Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Violence domestique : le grand lavage de cerveau, selon Erin Pizzey

De nouveaux chiffres en Suisse le démontrent. Les hommes ne sont pas auteurs de 98% des violences domestiques, comme le prétendent les associations féministes. Ils sont aussi victimes. Dans des proportions très importantes depuis des années.

 

violence domestique,violence conjugale,hommes victimes,féminisme,erin pizzey,face a face,suisse,canada,santé,maltraitance,enfants,allo119,gage,La violence n’a pas de sexe

 

Au point où l’on peut se demander aujourd’hui pourquoi rien n’a été entrepris à propos des hommes victimes. Un reportage de la télévision suisse romande le disait hier soir: un quart des violences domestiques est commis par des femmes ou des adolescentes (vidéo à la fin). 

 

Ce chiffre avait déjà été mentionné en août par GHI. La directrice de l’association Face à Face, qui reçoit en consultations des auteurs de violence, en témoigne. Madame Claudine Gachet suit ces situations depuis des années et en parle avec objectivité et honnêteté:

 

« La société doit accepter de changer le regard qu’elle porte sur les femmes et les mères en matière de violence. La violence n’est pas l’apanage d’un sexe ou d’une tranche d’âge, tout individu peut en effet être auteur de violence une fois dans sa vie à des échelles différentes. Reconnaître la violence commise par les femmes est une réelle nécessité dans la lutte contre la violence et sa transmission de génération en génération. »

 

 

Coups, insultes

 

Le gratuit genevois commence son article par cet exemple:

 

violence domestique,violence conjugale,hommes victimes,féminisme,erin pizzey,face a face,suisse,canada,santé,maltraitance,enfants,allo119,gage,

« Maria, 33 ans, mère de trois enfants – 2, 6 et 9 ans – a vécu une vie familiale bouleversée pendant plusieurs années. Cris, claques, coups faisaient partie de son quotidien. Mais ce n’était pas elle la victime. Non, c’était madame qui frappait, c’était madame qui blessait psychologiquement son mari, ses gosses. Parfois son époux se défendait et rendait les coups. (…) Son mari ne l’a jamais dénoncée à la police. Ses enfants accusaient les coups. »

 

On pense que les femmes ne frappent pas parce qu’elles sont moins fortes. C’est faux. En réalité leur moindre force est une arme car l’homme n’ose pas répondre aux coups. Peur de blesser, peur d’être ensuite présenté comme le seul auteur. Et les hommes n’ont pas de culture victimaire comme les femmes modernes l’ont développée sous l’influence de la littérature bourgeoise (p.e. Madame Bovary, de Flaubert et autres) ou du féminisme.

 

Les femmes dénigrent, insultent, crient, menacent, font du chantage, et cognent aussi ou jettent des objets. Quant aux adolescentes, elles deviennent de plus en plus violentes, agressives, injurieuses et vulgaires, traitant les garçons de tous les noms et s’insultant ou se cognant entre elles. Les petits frères peuvent devenir des souffre-douleurs.

 

Depuis 1971, et encore récemment en 2014, Erin Pizzey, féministe de la première heure qui a fondé le premier centre pour femmes battues en Angleterre, déclare que les féministes mentent sur la violence domestique et que les femmes sont aussi violentes que les hommes. Elle a été attaquée physiquement et menacée de mort à cause de cela.

 

« Oui, les chiffres de la criminalité britannique montrent que la violence domestique est pratiquement égale entre les hommes et les femmes. Vous dites un mensonge assez longtemps, comme Goebbels l’a dit, et vous pouvez laver le cerveau de toute la communauté. C’est ce qui est arrivé à ce sujet. »

 

violence domestique,violence conjugale,hommes victimes,féminisme,erin pizzey,face a face,suisse,canada,santé,maltraitance,enfants,allo119,gage,

(Yes, the British Home crime figures show virtually equal between men and women, domestic violence. It doesn’t matter how often you say this, or you point it out. You tell a lie long enough, Goebbels said, you can brainwash the entire community. And that’s what’s happened here.)

