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Violence domestique à Genève : la vérité cachée dans les chiffres

Selon la vidéo du site de l’Etat à Genève, 38 % des femmes et 25 % des hommes seraient victimes de violence domestique au cours de leur vie. Ces chiffres sont impressionnants. 1/4 des hommes et 2/5 des femmes, cela tient de l’épidémie massive. Cependant un petit calcul montre une réalité très différente derrière l’effet d’annonce.

geneve,violence domestique,violence conjugale,statistiquesRemise en perspective annuelle

 

On a l’habitude de statistiques annuelles. Or dans les chiffres ci-dessus toutes les années d’une vie sont additionnées. 38 % sur une vie : combien cela fait-il de personnes par année ? La durée moyenne de vie est de plus de 80 ans pour les femmes, un peu moins pour les hommes. Les mineurs peuvent aussi subir une violence familiale, je ne les retranche pas. 38 % de femmes et 25 % d’hommes en 80 ans cela donne respectivement 0,475 % et 0,4 % par année. Environ 0,4 % annuellement ? C’est une délinquance quantitativement minime. Le chiffre est trop faible pour donner l’alerte dans la population. La vérité est qu'il n'y a pas d'aspect massif. 

 

Ces chiffres résultent d'ailleurs de déclarations personnelles et non de statistiques vérifiables. Même s'ils dérangent parce qu'il ne correspondent pas au standard féministe des 98 % de victimes femmes et 2 % de victimes hommes, ils sont discutables. 

 

Depuis quelques années les campagnes médiatiques ont évolué. Pendant longtemps on citait le nombre de femmes agressées annuellement, que ce chiffre soit démontré ou non. De plus en plus les campagnes mettent en avant des données sur une vie - permettant ainsi de présenter des chiffres à la hausse et de dramatiser un peu plus la situation - ainsi que le chiffre des homicides conjugaux. 

 

Ces derniers présentent des variations inexplicables. En 1999 le site de SOS Femmes annonçait 400 décès de femmes tuées par leur compagnon en France. En février 2001 le rapport Henrion affirme : « En France, une femme meurt de violences conjugales tous les cinq jours », soit 73 décès imputables à l’homicide conjugal. Aujourd’hui le chiffre tourne autour de 120 femmes et 30 hommes. Comment est-on passé de 400 à 73 en deux ans, puis à 120 ? Mystère. Aucune analyse critique des résultats par les instances officielles n’est disponible. Or ces variations mettent en cause l’ensemble des chiffres, des personnes et des instances qui les produisent, ainsi que les méthodes développées pour utiliser les femmes à leur profit en les victimisant. Aujourd’hui que les pires ennemies et exploiteuses des femmes sont les féministes elles-mêmes.

 

L’agence radical-féministe onusienne Onufemmes avance elle aussi des chiffres très politiques et invérifiables : « D’après les données nationales disponibles en fonction des pays, jusqu’à 70 pour cent des femmes sont confrontées à la violence physique ou sexuelle au cours de leur existence. » Rappelons-nous comment une féministe avait inventé de toutes pièces le chiffre de 300’000 femmes battues annuellement au Québec. L’affirmation fut reprise pendant presque 20 ans par le pouvoir et les tribunaux, jusqu’à ce que l’affaire se dégonfle. 

 

 

 

Statistiques à Genève

 

Le site de l’Etat de Genève fait référence à un rapport sur la violence domestique concernant l’année 2012. Détail amusant, le langage épicène est abandonné. Je cite : « Dans cette publication, le genre masculin est utilisé comme générique, afin de ne pas alourdir le texte et les tableaux. » Ben tiens…

 

 

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Statistiques policières des réquisitions

 

« Une réquisition - c’est-à-dire un cas qui implique l’engagement d’une ou plusieurs patrouilles pour gérer l’événement - parvient à la Centrale d’engagement de coordination et d’alarmes (CECAL), notamment par les numéros d’appels d’urgence 117 et 112. » 

 

En 2011 et 2012, les réquisitions pour violence conjugale représentent 1,9% du nombre total d’infractions commises dans le canton de Genève. La police dénombre au total 89’483 réquisitions, dont 667 pour violence domestique ( soit 0,75% de toutes les réquisitions, ou encore 0,14% de la population ). Suite à cela, seulement 49 mesures d’éloignement ont été prononcées, soit 0,05% de l’ensemble des réquisitions.

