Ah ça, si elles s’attendaient à voir un tel déballage. Aux voleurs, devraient-elles crier, on nous pique nos thèmes. C’est à nous, non mais, grrr!!! A nous les fââââmes opppppprrrimées depuis toujours.
On reparle de sexisme
Et oui, voilà que l’on commence à parler de sexisme en général. Pas seulement celui que la société jette aux visages féminins délicatement maquillés - ce qui n’est franchement pas sympa. C’est vrai, quoi, après une heure de miroir on aurait pu leur éviter cela. Mais non, on ne leur évite rien - elles doivent apprendre la vie des hommes au nom de l’égalité: à peine sortie de chez elle pour
- aller poser les enfants dans leur école,
- passer au pressing,
- faire le plein,
- trouver une place de parking,
- insulter le con qui lui pique celle qu’elle trouve enfin,
- téléphoner au boulot pour annoncer 15 minutes de retard,
- se faire mettre un PV parce qu’elle téléphone au volant,
- sentir couler son rimmel quand elle tente d’infléchir l’agent avec des larmes - normalement les larmes cela marche mais zut! c’est une fliquette!
- arriver enfin à son bureau non sans avoir fait une bosse à l’aile de sa voiture en se faufilant sur un trottoir,
- et enfin trouver sa lettre de licenciement sur son bureau,
donc à peine avoir commencé à vivre la vie ordinaire des hommes depuis 100’000 ans, voilà ce spécimen rejeté dans son infâme foyer, lieu d’esclavage et d’aliénation connu depuis Beauvoir, où elle dépérissait à faire de la bouffe et à torcher le caca au cul des enfants. Déprimants, les enfants. Rentrée chez elle, dépressive, anxieuse, ayant en une heure perdu toute l’estime d’elle-même qu’en tant que petit être secondaire en crise de croissance elle avait péniblement acquise après des années de lecture de Cosmo, Kierkegaard et Brétécher, elle va vers l’ascenseur. Et là, la honte! L’horreur intégrale: un homme lui tient la porte. Ouhhhhhhhhh le sexisme! Elle se met à l’agresser et à frapper sa tête avec son sac - un grand sac banane bien rempli - tout en injuriant copieusement le monsieur, coupable de l’inférioriser par une galanterie de m...! Comme si elle était incapable de tenir elle-même la porte. Furieuse, elle prend l’escalier, saute une marche, tombe, déchire son bas et s’écorche les genoux, saigne, tape un poignet sur le mur, pousse un cri, perd ses lunettes, s’appuie dessus en les cherchant, les casse, et là commence à hurler comme un cochon qu’on égorge. Elle ne s’arrête que quand l’ambulancier vient lui faire une injection calmante.
Le féminisme est ontologiquement un sexisme
Tout cela parce que ce 8 mars on parle de sexisme. Pas n’importe lequel: le sexisme dont les hommes sont victimes. Ah les salauds! Depuis des années qu’elle - la Féminista - avait réservé ce mot à son seul usage, comme de droit divin, comme s’il ne pouvait y avoir qu’une seule forme de sexisme, comme si la question ne devait même pas se poser pour les hommes que le statut d’oppresseurs esclavagistes officiel privait de toute mansuétude sociétale.
Pourtant, parler d’oppresseurs et développer une théorie générale stéréotypée genre domination masculine, était en soi un sexisme misandre éhonté. L’existence même du mouvement féministe, du mot féminisme, est déjà du sexisme puisque l’on ne parle que d’un sexe, on privilégie un sexe, on pleure sur un sexe, on fait des lois pour un sexe, à l’exclusion de l’autre. Le féminisme est ontologiquement un sexisme.
* Ontologique: «Qui concerne l'être, le fait d'exister.»
Et donc le Huffington Post commet un article sur les discriminations sexistes dont les hommes sont victimes.
C’était en février dernier, mais cela prend toute sa saveur en mars. Il y est question de discrimination des pères, de pénibilité du travail, d’hommes présumés coupables - les femmes, dans la mentalité sexiste et la propagande Féminista, bénéficiant d’une image de victime a priori, de violences faites aux hommes, de discrimination à la retraite (les femmes vivant plus longtemps). Des commentaires à cet article rappellent que les hommes sont le 95% des morts au travail, les trois quart des 11’000 suicides en France (si c’étaient les femmes ce serait déjà devenu une grande cause nationale), etc, etc.
Huff Huff Puff Puff, drôle de moquette
D’autres commentaires citent bien sûr le partage des tâches ménagères. Les femmes en feraient plus. Mais on s’en fout des tâches ménagères! Toutes activités familiales additionnées, en Suisse par exemple, le temps d’investissement de chacun dans un couple est identique - mais chacun dans son domaine. On ne va pas en plus choisir pour nous les tâches à accomplir et poser une carte de pointage dans les maisons. Je sais bien qu’avec le féminisme la vie privée tend à disparaître mais là, non, cela suffit.
Mesdames de la Féminista, fichez la paix aux hommes. Arrêtez de parler au nom de toutes les femmes dans une rhétorique pathologique: «Nous sommes les femmes d’ici, de là-bas, etc». Quel aveu de faiblesse d’avoir autant besoin de draguer.
