mère et pourquoi elle n'a pas voulu ou pu garder son bébé.

    La femme qui prête son corps à la gestation pour autrui et sa famille à elle sont dans une position très particulière, malgré toutes les dénégations banalisantes.
    Le reportage-télé réalisé en Ukraine montrait cette jeune femme-mère porteuse se promenant, le ventre rond, tenant son propre enfant par la main. J'essaye d'imaginer comment la disparition de ce bébé-là sera expliqué à ce garçon qui a vu le ventre de sa mère grossir, une fois que les personnes, dont le bébé est génétiquement issu, l'auront emmené chez eux, en Italie.
    Autrefois, on expliquait aux enfants la survenue d'un bébé par le passage d'une cigogne. Comment expliquera-t-on la disparition des bébés portés pour autrui ?
    Qu'est-ce que cela signifie pour le couple (hétéro ou pas) qui a décidé de devenir parents en impliquant une tierce personne d'une façon totalement inédite? Il faut oser le pari que cette personne, qui a permis à l'embryon de devenir un bébé, ne prenne pas une place fantomatique dans la nouvelle famille.
    Peut-on réellement sortir indemne d'un tel dispositif en étant allé si loin pour réaliser un désir d'enfant, n'est-ce simplement pas démesuré ?
    La réalité quotidienne de la vie avec les enfants est entre autres tellement rase-mottes, implique tellement d'auto-discipline (simplement dire "non" à cet adorable être à la peau de pêche et aux grands yeux tout ronds) que je crains des descentes sur terre un peu brutaux.

  • Tout va si vite désormais, qu'il devient difficile de suivre la marche du monde et cette histoire des "mères porteuses" en est un parfait exemple.
    Je plaide pour un moratoire, pour qu'on prenne le temps de réfléchir et de faire le tour de la question.
    C'est difficile, parce que des couples occidentaux sont désespérés et argentés et les ressortissantes des pays qui permettent la GPA sont disposées, parce que pauvres. Cette dissymétrie permet une synergie inexorable.

    Encore dans les années 1960, la grossesse non-désirée était une hantise très répandue chez les femmes. C'était avant la généralisation de la contraception.
    A mes yeux, elle représente un progrès indéniable, jamais je ne mettrai en doute son importance et sa valeur, mais c'est presque ironique de constater, 50 ans plus tard, comment l'impossibilité de la grossesse semble focaliser une énergie extraordinaire.
    La stérilité a certes augmenté, mais le potentiel de la médecine reproductive est stupéfiant. Et nous n'avons pas pour habitude de renoncer à une innovation qui arrive sur le marché ...

    Comment comprendre toutes les implications du phénomène de la gestation pour autrui ? Comment les intégrer de façon sereine ? Est-ce seulement possible ...

    Qu'est-ce que cela signifie pour l'enfant à venir ?
    Faut-il lui révéler le secret de sa naissance ? Cette question n'est pas à négliger : nous savons que les enfants adoptés sont préoccupés par leurs origines et que les enfants nés sous X, en France, cherchent souvent à savoir qui était leur mère et pourquoi elle n'a pas voulu ou pu garder son bébé.

    La femme qui prête son corps à la gestation pour autrui et sa famille à elle sont dans une position très particulière, malgré toutes les dénégations banalisantes.
    Le reportage-télé réalisé en Ukraine montrait cette jeune femme-mère porteuse se promenant, le ventre rond, tenant son propre enfant par la main. J'essaye d'imaginer comment la disparition de ce bébé-là sera expliqué à ce garçon qui a vu le ventre de sa mère grossir, une fois que les personnes, dont le bébé est génétiquement issu, l'auront emmené chez eux, en Italie.
    Autrefois, on expliquait aux enfants la survenue d'un bébé par le passage d'une cigogne. Comment expliquera-t-on la disparition des bébés portés pour autrui ?
    Qu'est-ce que cela signifie pour le couple (hétéro ou pas) qui a décidé de devenir parents en impliquant une tierce personne d'une façon totalement inédite? Il faut oser le pari que cette personne, qui a permis à l'embryon de devenir un bébé, ne prenne pas une place fantomatique dans la nouvelle famille.
    Peut-on réellement sortir indemne d'un tel dispositif en étant allé si loin pour réaliser un désir d'enfant, n'est-ce simplement pas démesuré ?
    La réalité quotidienne de la vie avec les enfants est entre autres tellement rase-mottes, implique tellement d'auto-discipline (simplement dire "non" à cet adorable être à la peau de pêche et aux grands yeux tout ronds) que je crains des descentes sur terre un peu brutaux.

  • "La théorie du genre dit que l’on peut choisir son identité sexuelle librement"
    Aujourd'hui, personne, à part ceux qui ne connaissent rien à ces questions, ne prétend qu'on peut "choisir" son orientation sexuelle. Vous avez choisi d'être hétéro vous?

    "Il me semblait avoir entendu des féministes s’élever avec virulence contre la prostitution. Mais quelle discrétion sur les mères porteuses."
    Sur la prostitution, toutes les féministes ne sont pas d'accord (http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20120822.OBS0128/l-interdiction-de-la-prostitution-est-une-chimere.html).
    Act Up est également opposé à l'interdiction de la prostitution (comme quoi les affinités que vous dénoncez entre "lobby gay" et "Feminista" ont leurs limites); l'association craint les effets pervers d'une telle législation.
    Je trouve votre rapprochement entre prostitution et GPA assez intéressante, car effectivement il y a un certain nombre de similitudes. Le fait que les féministes soient divisées sur ces questions montre bien le malaise... Le progrès, est-ce la liberté de faire ce que l'on veut de son corps (y compris le louer)? Ou y a-t-il des critères éthiques plus importants?
    Pour ma part, je suis loin d'avoir trouvé la réponse à ces questions... Même si je suis plutôt libertaire, donc en tout cas opposée à une interdiction de la prostitution.

  • "Pour ma part, je suis loin d'avoir trouvé la réponse à ces questions... "
    Tu m'étonnes... vous les féministes vous êtes souvent stériles. Vous n'êtes bonnes qu'à vous poser des questions inutiles qui resteront... sans réponses.
    Ou alors échaffauder des théories "si les choses étaient différentes... peut-être que ce serait pas pareil". Vous n'avez pas l'esprit pratique.