 

 

Statistiques pénales

 

A Genève encore on dénombre 66’423 infractions traitées par les tribunaux. La part des infractions pour violence conjugale est de 1,93%, soit 1282 cas.

 

Le tableau ( image 2, cliquer pour agrandir ) mentionne les types de violence domestiques déclarées. La violence psychologique arrive largement en tête. Mais quelles sont les formes de ces différents types de violence ? Un « Tu m’emmerdes avec tes conneries » lâché par énervement vaut-il un « Connard, looser, nul, débile !«  lancé de manière répétée ? Certainement pas. Un poignet tenu lors d’une discussion tendue est-il équivalent à un coup ? Toujours pas. Et quelle est la part de surinterprétation du comportement de l’autre, quels faits sont montés en épingle après coup, quelle vengeance d’une déception s’exprime dans les réponses, ou quelle misandrie habituelle, quel conditionnement est en jeu, pourquoi ne pas questionner le couple ensemble pour avoir deux paroles éventuellement contradictoires ( ou non ) plutôt qu’un discours univoque ? 

 

Cela n'est pas infondé quand on lit la définition de la violence psychologique dans le rapport cité par l'Etat de Genève : « Un membre de la famille/(ex-)partenaire vous menace, vous insulte ou vous dénigre. Il peut aussi se fâcher lorsque vous parlez à d’autres gens, essayer de limiter vos contacts avec vos amis ou insister pour toujours savoir où et avec qui vous êtes. » Cela laisse place à toutes les interprétations douteuses.

Les enquêtes de victimisation sont très discutables. Je ne crois pas plus au 25 % de victimes hommes qu’au 38 % de victimes femmes. Du moins en tant que victimes subissant un grave préjudice. La plupart des situations de tension forte sont gérées à 72 % par les couples eux-mêmes, et beaucoup ne portent pas plainte parce que l'incident n'avait pas une gravité suffisante. Demander aux gens de dire eux-mêmes s’ils ont été victimes, c’est déjà les inciter à y penser positivement - je veux dire à chercher s’ils ont pu l’être, à se chercher un peu victime.

 

geneve,violence domestique,violence conjugale,statistiques,Ainsi une prise de tête en couple peut être interprétée par la suite comme une forme de violence. Les gens qui répondent aux enquêtrices sont face à une forme d’autorité qui compte sur eux. Dans ces cas, c'est connu, une certaine loyauté s’instaure ( comme le montrait l'expérience de Milgram refaite ici sur France 2 ). Le questionné peut répondre dans le sens supposé du questionneur, pour différentes raisons d’ordre psychologique. Et quand on sait que dans la célèbre enquête de l’Enveff en 2000, 88 pages de questions serrées étaient assénées par téléphone aux interviewées, j’imagine sans effort qu’une complicité s’installe, puis un défaut d’attention vu le nombre d’éléments questionnés, ce qui pousse davantage la personne à vouloir satisfaire l’enquêtrice ou à grossir des détails. . 

