Une lettre de mon correspondant français revient sur la parité en politique. Il interpelle l’auteur d’un article du magazine Marianne, qui suppute que Nathalie Kosciusko-Morizet profitera de la journée de la femme pour annoncer sa candidature au primaires, et rappelle qu’il y a peu de candidates à droite.
« Primaire à Droite, où sont les femmes ? », demandez-vous dans Marianne du 4 au 10 mars. « Nathalie Kosciusko-Morizet se lancerait dans la bataille de la primaire, le 8 mars 2016, journée des femmes et pour l'égalité des droits.
Une occasion de plus pour l'ancienne ministre d'appuyer là où ça fait mal : la quasi-absence de femmes dans les instances dirigeantes de son parti, régulièrement épinglé pour non-respect de la parité », dites-vous. Permettez-moi d'intervenir sur ces deux principes idéologiques présentés comme des vérités bibliques :
1- La journée de la femme est nécessaire puisque ses droits ne sont pas respectés.
2- La parité est le seul moyen de réparer le déficit de femmes en politique.
Notons que la journée de la femme s'est progressivement transformée en semaine de la femme dans nos médias, alors que la journée internationale de l'homme du 19 novembre est totalement passée sous silence. Ce ne sont pourtant pas les discriminations, dont les hommes sont victimes, qui manquent. Ils sont minoritaires dans l'enseignement, la justice, les fonctions hospitalières… Sur 150 000 élèves qui quittent l'école sans qualification, 100 000 sont des garçons. En cas de séparation dans le couple, les enfants sont confiés à la mère à 80 %. Dans les collectivités territoriales, de multiples avantages sont accordés aux femmes (par exemple, dans le Finistère, les jeunes femmes entrepreneurs bénéficient d'un bonus de 5 ans pour obtenir une subvention ; des consultations gratuites sont réservées aux femmes par le barreau de Bordeaux à l'occasion de la journée du 8 mars ; etc). Elles disposent de nombreux réseaux féminins dans les instances politiques et, cerise sur le gâteau, d'un Ministère des droits des femmes, alors qu'il n'y en a aucun pour défendre ceux des hommes, la liste n'étant pas exhaustive. Alors on ne voit pas pourquoi ces déséquilibres ne seraient pas également dénoncés. Mais associer la protection de la femme et l'égalité des droits n'a aucun sens car, chez nous, les droits des personnes ne font pas de différence entre les sexes.
Certes, les femmes sont moins nombreuses que les hommes en politique. Mais qui les empêche de militer dans un parti, d'y faire leurs preuves et obtenir la confiance de leurs pairs pour se présenter aux élections ? Personne ! Si, dans l'ensemble, elles sont moins politisées et moins disposées que les hommes à prendre des responsabilités, c'est un choix qu'elles font en toute liberté. Comme dans le milieu professionnel, elles ont tendance à privilégier leur vie familiale, ce qui est leur droit. Où est le « machisme » là-dedans ?
Avec 50 % de femmes dans la société, il faut en avoir 50 % au parlement, nous dit-on en culpabilisant les partis qui n'obtempèrent pas. Poursuivons ce raisonnement stupide en prenant, par exemple, le cas des musulmans. Comme ils sont 6 millions en France, réservons-leur 10 % des élus ! Et les noirs, les jeunes, les ouvriers…, également sous-représentés ? Accordons-leur aussi quelques sièges calculés sur un pourcentage correspondant à leur nombre. Mais la démocratie féministe veille au grain. On donne des quotas aux femmes, pas aux minorités. C'est leur conception de l'égalité républicaine !
La République a justement inventé les examens et les concours pour sélectionner les candidats, non pas en fonction de leur sexe, leur origine, leur couleur ou leur religion, mais sur leurs compétences. Et les compétences de nos élus, c'est aux partis d'en décider, pas aux directives paritaires. Si c'est un homme, et non une femme, qui, aux yeux des militants, réunit les meilleures conditions pour remporter une élection, pourquoi cette organisation politique serait-elle sanctionnée ? Pourquoi, une loi imbécile devrait-elle choisir contre l'avis de ceux qui sont légitimement les mieux placés pour dire qui doit être leur porte-parole ? Avoir son nom sur une liste de candidats n'est pas un droit. Cela se mérite, même quand on est femme. Mais cette discrimination dite positive est en réalité un piège pour les femmes qui devront leur nomination à des mesures protectionnistes et non à leurs capacités, car, bien sûr, cela leur sera reproché un jour ou l'autre.
