« Depuis le début des années 1980 jusqu’au début des années 2010, dans des villes d’Angleterre, plus de 4 000 enfants ont été abusés sexuellement, parfois torturés, parfois prostitués, par des bandes criminelles organisées ou des groupes informels d’hommes. »
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Les gangs de Rotherham et Telford
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Papounet 1er, prends-les pour des enfants mais guide-les !
Le pouvoir français n’a pas la gaule. Seul Denis Baupin semble encore capable d’érection. Ce pouvoir a atteint une zone de grande souffrance. Il oscille entre les zombies et les raptors. Emmanuel Macron par exemple, raptor parmi d’autres, contredit systématiquement et publiquement le président et le premier ministre. Ça fait super désordre.
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Le monstre de Frankenstein, métaphore du djihad
Le monstre décrit par Mary Shelley, cet être fabriqué de toutes pièces, ressemble un peu à ce que l’on imagine d’un apprenti de Daech. Rempli de bouts de croyances, de théories, aux cultures rapiécées, aux idées disparates tenues ensemble par des coutures de fortunes.
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Les raisons d’une critique (5): le vide masculin
Attaquer le patriarcat c’est attaquer les hommes. L’évidence est cinglante. Il n’y a à ce jour aucune critique raisonnable du patriarcat qui n’attaque frontalement l’attitude de supposée domination masculine, mettant tous les hommes dans le même sac, et posant les femmes en victimes universelles. La mise en accusation des hommes est indispensable dans le système de penser binaire du féminisme.
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Enfant roi et théorie du genre: un mélange explosif
La collision est inévitable. Elle a déjà commencé. D’une part le règne de l’enfant roi est solidement installé. Aujourd’hui tout tourne autour de l’enfant. La famille nucléaire a glissé du centrage sur les parents en tant que pôle de référence réelle: géniteurs, protecteurs. nourrisseurs et éducateurs, au centrage sur l’enfant en tant que projet hypertrophié et harassant.
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Sexualité et normalité (4 et fin): accepter son statut
Les mots ont un sens et l’esprit de l’époque, prompt à stigmatiser, ne doit pas conduire à inhiber l’analyse et la critique. Il est permis de mettre en cause ce qui se présente comme un progressisme, alors qu’il s’agit autant d’une déconstruction d’acquis culturels et sociétaux que de libéralisme philosophique.
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Comprendre les enjeux de l'déologie du genre
D'abord l'information suivante: j'ai créé un deuxième blog, centré sur la politique et la vie à Genève. A découvrir ici avec en deuxième article le Parti Pirate.
A lire toutes affaires cessantes: la marxisation de la société va se répandre dans l’école française dès l’âge de 6 ans.
Je propose aujourd’hui un article d’une grande limpidité sur l’idéologie du genre, écrit par Alexis Aguettant sur son site Homme Culture Identité, dont je recommande la visite. Les enjeux politiques et culturels sont ici parfaitement résumés. -
Le genre: théorie de l’apparence
On ne serait donc pas femme ou homme par la nature mais uniquement par une construction sociale, collective d’abord, puis individuelle. Bien que disposant de testicules et du chromosome X, un homme pourrait se ressentir et se déclarer femme.
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Marcela Iacub: la chute de l’ange
Quelques jours après l’annonce de la publication de son livre sur Dominique Strauss Kahn, «Belle et Bête», Marcela Iacub reçoit le choc en retour. Le livre paraîtra mais elle est condamnée. Elle a fait de DSK un dieu-Cochon, grand-prêtre de la jouissance sexuelle communiste. Elle exprime si crûment ce que le public pense, qu’on peut se demander si elle ne travaille pas secrètement à la rédemption de cet homme à terre, en transformant le bourreau des coeurs et des fesses en victime d’une vindicte populaire acharnée. Un courriel dévoilé par «Elle» montre la belle Marcela sous un jour inattendu: la voici impératrice de la trahison. Le coup est très dur.
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La femme objet total, ou le renversement du genre
La femme fait vendre et rapporte. Elle fait vendre des voitures et magazines pour salles d’attente. Elle vend aussi des bébés. La femme est aujourd’hui un objet total. Même les chiffres gonflés de la violence conjugale rapportent des millions aux associations subventionnées.
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Différences hommes-femmes: le corps incontournable
Les Femen confirment les différences hommes-femmes: elles sont tombées sur un os masculin. L’os - ou les os - de quelques manifestants hommes dimanche à Paris. Elles ont agressé le cortège puis se sont faites agresser en retour. Et se sont enfuies, abandonnant leur superbe médiatique perdue dans la fumée. Mais pourquoi n’ont-elles rien vu venir?
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La théorie du genre vole en éclat!
L’annonce n’a pas fait la une des médias. Pourtant l’événement est majeur et d’actualité quand on sait que la France par exemple a mis l’enseignement de la théorie gender au programme scolaire. Cela alors qu’il n’y a aucune démonstration scientifique, aucun débat public sur la question, et aucune urgence à décerveler nos chères têtes blondes et brunes. On leur apprend qu’à la différence de l’identité sexuelle, le genre ne serait pas inné.
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Pierre Bourdieu, créateur de stéréotypes
En regardant aux infos le compte-rendu de la marche des salopes à Genève, je me demandais quelle avait été la motivation de Pierre Bourdieu quand il a inventé le concept de domination masculine. Cette expression a été utilisée au micro de la manifestation pour désigner le viol, comme si ce crime était le résultat d’un comportement généralisé des hommes. Quand on constate le faible chiffre d’hommes violeurs, on peut s’étonner de cette affirmation. Le viol est un crime et rien d’autre. Il est le fait (majoritairement) de certains hommes qui ne sont plus d’aplomb dans leurs bottes et qui ont perdu la conscience du normal et du criminel.
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Eloge de la différence 2: des hommes insoumis
Depuis Simone de Beauvoir, une lecture productiviste et unisexe du genre humain s’est développée. Il paraît qu’on ne naît pas femme (ni homme), on le devient. Notre biologie n’aurait rien à voir dans la définition de notre masculinité et de notre féminité. Le corps et la culture sont découplés, dissociés. Mais pourquoi donc avoir produit une théorie aussi extrême et désincarnée? Et pourquoi avoir continué à la développer alors qu’elle n’est pas démontrée?
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Le mariage: une prostitution? (mis à jour)
La thèse selon laquelle le mariage serait une forme de prostitution n’est pas nouvelle. Cette théorie est reprise et développée par Gaïl Pheterson, féministe américaine et sociologue du Gender, et Paola Trabet, féministe italienne et anthropologue. Des mouvements libertaires opposés à l’abolition de la prostitution ont repris à leur compte cette théorie. Elle permet de valider le fait que la prostitution est un fait de société et que sa version «simplifiée», soit la sexualité sans amour ni désir mais avec argent, est une partie de ce fait de société.
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Suède: Egalia, un pas vers la folie
Voici une nouvelle version du «Meilleur des mondes», tel qu’il se prépare à l’école primaire d’Egalia, à Stockholm. Une école où la volonté d’égalité entre garçons et fille est fondée sur la théorie Gender. Et ce avec l’aval des autorités.