 

Par ailleurs les hommes rechignent à se plaindre, ou même à considérer qu’ils sont maltraités. Ils en ont tellement l’habitude, leurs morts violentes et leurs souffrances font partie du patrimoine culturel masculin. Ce qui biaise les résultats. Les études ayant, en effet, largement démontré un seuil de perception de la violence nettement plus faible chez les femmes que chez les hommes. Une étude Suisse portant sur 200 hommes victimes note que sur les 10 % des victimes de violences graves ou ayant eu peur pour leur vie ’Aucun des hommes ... n’a porté plainte’. L’étude rajoute ’Certaines formes de violence sont si normales dans la vie d’un homme qu’elles ne sont pas perçues comme telles et que ceux qui les ont subies ne s’en souviennent pas toujours’ ... ou ’les refoulent telles les violences sexuelles’. Eva WYSS, ’Quatrième rapport de la Commission cantonale de l’égalité’, préc., p. 18 col. 1. et p. 20 col. 1. »

 

 

 

A retenir :

 

1. La violence domestique reste un délit de niche, n’ayant pas l’ampleur sociale presque épidémique qui est rabâchée. Un délit reste bien sûr un délit mais on ne peut tout mettre au même niveau de gravité.

 

2. Les enquêtes de victimisation n’offrent aucune garantie de vérité. Elles ne relatent que le sentiment plus ou moins manipulé de personnes anonymes.

 

3. Il est dit que seules 10 % des femmes victimes portent plainte, ce qui permet d’affirmer sans rire qu’il y aurait 80’000 viols par an en France ( alors, rappelons-le, que les tribunaux ne prononcent qu’environ 1’700 condamnations ). Les hommes, on le voit plus haut, ne dénoncent presque pas parce qu’ils ne se perçoivent pas comme victimes. Quant aux femmes, cette idée que seules 10 % d’entre elles dénoncent vient directement des… enquêtes de victimisation, celles-là même qui sont invérifiables et tendancieuses. Damned ! Il faut désormais douter par principe.

 

4. Les hommes s’estiment victimes à hauteur de 25 % ( 38 % pour les femmes ) : c’est invérifiable, comme pour les femmes. Je n’exclus d’ailleurs pas une forme de compétition victimaire, ni une influence de la médiatisation de ce thème dans le public - comme pour les femmes. Le sujet est désormais contaminé massivement par les enquêtes biaisées et les mensonges féministes relayés par des élus et journalistes couchés devant les Gorgones féministes. Plus on en parle, plus on y croit. Rappelons-nous cette vidéo spectaculaire qui illustre le biais aujourd’hui installé dans les relations entre femmes et hommes ( regarder au moins jusqu’à 2’ 15’’ ) :

 

 

 

 

 

 

Catégories : Féminisme, société 12 commentaires

Commentaires

  • HL, pour une fois nous allons amener de l'eau à votre moulin, vous en ferez ce que vous voudrez.
    Un de nos Membres Abrutis, An-artiste pour ne pas le nommer, fait l'expérience d'une plainte pour "violence domestique" dans le canton de Vaud.

    La plainte déposée TROIS MOIS APRèS LES "FAITS" par la femme qui partagea sa vie pendant 30 ans, voui, comme les "amis de trente ans" de la politique française, se fonde sur cet aricle de loi:
    http://www.vd.ch/themes/vie-privee/violence-domestique/
    Lien qui devrait vous plaire, par ses divers libellés, la dispute dans un couple est "normale" mais -toujours ce mais oui-... Lorsqu'on lit la suite, ben, la dispute est possible en chuchotant assis tout droit sur une chaise, avec le dictionnaire à portée de main...
    On peut même plus rigoler en cassant sa propre vaisselle par terre, sans personne dessous, nan!

    Pauvre An-artiste, qui va les oreilles basses jurant, mais un peu tard, "que la prochaine fois il sortira par la fenêtre"*...
    Parce que nous raconta le "cogneur" **, notre âne-artiste, alors qu'il était encore sous le coup de l'émotion, "après avoir demandé deux fois le libre passage il a "poussé", pas dans l'escalier, ni à travers les pièces, non, juste dégagé la porte pour pouvoir sortir par icelle, évitant ainsi une aggravation de la dispute... C'est tout!
    Heu... Ceci reste entre-nous, ce n'est pas des "aveux" qu'il nous à fait, là, c'est des racontars d'âne abruti, du "on dit" de seconde-main, du roman, n'est-ce pas Monsieur le procureur? La présomption d'innocence c'est pour tout le monde pas vrai?
    Et puis merde, finalement, nous Trio-Octet conseillons à toute personne poussée dans la rue, au café, en boîte, etc. d'aller poser un plainte au poste de police le plus proche, même si c'était il y a dix ans, ah! Que la justice et l'équité règne!