« NKM compte faire de cette légère différence [sexuelle] un argument de campagne, elle qui confie régulièrement à ses collègues qu'elle sera la seule femme de la primaire ». Autrement dit, votez pour moi si vous voulez respecter la parité ! Le diktat paritaire étant tellement bien ancré dans le conformisme, il est possible que certains se laissent abuser par ses propos. Mais qu'en sera-t-il lorsqu'on aura, au second tour des présidentielles, Marine Le Pen face à un homme ? Verrons-nous les féministes réclamer une femme aux commandes ? On ne les a pas entendues appeler à voter pour les celles du Front national pourtant bien placées pour remporter les régionales. Il est probable qu'elles continueront à taire leurs convictions profondes.
On peut d'ailleurs se demander pourquoi les priorités des lobbies féministes disparaissent alors comme par enchantement. L'abandon du principe paritaire, pourtant vendu comme une une nécessité, mais balayé par le pragmatisme, montre bien l'absurdité de ce dogme. Les électeurs votent pour celui ou celle qui défendra leurs idées et non pour un zizi ou pour une zézette. Ils choisissent les prétendants en fonction de leur intérêt. Ils savent que ce n'est pas le sexe mais le cerveau qui agit sur les décisions qui seront prises en leur nom. Ils sont assez grands pour comprendre que ce n'est pas le rouge à lèvres ou la moustache qui fera la différence entre une bonne et une mauvaise politique. Mais, si le citoyen lambda est bien conscient de cela en glissant son bulletin dans l'urne, notre classe politique et notre télévision sous influence en sont encore à confondre une égalité numérique et une égalité de droits. »
Henri L’Helgoualc’h
Commentaires
Je suis bien d'accord avec l'article toutefois le parti des Républicains maintenant depuis le congrès (dans le discours de fin il appeler à lutter contre la théorie de genre et l'égalitarisme) ou il y a eu le changement de nom s'est vu obliger à inclure la parité (NKM en avait la responsabilité) dans ces statuts par la loi sur l'égalité homme-femme de Mme Belckasem qui a d'égale que le nom dont la droite aurait du proposer autre chose et a voté le texte faut dire qu'en dire le contraire c'était machiste et la presse féminine (qui n'est pas paritaire face à la masculine d'ailleurs), média, association féministe était sur la brèche et toujours aveugler et totalement impartial dès qu'il y a les mots femmes et égalité employées.
Il y avait dans cette article http://www.leparisien.fr/politique/droite-pas-de-primaire-pour-les-femmes-04-03-2016-5597725.php?success=1#blocCommentaires
NS qui disait « On ne peut pas me reprocher d'être machiste. Mais on ne va tout de même pas mettre des quotas pour les femmes » On pourra noter également que ces des méchants messieurs qui devront les soutenir pour quelles se présentent.
En politique ont demandé aux hommes de prendre des engagements pour les femmes mais elles en prennent pas pour les hommes elles c'est ils sont trop nombreux dans une filière, un secteur d'activité, aucune différence de genre on ne compte plus les différences de genre visitent d'entreprise spécifique, recrutement minimum, association pour les faire réussir dans les mathématiques, livre scolaire spécifique, action spécifique pour les recrutements et les filières technique et scientifique la hantise féministe, dans les universités les hommes y sont de moins présent les diplômées se sont beaucoup de femmes dans de nombreuses filières, le chômage beaucoup d'hommes... . Plutôt qu'une égalité de la représentation il en faudrait je pense une égalité des soutiens avec des budgets spécifiques une identité masculine. Le propre du féministe n'est d'appliquer ce qu'elle condamne en stratégie c'est la pire elle est efficace car un sourire cela attendrit et c'est ce que l'on doit dire (la rééducation) toutefois rien que sur le sens distinction de genre elles sont bien attaquables et le 19 novembre cela serait un moyen de permettre à l'homme de proposer une égalité avec elles mais je ne suis pas sure qu'elle lui autorise. On peut regretter le manque d'association masculine (multi sujet) cela serait bénéfique aux deux sexes et saurait une sorte de contre pouvoir.