 

 

Et ailleurs?

 

La proportion d’auteurs en Suisse est donc de 1/4 de femmes pour 3/4 d’hommes. 1/4 de femmes auteurs, cela n’est plus marginal comme les groupes féministes l’affirment. A Genève en 2014 près de 3’700 personnes ont déclaré être victimes de violence conjugale. Au niveau cantonal cela représente 0,76% de la population. 

 

Une étude de 2004 résumait qui fait quoi, sur la base de déclarations volontaires (images 3, cliquer pour agrandir). Les femmes reconnaissent bousculer, frapper, rouer de coup, autant que les hommes. Elles menacent et rabaissent deux fois plus que les hommes.

 

En France le taux est plus élevé, soit 42%. de victimes hommes en 2011. Presque la moitié des victimes! Aucune mention n’en est faite dans les campagnes officielles. Un homme victime a récemment publié un livre: Ma compagne, mon bourreau. Sa compagne a été condamnée a une forte peine de prison pour violences répétées. 

 

violence domestique,violence conjugale,hommes victimes,féminisme,erin pizzey,face a face,suisse,canada,santé,maltraitance,enfants,allo119,gage,

La France fournit un autre indicateur: celui des enfants maltraités. Le centre d’appel de la SNATEM, qui reçoit les demandes d’aide via le numéro Allo119, rend un rapport annuel. Les chiffres sont stables. En 2014, plus de 50% des auteurs de maltraitance étaient les mères, et 30% étaient les pères (lire ici, page 37). Ces appels donnent lieu soit à une AP (aide immédiate), soit à une IP (information préoccupante) auprès des services concernés.

 

Au Canada un indicateur est en place depuis 30 ans. Les chiffre des enquêtes de victimisation sont publiés régulièrement. En 2009 par exemple un peu plus de la moitié des 17’608 victimes auto-déclarées étaient des hommes.

 

Aux Etats-Unis une enquête téléphonique réalisée en 2010 par le Centers for Disease Control and Prevention auprès de 18’000 personnes révèle que les hommes sont plus souvent victimes de violence domestique que les femmes:

 

« According to the CDC’s statistics — estimates based on more than 18,000  telephone-survey responses in the United States — roughly 5,365,000 men had been victims of intimate partner physical violence in the previous 12 months, compared with 4,741,000 women. By the study’s definition, physical violence includes slapping, pushing, and shoving. »

 

Trad Google: « Selon les statistiques de la CDC - estimations fondées sur plus de 18.000 réponses téléphonique enquête aux États-Unis - environ 5.365.000 hommes avaient été victimes de violence physique de leur partenaire intime au cours des 12 mois précédents, comparativement à 4,741,000 femmes. Selon la définition de l'étude, la violence physique comprend gifler, pousser, et bousculer. »

 

 

Pourquoi ce tabou?

 

violence domestique,violence conjugale,hommes victimes,féminisme,erin pizzey,face a face,suisse,canada,santé,maltraitance,enfants,allo119,gage,

On n’est clairement plus dans l’anecdote. Pourquoi alors ce silence officiel sur la victimisation masculine? Parce que l’on n’y croit pas. Les femmes bénéficient culturellement de leur image de moindre force. Elles doivent être protégées et ne peuvent être criminelles comme les hommes. 

 

Le féminisme toutes tendances confondues continue d’ailleurs à surfer sur l’image de la femme à protéger. Etrange conception de l’autonomie des femmes. Dans toutes les initiatives politiques, en particulier en France sous l’impulsion de la ministre féministe intégriste Najat Vallaud Belkacem, des millions sont alloués à la défense des femmes et à leur protection. Rien pour les hommes. 