    "Même si je suis plutôt libertaire"
    C'est ça et moi je suis Charlemagne.
    Les féministes libertaires ça n'existe pas, c'est de la communication. Certaines peuvent se comporter impudiquement ou de manière faussement suggestive; mais seulement dans le but de narguer les religieux ou les gens qui attachent de l'importance à la pudeur.
    Ce n'est pas ça être libertaire. Il n'y aucun amour en vous, que de la haine.
    Les féministes sont des puritaines, misandres, mais puritaines quand même.
    La preuve :
    http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/03/1527533-la-femme-nue-du-metro-ulcere-les-feministes.html

    La théorie du genre est presque exclusivement développé par des homos, des transexuels, ou des féministes, qui prêchent pour leur paroisse, ça on l'a bien compris. Il y a le sexe biologique ce n'est un secret pour presque personne. Ensuite il y a ce qu'on appelle le sexe social qui en est le prolongement.
    Qu'il y ait des cas particuliers de femmes "viriles" ou d'hommes particulièrement effeminés, on est d'accord que ça existe.
    Mais votre théorie à la noix là, son seul but est de faire disparaitre le sexe social par indifférenciation. Il y a une volonté de faire disparaitre la masculinité et la féminité jusqu'à ce que nous soyons tous neutres et indifférenciés. Pour tous ceux qui sont attachés à la masculinité ou la féminité et pas simplement plastique, cette théorie est tout simplement inadmissible.

  • bien vu didier

    http://www.espacedatapresse.com/fil_datapresse/consultation_cp.jsp?id=1&ant=mail&idcp=2754559

    réactions,cette fois, il y en aura de plus en plus, les gens commencent à prendre conscience de cette mentalité de censeurs de *** des féministes, même *** que le bardé d'honneur Wolton

  • Je suis assez d'accord avec la réponse de keep cool leclercq. Encore un cas de censure injustifiée.

    Cela dit même si je comprend la clientèle qu'ils ciblent, je ne suis pas pour critiquer une attitude cryptomarxiste en adoptant soit-même une attitude cryptomarxiste. Il y a un peu de cela dans leur réponse, mais bon là c'est de bonne guerre.

    En fait je ne suis pas trop pour le principe d'opposer un groupe d'individu à un autre pour lui trouver des qualités, en tout cas pas de cette manière là. Cette histoire du diktat de la minceur (je parle pas de l'obésité qui est une maladie) c'est encore du cryptomarxisme.

    Il faut savoir qu'en Afrique, au Brésil, ou en Amérique du nord par exemple, les femmes très pulpeuses rencontrent un grand succès auprès de certains individus. Certaines font même des exercices spécifiques pour avoir de grosses fesses, tandis qu'ici elles complexent.
    http://twistedjunk.com/wp-content/uploads/2009/12/big-ass-coco-nicole-austin.jpg
    http://www.youtube.com/watch?v=7LCjZehpdWM

    Ces gens là de tendance libérale, ne cherchent pas à jalouser des mannequins très minces et leur amateurs qui les discriminerait, mais à plaire à leur propre public. Il n'y a pas d'opposition, il y en a juste pour tous les gouts.
    Un attitude cryptomarxiste ne rend pas service ici aux femmes rondes, en en faisant des "dominés", style "trouvez-les jolies vous faites une bonne action". C'est idiot et puis c'est mal connaitre comment fonctionne les hommes, en tout cas la plupart.

    Le cryptomarxisme fabrique des femmes complexés avides de revanche et jalouses; là où un certain libéralisme leur permettrait de plaire à leur manière, sans pour autant avoir besoin de dénigrer ce qu'elles appellent les mannequins filiformes.

  • Laura,

    Je partage votre conclusion:

    "Pour ma part, je suis loin d'avoir trouvé la réponse à ces questions... Même si je suis plutôt libertaire, donc en tout cas opposée à une interdiction de la prostitution."

  • @Didier:
    Où ai-je dit que j'étais féministe? Si être pour l'égalité (ni plus, ni moins), c'est être féministe, alors oui je le suis.
    "votre théorie à la noix là": ce n'est pas "ma" théorie.

    ""Même si je suis plutôt libertaire"
    C'est ça et moi je suis Charlemagne."
    Ne vous en déplaise, je suis libertaire: je suis notamment pour la liberté d'expression totale, c'est pourquoi je ne m'oppose pas à ce que des personnes dans votre genre s'en prennent sur un ton agressif à d'autres qui n'ont rien demandé, et ont simplement exprimé leur avis d'une manière absolument calme, normale, et ouverte au débat.
    Je disais être libertaire car je suis opposée à l'interdiction de la prostitution, entre autres choses. Où avez-vous vu qu'il était question de "se comporter impudiquement ou de manière faussement suggestive"?
    Le seul à faire des amalgames et à multiplier les préjugés ici, c'est vous!

  • @ Laura

    De nombreux racistes ne vous diront jamais qu'il le sont, c'est à vous de leur expliquer. Vous n'avez pas dit que vous étiez féministe, mais moi je vous le dit : vous l'êtes.
    Tous vos questionnements là, vous où les filles dans votre genre "je n'ai rien contre la prostitution MAIS..." ; "Je ne suis pas féministes MAIS...je suis pur l'égalité" (ça veut dire quoi l'égalité? vous voulez dire l'égalitarisme, car l'égalité de droit existe depuis des décennies, le problème est réglé); "je suis pour la liberté d'expression MAIS... la télé véhicule des clichés" etc...
    Toutes ces ambiguités l'air de rien.

    "Où avez-vous vu qu'il était question de "se comporter impudiquement ou de manière faussement suggestive"? "
    Ici par exemple :
    http://3.bp.blogspot.com/-B2Bbq1o1AXI/UOXdrHU955I/AAAAAAAACfY/S17EgIxk8qw/s1600/Femen+en+colere.jpg
    ou là:
    http://static4.demotix.com/sites/default/files/imagecache/a_scale_large/1400-5/photos/1348358075-slutwalk-london-2012_1470665.jpg
    (marche des salopes)

    Ca c'est censé être des féministes libertaires, c'est la vitrine qu'on nous présente. Eh bien moi je l'affirme les féministes libertaires ça n'existe pas, c'est antagoniste, une légende. Elles ou d'autres dans leur genre ne sont pas libertaires, mais mécaniquement contre le sexe opposé. Elle seront contre les religieux qui pronent la pudeur, et tout aussi bien contre le porno, ou une simple affiche dans le metro. Le dénominateur commun à tous ça c'est la misandrie, la seule chose de cohérente cherchez pas plus loin.