Mais pourquoi autant de sexisme? Une internaute a la réponse: c’est la faute à la société. Puff Puff, ça sent la drôle de moquette là.
«Les femmes paient moins cher pour entrer en boîte de nuit parce que, dans la société sexiste, les femmes servent d'appât pour attirer plus d'hommes dans ladite boîte de nuit.»
Ce n’est pas la société, c’est comme cela que les choses marchent. Faites l’inverse pour voir!
Le reste est à l’avenant. Bon, c’est la faute à la méchante société, nous n’y sommes pour rien, nous sommes de pauvres êtres parfaits que la société a corrompus. Et normalement il ne devrait y avoir aucune différence, même en boîte de nuit.
Et bien désolé, mais ne pas reconnaître de différence est la forme la plus perverse du sexisme. La plus dangereuse. La plus perturbante mentalement.
Bon, je vous laisse, je vais ouvrir la porte à la charmante voisine qui vient d’emménager et qui arrive avec des paquets plein les bras. Serait-ce sexiste? Je m’en fiche: c’est si délicieux. Ça y est, elle sourit déjà, et me gratifie d’un merci à faire prendre un coup de chaud à un ours polaire. Ça ne va pas aider la banquise... Allez, mon dimanche commence bien!
Commentaires
Beau mélange d'humour et de noirceur réaliste!
Bonjour
A la lecture de ce post, j'en profite pour signaler cette récente statistique de 2010 de l'OFS sur la "Charge totale de l´activité professionnelle et du travail domestique et familial"
qui démontre qu'en cumulant heures travail et mémage, hommes et femmes font a peu près le même nb d'heures. Pour les hommes avec des enfants en bas-âge, le nb d'heures et très légérement supérieur.
Le 8 mars, personne n'a parlé de la double journée des femmes...
http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/20/05/blank/key/Vereinbarkeit/04.html
Sur le sexisme des femmes, j'en connais un bout, je suis infirmier depuis 30 ans et en général seul homme dans l'équipe..
Les commentaires sexistes des femmes sont courants..
"les hommes ça sert à rien... j'ai un enfant supplémentaire à la maison.. un homme c'est aussi utile qu'une bicyclette avec un poisson", des meilleures et j'en passe..
Personnellement je n'en prends pas ombrage, je trouve ça plutôt drôle, comme finalement beaucoup de femmes.
Ca me dérange toutefois quand entends certaines de mes collègues brandir ce thème comme le Saint-Graal alors qu'elles travaillent exclusivement avec des femmes.. et que leur propre sexisme est dans leur oeil ce que la paille est à la poutre.
Bon dimanche
http://www.lexpress.fr/actualite/politique/commentaire.asp?id=1176382
"DURIAU - 19/10/2012 11:12
Mamie5: Oui sûrement ! Mais mon action active dans le soutient aux pères et enfants du divorce m'ont fait connaitre beaucoup d'histoires qui ne sont pas à l'honneur des femmes ! Mais personne n'en parle jamais , c'est un sujet tabou ! Nous sommes à l'ère féministe et il est de bon ton de japper avec la meute ! Je suis personnellement fatigué d'entendre sans cesse les louanges des femmes qui ne valent pas mieux que les hommes . Ces campagnes permanentes où le manque d'idées nouvelles font de nos politiques des perroquets qui rabâchent sans cesse les mêmes pontifes et qui ne parlent jamais des devoirs ! Le sujet des femmes considérées comme des outragées permanentes me révulse . On nous abreuve d'exemples de violence de pays sous développés ou de fait divers montés en épingle pour justifier des actions féministes et entretenir un discours de sape de notre société . Ces femmes qui militent ainsi n'ont qu'un but qui n'est en rien l'égalité des sexes , car dans ce cas elles parleraient aussi de devoirs , mais le changement radical d'hégémonie pour celui des femmes .Voilà 40 ans que cela dure ! Les premières du MLF ont été Benoite Groult , Gisèle Halimi , Elisabeth Badinter qui prônait déjà de faire des enfants sans père dans la fin des années soixante . Drôle de façon de défendre la cause des femmes ! Le pire est que bien des hommes pensent que leur genre est violeur , incestueux , pédophile ,violent , machiste , égoïste , esclavagiste , impuissant , mauvais en amour etc... Alors qu'ils ont en face d'eux , la douceur , l'abnégation , l'amour , l'intelligence , l'honnêteté , l'amour maternel , la droiture , le courage , insatisfaite en amour , exploitée au travail etc ... Je ne sais pas si toutes les femmes pensent cela mais le jour où elle s'élèveront contre la caricature que leur font les associations féministes et les politiques " à la petite semaine ", alors elles auront gagné la vraie égalité ."