 

La pensée, l’essentialisme qui en résulte, est que les femmes sont des êtres faibles et à protéger. Le féminisme tire une balle dans le pied de toutes les femmes. Alors quand la richissime Emma Watson, nantie parmi les nanties, fait pleurer l’ONU, quand Jennifer Lopez se réclame du féminisme presque à poil sur scène, quand les riches actrices se présentent en victimes parce que moins payées que certains acteurs, on peut doucement sourire.

 

Les hommes n’ayant pas de culture victimaire ils se plaignent peu des violences subies et n’aiment pas se déclarer victimes, alors qu’il semble que cela soit valorisant pour beaucoup plus de femmes. De plus le féminisme a fait son fond de commerce de la femme victime. L’idéologie que certains qualifient à juste titre de marxisme culturel fonctionne essentiellement sur l’idée que les femmes sont les victimes opprimées. La violence domestique est donc devenue une chasse gardée et le réflexe est instauré: femme = victime, homme = bourreau. Ne voir les femmes que comme victimes en dit long sur le mépris des féministes à l’égard des femmes.

 

 

violence domestique,violence conjugale,hommes victimes,féminisme,erin pizzey,face a face,suisse,canada,santé,maltraitance,enfants,allo119,gage,

L’argent, clé de la guerre des sexes

 

Une autre raison du tabou est que les associations féministes refusent que le thème des hommes victimes soit abordé. La misandrie leur sert de levier pour toucher de l’argent. Les politiciens versent des sommes astronomiques aux associations de défense des femmes. C’est un investissement électoral. Un groupuscule de 10 nanas hargneuses peut faire capoter la carrière politique d’un homme. Ceux-ci ont peur. Ils se soumettent, tel le pleutre François Hollande. 

 

On voit comment un groupuscule comme le collectif Georgette Sand arrive à faire le buzz en France à propos du prix des rasoirs jetables. Elles ont une audience démesurée par rapport à leur nombre et leur représentativité. Comme pour les groupes LGBT. Il faut dire que derrières ces groupes, directement ou non, il y a une même poignée d’agitateurs et d’agitatrices.

 

Le tabou est maintenu pour ne pas partager cette manne publique avec des groupes d’hommes. Sans quoi, dès aujourd’hui 25% des subventions devraient aller à des représentations d’hommes en Suisse, 42% en France, 50% au Canada et aux Etats-Unis! Beaucoup de misandres planquées perdraient leur travail.

 

 

violence domestique,violence conjugale,hommes victimes,féminisme,erin pizzey,face a face,suisse,canada,santé,maltraitance,enfants,allo119,gage,Deux adresses à Genève

 

On peut toujours mettre en cause les auto-déclaration de victimisation. Elles ne sont ni vérifiables ni vérifiées. L’époque aime les victimes, il faut donc se méfier. Et puis, une anonyme questionnée par une enquêtrice dans un climat où la simple critique vestimentaire fait partie de la liste des violences domestiques, peut être tentée de se déclarer victime et faire gonfler les chiffres. Je sais comment on peut se présenter en victime, être crue et déclencher une chaîne de solidarité sans que personne ne vérifie. Je ne suis plus dupe. Mais la société dans son ensemble l’est encore.

 

Ma position de principe est de ne prendre en compte que les faits jugés par les tribunaux. Mais ici je retiens les chiffres tels qu’ils sont habituellement présentés à la presse.

 

Le 25 novembre aura lieu la Journée internationale contre les violences faites aux femmes. Elle est organisée par l’Onufemme, organisme gangrené par les féministes et totalement misandre. Le biais de la femme universellement victime est bien en place. Rien sur les hommes. Ou des ricanements et sourires condescendants.