  • Les derniers échanges me font penser à une bataille de "Pokémon". Ca doit être à cause des photos de Barbie.;-))
    Vous souvenez-vous de ces dessins animés japonais, très en vogue il y a une dizaine d'années ?
    Des enfants y dégoupillaient des sortes de boules, à l'intérieur desquelles se trouvait un énergumène au nom évocateur : Raikou, Salamèche ou Pikatchou.
    En lançant ces boules les unes contre les autres, il fallait crier leur nom. Un peu comme : Féministe libertaire ! Féministe tout court ! Charlemagne ! Misandrie !
    Ensuite, les petits monstres se bagarraient et à la fin, ils pouvaient évoluer :p.ex. Caninos pouvait devenir Arcanin, Magneti >> Magneton ou Salamèche >>> Reptincel.
    Je ne sais plus très bien à quoi ça servait, mais les enfants étaient captivés et on devait acheter des cartes, peluches, casquettes, T-shirts etc. Ils mémorisaient tous ces noms, c'était assez exigeant.
    Au fond, ça correspondait bien à des structures de l'esprit humain. Ce besoin de nommer, le plaisir de l'onomastique, de la bataille des mots et des concepts.
    C'était plutôt un truc de garçons, mais une de mes filles a collectionné les cartes avec passion et n'a pas pu s'en défaire avant l'âge 14-15 ans. C'est ainsi que j'ai pu faire la connaissance de tout ce bestiaire.
    Ici, je n'arrive pas à comprendre que l'on veuille épingler les autres commentateurs, imaginer comprendre l'essence de leur être dans 10 lignes en bas d'un billet.
    En tout cas moi, je n'y arrive pas.

  • "La biologie conditionne la représentation et la fonction sociale des humains". Je trouve très rétrograde et dangereuse la pensée qui consiste à nier les différences individuelles en dehors du sexe, qui à lui seul ne constitue pas l'identité d'un individu, ce qui est très réducteur. On se définit au travers nos activités, notre groupe d'appartenance, un parti politique etc... J'ai l'impression d'entendre éric zemmour et sa pensée qui se borne à une simple perspective biologique, sans prendre en compte la façon que les gens ont individuellement de s'approprier leur identité, sans prendre en compte que l'humain est aussi un être social, avec une psychologie qui lui est propre. C'est souvent ces personnes qui accusent des gens comme moi, d'avoir une pensée qui ne se limite soit disant qu'à la construction sociale du genre, qui restent eux même fixés à uniquement une perspective biologique ne prenant pas en compte les 3, la biologique, la sociologique, et la psychologique alors que j'intègre les 3 dans mon raisonnement, de la projection très souvent. J'aimerais qu'on puisse me montrer une étude qui justifie cette affirmation que le biologique confine hommes et femmes à des rôles particuliers sous prétexte de sexe différent. Moi qui étudie ait étudié la science et la biologie, je n'ai jamais entendu parler d'une prédisposition ou d'un gène particulier qui determinerait la passivité l'activité, la préférence pour certains types d'activités...On parle toujours de différence, jamais de ressemblance... Une minorité possède des traits de caractère dit du sexe opposé ? cette minorité est tout de même constituée de milliers de gens, et certainement parmi vous, vous en connaissez. Je trouve que, pour une théorie qui ne reflète pas les réalités et qui est inadmissible, elle en fait sursauter plus d'un.(les traditionalistes notamment qui se soucient de conserver leurs privilèges inégalitaires) A partir du moment ou une chose est effectivement fausse, on ne cherche pas à démontrer avec un tel acharnement qu'elle est fausse... Il n'y a que des théories individuelles, soit autant de théories qu'il y a d'humain sur cette planète, personne n'a à dicter le comportement d'autrui ou a assigner un individu à un travail, loisir particulier ect, chacun est libre de faire ce qu'il lui plait et c'est le plus important, être en cohérence avec soi même...

  • MM: ""Mais la féminisation ne répond certainement pas à un besoin opérationnel. Alors que sert-elle"
    Et l'hypersexualisation, et la féminisation à outrance des filles à quoi sert-elle ? l'hypersexualisation, et la masculinisation exagérée des petits garçons à quoi cela sert-il ?
    A maintenir les filles dans un idéal d'homme type prince charmant, à cultiver leur docilité (qui n'est pas naturelle) pareil pour les petits garçons, leur apprendre à renier leurs émotions et en faire des hommes asséchés affectivement, et violents... merci le patriarcat, il faut savoir que celui ci est également responsable des suicide et du mal etre de certains hommes mis sous pression, à savoir l'exigence de performer, d'être à la hauteur, certains ne le supportent pas et se suicident... de l'autre côté on retrouve des femmes dépressives; niées dans leur existence, leur essence singulière...

  • " le biologique confine hommes et femmes à des rôles particuliers sous prétexte de sexe différent"

    les rôles éducatifs des hommes et des femmes sonts bel et bien différents

    " . J'aimerais qu'on puisse me montrer une étude qui justifie cette affirmation que le biologique confine hommes et femmes à des rôles particuliers sous prétexte de sexe différent."

    plus les sociétés sonts égalitaires plus les femmes onts le choix, plus il y a de ségrégation dans les emplois !!!!

    c'est la réalité en norvége une étude peut facilement le constater.

    en plus beaucoup d'emploi où il y a besoin de force physique ne peuvent pas être occupés par des femmes, une femme de 10 kgrs de moins qu'un homme a deux fois moins de force physique dans le haut du corps.

    en plus les muscles sonts différents, en accomplissant les mêmes efforts les muscles de l'homme se dévelloperonts plus rapidement.

    donc des lois bidons qui oblige l'ANPE à écrire HF pour tous les postes c'est risible !!!

    euh mécanicienne engins de Travaux publis je rigole. la bêtise à ce stade c'est même plus rigolo du tout.



    "qui ne se limite soit disant qu'à la construction sociale du genre"

    pour le moment ce n'est que théorie qui n'a rien à faire dans l'enseignement quand ça sera autre chose qu'une théorie on en reparlera pour le moment ce n'est pas le cas

    la féminisation à outrance des filles à quoi sert-elle ?

