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Depuis le printemps dernier des associations féministes alertent sur l’augmentation des cas de violence domestique (contre des femmes forcément) à cause des confinements, chiffres à l’appui. Cependant ces chiffres dépendent des études qui les produisent.
Le chiffre est choquant. Pourtant il émane des services de l’État. Comment est-ce possible? 43 % de victimes masculines dans les années 2000, et 51% en Écosse à la même période? Le stéréotype veut que les hommes ne se plaignent pas, et ils sont de toutes façons plus forts (en moyenne).
Madame Caroline Dayer a-t-elle fébrilement, jeudi, plongé dans les statistiques canadiennes? Parce qu’au débat de mercredi soir elle ne semblait pas les connaître – alors que c’est son job.
De nouveaux chiffres en Suisse le démontrent. Les hommes ne sont pas auteurs de 98% des violences domestiques, comme le prétendent les associations féministes. Ils sont aussi victimes. Dans des proportions très importantes depuis des années.