 

En attendant que des politiciens aient le courage d’aborder publiquement cette question et proposent ouvertement des politiques publiques préventives, voici deux adresses utiles:

 

 

 

 

 

 

Catégories : Féminisme, Politique, société 17 commentaires

Commentaires

  • Un petit lien pour vous défendre contre ceux qui iront dire que la femme violente est le résultat de violences de la part de son compagnon.

    http://www.medicaldaily.com/domestic-violence-against-men-women-more-likely-be-intimate-terrorists-controlling-behavior-290662

  • Aussi utile lorsqu'ils prétendent que la violence résulte d'un sexisme à l'égard des femmes.

  • Merci pour le lien. En effet.

    Et cette violence, par sa faible empreinte sur la société ainsi que par la présence si importante des femmes en volume dans les statistiques, annule les théories d'une supposée domination masculine et autres.

  • L'une de mes voisines a mis à la porte son mari : après lui avoir ouvert la lèvre supérieure il y a quelques années, lui avoir balancé devant leurs enfants qu'il "dépensait trop pour lui", allait au cinéma seul (Mme n'aime pas le cinéma), elle contrôlait ses achats et ses factures et même lorsqu'il préparait les repas, repassait et participait aux travaux ménagers Madame se plaignait !!!

    Conclusion de tout cela : il est parti il y a deux mois et IL REVIT !

    Et maintenant Madame se plaint qu'elle doit ... tout faire à la maison !!!

    Oui Hommelibre certaines femmes sont violentes et intrusives y compris avec les autres femmes à un tel point que j'ai dû en remettre quelques unes à leur place y compris ma voisine !

  • Il faut faire la différence entre des pays comme la Suisse, France et d'autre pays parfois du monde musulman, de l'Inde, etc...

    Dans ces autre pays, il y a de grandes violences faîtes aux femmes qui va jusqu'au meurtre sans que les coupables soient condamné. Mariages forcée, fillette assassiné parce le souhait est d'avoir un garçon, etc..
    Il n'est donc pas improbables que dans certains pays, on est proche de 90% ou plus.

    L'ONU sait que les pays occidentaux ont les moyens de sensibilisés, de combattre.
    Ces journées s'adressent certainement moins à des pays comme le nôtre.

    Chez nous, la majorité des jugements sur la violence domestiques concerne des étrangers. On peut donc imaginer, si on prend que les suisses, un rapport non pas de 1/4, mais peut-être 1/3.

    Le plus important, ce sont moins les chiffres que la difficulté des femmes et des hommes d'en discuter. Et en parler sur un blog ou ailleurs, ça peut effectivement les aider à se sortir du silence.

  • @ Glog : pas tout à fait d'accord avec 1/3 pour les suisses uniquement.

    Ayant travaillé plusieurs années chez des avocats, y compris chez des pénalistes, la violence domestique hommes/femmes est sans doute la même que pour les autres couples, simplement elle passe plus discrètement par peur du "qu'en dira-t-on". En revanche, elle se dévoile très bien au moment où une procédure en séparation et/ou divorce se réalise.

    Je pense aussi que les couples dits "bi-nationaux" ont souvent plus de difficultés pour cause de culture et d'éducation que les autres couples.

    Il faut aussi réaliser que ce sont les enfants qui en supportent les conséquences et que souvent ils reproduisent ce qu'ils ont vécu enfants et c'est là où le bât blesse. Il s'agit donc d'anticiper une possible dérive lourde de conséquence.

  • ". En réalité leur moindre force est une arme car l’homme n’ose pas répondre aux coups. Peur de blesser, peur d’être ensuite présenté comme le seul auteur." bien vu

    et quel est le pourcentage d'hommes ayant oser répondre aux coups, qui n'auraient pas user de violence physique si leur compagne ne les avait pas pousser à bout !!! donc ne serait pas rentrés dans la case homme violent.

    la compagne dans ce cas là est bien responsable de la violence dans le couple.

    et ceux qui n'osent pas répondre à la violence physique où psychologique sont extrêmement nombreux, mon épouse l'estime au tiers.

