Femmes et hommes nous subissons les assignations que la société a décidé pour nous. Par exemple être femme ou homme ne seraient pas lié au sexe biologique mais à une injonction sociale dictée par… on ne sait qui exactement.
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Femmes et hommes nous subissons les assignations que la société a décidé pour nous. Par exemple être femme ou homme ne seraient pas lié au sexe biologique mais à une injonction sociale dictée par… on ne sait qui exactement.
En août, la municipalité d’Amsterdam recommandait à ses employés d’éviter autant que possible les termes Monsieur et Madame. Elle préconisait l’usage d’un langage plus neutre, non sexué, pour les personnes souffrant de dysphorie de genre. Pourquoi?
Mince alors! Ce ne serait pas une dictature médiatique? Parce que l’on entend souvent dire que les corps minces des femmes sont une fabrication des créateurs de mode. Or une étude de 2015 laisse entendre que la vérité est ailleurs.
Pourquoi tant de détestation contre cet homme mythique qui ne fit qu’illustrer la revanche de la nature sur la culture? Aujourd’hui tout serait culturel. Même le sexe. La théorie du genre rejoint en cela, d’une autre manière, les thèses religieuses où la morale gouverne l’instinct.
Pour la première fois depuis longtemps je trouve un réel fond à un discours féministe. Il s’agit du féminisme évolutionniste, défendu par Peggy Sastre dans sont récent livre « La domination masculine n’existe pas ».
Polémique en Suisse. L’évêque de Coire, Vitus Huonder, s’est exprimé en citant un passage de la bible, précisément du Lévitique : «Quand un homme couche avec un homme comme on couche avec une femme, ils ont fait tous deux une chose abominable; ils seront punis de mort: leur sang retombera sur eux.»
La nouvellement promue ministre de l’Education Nationale est probablement le membre du gouvernement qui déclenche le plus la polémique. A cause de ses positions sur l’idéologie du genre en particulier. L’un après l’autre les ministres de l’éducation provoquent le pays sur un thème très sensible: le formatage des têtes encore disponibles des enfants.
Beaucoup de parents préfèrent un bébé de bonne qualité - je veux dire, de manière provocatrice, en bonne santé - à un enfant malade. Il n’y a pas lieu de s’étonner ni d’en être choqué. Quels parents ne désirent pas des enfants sains et porteurs des meilleures conditions? Et qui ne souhaite pas choisir ces conditions, si c’est possible?
Attaquer le patriarcat c’est attaquer les hommes. L’évidence est cinglante. Il n’y a à ce jour aucune critique raisonnable du patriarcat qui n’attaque frontalement l’attitude de supposée domination masculine, mettant tous les hommes dans le même sac, et posant les femmes en victimes universelles. La mise en accusation des hommes est indispensable dans le système de penser binaire du féminisme.
Il faut savoir ce que l’on veut. Une petite vie peinard, en bon père de famille, les pieds dans les babouches, le coït étalé dans le temps à raison d’une ou deux fois par semaine. Ou la course intense à l’extase, non stop, furieuse, à se vider les amourettes en deux semaines et en mourir. Le grand flash. Ou le Love Big Bang.
L’initiative sur le dé-remboursement de l’avortement a relancé un débat de fond alors qu’elle porte seulement sur une contingence. Signe que la question n’est pas apaisée. L’abondance de billets et commentaires et l’intensité de la controverse le démontrent.
Les Verts libéraux lancent une initiative parlementaire en vue de rendre possible le mariage entre personnes de même sexe. Le débat français, dont on se souvient encore de la violence et de l’incroyable stigmatisation subie par les opposants, va donc trouver une suite dans notre pays.
«S’il te plaît, dessine-moi un mouton!» Le Petit Prince savait que le mouton n’est pas un renard, ni une rose. Et nous comment savons-nous ce qu’est un mouton? En observant ses spécificités et en les classant dans une catégorie.
Soyons encore plus précis que précédemment. Une journaliste féministe affirmait sur son blog que les hommes savent exactement pourquoi ils veulent des femmes «pures» - c’est-à-dire excisées. Elle laisse entendre, selon la stratégie féministe d’accablement des hommes, que l’excision est voulue par eux. C’est faux. Elle est demandée par les femmes.
La femme fait vendre et rapporte. Elle fait vendre des voitures et magazines pour salles d’attente. Elle vend aussi des bébés. La femme est aujourd’hui un objet total. Même les chiffres gonflés de la violence conjugale rapportent des millions aux associations subventionnées.
Alces alces est son nom latin. En français cela se traduit par «élan». Une grosse bête à poils et à cornes voisine du renne et du cerf. Lequel cerf, comme chacun sait, ne s’use pas si l’on n’y touche pas.
En principe, à la naissance, un bébé est fille ou garçon. Le sexe d’un humain est déterminé biologiquement dès la fécondation. Au début pénis ou vagin viennent de la même origine. Leur construction anatomique se passe au quatrième mois de gestation en fonction de certaines hormones.
On n’arrête pas le progrès. La technologie permet aujourd’hui de poser tranquillement une annonce sur un site et d’attendre l’acheteur. Tout est à vendre. Le commerce est un pilier de toute société organisée et développée. Tout? En fait non, pas tout. Pas des humains. En principe. Pourtant ce n’est pas l’avis de tout le monde.
Une recherche est parue il y a quelques temps, qui bouscule les croyances habituelles. L’hypothèse est que les femmes auraient inventé la famille nucléaire non pas avec des hommes alpha, des dominants, mais avec des hommes capables de prodiguer des soins à leurs proches et de les nourrir.
Il y a dans la symétrie quelque chose qui saisit, quelque chose d’hypnotique. Voir deux éléments semblables et inversés éveille une résonance très intime. Peut-être notre cerveau est-il physiologiquement préparé à cette résonance par les deux hémisphères qui sont eux-mêmes symétriques.