    à ça peut-être

    Séduction ou domination ?
    Dans toutes les espèces animales, la femelle séduit le mâle au moment de la reproduction, en émettant des phéromones qui les attirent.
    Séduction ou domination ?
    La distinction est sans objet. Chaque sexe a un rôle défini par la nature et l’instinct. Par contre, au niveau de l’apparence physique, il est indéniable, surtout chez les oiseaux, que c’est le mâle qui arbore un maximum de visibilité. Pourquoi ? Parce que la femelle, par peur des prédateurs, doit passer inaperçue.
    La seule exception à cette règle, c’est l’espèce humaine. C’est la femme qui attire les regards et l’homme qui parait terne à côté. On peut en déduire que la femme ne craint pas les prédateurs, que ce soit d’autres espèces … ou des hommes. Une autre preuve, c’est le fait que ce sont les femmes des classes dominantes qui arborent les tenues les plus provocantes. Pensez aux « dames de la Cour » d’autrefois, comparées à celles du peuple.
    Conclusion, de nombreuses femmes sont à la fois séductrices et dominatrices. Et elles le sont de plus en plus depuis que le féminisme leur a donné toute liberté sur ce sujet. Pour les « lolitas » d’aujourd’hui, on parle même d’hypersexualité. Et on fait porter le chapeau à la Pub qui obligerait les filles à se vêtir ainsi.
    En fait, les publicistes ne font que se conformer aux désirs de celles qui achètent ces produits.(vêtements, mais aussi parfums, cosmétiques…). Les tenues ouvertement provocantes de nombreuses femmes dans les lieux publics nous disent donc : »Nous ne craignons pas les prédateurs ! hommes ou autres !»
    Paradoxe. Au même moment des campagnes incessantes, payées par les gouvernements, mettent en garde les femmes contre les agressions sexuelles des hommes ! Au Québec, une femme sur 3 serait agressée. Si c’était vrai, les femmes provoqueraient-elles ainsi la foudre ? Mieux, ces campagnes ont servi à justifier des lois réprimant la sexualité des hommes : sévères condamnations de toute agression sexuelle, harcèlements … Désormais, la bienséance … et les lois, obligent l’homme à ne pas voir ces tenues. En fait, tout homme est désormais un homme du peuple et toute femme une femme dominante.
    Au grand dam des femmes !
    Car le désintérêt (réel ou supposé) des hommes provoque la surenchère des femmes, qui, se sachant hyper-protégées par lois et préceptes moraux de rigueur pour les hommes en viennent à ces excès taxés d’hypersexualité. La question mérite d’être posée. L’hypersexualité exprime-t-elle la domination de stéréotypes patriarcaux à travers la Pub, ou est-elle une des conséquences du féminisme ?
    N’est-elle pas l’ultime manifestation de la séduction-domination de la femme actuelle ?

  • L'hypersexualisation des femmes résulte du système patriarcal, c'est une évidence, on inculque aux petites filles l'idée selon laquelle elles doivent être belles, séduisantes, on remarque même dans le milieu du travail l'exigence que celles ci ont d'être habillées de façon très féminine, à croire que leur valeur ne se rattache qu'à leur apparence, il y a de la discrimination sur le marché du travail, discrimination sur l'apparence. le féminisme n'est pas responsable de l'hypersxualisation des filles, ce n'et pas le féminisme qui est responsable de la façon dont on présente de façon très clairement clivée et binaire par exemple les petits jouets roses destinés aux filles dan les catalogues, et les jouets de garçons, dans la partie bleu, avec soldats, camions etc. Justement elles se battent contre cela.
    Beaucoup de femmes, ont la capacité d'exercer des métiers d'hommes, (et vice versa) il suffit de motivation ,d'entraînement physique, et même si les performances ne sont pas égales en général, on demande aux hommes comme aux femmes de de répondre à des critères sur un barème par exemple sélection à l'armée, ou sport à l'école etc. Mais elles sont très largement capables, et dans mon entourage je connais une femme qui bosse sur les chantiers et qui est plus forte que la moyenne des autres hommes.
    "pour le moment ce n'est qu'une théorie" étrangement il y a un paquet d'autres théories, que l'on peut trouver en sciences humaines, et que l'on ne rejette pas avec cette violence, on leur donne du crédit... On dirait qu'il y a des théories qui sont plus "valides" et acceptables que d'autres, alors que, ce sont des théories....et non d'ailleurs ce n'est pas une théorie, les différences d'individus dans le réel, sautent aux yeux tous les jours, donc cette théorie est plus que valable, personne ne se ressemble.
    "plus les sociétés sonts égalitaires plus les femmes onts le choix,"
    Oui c'est le but du féminisme, donner l'égalité des chances pour chacun de nous, il s'agit de rétablir la justice et l'égalité.
    Vous ne me donnez que des explications biologiques, à mes questions, alors pour jouer le jeu je vais faire pareil "la féminisation à outrance des filles à quoi sert-elle ?à ça peut-être
    Séduction ou domination ?" Déja je ne vois pas le rapport, et pourquoi opposer séduction domination en tout cas c'est très révélateur de la façon dont vous percevez les rapports entre sexe: un séduit un dominant.

    les femmes sont aussi entreprenantes que les hommes, la drague va dans les deux sens. Et c'est nettement plus appréciable. Alors pour parler biologie, on peut également constater que l'Homme et la seule espèce animale dans laquelle le mâle tue sa femelle, dans certaines espèces animales c'est l'inverse, il en va de la survie de l'espèce dans ces conditions la, pour assurer la descendance et l'évolution de celle ci car sans femelles on est mal barré. Il y a aussi une différence des sexes, à accepter des deux côtés: l'homme doit renoncer à être une femme, qui ne peut porter un enfant, et la femme doit renoncer à etre un homme. Ca va dans les deux sens, sauf que, l'on présente la aussi, toujours la différence des sexes en accentuant la valeur de l'un au détriment de l'autre. et la force ne repose pas sur les compétences physiques, la force c'est aussi le courage, la volonté, l'intelligence, la capacité de donner vie...

  • @ yellowbox

    "L'hypersexualisation des femmes résulte du système patriarcal, c'est une évidence"

    ça c'est votre affirmation personnelle pas autre chose.

    " ce n'et pas le féminisme qui est responsable de la façon dont on présente de façon très clairement clivée et binaire par exemple les petits jouets roses destinés aux filles dan les catalogues, et les jouets de garçons, dans la partie bleu, avec soldats, camions etc. Justement elles se battent contre cela"

    où est le probléme puisque plus tard les hommes et les femmes choisiront des fonctions sans être contraints qui vonts dans ce sens.

    " je connais une femme qui bosse sur les chantiers et qui est plus forte que la moyenne des autres hommes."

    et alors ça prouve quoi rien, c'est une exception c'est tout.

    "Beaucoup de femmes, ont la capacité d'exercer des métiers d'hommes, (et vice versa) il suffit de motivation ,d'entraînement physique"

    faux, peu de femmes, il ne suffit pas d'entrainement physique, il y a un important dimorphysme sexuel entre l'homme et la femme. les muscles ne sonts pas les mêmes.

    "on demande aux hommes comme aux femmes de de répondre à des critères sur un barème par exemple sélection à l'armée"

    les femmes ne sonts pas capables physiquement d'être légionnaires où forces spéciales à l'armée au pompiers les exercices physiques onts été adaptés spcéialement pour elles, pour jouer le jeu d'une égalité bidon. au pompier elles sonts incapables de monter la planche à rétablissement en tenue compléte.

    "Mais elles sont très largement capables,"

    c'est faux la moyenne des femmes est incapable physiquement de faire ce que fait la moyenne des hommes.

    "ou sport à l'école etc en sport aussi les performances sonts différentes.



    les femmes qui onts la force physique de la moyenne des hommes sonts extrémement rares voilà la réalité pourquoi le nier.