    ça serait bien de faire une enquête sérieuse sur cette réalité.

    le problème actuellement, avec les mensonges féministes les femmes n'ont plus de contre pouvoir dans les couples.

  • Bonjour,

    Il m'a fallu longtemps avant d'accepter que j'étais victime de violence de la part de mon ex-épouse. Pourtant quand j'ai trouvé que la vie conjugale ne pouvait plus être viable, j'ai entamé une procédure de séparation. J'ai dénoncer ses comportements violents: menaces d'infanticide, menace de suicide, menaces d'envoyer notre voiture avec notre petite famille dans les décors, cris...
    Il y a eu une "enquête" du SEJ. Résultat : pour le bien de la mère, donc des enfants, il ne faut pas lui retirer les enfants... Monsieur a un problème de communication, n'est pas suffisamment à l'écoute des besoins de la maman.( j'ai dormi des mois qq heures par nuits pour tenir la baraque pendant qu'elle était en arrêt maladie pour "pétage de plomb).
    Actuellement, cela fait 5 ans que nous sommes en procédure, 5 ans que je vis en dessous du minimum vital, sous son emprise économique avec les enfants la moitié du temps, des années que mon ex-épouse souffre pour des violences dont je ne suis pas l'auteur.

    J'aimerais juste être entendu au tribunal, que mes enfants n'entrent pas dans un cycle de violence à leur tour et que je puisse vivre et non survivre.

    Alors tant que les tribunaux, autorités et divers services manqueront de bon sens et du sens du biens communs, il n'y aura pas de diminution de violences domestiques.
    Selon une étude canadienne que j'ai lu quelque part sur la toile, le canada, après avoir cesser de croire que seul l'homme pouvait être violent, aurait réussi à diminuer le nombre de violence domestique. Le résultat proviendrait d'une politique plus dur à l'encontre de la personne usant de la violence dans la famille.

    Comme le sej,la lavi, le bureau de l'égalité... relèvent du département des affaires sociales aux mains des socialistes ou féministes, il ne faut pas attendre de gros changements. J'ai moi-même bien tenté, on m'a mis ça de plus de bâtons dans les roues. Pour l'instant je ne lâche pas (pour mes enfants), mais j'ai perdu beaucoup de force.

    Le jour où il y aura une vrai prise en compte des violences, ce sera bénéfique pour notre jeunesse, la famille et les impôts. Les coûts économiques de la violence doivent être assez gigantesque.

  • Oups qq fautes d'orthographes. Pas facile d'écrire depuis un téléphone.

  • Si 75% victimes de violence conjugale sont des femmes, je pense qu'il est difficile de dire "stop féminisme".
    Si la violence "n'a pas de sexe", pourquoi y a t'il eu l'an dernier 118 femmes et 25 hommes tués en Francepar leurs conjoint(e)s et non la même proportion??
    Qaund aux chiffres de stats Canada, on voit que dans 35% des cas, la violence subie par une femme est une violence dite grave et que c'est le cas pour seulement 10% des hommes.

  • @ Gontran:

    Si le féminisme était quelque chose d'honnête, les violences contre les hommes seraient reconnues, les budgets partagés, les campagnes initiées en commun, la question débattue sans charger un genre et victimiser l'autre. En France c'est 60%-40%, au Canada 50-50 environ. Faut-il cette épicerie pour commencer à voir la violence non pas comme un simple comportement masculin mais comme un fait supra-genré? Quel est l'intérêt à ce déni?

    Dans certains domaines en effet certains hommes manifestent une violence plus extrême, comme dans les homicides conjugaux. (Le chiffre est par ailleurs non significatif: 118 meurtriers hommes sur 25 millions d'hommes adultes). Dans d'autres domaines comme la maltraitance aux enfants les mères sont presque deux fois plus en cause que les pères.

    Sur la gravité des violences est-ce vraiment relevant? Quand on sait que la moitié environ des violences de couples sont commises sous l'emprise de l'alcool, chacun perd les notions. Ce serait intéressant à analyser sans poser de biais initial.