    Ce "délit" fait maintenant de lui un "prévenu" Donc notre An-artiste en vaut deux! Ce sera donc deux prévenus qui en feront quatre , etc. qui sont pris dans l'engrenage d'une procédure PENALE...
    Et comble du comble ce crimeu, est poursuivit d'office*... Notre An-artiste n'échappera à rien! AH!

    De plus, il est rigolo de lire les documents qu'il a reçu! Pas un seul libellé de la plainte, mais un document fait de collage d'article de loi, sur les obligations -évidemment en premier- et ses droits. Ben dans ses droits au pluriel,iên fait il y en a qu'un, celui de se faire accompagner par un défenseur, ou d'en demander un d'office!
    An-artiste est un fauché, c'est normal! Les artistes vivent d'amour (la preuuve) et d'eau fraîche, et de temps en temps il vont voler un vache enragée pour la manger! Belle mentalité!
    Revenons à nos moutons! Donc AN-artiste aimerait se voir prodiguer une défenseur gratosse... Surtout qu'il est écrit que tout ce qu'il dira servira de moyen de preuve, et AN-artiste, pour dire des conneries il est là, croyez-nous sur parole!

    Mais: Le document ne dit rien sur comment, et où donc que donc s'adresser... Il téléphone donc au procureur pour se faire procurer déjà une adresse...
    AHAHa! Nous vous le donnerions volontiers en milles HL, mais nous ne les avons pas! Figurez-vous qu'An-artiste doit lui écrire afin qu'il- le procureur donc- décide s'il est nécessaire qu'An-artiste ait un défenseur!

    Voilà comment les "droits" du prévenu, réduit dans les faits à un seul, est interprété dans le canton de Vaud!

    Depuis An-artiste qui est extrêmement parano, délire, prends des photos et des "selfies" toutes les 5 minutes lorsqu'il sort, pour pouvoir prouver où il était, des fois que son ex-compagne se cogne le doigt de pied, et aille l'accuser, etc... Et il se voit pendu en place publique à une corde tendue par un camion grue, comme... Voui! Il regarde trop la télè, même sans antenne...
    Voilà... C'est intéressant,comme fonctionnement, mais HL, celà ne fait pas de nous Trio-Octet, ni de notre membre, des hoministes, par cntre il est évident à lire la page du lien cité, que cette loi n'existe pas dans un hasard temporel, ni que son application démesurée, masque péniblement plusieurs formes de catégorisation anti catégories, racisme, "islamophobie", "genrisme" etc.
    Il provient aussi de la forme néo-calviniste et de ce qui répugne à la morale petite-bourgeoisie moderne. La devise "Chez nous, jamais un mot plus haut que l'autre"... Eric Berne disait de cette devise, qu'il aimerait bien savoir ce qui se passe dans la pièce du fond.
    Pour nous en ce qui concerne la "justice", il est clair qu'il est plus simple d'ouvrir des procédures à tire l'haricot (oui, pas de larigot), plutôt que de s'en prendre au crime organisé par ex. qui est lui beaucoup plus dangereux pour tout le monde, mais rapporte!
    Voilà l'Etat, voilà sa Justice, voilà sa Morale! écrivit Ernest Coeurderoy. Nous espérons ne pas nuire à sa mémoire en le citant, bien que heu, il ait poursuivi sa femme avec un pistolet avant de se suicider... Paraît-i, hein? Nous n'y étions pas, ni làà, ni avec An-artiste...