    "les femmes sont aussi entreprenantes que les hommes, la drague va dans les deux sens."

    n'importe quoi, le rôle dans le jeu de la séduction n'est pas indifférencié à ce que je sache !!!

    " l'Homme et la seule espèce animale dans laquelle le mâle tue sa femelle, euh l'inverse est vrai aussi, nombre de femmes poussent leur hommes au suicide détruisent leur vie et les tuent aussi.

    " l'on présente la aussi, toujours la différence des sexes en accentuant la valeur de l'un au détriment de l'autre. et la force ne repose pas sur les compétences physiques"

    c'est vous qui le dites, pourquoi nous faire croire qu'une bonne proportion de femmes pourraient faire des métiers d'hommes physiques alors que c'est faux.

    "les femmes sont aussi entreprenantes que les hommes" les femmes chef d'entreprises travaillent moins que les hommes les priorités ne sonts pas les mêmes, la famille passe en priorité pour les femmes.

    ""plus les sociétés sonts égalitaires plus les femmes onts le choix,"

    et plus leur choix de carriére sonts différenciés de ceux des hommes au contraire de ce que veut nous faire croire la théorie "GENDER"

    ""pour le moment ce n'est qu'une théorie"

    et une théorie n'a rien à faire comme vérité dans l'éducation nationale.

    en norvége ils onts coupé les subsides à ces imposteurs !!!!

    http://femina-europa.org/actu/2012/11/23/lechec-du-gender-en-norvege/

  • suite

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Patriarcat_(sociologie)

    "Le dimorphisme sexuel existe bel et bien dans l'espèce humaine. Les hommes sont en moyenne plus grands (de 10 cm), plus lourds (d'une dizaine de kilos) et plus forts (ils possèdent une masse musculaire nettement supérieure et une moindre masse graisseuse que les femmes, notamment sous l'effet anabolisant des androgènes). La force physique allant de pair avec la masse musculaire, la taille et le poids, la force isométrique maximale (moyenne de 25 groupes musculaires) de la femme moyenne ne représente que 60% de la force isométrique maximale de l'homme moyen (source Traité de physiologie de l'exercice et du sport, éditions Masson, 2002). Ces différences sont par ailleurs plus importantes pour les muscles du haut du corps (bras, épaules) que pour les muscles des jambes. "

  • suite ah oui il y a aussi plus d'idiots et de génies chez les hommes.

    pour ce qui est de la technique ça ne les intéresse pas beaucoup j'ai travaillé 20 ans en bureu d'étude avec des femmes je n'en ai vu aucune passionné de technique, visiblement c'est un proccessus coercitif d'ingéniérie sociale qui les a amené là pas autre chose.

    http://www.science.ca/scientists/scientistprofile.php?pID=10&pg=1&-table=activities&-action=list&-cursor=0&-skip=0&-limit=30&-mode=list&-lang=fr

  • " je connais une femme qui bosse sur les chantiers et qui est plus forte que la moyenne des autres hommes."

    euh des autres autres hommes lesquels ceux qui bossent en chantier avec elle ?

    plus forte en quoi ?

    et les hommes donts vous parlez on des années de travail manuel derriére eux ?

    un homme qui fait un métier physique qui fait travailler les muscles du haut de son corps en général il ne paye pas de mine mais il a beaucoup plus de force qu'un autre homme de même poids qui fait un travail de bureau,

    vous affirmez peut-être quelque chose que vous n'avez pas pu constater de visu

    un exemple j'ai fait quand j'étais jeune 2 ans d'haltérophilie, une fois un gars est venu il ne payait pas de mine livreur de charbon, et bien au premier essai 150Kgrs en squat, impressionnant !!!

  • @ yellowbox

    un raisonnement féministe tout à fait loufoque qui va te faire plaisir euh lire aussi les comentaires.

    http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2012/04/les-femmes-sont-elles-moins-fortes-que-les-hommes-/comments/page/2/

    Bonjour,

    Je trouve ce texte désolant, et passant tout à fait à côté du point.
    Je vous prie d'avoir la rectitude morale de publier ce commentaire.

    ""Dans les années 70, une étude avait prouvé que les femmes ne pouvaient soulever que 40% des poids avec les bras et 75% avec les jambes de ce que les hommes pouvaient soulever. La même étude montrait cependant que si l'on mesurait la puissance physique en fonction de la masse musculaire, les femmes étaient plus fortes que les hommes, surtout dans le bas du corps: avec les jambes, elles poussaient 110% de ce que les hommes pouvaient pousser."
    ----Vous passez totalement à côté des chiffres dans cet exemple. Inutile de se lancer dans des pourcentages quand on ne les maitrise pas.
    L'unique conclusion de cette étude est que les femmes sont en effet physiquement moins puissantes que les hommes! Pouquoi essayer de faire croire l'inverse?"

  • Non mais vous êtes borné, vous n'avez toujours pas compris, que la force physique, n'est pas ce qui fait LA force d'un humain d'une façon générale! Quand ai-je nié que les femmes d'une façon générale étaient musculairement différentes des hommes ? Jamais, pas une fois. Mais bon.
    Les femmes ont leur force, elles enfantent, détiennent la sexualité, c'est elles qui peuvent refuser un accepter un rapport, qui mènent la danse, elles sont plus indépendantes sexuellement, ont davantage besoin d'une atmosphère psychologique qui leur soit agréable, et peuvent se passer de sexe plus facilement que les hommes par exemple et ce pouvoir la, agacent des types machos et misogynes qui frustrés, pensent eux même détenir un pouvoir sur les femmes qui n'est en fait que du contre pouvoir, quand on n'a pas le pouvoir sur quelqu'un à défaut, on se sert de la manipulation ou de la force physique, que l'on fait passer lâchement pour du pouvoir, ce qui n'est en réalité que de la faiblesse. Je m'en fiche de vos chiffres, je suis au courant, ça ne prouve rien, et ne justifie toujours en rien les inégalités sociales. Il n'y pas de force ou de faiblesse, juste des différences, que des imbéciles hiérarchisent, par avidité, et volonté absurde de dominer. C'est la seule chose que vous ayez, la force physique? Au point que vous soyez constamment forcé de mettre cette qualité en avant ? C'est tout ce que vous avez ? Bon allez, fini le blablatage des gens comme vous ne cherchent qu'à avoir raison constamment, je vais vous laissez avec votre "raison"

  • @ yellowbox

    "Non mais vous êtes borné, vous n'avez toujours pas compris, que la force physique, n'est pas ce qui fait LA force d'un humain d'une façon générale!

    je n'ai jamais dit que la force physique était ce qui faisait la force d'un être humain en général !!!

    me me faite pas dire ce que je n'ai pas dit

    "Je m'en fiche de vos chiffres, je suis au courant"

    ça m'étonnerais que vous étiez au courant vous n'auriez pas écrits certaines phrases de ce genre.