  • @ Gontran

    si Erin Pizzey a tiré la sonnette d'alarme sur la malhonnêteté foncière du féminisme il y a bien une raison.

    Erin Pizzey (1939- ) : écrivaine anglaise très intéressée par la condition féminine, mais hors idéologie ; elle ouvre en 1971, à Chiswick, le premier centre pour femmes victimes de violences conjugales. Dix ans plus tard, après avoir reçu cinq mille femmes et perdu beaucoup d’illusions, elle raconte son expérience dans Prone to violence (Enclin à la violence, 1982). Elle y fait plusieurs constats politiquement incorrects : la moitié des femmes venues dans ce centre sont elles-mêmes violentes ; leur misère est exploitée par des encadrantes sexistes qui les poussent à la haine des hommes en général ; la violence conjugale est devenue une industrie dotée de budgets énormes que des groupes idéologiques essaient de capter à leur profit. La publication de ce livre déclenche contre elle une véritable hystérie, au point qu’elle a besoin d’une protection policière pour en faire la promotion. Il devient un livre maudit : jamais traduit en français, et accessible seulement dans quelques bibliothèques du monde. Elle continue, dans des articles, à démonter et à dénoncer les mécanismes de l’idéologie misandre.

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2013/08/03/temp-fb9e675109d6e9f144983b383e12ffa2-245135.html

    Je me contente pour terminer de cuiter Erin Pizzey. Cette féministe anglaise de la génération 1970, fut fondatrice du premier centre d’hébergement pour femmes battues en Angleterre il y a 30 ans, et auteur du livre «Enclin à la violence» dans lequel elle lève le tabou de la violence féminine. Le rapport Wyss mentionne les premières maisons d’hébergement pour femmes victimes de la supposée violence systémique des hommes, ces gros prédateurs mangeurs de lapinous. Je rappelle donc qu’Erin Pizzey écrivait: «Je travaillais à Santa Fe au Nouveau-Mexique, sur des cas de mauvais traitements envers des enfants et contre des pédophiles. Voilà où j’ai découvert qu’il y avait autant de femmes pédophiles qu’il y a d’hommes. Les femmes restent indétectées, comme d’habitude.» Cela c’est pour un aspect de la violence contre les enfants. En France la maltraitance contre les mineurs est deux fois plus actée par les mères que par les pères selon la SNATEM, et l’infanticide maternel est plus répandu que celui des pères.


    société,loi.protocole d'Istanbul,violence conjugale,erin pizzey,hommes,femmes,violence,Erin Pizzey écrit encore ceci ceci:

    «Il y a autant de femmes violentes que d'hommes violents, mais il y a beaucoup d'argent investi dans la haine des hommes, en particulier aux États-Unis. J'ai du avoir une escorte policière partout ou j'allais parce que je recevais des menaces de mort et des alertes à la bombe à mon domicile (ndla: de la part de féministes mécontentes de ses propos).

    D'innombrables personnes des deux sexes sont enclines à la violence, proie d'une dépendance profonde à la brutalité. J'ai osé dire publiquement que les femmes pouvaient être aussi violentes que les hommes et que les femmes étaient bien pus violentes psychologiquement que les hommes.

    A ce moment, j'étais nettement devenue l'ennemie. Les hommes à cette époque ont pris le mouvement entier comme une plaisanterie, mais c'était loin de l'être, comme vous le confirmeront ceux qui sont privés de leur foyer te leurs enfants. Attaqués avec férocité par des avocates féministes te des thérapeutes, les hommes étaient quotidiennement société,loi.protocole d'Istanbul,violence conjugale,erin pizzey,hommes,femmes,violence,misandrie,race,hitler,dépossédés de leur maisons, de leurs enfants et de leurs revenus. L'idée que nous devions travailler avec les hommes était une hérésie pour ces femmes.»