    *un peu comme le fait-divers arrivé dans votre ville il y a quoi, deux jours? -Ce serait intéressant d'interviewé le gars... Mpfr!-
    ** Comme titre la vidéo du site en lien...
    * Normal, pour éviter les pressions faites sur le plaignant

  • Trio, ce que vous écrivez confirme où nous sommes rendus. Je suis désolé pour votre ami. Après 30 ans de vie commune avec sa compagne, on tombe de haut... Je comprends sa parano.

    Le procureur n'est peut-être pas la bonne personne puisque son rôle est d'instruire à charge depuis la nouvelle loi pénale. Soit il connaît un avocat personnellement et lui demande des conseils sur la procédure, soit il va voir une permanence juridique pour savoir ce qu'il doit faire ou ne pas faire pour obtenir l'assistance juridique. Car l'assistance d'un avocat est indispensable. Il y a trop d'astuces que les justiciables ignorent.

    Sur les faits, je me demande d'abord qui ou quoi lui a mis en tête (à elle) l'idée de déposer plainte. Il y a très possiblement eu une interférence, quelqu'un à qui elle a parlé et qui l'a poussée (ce fut le cas dans mon affaire et cela a éclaté pendant le procès, la personne ayant été identifiée en live). Trois mois, elle a eu le temps de creuser, de voir des gens, de se préparer. Je connais... Ensuite quelle peut bien être sa motivation? Une vengeance? Une déception? Autre chose? Je pense utile que votre ami trouve quelques pistes, pour déjà se remettre d'aplomb en lui-même.

    Il faut démontrer, accumuler des éléments, si possible.
    Par ailleurs, selon ce que je comprends, elle lui bloquait la sortie et il a dégagé la sortie (donc il l'a déplacée). Or si elle bloquait la sortie cela tombe sous le coup de la loi: tentative de séquestration, voie de fait (par quoi on empêche une personne de disposer de sa liberté).

    En principe il faut s'attendre à une procédure éprouvante. La justice a parfois tout du troupeau d'hippopotames. Elle sera convoquée, va peut-être inventer d'autres choses pour épaissir le dossier. Par expérience j'ai constaté que plus c'est gros plus ça marche. De plus certains sont fous. Par exemple dans mon cas, boire un pot dans un bistrot près de la gare à Nyon est devenu une tentative de viol dans un café... Je le dis, il y a des malades dans cette profession. Des gens dont la tête n'est pas bien en place.

    Il faut accumuler tous les éléments de preuve: photos, lettres, vidéo, témoignages de proches, tout ce qui montrera qu'il n'y a jamais eu de tel épisode dans le passé. Il ne doit pas passer pour un habitué! Je dis cela parce que son avocate tentera probablement les manoeuvres les plus tordues. Il faut également cadrer précisément l'action, le stress dans lequel était votre ami en se voyant interdire de force le passage. C'est une contrainte et possiblement une menace. Il s'est défendu et a préservé le couple d'une dispute plus dure. La menace n'était d'ailleurs pas illusoire, la plainte en est la preuve.

    Il va aussi peut-être découvrir le spectacle de sa compagne en victime... Tout ce qui pleure fait mouche.

    Triste et moche tout ça.
    Pouvez-vous dire à votre ami que je suis désolé pour lui, sincèrement. Les disputes idéologiques sont une chose, ici c'en est une autre. Et il n'y a pas besoin de devenir hoministe... :-). Moi-même je ne me reconnais plus dans aucun de ce genre de terme. Je l'ai une fois utilisé dans le cadre de la co-rédaction d'une plate-forme, mais je n'ai jamais aimé les étiquettes réductrices.

  • Derrière tout ça, il n'est question que de fric. Les plaintes et gémissements n'ont que cet objectif. Mieux vaut s'en rendre compte tout de suite...

  • Trio, deux liens pour la demande d'assistance judiciaire Vaud:

    www.vd.ch/themes/etat-droit-finances/justice/themes-de-justice/assistance-judiciaire-en-matieres-civile-et-administrative/

    www.vd.ch/fileadmin/user_upload/themes/etat_droit/justice/fichiers_pdf/Assistance_Judiciaire_Formulaire.pdf


    Géo: c'est en général cela. Ou une vengeance.

