En épilogue à «l’affaire Trierweiler» je pose deux derniers angles de lecture. Le premier a trait à l’amour et la souffrance. Nul doute que la Trierweiler ait souffert. N’étant pas dans sa peau j’ignore à quel point et si l’orgueil a été davantage blessé que les sentiments. Mais l'ampleur de cette affaire vaut que l'on s'interroge.