Cher hommelibre,
- « Notons que la journée de la femme ... alors que la journée internationale de l'homme ... »
Il me semble qu'il ne s'agit pas de la journée "de la femme" et de la journée internationale "de l'homme", mais de la journée _des femmes_, et de la journée _des hommes_. La nuance peut vous sembler ridicule, mais en cherchant un peu, je suis certain que vous trouverez facilement la distinction.
Ensuite, vous conviendrez que les symboles représentés sont distincts, puisque les objectifs poursuivis dans l'instauration de chacune de ces deux journées le sont aussi ... même si ces objectifs véhiculent des valeurs universelles communes, les situations dans lesquelles il a été constaté un déficit systématique de ces valeurs étant elles-mêmes distinctes.
- « ... un Ministère des droits des femmes, alors qu'il n'y en a aucun pour défendre ceux des hommes ... Alors on ne voit pas pourquoi ces déséquilibres ne seraient pas également dénoncés. »
"Dénoncés" ... vous voulez dire ... que les médias en parlent plus souvent ? Ou que le justice "ne fait pas son boulot" pour appliquer la loi ? Ou que les partis politiques ne sont pas intéressés à créer un tel ministère ? Et dans tous les cas ... pourquoi en faire porter la responsabilité aux féministes, qu'elles soient de droite, d'extrême droite, du centre ou de gauche ? OU suggérez vous que les féministes "n'ont" pas qu'un ministère, mais contôlent aussi l'assemblée nationale, la magistrature, les partis politiques, les électeurs, et les groupes financiers auxquels appartiennent les médias ?
- « Mais qui les empêche de militer dans un parti, d'y faire leurs preuves et obtenir la confiance de leurs pairs pour se présenter aux élections ? »
Euh ... voyons ... ceux qui ne leur font pas confiance, justement ? Ou peut-être ceux qui disent que les inégalités n'existent pas, ou que les féministes sont les ennemies des hommes, par exemple ?
- « Personne ! ... c'est un choix qu'elles font en toute liberté. »
Ah, pardon, c'est vrai, j'ai oublié ceux qui disent "Personne !" ou "c'est un choix qu'elles font en toute liberté.".
- « Comme dans le milieu professionnel, elles ont tendance à privilégier leur vie familiale, ce qui est leur droit. Où est le « machisme » là-dedans ? »
La "machisme" se trouve dans la confusion entre "elles" ... et ... _certaines_ d'entre "elles".
- « Avec 50 % de femmes dans la société, il faut en avoir 50 % au parlement, nous dit-on ... »
Qui cela. ... "on" ? Une idée aussi _précise_ ne peut être attribuée à quelqu'un d'aussi _imprécis_, sans que cette personne ne soit considérée comme insignifiante, et le propos rapporté comme dénué de tout fondement.
- « Poursuivons ce raisonnement stupide ... »
Effectivement, il l'est. Le poursuivre ... aussi.
- « le cas des musulmans ... ils sont 6 millions en France, réservons-leur 10 % des élus ! »
Vous confondez ... la désignation d'élus lors de scrutins d'état ... et la désignation, à l'intérieur d'une association privée, en l'occurence un parti politique, des candidats à des scrutins d'état, comme représentants de ce parti.
"Mais qui _vous_ empêche" de créer un parti politique qui n'accepte que les hommes ? Ou une secte religieuse qui n'accepte que les croyants en Lucifer ? "Personne ! C'est un choix que _vous faites_ en toute liberté." Où est le « féminisme » là-dedans ?
Et qu'est-ce qui _vous_ empêche de _vous_ présenter comme candidat à des élections d'état ?
- « On donne des quotas aux femmes, pas aux minorités. »
Qui_ cela ... "On" ? Et doté de quelle _autorité_ pour pouvoir "donner des quotas" ?
Et ça veut dire quoi "donner des quotas aux femmes" ? Les hommes, ca ne les concerne donc pas ?
- « C'est leur conception de l'égalité républicaine ! »
Basée sur ce que vous-même avez décrit par ... « ce raisonnement stupide » ... comment considérer votre affirmation autrement ?
- « La République a justement inventé les examens et les concours pour sélectionner les candidats, non pas en fonction de leur sexe, leur origine, leur couleur ou leur religion, mais sur leurs compétences. »
Y'a pas de diplôme de "Président" ou de "Député".