    "Beaucoup de femmes, ont la capacité d'exercer des métiers d'hommes, (et vice versa) il suffit de motivation ,d'entraînement physique, et même si les performances ne sont pas égales en général, on demande aux hommes comme aux femmes de de répondre à des critères sur un barème par exemple sélection à l'armée, ou sport à l'école etc. Mais elles sont très largement capables, et dans mon entourage je connais une femme qui bosse sur les chantiers et qui est plus forte que la moyenne des autres hommes."

    "Quand ai-je nié que les femmes d'une façon générale étaient musculairement différentes des hommes ? "

    c'est la seule phrase où vous ayez admis que d'une façon générale les femmes étaient musculairement différentes des hommes.

    "et même si les performances ne sont pas égales en général,"

    ça fait peu par rapport au reste.

    "Les femmes ont leur force, elles enfantent, détiennent la sexualité, c'est elles qui peuvent refuser un accepter un rapport, qui mènent la danse,"

    j'ai jamais dit le contraire, par contre vous vous dites le contraire,

    "la drague va dans les deux sens." non puisque vous écrivez ça.

    "détiennent la sexualité, c'est elles qui peuvent refuser un accepter un rapport, qui mènent la danse,"

    ", et ne justifie toujours en rien les inégalités sociales. "

    lesquelles ? actuellement dans tout ce qui est familial les inégalités elles sonts plutôt du coté des hommes,

    coté salaire , à travail égal on est à 6% de différences inexpliquées, mais des variables ne sonts pas mesurables donc pas prises en compte genre expérience, productivité réelle, donc c'est mensonger d'affirmer que le pourcentage inexpliqué serait de la discrimination.

    le plafond de verre rien ne prouve son existence réelle, lisez le livre de Susan Pinker

    .vous comprendrez mieux

    http://www.ledevoir.com/societe/science-et-technologie/179743/l-entrevue-respecter-les-choix-des-femmes

    "des types machos et misogynes qui frustrés, "

    et vous les voyez où tous ces machos et misogynes, vous en connaissez beaucoup, c'est vrai qu'actuellement les mots onts perdu leur sens il suffit de ne pas être d'accord avec le ramassis de mensonges féministes pour être taxé de macho.

    mais la réalité s'approche plutôt de ça

    http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article232&var_mode=calcul

    Suzanne Steinmetz : sociologue américaine. Etudiant diverses enquêtes sur la violence familiale, elle crée dès 1977 le concept de "mari battu", remplacé ensuite par celui d’"homme battu". En 1980, elle mène avec deux autres sociologues, Murray Strauss et Richard Gelles, l’étude intitulé Derrière les portes closes : la violence dans les familles américaines, qui démontre que les deux sexes sont, de manière équivalente, à l’origine de ces violences. Dès lors, elle subit, avec sa famille, de nombreuses menaces de violence physique. On lui doit la formule devenue célèbre : "Le crime le plus sous-estimé n’est pas la femme battue, mais le mari battu."

    le nouveau concept à la mode des féministes c'est la violence psychologique contre les femmes évidement

    cette violence là ce sonts les hommes qui la subissent le plus,les femmes sonts trés douées pour ce type de violences, mais il ne faut pas en parler il n'y a que celle contre les femmes dont il faut parler !!!

    http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/entretien-avec-sylvianne-spitzer-57815

    Y a-t-il une particularité dans les violences faites aux hommes dans le couple ?

    Oui. Je constate que dans les couples où c’est l’homme qui est victime il existe une forte violence psychologique. Cela peut durer des années avant que la compagne passe à "l’agir" de la violence physique. L’homme déstructuré psychiquement n’est plus en état d’anticiper et de réagir. C’est alors que les coups, les morsures, les coups de pieds peuvent pleuvoir.

    et si toutes les campagnes sur la violence faites aux femmes leur conséquense la plus visible ce n'était pas ça

    "Enfin, ces femmes violentes savent utiliser la loi pour elles. En fait parfois elles n’attendent que ça : que leur compagnon réagisse. Cela leur permettra de déposer plainte pour violence conjugale s’il frappe à son tour ou abandon de famille s’il part du logement et avec toutes les sanctions immédiates que cela sous-entend : garde à vue, interdiction d’approcher du foyer, interdiction de voir les enfants…. Elles le disent d’ailleurs à leur compagnon. Donc s’il réagit, il se met immédiatement dans son tort. Les représentants de l’ordre tout comme la Justice portant plus de poids aux dires d’une femme qu’à celle d’un homme."

  • @ yellowbox

    "Bon allez, fini le blablatage des gens comme vous ne cherchent qu'à avoir raison constamment, je vais vous laissez avec votre "raison"

    sur ce coup là je vous retourne le compliment.

    si vous voulez avoir raison ayez des arguments !!!

    " Il n'y pas de force ou de faiblesse, juste des différences, que des imbéciles hiérarchisent, par avidité, et volonté absurde de dominer."

    et vous l'avez vu où cette sois disant volonté de dominer, dans les mensonges sur l'ypothétique plafond de verre.

    "quand on n'a pas le pouvoir sur quelqu'un à défaut, on se sert de la manipulation ou de la force physique"

    là vous parlez des pervers narcissiques.

    http://www.lien-social.com/spip.php?article212&id_groupe=5

    qui ne sonts que minoritaires dans la violence physique, "L’éducation peut jouer un rôle très important, en permettant aux individus de prendre une mesure des effets dramatiques que la violence peut avoir. De ce point de vue, il faudrait peut-être commencer par faire comprendre aux jeunes l’existence de limites, et leur montrer comment ces limites font partie de la condition humaine. "

    ces hommes sonts en manque éducatif en manque de limites en manque de pére, voilà le résultat du divorce de masse d'avoir éjecter les péres pour manque de romance dans le couple.

    le reste de la grande majorité de violence physique dans les couples c'est ça.