  • suite

    "Si 75% victimes de violence conjugale sont des femmes"

    quelles sont vos sources ?

    10% de la violence conjugale est physique le reste est psychologique. du style remarque sur l'habillement et autres fadaises.

    et erin Pizzey reconnais que les femmes sont bien plus violentes psychologiquement que les hommes, à quand une enquête honnête sur les violences psychologiques que subissent les hommes !!!

    et dans la violence physique dans la majorité des cas les femmes sont co-responsables de la violence dans le couple.

    "Le cercle vicieux de la violence
    La violence est la conséquence d'une dynamique relationnelle inter¬active due à l'incapacité des deux partenaires à développer une intimité empreinte de respect et d'appréciation des différences existant entre l'homme et la femme. Comment expliquer, autrement, que la violence a tendance à se répéter à l'intérieur d'un même cou¬ple? Comment expliquer qu'une femme battue par un conjoint se retrouve avec un deuxième conjoint, parfois même un troisième, qui exercera lui aussi de la violence ? En accusant tous les hommes d'être des violents (ou des violeurs) en puissance ? Ou en supposant une co-responsabilité des deux conjoints dans la construction d'une situation qui mène immanquablement et inexorablement à l'explo¬sion émotive et physique ? Pourquoi dit-on qu'il faut être deux pour se disputer, mais qu'on n'ose pas poser le même diagnostic lors de violence conjugale? Pourquoi les policiers arrêtent-ils l'homme lorsque des voisins appellent pour tapage dans l'appartement d'à côté? Pourquoi, sur simple allégation de sa conjointe, des maris passent-ils régulièrement la nuit en prison ? Parce que notre esprit humain, conditionné par la notion du bien et du mal, fonctionne de façon bipolaire et recherche donc un coupable et une victime. Tout cela ne peut qu'entretenir le cycle infernal de la violence.
    Est-ce si difficile d'admettre qu'en dehors des situations où l'agres¬seur^) puisse être mentalement et profondément perturbé(e), il y
    a toujours deux victimes dans les cas de violence conjugale (sans compter les enfants témoins de cette violence) et deux co-créateurs de cette escalade vers l'explosion physique, peu importe le sexe de celui ou celle qui passe finalement à l'acte. Le refus ou la négation de cette double responsabilité constitue un obstacle à la prévention de la violence conjugale.
    Les travaux rapportés par le psychologue Daniel Goleman ont levé un voile sur la genèse de la violence relationnelle des « ennemis intimes » en disant tout d'abord que les scènes de ménage font beau¬coup moins peur aux femmes qu'aux hommes, celles-ci étant mieux pourvues biologiquement pour gérer le stress. Les hommes sont plus rapidement submergés par l'attitude négative et les critiques de leur partenaire. Cette submersion se manifeste par de nombreux signes physiologiques: sécrétion d'adrénaline, augmentation de la tension artérielle, accélération du rythme cardiaque, tensions musculaires... La deuxième étape de l'escalade survient lorsque, pour retrouver son calme, l'homme se retranche dans le silence ou s'éloigne de sa parte¬naire en sortant de la pièce: c'est alors que toutes les réactions phy¬siologiques décrites pour l'homme se déclenchent chez la femme. Pour elle, la solution consiste à rétablir la communication pour régler le différend, alors que pour lui, c'est l'inverse. L'une poursuit, l'autre fuit. Plus elle s'accroche, plus la tension monte chez l'autre; plus il garde le silence, plus il provoque, inconsciemment et involon¬tairement, l'acharnement de sa conjointe. Plus il lui dit d'arrêter , plus elle l'injure. C'est l'impasse, qui se termine malheureusement trop souvent par la perte de contrôle des réactions physiques de l'un ou de l'autre. Cette dynamique inter-relationnelle qui génère la vio¬lence conjugale a aussi été démontrée par le psychiatre Robert Levenson et le professeur de psychologie John Gottman
    Gregory Bateson a nommé «schismogenèse complémentaire» la réaction en chaîne par laquelle la réponse de l'un des partenaires
    à la provocation de l'autre entraîne des comportements réciproques toujours plus divergents. Cette escalade se produit parce que les hommes et les femmes ont des sensibilités différentes et qu'ils vivent dans deux mondes tout à fait différents, avec des attentes et des croyances différentes face au couple.
    Tant et aussi longtemps que les femmes ne prendront pas leur part de responsabilité dans la genèse de la violence conjugale, elles resteront impuissantes, dépendantes des changements de leur partenaire et soumises à leur bonne volonté. Est-ce vraiment cela que les femmes désirent? J'ose croire que non. J'ose croire que les femmes peuvent prendre conscience qu'elles ont des besoins, des priorités et des ressources qui leur sont propres et qu'elles prendront la responsabilité des stratégies à utiliser pour satisfaire ces besoins, faire valoir leurs priorités, sans «sataniser» celles de l'homme, et exploiter positive¬ment leurs ressources au profit d'elles-mêmes, du couple, de leurs enfants et de la vie en général. Est-ce que je m'illusionne ? Ne pourrait-on pas exploiter l'expertise des centres d'accueil pour femmes au profit des hommes battus et l'expertise des groupes d'entraide pour hommes violents au profit des femmes violentes ?"