- « Et les compétences de nos élus, c'est aux partis d'en décider, pas aux directives paritaires. »
Ben justement, c'est une _liberté_ des partis ET une _décision_ de _certains_ partis que d'adopter des "directives paritaires".
- Si c'est un homme, et non une femme, qui, aux yeux des militants, réunit les meilleures conditions pour remporter une élection, pourquoi cette organisation politique serait-elle sanctionnée ?
Sanctionnée par qui ? Exactement QUI parle de sanctionner les organisations politiques ?
- « Pourquoi, une loi imbécile ... »
"Imbécile" ... c'est normal. Ca vient avec ... « ce raisonnement stupide ».
- « ... devrait-elle choisir ... leur porte-parole ? »
La question ne se pose pas. Cette "loi" n'existe pas aujourd'hui, et c'est _vous_ qui la proposez.
- « Avoir son nom sur une liste de candidats n'est pas un droit. »
Etre candidat ... _à un scrutin politique_ ... si ... à certaines conditions qui n'ont pas de relation avec le sexe, la religion, ou la couleur de la peau dudit candidat !
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89ligibilit%C3%A9_en_France
Etre le candidat ... _d'un parti_, ... donc présenté par un parti politique pour porter le nom du parti, ca dépend du parti et de ses règles.
- « Cela se mérite, même quand on est femme. »
Il n'y a besoin d'aucun mérite pour se présenter soi-même sur une liste de scrutin.
Et pour "Avoir son nom sur une liste de candidats" présentée par un parti à un scrutin ... c'est l'affaire interne du parti. Il n'y a pas de loi qui oblige les partis à aligner des candidats que les partis n'ont pas choisis eux-mêmes, selon leurs propres règles.
- « Mais qu'en sera-t-il lorsqu'on aura, au second tour des présidentielles, Marine Le Pen face à un homme ? Verrons-nous les féministes réclamer une femme aux commandes ? »
"Réclamer" à qui ? Le chef du bureau des réclamations ? C'est une élection !!!
- « On ne les a pas entendues appeler à voter pour les celles du Front national pourtant bien placées pour remporter les régionales. L'abandon du principe paritaire ... »
"Les celles" ? ... vous voulez dire ... "les feministes" du FN ? Ca existe ... "les feministes du FN" ???
Je suppose que vous avez entendu "les musulmans" appeler à voter pour les _musulmans du FN_ ?
- « L'abandon du principe paritaire, pourtant vendu comme une une nécessité, mais balayé par le pragmatisme, montre bien l'absurdité de ce dogme. »
Le "pragmatisme" c'est ... ne pas chercher des féministes ou des musulmans au FN. Ce n'est pas le "principe paritaire" qui est absurde, mais de le "réclamer" au FN.
- « Les électeurs votent pour celui ou celle qui défendra leurs idées et non pour un zizi ou pour une zézette. »
Tant que ce sont des zézettes qui défendent les droits des femmes, la question du choix d'un zizi ou d'une zézette ne se pose même pas.
- « ... confondre une égalité numérique et une égalité de droits. »
??????
@ Lafaux
Merci pour votre lien vers Le Parisien du 7 mars. On apprend que Nadine Morano exerce un chantage pour obtenir des voix à la primaire des Républicains. Selon elle, l'exercice démocratique serait un échec s'il n'y avait aucune femme parmi les candidats retenus, et cela parce que l'électorat féminin est de 53 % en France. Elle nous montre que l'idée selon laquelle les femmes voteraient plutôt pour les femmes est encore dominante. Mais je n'y crois pas, sinon les féministes auraient appelé à voter pour Marine et Marion aux régionales.
Chuck: je laisse mon correspondant prendre note de votre commentaire, et éventuellement d'y répondre. S'il ne le fait pas j'y reviendrai moi-même.
Cher hommelibre,
Merci pour votre très aimable réponse.
D'abord quelques définitions :
http://www.synonymo.fr/synonyme/femme il n'y a pas discrimination
http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/discrimination/25877
http://www.synonymo.fr/synonyme/discrimination il n'y a pas femme
Quand des mots appartiennent à un groupe ou organisation ce n'est pas très bon et oui les hommes et garçons subissent une discrimination.
Un exemple de discrimination "l’objectif que le Groupe s’est fixé de recruter plus de 25 % de femmes dans les années à venir."