    "Le cercle vicieux de la violence
    La violence est la conséquence d'une dynamique relationnelle inter¬active due à l'incapacité des deux partenaires à développer une intimité empreinte de respect et d'appréciation des différences existant entre l'homme et la femme. Comment expliquer, autrement, que la violence a tendance à se répéter à l'intérieur d'un même cou¬ple? Comment expliquer qu'une femme battue par un conjoint se retrouve avec un deuxième conjoint, parfois même un troisième, qui exercera lui aussi de la violence ? En accusant tous les hommes d'être des violents (ou des violeurs) en puissance ? Ou en supposant une co-responsabilité des deux conjoints dans la construction d'une situation qui mène immanquablement et inexorablement à l'explo¬sion émotive et physique ? Pourquoi dit-on qu'il faut être deux pour se disputer, mais qu'on n'ose pas poser le même diagnostic lors de violence conjugale? Pourquoi les policiers arrêtent-ils l'homme lorsque des voisins appellent pour tapage dans l'appartement d'à côté? Pourquoi, sur simple allégation de sa conjointe, des maris passent-ils régulièrement la nuit en prison ? Parce que notre esprit humain, conditionné par la notion du bien et du mal, fonctionne de façon bipolaire et recherche donc un coupable et une victime. Tout cela ne peut qu'entretenir le cycle infernal de la violence.
    Est-ce si difficile d'admettre qu'en dehors des situations où l'agres¬seur^) puisse être mentalement et profondément perturbé(e), il y
    a toujours deux victimes dans les cas de violence conjugale (sans compter les enfants témoins de cette violence) et deux co-créateurs de cette escalade vers l'explosion physique, peu importe le sexe de celui ou celle qui passe finalement à l'acte. Le refus ou la négation de cette double responsabilité constitue un obstacle à la prévention de la violence conjugale.
    Les travaux rapportés par le psychologue Daniel Goleman ont levé un voile sur la genèse de la violence relationnelle des « ennemis intimes » en disant tout d'abord que les scènes de ménage font beau¬coup moins peur aux femmes qu'aux hommes, celles-ci étant mieux pourvues biologiquement pour gérer le stress. Les hommes sont plus rapidement submergés par l'attitude négative et les critiques de leur partenaire. Cette submersion se manifeste par de nombreux signes physiologiques: sécrétion d'adrénaline, augmentation de la tension artérielle, accélération du rythme cardiaque, tensions musculaires... La deuxième étape de l'escalade survient lorsque, pour retrouver son calme, l'homme se retranche dans le silence ou s'éloigne de sa parte¬naire en sortant de la pièce: c'est alors que toutes les réactions phy¬siologiques décrites pour l'homme se déclenchent chez la femme. Pour elle, la solution consiste à rétablir la communication pour régler le différend, alors que pour lui, c'est l'inverse. L'une poursuit, l'autre fuit. Plus elle s'accroche, plus la tension monte chez l'autre; plus il garde le silence, plus il provoque, inconsciemment et involon¬tairement, l'acharnement de sa conjointe. Plus il lui dit d'arrêter , plus elle l'injure. C'est l'impasse, qui se termine malheureusement trop souvent par la perte de contrôle des réactions physiques de l'un ou de l'autre. Cette dynamique inter-relationnelle qui génère la vio¬lence conjugale a aussi été démontrée par le psychiatre Robert Levenson et le professeur de psychologie John Gottman
    Gregory Bateson a nommé «schismogenèse complémentaire» la réaction en chaîne par laquelle la réponse de l'un des partenaires
    à la provocation de l'autre entraîne des comportements réciproques toujours plus divergents. Cette escalade se produit parce que les hommes et les femmes ont des sensibilités différentes et qu'ils vivent dans deux mondes tout à fait différents, avec des attentes et des croyances différentes face au couple.
    Tant et aussi longtemps que les femmes ne prendront pas leur part de responsabilité dans la genèse de la violence conjugale, elles resteront impuissantes, dépendantes des changements de leur partenaire et soumises à leur bonne volonté. Est-ce vraiment cela que les femmes désirent? J'ose croire que non. J'ose croire que les femmes peuvent prendre conscience qu'elles ont des besoins, des priorités et des ressources qui leur sont propres et qu'elles prendront la responsabilité des stratégies à utiliser pour satisfaire ces besoins, faire valoir leurs priorités, sans «sataniser» celles de l'homme, et exploiter positive¬ment leurs ressources au profit d'elles-mêmes, du couple, de leurs enfants et de la vie en général. Est-ce que je m'illusionne ? Ne pourrait-on pas exploiter l'expertise des centres d'accueil pour femmes au profit des hommes battus et l'expertise des groupes d'entraide pour hommes violents au profit des femmes violentes ?"

    oui mais cette réalité dérange la prêche féministe.

  • "..si je suis plutôt libertaire.."

    Laura, je ne crois pas que cela soit le mot approprié. Libertaire étant synonyme d'anarchiste..... Être pour les libertés de l'individu ne veut pas dire être libertaire.

    On ne parle jamais de la femme qui porte le pantalon dans le couple.... De plus, ne dit-on pas "Ce que femme veut, Dieu le veut" :)

    Il est vrai que nous sommes dans une société "nouvelle" qui marche sur la tête à tous les niveaux. Quel désastre!

  • je m'excuse j'ai mis trop de texte ce qui rends les liens inactifs

    http://www.ledevoir.com/societe/science-et-technologie/179743/l-entrevue-respecter-les-choix-des-femmes

    http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article232&var_mode=calcul

  • suite

    http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/entretien-avec-sylvianne-spitzer-57815

    http://www.lien-social.com/spip.php?article212&id_groupe=5

  • @ yellowbox

    la vrai réalité de la violence conjugale

    Erin Pizzey (1939-

    "elle ouvre en 1971, à Chiswick, le premier centre pour femmes victimes de violences conjugales. Dix ans plus tard, après avoir reçu cinq mille femmes et perdu beaucoup d’illusions, elle raconte son expérience dans Prone to violence (Enclin à la violence, 1982). Elle y fait plusieurs constats politiquement incorrects : la moitié des femmes venues dans ce centre sont elles-mêmes violentes ; leur misère est exploitée par des encadrantes sexistes qui les poussent à la haine des hommes en général ; la violence conjugale est devenue une industrie dotée de budgets énormes que des groupes idéologiques essaient de capter à leur profit. La publication de ce livre déclenche contre elle une véritable hystérie, au point qu’elle a besoin d’une protection policière pour en faire la promotion. Il devient un livre maudit : jamais traduit en français, et accessible seulement dans quelques bibliothèques du monde. Elle continue, dans des articles, à démonter et à dénoncer les mécanismes de l’idéologie misandre.

    voilà comment les féministes patentées luttent contre la violence conjugale, comme des militantes sans aucune objectivité, comme des comméres, il y a besoin de faire le ménage dans ce tas de merde.

    http://www.emoterra.org/pionnier-domestique-a02046867.htm

    "Les «faux» féministes de l'époque ont été aggravées par Pizzey rompre le silence sur les agresseurs de sexe féminin. Ils ont travaillé dur pour supprimer ses écrits. Des copies de enclins à la violence dans les bibliothèques et les librairies auraient été largement détruite par les féministes se pencha sur la censure de la révélation que les femmes battues sont souvent abusives eux-mêmes."

    le féminisme est bien une idéologie.

    http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article208

    "1. Arrêter la dichotomie coupable-victime
    La violence s’inscrit dans une relation. Elle est la conséquence d’une dynamique relationnelle interactive, due à l’incapacité des deux partenaires à développer une intimité empreinte de respect. Pourquoi dit-on qu’il faut être deux pour se disputer, mais n’osons-nous pas poser le même diagnostic lors de violence conjugale ?