" «une commission d’enquête sur l’introduction et la diffusion de la théorie du gender en France»."
http://www.liberation.fr/politiques/2012/12/09/deux-deputes-veulent-une-enquete-sur-la-theorie-du-genre_866172
la théorie "GENDER" n'a pas a être imposé à l'école tant que cette enquête n'aura pas été faite, on va tout droit a cette allure vers le modéle suédois.
http://blog.scribel.net/2013/01/a-lecole-de-la-propagande/
censé « traiter la sexualité dans toutes ses dimensions : physiologique, psychologique, sociale, éthique et culturelle ». En s'inspirant des gender studies ? Cela n'aurait rien d'étonnant.
c'est une atteinte au principe de neutralité
Hum....me permettez-vous de vous offrir un beau bouquet de fleurs HL?
Belle fin de journée, soleil et vents fous ici.
http://www.uni.asso.fr/spip.php?article10553
"L’école sera également mobilisée pour lutter contre les discriminations qui "prennent racine dans les mécanismes de rejet, de domination, qui persistent dans l’inconscient collectif. Les préjugés et les stéréotypes ont la vie dure : le seul moyen de les faire reculer durablement est un engagement politique déterminé de la puissance publique. En agissant sur les représentations, la puissance publique dispose d’un levier fort pour transformer l’égalité formelle en égalité réelle. ( Sic ) [7] Quelle belle définition de la propagande ! "
"Voilà à quoi risque de ressembler la "morale laïque" de Vincent Peillon. Derrière ces mots se cache un catéchisme gauchisant [9] dont l’objectif est de formater les citoyens à la pensée politiquement correcte."
"" dans un pays libre, ce que nous nous flattons d’être, l’éducation morale est du ressort des familles. L’État peut instruire, mais il n’éduque pas. "
http://www.ndf.fr/poing-de-vue/08-01-2013/eric-zemmour-que-peillon-applique-la-neutralite-a-ses-amis
"mais pour les moeurs, les Jules Ferry et consorts respectaient scrupuleusement les consciences. La gauche d’aujourd’hui n’a plus ces pudeurs : elles juge qu’elle ne fait pas de politique, elle dit seulement le bien. Elle n’endoctrine pas, elle prêche. Cela ne s’appelle pas du bourrage de crâne, mais le progrès. Elle n’enfreint pas le principe de neutralité, elle fait la morale. Elle a repris les méthodes de l’Église pour mieux la remplacer. Et comme disait Danton, ‘on ne détruit que ce qu’on remplace’. »
l'explication de zemmour de la rigueur napoléonienne, parce que à son époque les femmes avaient déjà montré à l'époque de quoi elles étaient capables. extrait du premier sexe d'éric zemmour
"Avec le Directoire commence une nouvelle période où les femmes reprennent une place prépondérante. Dans la société des incroyables et des merveilleuses, la liberté des femmes sidère l'Europe entière : elles passent aisément d'un amant à l'autre ; elles se marient et divorcent aussi vite ; les taux de divorce (qui conclut un mariage sur trois à Paris) sont presque similaires aux nôtres ; les familles sont éclatées, l'éducation des enfants laisse à désirer. Les esprits chagrins notent que les jeunes gens connaissent mieux les chiffons que les livres. C'est cette société « décadente », comme on ose encore dire à l'époque, que Napoléon a sous les yeux lorsqu'il entame les travaux du Code civil. Sous ses yeux, exacte-ment, puisque sa femme, Joséphine, plus légère que sensuelle, est l'incarnation de cette société. C'est pour les contenir - la société et son épouse - que le Code civil, tout en conservant le principe du divorce, encadre très strictement la liberté sociale de la femme. Ce n'est donc pas une quel-conque réaction, mais au contraire,
aujourd'hui on ne les a pas contenues, elles n'onts pas eu de contre pouvoir et voilà on a le féminisme avec sa propagande, ses mensonges son exagération, sa malhonnêteté, ses lois anti-hommes sa théorie "GENDER", la dictature douce même les lois républicaines sonts bafouées, le principe de neutralité dans l'éducation nationale n'est même plus respecté, la société est devenue maternante, même plus capable d'assimiler les immigrés, il n'y a plus de limites !!!
http://www.medaillefamillefrancaise.com/rubriques/haut/actualites/l2019egalite-des-sexes-beaucoup-de-sous-pour-rien
"En d’autres termes, « les rôles des genres » ne sont pas véritablement en phase de mutation, les bureaux de l’égalité et autres commissions pour les questions féminines sont toujours aussi inutiles et l’Etat persiste malgré cela à financer le grand brassage d’air de chantres de l’égalité. Une raison supplémentaire qui plaide en faveur de la suppression de l’impôt fédéral direct. »
Et donc le Huffington Post commet un article sur les discriminations sexistes dont les hommes sont victimes.
==> Tiens d'ailleurs j'avais répondu a ce pseudo article qui prenait bien soin d’évité de nommer les vrai discriminations envers les hommes, faut dire quelle relativise grandement celle envers les femmes.
Avec naturellement un petit misandre qui n'a pas put s’empêcher de cracher son venin.
Colette: je les accepte avec beaucoup de plaisir et de gratitude. Surtout venant de vous, et de votre belle île aux fleurs sauvages.
:-))
Ici aussi soleil et fort vent. Mais je ne suis pas comme d'habitude. Je suis un peu plus près de chez vous, pas loin de la mer.
Je ne vous ai pas encore lue, je vous garde pour demain ou mardi. Belle soirée à vous.