  • "Ou une vengeance." On se venge avec du fric. C'est plus efficace que le coup de revolver ou de dague dans le dos...

  • HL, merci d'abord d'avoir passé notre commentaire, et aussi de la sympathie envers notre membre doublement Abruti dans votre réponse, que nous allons lui transmettre, ou qu'il découvrira lui-même, ainsi que les liens qui suivent...

    Certes, les crêpages de chignons idéologiques (heureusement que nous ne vivons pas sous le même toit,imaginez si d'un blog voisin, à cause du bruit des claviers il y eut un appel à la police, vu que c'est poursuivi d'office, nous serions tous... ;-) Car la violence domestique s'entend dans toutes les formes d'habitations communes, voui!...) les crêpages de chignon idéologique sont une chose, mais si la réalité réelle démontre alors pas de chignonnage... Au contraire, il s'agit de faire avancer tous les sch. chmilblik!

    Nous pensons aussi qu'il y a une tierce personne, An-a peut même dire qui, quand il analyse, évidemment il peut se tromper, et il va falloir... Le pire c'est que, sans entrer dans le scabreux, il semble que ce soit un personnage de vaudeville sinistre, qui lui même et poursuivit pour voie de faits sur son ex-copine, (et là l'ex-copine à des preuves) et que l'amie de 30 ans d'An-a, était copine avec l'ex, et un peu plus avec lui, et ... bref, le sac de noeuds (sic) dans le nid de vipères! Et nous avons évité le scabreux, juré!

    Il doit aussi y avoir vengeance, de quoi, An-artiste se pose encore la question, mais dit-il, "on peut faire un tort affectif sans s'en rendre compte, si l'autre n'exprime rien"

    L'argent comme écrit Géo? AN-artiste est tellement fauché qu'il n'a pas grand-chose de valeur, hormis (et très potentiellement) ses œuvres qui sont toujours là-bas, ou il n'a plus accès... Donc...

    Il suffit, c'est vraiment trop pour nos orteilles, voui les orteils aussi, oreilles voulions nous écrire, d'Ânes-Abrutis...

    Si vous le désirez nous vous tiendrons au courant, pas de chaque épisode mais de la suite.
    Bon week-end, enfin Bon dimanche HL & Géo

  • Merci Trio.
    Oui j'aimerais connaître la suite à l'occasion.
    Et je suis à disposition si je peux être utile par ma propre expérience.
    Bon dimanche.

  • J'ai frappé une seule fois une femme dans ma vie. Je lui ai tiré une baffe et le résultat fut spectaculaire. Non seulement elle s'est immédiatement calmée, mais en plus elle m'a sauté dessus pour faire l'amour.
    Je n'ai jamais compris ce qui s'est passé, mais je peux dire avec certitude que cette baffe, elle la réclamait.

  • justice à deux vitesses, cet homme à été rapidement condamné pour violences psychologiques sexuelles, euh (verbales ça fait doublon avec psychologiques) il n'est pas fait état de violences physiques !!!

    http://www.leprogres.fr/jura/2015/07/13/jura-trois-ans-de-prison-pour-avoir-fait-vivre-un-calvaire-a-sa-compagne

    9 avril : ALLEZ MAXIME (suite). AU PROCES DE ZACHIA MEDKOUR, LA PROCUREURE DENONCE LA SOUS-QUALIFICATION DE L’AFFAIRE, LIEE AU FAIT QUE LE CONJOINT VIOLENT EST UNE FEMME, ET LE CONJOINT VICTIME UN HOMME

    Zachia Medkour s’est présentée cette fois (voir 29 janvier) devant la 24e chambre correctionnelle de Paris, dans une salle pleine de journalistes. Le GES était là, mais, comme on pouvait s’y attendre, les assos pseudo-féministes prétendument spécialisées dans la violence conjugale ont brillé par leur absence.