    2. Reconnaître les faits : l’exercice de la violence n’a pas de sexe.
    Il importe de dépasser la lecture sexiste, selon laquelle l’homme est forcément l’agresseur et la femme, la victime.

    3. Responsabiliser les deux partenaires dans le cycle de la violence.
    Tout adulte impliqué dans une situation de violence est responsable de sa propre sécurité et de ses conduites d’agressions. Chaque personne est responsable de dire non à la violence.

    les campagnes contre la viuolence conjugales sonts complétement à coté de ce qui est écrit ici cherchez l'erreur

  • @ yellowbox

    " Bon allez, fini le blablatage des gens comme vous ne cherchent qu'à avoir raison constamment, je vais vous laissez avec votre "raison"

    les arguments contre ne sonts pas difficile à trouver, j'ai uniquement besoin pour ça des écrits de "femmes" honnêtes lucides et expérimemtées.

    http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article232&var_mode=calcul

  • La violence verbale est aussi une violence.

  • @ Calendula

    La violence verbale est aussi une violence.

    oui ça fait parti de la violence psychologique.

  • http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/02/08/au-proces-d-eric-raoult-etalage-de-la-haine-conjugale_1829099_3224.html#xtor=AL-32280308

    et la justice n'a pas évolué depuis cette époque là.

    ""elle ouvre en 1971, à Chiswick, le premier centre pour femmes victimes de violences conjugales. Dix ans plus tard, après avoir reçu cinq mille femmes et perdu beaucoup d’illusions, elle raconte son expérience dans Prone to violence (Enclin à la violence, 1982). Elle y fait plusieurs constats politiquement incorrects : la moitié des femmes venues dans ce centre sont elles-mêmes violentes ; leur misère est exploitée par des encadrantes sexistes qui les poussent à la haine des hommes en général ; la violence conjugale est devenue une industrie dotée de budgets énormes que des groupes idéologiques essaient de capter à leur profit. La publication de ce livre déclenche contre elle une véritable hystérie, au point qu’elle a besoin d’une protection policière pour en faire la promotion. Il devient un livre maudit : jamais traduit en français, et accessible seulement dans quelques bibliothèques du monde. Elle continue, dans des articles, à démonter et à dénoncer les mécanismes de l’idéologie misandre."

  • "je m'excuse j'ai mis trop de texte ce qui rends les liens inactifs"

    MDR MDRRRRR Vous êtes incroyable leclercq!

  • @ Yellobox:

    Hooooooouuuuuu!!!!.....

    "Et l'hypersexualisation, et la féminisation à outrance des filles à quoi sert-elle ? l'hypersexualisation, et la masculinisation exagérée des petits garçons à quoi cela sert-il ?
    A maintenir les filles dans un idéal d'homme type prince charmant, à cultiver leur docilité (qui n'est pas naturelle) pareil pour les petits garçons, leur apprendre à renier leurs émotions et en faire des hommes asséchés affectivement, et violents... "

    Vous devriez prendre vos médicaments.

    Au fait vous pourriez aérer vos textes? Ça épargnerait l'usage du marteau-piqueur pour détailler vos poncifs.

  • @ yellowbox

    Vous m'avez l'air d'être un intellectuel ou en tout cas analyser les rapports hommes/femmes comme tel. Paradoxalement c'est justement ça le problème. Les intellos ne devraient pas se mêler de ça. Hors c'est eux qu'on prend comme baromètre, en tout cas en France. Ecoutez toutes les émissions radios france culture et cie, c'est affligent de bétise et de naïveté sur ces sujets là.

    La plupart du temps les féministes ne connaissent pas les hommes, ni même les femmes. Elles ne connaissent que les hommes comme elles voudraient qu'ils soient, et les femmes comme elles, c'est à dire souvent des intellos qui dès leur jeunesse, plongées dans leur bouquins, délaissées par les garçons, ne comprennent pas le manège qui se passe autour d'eux. Elles comme vous apparemment, ne comprendront pas pourquoi la fille qui se tortille les cheveux en machant du chewing gum ostensiblement, attire tous les regards concupiscents des garçons et en retire un pouvoir. Ni pourquoi celui qui transgresse, qui s'octroye des privilèges que les autres n'osent pas, subjugue les filles. Ca vous ne le trouverez dans aucune étude. Elles comme vous surement, préfèreront que tata Simone ou une autre branchée du siècle dernier leur explique sa vision des hommes, ou l'"aliénation" des femmes.

    Et donc tout naturellement vous en arrivez à écrire :
    "maintenir les filles dans un idéal d'homme type prince charmant, à cultiver leur docilité (qui n'est pas naturelle)"
    Vous voyez de la docilité, là où il y a au contraire une ascension sociale fulgurante et aisée assurée.
    http://www.eteignezvotreordinateur.com/cest-termine-entre-cristiano-ronaldo-et-sa-petite-amie/
    (lire en bas ce que pense la mère de Ronaldo sur Nereida Gallardo, qui accumule les conquêtes fortunées et footballistiques)

    "L'hypersexualisation des femmes résulte du système patriarcal, c'est une évidence, on inculque aux petites filles l'idée selon laquelle elles doivent être belles, séduisantes, on remarque même dans le milieu du travail"
    On ne leur inculque rien du tout, elles utilisent au contraire un grand atout qui leur ouvrent facilement des portes que les hommes eux doivent bien souvent défoncer. Il ne vous ait jamais venu à l'idée l'autonomie dans leur démarche? Qu'elle avaient constaté qu'est-ce qui marchait/qui marchait pas avec les hommes et agissaient en conséquence pour satisfaire leurs besoins?

    "les femmes sont aussi entreprenantes que les hommes, la drague va dans les deux sens."
    C'est faux bien évidemment. Les femmes ne draguent pas, en tout cas pas des inconnus dans la rue, un bar etc. Pour anecdote, je ne me suis fait sifflé par des filles que 2-3 fois dans ma vie; et je vais vous dire j'ai adoré ça. Il ne m'est pas venu l'idée de monter une association osez le crétinisme etc.
    Un des fois où ça m'est arrivé, je me suis arrêté à hauteur des deux filles, et là figurez-vous qu'elles n'ont pratiquement rien dit, c'était encore à moi (l'homme) de faire le travail!

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