    "Si la violence "n'a pas de sexe", pourquoi y a t'il eu l'an dernier 118 femmes et 25 hommes tués en Francepar leurs conjoint(e)s et non la même proportion??"

    les meutres conjugaux ne sont pas un critère de mesure de la violence conjugale, les femmes ont d'autres armes, sont très douées pour pousser les hommes au suicide après une séparation, et là le nombre est beaucoup plus important que celui des meurtres conjugaux.

    http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?rubrique98

    homme 7475 pour l'année 2012.

    et en plus la majorité des meurtres conjugaux ont lieu en ile de France, dans des populations non intégrées par Maternage d'état.
    mais il ne faut pas le dire ça serait stigmatiser ces populations, les statistiques ethniques sont interdites, mais eux ne s'interdissent pas les attentats de masse chercher l'erreur.

  • http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?rubrique98

  • Scoop : les féministes ne nient pas les violences faites aux hommes.
    Les féministes sont pour l'égalité, pas pour la suprématie des femmes. N'ayez pas peur comme ça, nous ne vous voulons pas du mal.

  • @ Imago

    Les féministes sont pour l'égalité,

    ça c'est un discours de façade pour les naïfs, discours complétement déconnecté de la réalité.

  • et le mensonge continue !!!

    http://www.liberation.fr/france/2015/11/24/en-2015-une-femme-sur-cinq-victime-de-violences-physiques-en-europe_1415860

    "Selon les données de la Banque mondiale, le viol et la violence conjugale représentent pour une femme âgée de 15 à 44 ans un risque plus grand que le cancer, les accidents de la route, la guerre et le paludisme réunis."

    http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article198

    "et, d’autre part, que les violences conjugales seraient la première cause de décès et d’invalidité en Europe pour les femmes de 16 à 44 ans, devançant les accidents de la circulation et les cancers. L’arithmétique suffit à démontrer l’inanité de ces allégations reprises sans discernement par nombre de personnes publiques. En France, en 1999, les statistiques de l’Inserm, dont les catégories découlent de la nomenclature européenne, dénombraient, parmi les femmes décédées entre 15 et 44 ans, 2750 malades du cancer, 850 accidentées de la route et 66 homicides. Si l’on ajoute homicides, suicides, " traumatismes, empoisonnements, indéterminés " et " chutes accidentelles ", on obtient 1200 décès."

    comment un journal de grande diffusion peut laisser une journaliste écrire n'importe quoi à ce stade là !!!

Les commentaires sont fermés.