Pour la parité chez les Républicain c'est Virginie Duby-Muller il faut savoir que sur les listes communales,départementales, régionnales il faut 50 % de femme c'est comme dans les communautés de communes il faut 50 % des deux sexes après sur la façon d'y arriver et le procédé pour moi c'est de la discrimination après quand c'est réclamé par des femmes et féministes et que le débat sur la parité en politique a surtout tourné sur la sanction financière ... . Un exemple un homme sur une liste régionnale 3 ème inscrit et numéro 2 en terme de genre on en arrive là on peut se poser la question sans parité les partis, liste et gouvernement serait-il aussi nombreux entre autres. D'ailleurs je ne sais pas si elle serait 70 % si cela irait il y a quelles années une interview de la directrice des ressources humaines de LVMH ils me semblent m'avait bien marqué.
Un extrait d'un article du Parisien "La parité ne pouvait pas s'appliquer aux présidences d'exécutifs départementaux, en raison de la liberté de se présenter garantie par la Constitution », précise-t-il. Une réalité que le Haut Conseil à l'égalité propose de corriger, en imposant à toute collectivité (région, département, commune) où le président ou le maire est un homme que le n° 1 (premier adjoint, premier vice-président) soit systématiquement du sexe opposé. 28 % seulement des premiers adjoints des communes de plus de 1 000 habitants sont des femmes, et les délégations « continuent de refléter l'ordre sexué de la société. Les plus valorisées, comme l'urbanisme, les finances, sont les plus masculines. La famille, l'enfance, le social, fonctions maternantes dans la société, sont plus féminisées », soupire Réjane Sénac".
Un politique fait ce que lui demandent les partis font des accords, les leaders répondent aux questions, souhait d'association féministes elles ont plus de poids et agissent sur de nombreux domaines contrairement au hommes il faut savoir qu'elles vont chercher de l'argent, subvention, construise des réseaux et autres d'ailleurs elle ont même créé une fédération pour la répartition. Aujourd'hui et les exemples ne manquent pas on confond égalité et mixité on fait de la représentation alors on pratique l'égalitarisme et le fait de ne pas accorder le même soutien ou les mêmes obligations n'est pas un problème pour celle et ceux qui réclament l'ennemie étant l'homme trop nombreux, les codes masculins, plafond de verre,... . Politiquement prendre ou parler des droits des hommes et très problématique car il y a pas vraiment de contre pouvoir ou moyen de pression c'est moins de nature masculine déjà pourtant une égalité des droits et des soutiens devient nécessaire on avait parler des marines ou de l'armée avec les tests physiques différenciés dont voici une seconde louche on commence par le test physique fusilier marin
http://oxypulse.fr/tests-physiques-fusilier-marin/
http://oxypulse.fr/test-cso-le-parcours-sportif/
http://oxypulse.fr/les-tractions-aux-tests-cso/
http://oxypulse.fr/le-test-du-leger/
http://oxypulse.fr/tests-physique-aeronautique-armee-de-lair/
"lancer de trois balles, une à une, de 200g dans un cercle de 1,30 m de diamètre distant de 12 m pour les hommes et 9m pour les femmes."
Dans l'éducation c'est pareil ainsi :
"à l’université où les jeunes femmes représentent globalement 57 % de la population étudiante. Les étudiantes sont proportionnellement plus
nombreuses en cursus master (60 %) et en cursus licence (57 %)"
"Les écarts sont désormais élevés : parmi les générations ayant entre 25 et 34 ans en 2010, la proportion de femmes ayant au moins un diplôme de niveau Bac+2 est de 47 % alors que la même proportion chez les hommes de
ces générations est de 38 %, soit un écart de 9 points. Les écarts se creusent régulièrement depuis trente ans"
On critique les garçons quand ils occupent 74 % des filières d'ingénieures mais rarement quand les filles choisissent (ou subissent pour d'autres)"cependant les filles sont en revanche largement majoritaires dans les formations paramédicales ou sociales (80 %) et majoritaires dans les formations universitaires de santé (médecine, odontologie et pharmacie,
62 %). Elles sont globalement minoritaires dans les IUT mais, au sein des IUT, sont globalement à parité dans le secteur des services et en particulier majoritaires en information-communication (80 %) et dans les carrières sociales (79 %) ou juridiques (78 %)."
Une initiative intéressante des Etats-Unis http://whitehouseboysmen.org/. Chez eux comme chez nous pour exister faut se structurer et militer