    - il a fallu attendre presque trois heures, soit la toute dernière phase du procès, pour entendre ZM exprimer, dans un sanglot un peu mécanique, des regrets et des excuses par rapport à Maxime. lesquels n’ont convaincu personne, tant son attitude durant la matinée a dénoté de cynisme et d’inconscience..

    - son système de défense a consisté à invoquer, pour atténuer sa responsabilité, la prise régulière d’alcool et de cannabis (ce qui n’est pas vraiment disculpant...) et la sujétion à des troubles bipolaires, maladie qui se serait déclarée "au moment où j’ai rencontré M.Gaget" (ce qu’aucun certificat médical n’est venu étayer).

    - ne doutant de rien, elle s’est d’autre part efforcée de décrire sa relation avec Maxime comme celle d’une protection, voire d’une prise en charge ! Quand elle l’a connu, "il était dans un piètre état psychologie". Si elle lui a confisqué ses papiers, c’est parce qu’il risquait de les perdre quand il dormait en centre d’hébergement, mais "ça ne partait pas d’un mauvais sentiment" !

    - l’évocation de son enfance difficile aurait pu émouvoir l’assistance. mais cela s’est dissipé à l’évocation d’autres actes commis après le départ de Maxime. par exemple la menace de fausse accusation à son encontre, faite par téléphone : sa fille tenant le combiné, elle lui fait dire "N’oublie pas que tu nous as montré ton zizi !". Ou encore le fait qu’elle ait été condamnée à deux reprises, en 2009 et 2011, pour des faits de violences à l’encontre de ses deux enfants, alors même qu’elle était sous contrôle judiciaire !

    - en tous cas, Aurélie Belliot, la procureure, ne s’en est pas laissé conter, et son réquisitoire a été très à charge. Mieux : elle a dénoncé explicitement le traitement favorable dont a bénéficié l’accusée depuis le dépôt de plainte, à savoir :

    * pas un seul jour de détention provisoire (alors qu’on a vu ensuite que sa dangerosité restait intacte)
    * allongement interminable de la procédure (cinq ans), avec de nombreux reports accordés à l’accusée (trois reports pour les seules confrontations, un report du procès) ;
    * et surtout sous-qualification : l’affaire est corectionnalisée, comme si elle ne concernait que des violences simples, alors qu’il s’agit en fait d’actes de torture et de barbarie, qui méritent largement les Assises.

    La procureure a clairement exprimé que si la victime avait été féminine, les choses ne se seraient pas passées ainsi. Elle a été jusqu’à présenter ses "excuses" à Maxime, et demandé la peine maximale par rapport à la qualification, à savoir 5 ans de prison ferme. Le jury a fixé le résultat du délibéré au 28 mai.

  • http://www.metronews.fr/info/violences-conjugales-la-tortionnaire-de-maxime-gaget-condamnee-a-18-mois-de-prison/moeB!DG1QjzLS0dEZE/

    et en plus elle n'ira même pas en prison

  • il aurait usé de violences psychologiques, verbales et sexuelles quotidiennes sur sa compagne.

    j'aime bien "il aurait"

    ça vient peut-être que les violences qu'il a commise sont non vérifiables, ce ne sont peut-être que des affirmations de sa compagne.

    s'il y avait des témoins le journaliste n'aurait peut-être pas écrit il aurait !!!

  • http://pleinair.net/actualites-regionales/23-vie-locale/57881-justice-la-victime-vivait-un-veritable-calvaire

    là on n'en sait pas plus, même pas de quel type de violences il s'agit, les voisins ont appelé les forces de l'ordre parce qu'ils ont entendu une dispute, on suppose, homme immédiatement interpellé comme au Canada, jugé en comparution immédiate, cette femme affirme quelle subissait de la violence quotidiennement, donc elle était passive, et en étant passive il faisait suffisamment de tapage seul pour alerter les voisins, si elle n'était pas passive alors elle est co-responsable de la violence dans le couple.

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